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  • Le choix de la Wallonie

    Jules Gheude suit depuis plus de trente ans l’évolution du problème communautaire belge. On lui doit plusieurs essais et articles de presse.
    Dans son dernier ouvrage L’incurable mal belge, sous le scalpel de François Perin, paru juste avant les élections législatives du 10 juin 2007, il explique que l’Etat belge, miné par le nationalisme flamand, ne peut plus être sauvé.
    Il importe donc, pour lui, de préparer les esprits wallons à l’inéluctable.

    Le choix de la Wallonie, un livre de Jules Gheude édité aux Éditions Mols

    17.50 
  • Le choix du baptême expliqué à mes enfants

    Le choix du baptême pour ses propres enfants nécessite de nos jours de plus en plus qu’il soit argumenté et expliqué, dans le contexte actuel – celui notamment des extrémismes et aussi des troubles que traverse l’Église.
    La dimension universelle du baptême est soulignée : dimension du sens, invitation au dépassement de soi, antidote au terre-à-terre et à la tyrannie de l’ego.

    Le choix du baptême expliqué à mes enfants, un livre de Christophe Schaeffer édité aux Éditions Mols

    14.00 
  • Le Congo belge en tant qu’État développementiste. Réexamen du colonialisme

    Une “colonie modèle”
    Contrairement à l’État indépendant du Congo (EIC) sous Léopold II (1885-1908) et l’État postcolonial depuis juillet 1960, le Congo belge (1908-1959) était connu comme une “colonie modèle” et un “paradis” pour les investissements directs étrangers grâce à sa stabilité politique et ses ressources naturelles fabuleuses. En bref, le Congo belge était un État providence semblable au même système qui se développait en Belgique.

    Devenu un “enfer sur terre”
    Soixante ans après l’indépendance, cette “Europe Noire” n’existe plus, alors qu’elle possédait en 1960 les meilleures conditions socio-économiques qui soient, bien plus favorables pour soutenir son développement que tous les autres pays africains. Les Congolais appellent aujourd’hui leur pays un “enfer sur terre” et étiquettent leurs dirigeants politiques comme “des démons, des sorciers”.
    Comment peut-on expliquer ce changement de statut du Congo, passant d’un “paradis” pour les investissements directs étrangers à son état actuel d'”enfer sur terre”
    et si défavorable pour ces mêmes investissements ?

    Un État “développementiste”
    L’objectif principal du livre (titre d’origine : The Belgian Congo as a developmental State : Revisiting Colonialism) est de répondre à ces deux questions en se basant sur la notion ou plutôt sur le paradigme d’État “développementiste”. Parmi ses nombreuses caractéristiques, cet État possédait une forte assise en matière d’infrastructures et un certain degré d’autonomie politique capables de lui permettre de mettre en place des politiques économiques de développement. En se basant sur l’idée que le Congo belge était un État “développementiste”, ce livre s’oppose ainsi à l’hypothèse selon laquelle la colonisation est la cause directe et principale de la mauvaise performance économique des dirigeants africains.

    Pas de glorification du colonialisme
    Malgré le système colonial d’exploitation économique basé sur les inégalités socio-économiques, la Belgique avait économiquement développé le Congo en un court laps de temps. Il ne glorifie ni le colonialisme ni les atrocités commises au Congo belge, mais souligne le fait que le développement économique du Congo belge fut possible grâce aux investissements massifs dans des biens publics tels que la stabilité politique, les infrastructures, la santé publique et l’éducation.

    “Le Congo n’a besoin que de quelques bons citoyens dotés d’une certaine fierté nationale pour se développer. La Belgique l’a fait.”

    Emizet François KISANGANI est professeur à l’Université de Kansas City, Kansas (USA).

    Le Congo belge en tant qu’État développementiste. Réexamen du colonialisme, un livre de Emizet FrançoisKisangani édité aux Éditions Mols

    29.00 
  • Le Corbeau

    À l’image de la célèbre formule du journal Tintin, ces récits illustrés s’adressent en réalité à un public très vaste, celui des « jeunes de 7 à 77 ans ». En effet, elles peuvent se lire à plusieurs niveaux (iconique, littéraire, interactif et philosophique). (Traduit de l’allemand et préfacé par Alain Préaux)

    Wilhelm BUSCH (1832-1908) est certainement l’un des plus grands humoristes allemands de la seconde moitié du xixe siècle. Ses nombreuses « histoires illustrées » font de lui un génial précurseur de la « bande dessinée ». Peintre-poète, aussi doué comme dessinateur que comme narrateur, Wilhelm BUSCH incarne, comme le fera plus tard Hergé, l’idéal de l’homme complet, du « dessinnarrateur », dans une discipline où l’osmose entre le dessin et l’écriture est si difficile à réaliser. Son humour, présent non seulement dans ses croquis, mais aussi dans son texte, jaillit surtout de la confrontation entre l’image et la lettre. Wilhelm BUSCH réussit par là à tempérer une vision profondément pessimiste du monde, héritée de ses années de jeunesse et confirmée par la lecture tardive du célèbre philosophe Arthur Schopenhauer. À part le célèbre récit illustré Max und Moritz, l’univers de Wilhelm BUSCH est finalement peu connu du public francophone. Aussi nous a-t-il paru intéressant de publier ici les « histoires en images » les plus marquantes de cet ancêtre illustre de la bande des-sinée européenne.

    Le Corbeau, un livre de Wilhelm Busch édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    20.00 
  • Le Credo est-il encore crédible ?

    ,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;Que ressent le chrétien, désireux de vivre sa foi comme une méditation d’amour envers Dieu, lorsqu’il se voit tenu de la proclamer par le Credo tel qu’il est rédigé encore aujourd’hui ?

    L’auteur se propose ici de s’attacher à la démarche de celui qui est invité à le réciter et qui se voit confronté à la difficulté de conjuguer sa foi profonde, le contexte socioculturel et scientifique dans lequel il la vit et la manière dont l’Église lui demande de l’exprimer.

    Le Credo est-il encore crédible ?, un livre de Vincent Hanssens édité aux Éditions Mols

    17.00 
  • Le cri des oiseaux dans la tempête

    L’euthanasie active, qu’on pratique déjà aux Pays-Bas, est-elle le signe d’une fin de civilisation ?

    Le cri des oiseaux dans la tempête, un livre de Thérèse Olivier édité aux Éditions Mols

    13.00 
  • Indisponible

    Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles)

    Que peuvent nous apprendre les prédictions de l’Almanach de Mathieu Laensbergh en matière d’éveil aux idées des Lumières, au XVIIIe siècle ? Quel changement de mentalité à l’égard des pratiques magico-religieuses laissent entrevoir les commentaires du livret de pèlerinage à Saint-Hubert en Ardenne ? Comment les mémoires rédigés à l’occasion de procès opposant des communautés rurales aux autorités manifestent-ils le progrès du rationalisme critique, à travers un lexique où le bourgeois sensible côtoie l’aristocrate éclairé ? C’est à de telles questions que tâche de répondre le présent ouvrage, à partir d’une documentation associant littérature « populaire », journaux, catalogues de libraires, chansons, etc. La communication orale y trouve une place importante, notamment quand elle se fait dialectale. La diffusion de valeurs et d’interrogations communes s’opère aussi par le théâtre, où drames sérieux, vaudevilles et opéras-comiques – nous sommes au pays de Grétry – composent un véritable « paysage culturel ».

    Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles), un livre de Daniel Droixhe édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    22.00 
  • Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles) – ePub

    Que peuvent nous apprendre les prédictions de l’Almanach de Mathieu Laensbergh en matière d’éveil aux idées des Lumières, au XVIIIe siècle ? Quel changement de mentalité à l’égard des pratiques magico-religieuses laissent entrevoir les commentaires du livret de pèlerinage à Saint-Hubert en Ardenne ? Comment les mémoires rédigés à l’occasion de procès opposant des communautés rurales aux autorités manifestent-ils le progrès du rationalisme critique, à travers un lexique où le bourgeois sensible côtoie l’aristocrate éclairé ? C’est à de telles questions que tâche de répondre le présent ouvrage, à partir d’une documentation associant littérature « populaire », journaux, catalogues de libraires, chansons, etc. La communication orale y trouve une place importante, notamment quand elle se fait dialectale. La diffusion de valeurs et d’interrogations communes s’opère aussi par le théâtre, où drames sérieux, vaudevilles et opéras-comiques – nous sommes au pays de Grétry – composent un véritable « paysage culturel ».

    15.99 
  • Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles) – ePub

    Que peuvent nous apprendre les prédictions de l’Almanach de Mathieu Laensbergh en matière d’éveil aux idées des Lumières, au XVIIIe siècle ? Quel changement de mentalité à l’égard des pratiques magico-religieuses laissent entrevoir les commentaires du livret de pèlerinage à Saint-Hubert en Ardenne ? Comment les mémoires rédigés à l’occasion de procès opposant des communautés rurales aux autorités manifestent-ils le progrès du rationalisme critique, à travers un lexique où le bourgeois sensible côtoie l’aristocrate éclairé ? C’est à de telles questions que tâche de répondre le présent ouvrage, à partir d’une documentation associant littérature « populaire », journaux, catalogues de libraires, chansons, etc. La communication orale y trouve une place importante, notamment quand elle se fait dialectale. La diffusion de valeurs et d’interrogations communes s’opère aussi par le théâtre, où drames sérieux, vaudevilles et opéras-comiques – nous sommes au pays de Grétry – composent un véritable « paysage culturel ».

    Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles) – ePub, un livre de Daniel Droixhe édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.99 
  • Le croyant et le mécréant

    Les auteurs :
    Marcel Bolle De Bal
    Vincent Hanssens

    Un jour leur est venu le désir d’approfondir et de soumettre à un public le plus large possible la teneur de leurs conversations intimes. Ainsi est né le projet de ce livre qui tente de cerner les multiples enjeux du nécessaire dialogue entre croyants et libres penseurs.
    Toutes les questions touchant à la science, à la religion et à la morale sont abordées.

    Le croyant et le mécréant, un livre de Marcel Bolle De Balle édité aux Éditions Mols

    27.50 
  • Le dernier dragon de Chevetogne

    Eveiller l’attention de l’enfant, suivre les traces du héros… Retrouver dans le “pense-bêtes” bon nombre de bestioles aperçues au hasard de l’action, répondre aux “C’est quoi ?”, aux “Pourquoi ?” devient un divertissement pout toute la famille.
    Suivre le “dragon” sur son territoire, vivre l’aventure dans son écrin naturel, comparer l’image au décor réel…
    Un ((livre-lieu)) dont les cadrages en plan large correspondent au paysage et invitent à la visite.
    Voilà les trois cheminements possibles que nous offre l’aventure du dernier dragon de Chevetogne.

    Le dernier dragon de Chevetogne, un livre de Bruno Belvaux édité aux Éditions Mols

    9.42 
  • Le dernier roi de l’Atacama

    Trente ans après son décès, Gustave le Paige, originaire de Liège, plus connu au Chili sous le nom de « Padre Gustavo », y reste une figure marquante. Son œuvre est scientifique, culturelle et sociale. Grâce à lui, l’archéologie chilienne prend son envol. Et avec elle, la découverte d’une civilisation oubliée : la culture atacamène. Ses actions ont permis d’améliorer la vie des populations locales et de leur rendre une identité et une Culture. Il est devenu, indiscutablement, « le dernier roi de l’Atacama ».

    Le dernier roi de l’Atacama, un livre de Christian Du Brulle édité aux Éditions Mols

    21.50 
  • Le destin tragique des Habsbourg

    L’étonnante fortune des Habsbourg atteignit son point culminant au XVIe siècle. Avec l’Empereur Charles Quint et le roi Philippe II, son fils, l’autorité de cette dynastie s’étendit, en Europe et dans le Nouveau Monde, sur des territoires si vastes que le soleil ne s’y couchait jamais.
    Mais les anglais croyaient à la jalousie des dieux qui s’irritaient des prospérités trop éclatantes. À la gloire universelle de Charles Quint, s’oppose le triste destin de ses sœurs Éléonore et, surtout, Ysabeau d’Autriche. Le puissant monarque Philippe II fut accusé du plus odieux des crimes, par suite du sort réservé à son fils don Carlos. La légende a déformé la vie et la mort de Don Carlos, et l’existence d’Ysabeau d’Autriche a sombré dans l’oubli. À la lumière impartiale de l’histoire, Ghislaine De Boom fait revivre ces deux tragiques destins, si étroitement mêmes aux grands événements politiques et religieux du XVIe siècle.

    Ghislaine De Boom fut docteur en philosophie et lettres de l’université libre de Bruxelles. Elle fut la première femme lauréate du Concours universitaire. Elle s’attacha à approfondir l’étude du destin des princesses de la famille de Habsbourg.

    Le destin tragique des Habsbourg, un livre de Ghislaine De Boom édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    20.00 
  • Le dieu Blanc est mort à Diên Biên Phu.

    Comme dans Waterloo. La marche à l’abîme (publié aux éditions Le Cri / Mols), l’auteur, utilisant la même méthode d’analyse dans la narration et le caractère psychologique des personnages, s’efforce de nous expliquer comment la glorieuse armée française, moderne, mécanisée à l’européenne, alla se perdre au bout du monde dans un lieu inconnu : Diên Biên Phu.

    Le dieu Blanc est mort à Diên Biên Phu., un livre de Jean-Luc Ancely édité aux Éditions Mols

    24.50 
  • Le funambule libéré

    Nathan connait deux existences : celle dont il n’a aucun souvenir et pour laquelle il s’avère être une source d’inspirations, de sagesse et celle où il souffre avec de nombreuses colères et de deuils à vivre.
    Comment va-t-il cohabiter avec ses douleurs, ses peines qui le rongent et en même temps l’image sublimée, les attentes que les autres ont de lui ?
    Comment apprivoiser ces deux parts de lui-même : l’ombre et la lumière qui paraissent si opposés et qui pourtant, ensemble, le rendent plus complet, plus cohérent, plus avisé ?

    Le funambule libéré, un livre de Géraldine de Radiguès édité aux Éditions Mols

    18.00 
  • Le grand jeu des courages de l’ours en Alaska

    Le grand jeu des courages de l’ours en Alaska, un livre de Xavier Deutsch édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.59