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Le Jeu de la feuillée
La première pièce du théâtre français
Le Jeu de la feuillée, un livre de Adam de la Halle édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Le jour de l’amélanchier
Fraîche, généreuse et lumineuse, la floraison de l’amélanchier fait partie de ces éclats printaniers qui ragaillardissent et donnent envie de jardiner. Aux premiers rayons, cet arbuste se couvre d’une neige de fleurs étoilées, blanc pur ou teintées de rose… Cette efflorescence féérique symbolise avec grâce le retour à la vie.
Le jour de l’amélanchier, un livre de Philippe Marchandise édité aux Éditions Mols
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Le Livre d’Heures
Traduit de l’allemand par Gaston Compère et Frédéric Kiesel
Édition intégrale , bilingue inéditeLe Livre d’Heures, un livre de Rainer Maria Rilke édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Le maître de la vigne
Ce roman étrange à plus d’un titre pose deux questions fondamentales : le mal peut-il servir le bien, un fil rouge relie-t-il les événements successifs de l’existence de chaque être humain lui conférant son unicité et son sens ?
Dans ce nouveau thriller mystique, dont il est l’inventeur, Willy Deweert nous entraîne aux frontières de l’indicible, là où la contemplation prend le relais de la parole.
Le maître de la vigne, un livre de Willy Deweert édité aux Éditions Mols
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de Luc Templier
Le Maître de Waha
« N’est-ce pas à force d’être froissés que nous deviendrons plus souples ? »
Depuis son laboratoire d’images, d’émotions et de symboles, Luc Templier nous donne de vivre ce récit à l’écriture précise, dans un environnement absolument authentique, qui exalte l’art et où se joue l’alchimie des sentiments qui animent et torturent ses héros.
Le Maître de Waha, un livre de Luc Templier édité aux Éditions Mols
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Le Maître du Savon
Pourquoi une jolie immigrée russe fait-elle du vélo fixe dans un appartement rempli d’hommes qui hurlent ? Comment réagir quand un magicien découpe vraiment sa femme en deux ? Quelle est l’influence d’un tableau de Munch sur la vie dans un grand ensemble ?
Alain Berenboom trace, tout au long de ces nouvelles, le portrait d’une Belgique burlesque et désespérée, sensuelle et nostalgique, où tout est possible : les aventures d’un pharmacien dans un quartier populaire à la fin des années cinquante ; celles d’un épicier lituanien, Superman dans le Bruxelles d’aujourd’hui ; les déboires d’un prisonnier qui aimait trop le savon ; les surprises d’un diplomate égaré dans un cinéma de Jérusalem ; la définition d’un écrivain belge et les raisons qui expliquent que son manuscrit ne soit jamais publié ; l’utilité de connaître Shakespeare en version originale lorsqu’on est Mongole et coincée à l’aéroport de Bruxelles…Alain Berenboom, quand il ne pratique pas le droit d’auteur dont il est un des meilleurs spécialistes, vagabonde autour du monde et de la Belgique. De La Position du Missionnaire roux à sa récente série qui explore la Belgique de l’immédiate après-guerre (Périls en ce Royaume, Le Roi du Congo), ses romans allient subtilement l’humour à l’émotion et à la révolte. Chroniqueur pour le journal Le Soir, il est aussi administrateur de la Cinémathèque royale de Belgique.
Le Maître du Savon, un livre de Alain Berenboom édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Le manuscrit de Sainte-Catherine
Coédité avec Desclée de Brouwer, ce nouveau thriller mystique, d’un maître du genre, entraîne le lecteur au bout de ses questionnements sur la nature, le monde et l’Homme.
Où médias, Eglise et mafia s’entrechoquent…
Willy Deweert est l’auteur du best-seller Les Allumettes de la sacristie paru chez DDB en 1998, réédité au Seuil en 2000.
Le manuscrit de Sainte-Catherine, un livre de Willy Deweert édité aux Éditions Mols
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Le Miracle belge de 1848
Dans l’histoire de l’Europe occidentale, l’année 1848 figure une date-charnière. Brutal aboutissement d’une fermentation des esprits dont les origines remontent au dernier quart du XVIIIe siècle, elle marque également le départ d’un vaste mouvement social dont les effets se prolongent jusqu’à nos jours.
La Belgique indépendante n’avait alors que dix-huit ans à peine. Certains la crurent menacée dans sa neuve existence, mais c’est le contraire qui se produisit.
Alors qu’en France, la proclamation de la Seconde République était rapidement suivie d’une guerre civile parmi les plus horribles qui ait jamais ensanglanté Paris et que se profilait la menace d’un nouvel empire napoléonien, alors que les révolutions de Vienne et de Berlin évoluaient en duperie, seule au milieu de la tourmente « quarante-huitarde », la Belgique échappa à la fois aux tueries fratricides et à la revanche de la dictature ou de l’autarcie.
Confiante en ses institutions librement choisies, elle étonna le monde entier par son sang-froid. Serrés autour de leur Roi — à qui fut même proposé le trône de chef de l’empire allemand en gestation à Francfort —, les Belges fournirent la preuve éclatante de leur profond sentiment national.
S’appuyant principalement sur des sources d’archives, l’ouvrage de Georges-Henri DUMONT analyse avec rigueur et raconte avec vivacité la passionnante histoire du miracle belge de 1848 dans toute son ampleur : diplomatique, militaire, politique et sociale.Georges-Henri DUMONT est agrégé en histoire (Université de Louvain), ancien conservateur aux musées royaux d’Art et d’Histoire, professeur honoraire à l’Institut catholique des hautes études commerciales, il a dirigé le cabinet de plusieurs ministres de la Culture française en Belgique. Ancien membre du Conseil Exécutif de l’UNESCO, il préside au sein de cette organisation, le comité international pour l’édition de la monumentale Histoire du développement scientifique et culturel de l’humanité. Il est membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises. Parmi ses nombreux ouvrages, on notera son Histoire de Bruxelles, des origines à nos jours (Le Cri), et son Histoire de la Belgique (Le Cri). Son essai sur Léopold II (Fayard, 1990) a reçu le grand prix de la biographie de l’Académie française.
Le Miracle belge de 1848, un livre de Georges-Henri Dumont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Le Mont Blandin
Après Les Parchemins de la tour (Le Cri, 2004) et le XIXe siècle, Le Mont Blandin revoit, au début du xxe siècle, le caractère d’hommes et de femmes poussés par la passion politique, l’amour de la vie et du travail, le devoir social, l’éducation des jeunes et la préparation de l’avenir. Attributs d’une mentalité profondément ancrée dans la conscience qui marquait la première moitié du xxe siècle et qui, comme la naïveté perdue de l’enfance qui les observe, seront emportés, dès les années cinquante, par l’omniprésence des médias dans l’intimité.
Des retrouvailles avant l’intrusion des idées reçues incontrôlables.
L’auteur. Nicole Verschoore, née à Gand en Belgique, est docteur en philosophie et lettres. Boursière du Fonds national belge de Recherche scientifique et assistante à l’université de Gand, journaliste, elle publie régulièrement dans la Revue générale et la revue électronique www. bon-a-tirer. com. Parlant six langues et amoureuse des grandes capitales européennes, elle se veut citoyenne du monde et passe le meilleur de son temps à revoir et à sauvegarder la vérité du vécu.
Le Mont Blandin est le second volet d’une trilogie, entamée avec Les Parchemins de la tour.Nicole Verschoore, née à Gand en Belgique, est docteur en philosophie et lettres, boursière du Fonds national belge de Recherche scientifique, assistante à l’université de Gand. Journaliste, elle publie régulièrement dans la Revue générale et la revue électronique www. bon-a-tirer. com. Parlant six langues et amoureuse des grandes capitales européennes, elle se veut citoyenne du monde et passe le meilleur de son temps à revoir et à sauvegarder la vérité du vécu.
Elle a publié aux éditions Le Cri les deux premiers volets d’une trilogie : Les Parchemins de la tour (2004) et Le Mont Blandin (2005).Le Mont Blandin, un livre de Nicole Verschoore édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Rik Coolsaet
Le mythe Al-Qaida
Le terrorisme est aujourd’hui le sujet de notre actualité brûlante, de nos réflexions élargies, de nos tentatives de prospectives.
Le mythe Al-Qaida, un livre de Rik Coolsaet édité aux Éditions Mols
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de Jules Gheude
Le petit guide de l’après-Belgique
Depuis trois ans, la Belgique connaît une crise existentielle, due à la poussée de plus en plus forte du nationalisme flamand.
Plusieurs ténors politiques francophones déclarent aujourd’hui qu’il convient de se préparer à la disparition de l’État belge.
Le petit guide de l’après-Belgique, un livre de Jules Gheude édité aux Éditions Mols
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Le Prestige du passé
Il n’y a pas beaucoup de sages aujourd’hui ; peu d’hommes réussissent à garder leur sang-froid au milieu des appels multiples de la mode, ou des modes, et des opinions du monde, et à rester fidèles à ce qu’ils croient juste ; moins encore défendent vigoureu-sement leurs convictions, en toute probité, tout en demeurant à l’écoute des autres, en s’efforçant de les comprendre et en s’ouvrant aux différences comme à des richesses particuliè-rement précieuses. Albert DASNOY était un de ces sages. Il nous livre ici ses réflexions sur l’attrait des modèles anciens. Il creuse le sujet au prix d’infinies lectures pour découvrir ce qui, en fin de compte, explique Le lecteur découvre les démarches aberrantes qui ont poussé les hommes à mépriser leurs propres travaux pour se tourner vers un passé qui ne les valait pas. À travers des pages d’une grande acuité, se pose aussi la question de l’art et du sacré.
Albert DASNOY (1901-1992), correspondant de la Classe des Beaux-Arts (1967), membre en 1969, était peintre, critique d’art, conteur, philosophe. Il poursuivit, à travers tous ses travaux, le sens fondamental des démarches humaines et de la vie elle-même. Sous l’humus des idées reçues, il fut sans cesse à la recherche de la source profonde de ce qui apparaît au jour. Les éditions Le Cri ont entamé la réédition de son œuvre en 2000 par la publication de ses essais Le Prestige du passé et Les Dieux et les hommes.
Le Prestige du passé, un livre de Albert Dasnoy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Le Prince de la Concorde
La biographie romancée de Catherine d’Oultremont se déroule dans le respect scrupuleux des grandes étapes de ce que fut la vie de Jean Pic de la Mirandole : sa quête incessante du savoir qui va le conduire dans toutes les grandes universités et les plus célèbres centres d’études d’Italie, où il rencontrera les plus grands maîtres des plus grandes écoles de pensée de l’époque.
Et il y aura surtout Florence où l’on voit Jean Pic qui, dans toute la gloire de sa jeunesse, déjà précédé d’une éclatante réputation, sera accueilli « en héros » à l’académie florentine. On peut imaginer avec quel émerveillement, avec quelle immense ferveur, le jeune homme, subjugué par l’ambiance capiteuse de l’académie, se laissera graduellement fasciner par la vie intellectuelle qu’il y découvrait et par le platonisme florentin tel que l’enseignait Marsile Ficin. Les circonstances y étaient pour beaucoup. Qu’on y pense : Pic a tout juste vingt ans. Il est accueilli avec empressement à la cour du Magnifique, par ceux-là même en qui il voyait, à juste titre, les plus brillants esprits de son temps. Il côtoie Poliziano le poète, les frères Benivieni dont le mystique Girolamo, Laurent lui-même se lie d’amitié avec lui et lui fait l’insigne honneur de soumettre à son jugement quelques poèmes écrits dans sa jeunesse. Il admire le jeune Michel Ange qui y fait ses premières armes, tandis qu’en philosophie le « Prince des platoniciens » s’empresse et propose protection, aide et assistance au jeune prodige qui s’était confié à lui. Comment supposer que Pic ait pu garder la tête froide face à cette efflorescence intellectuelle, à ce chatoiement d’idées, comment imaginer qu’il puisse ne pas céder à tant de chaleureuses adulations. Et se profile aussi dans l’ombre et faisant contrepoids à tant d’éclats, le sombre et farouche fanatique que deviendra bientôt Jérôme Savonarole…
C’est ainsi qu’à travers le roman de Catherine d’Oultremont, nous découvrons en autant de vignettes variées et diverses les foyers les plus vivants de la Renaissance italienne du xve siècle, avec en arrière-plan les tensions géopolitiques de cette tumultueuse et brillante Italie. Ce roman devient ainsi une belle et vivante introduction à cette période fascinante que fut la Renaissance, d’où allait sortir notre modernité.
Extrait de la préface de Louis Valcke (Université de Sherbrooke, Québec)Catherine d’Oultremont, née en 1955, passe son enfance et sa jeunesse en Catalogne avant de s’établir en Belgique. Elle vivra toutefois plusieurs années en Italie, où s’affirmera sa passion pour la Renaissance italienne. De formation artistique, autodidacte en matière de philosophie, Catherine d’Oultremont apporte sa contribution à des revues d’études traditionnelles et philosophiques. Le Prince de la Concorde est son premier roman. Mais quel roman !
Le Prince de la Concorde, un livre de Catherine d’Oultremont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Le Prince de Ligne
(Extrait de la préface de SIMON LEYS : )
Casanova qui connaissait bien son illustre ami lui fit une observation perspicace : « Votre esprit est d’une espèce qui donne de l’élan à celui d’un autre ». Or c’est bien cet élan-là qui anime les pages qu’on va lire ; Sophie Deroisin était une « âme sensible » au sens stendhalien du mot : elle avait autant de cœur que d’esprit, elle aimait admirer et souffrait joyeusement d’enthousiasme chronique. « L’enthousiasme est le plus beau des défauts, disait notre Prince, il vaut mieux avoir tort ainsi qu’avoir raison autrement ». Mais ici, l’enthousiasme n’a certes pas égaré Sophie Deroisin – tout au plus lui a-t-il peut-être occulté parfois certains pans du tableau. Ligne incarne le XVIIIe siècle – on l’a dit en commençant – et Sophie Deroisin saisit admirablement la grâce qui caractérise cet âge – mais elle préfère ne pas en voir toute la déconcertante férocité, la boue, la cruauté, la crasse et le sang. Or Ligne avait les deux pieds plantés dedans (Mozart aussi). Là-dessus, les historiens universitaires nous donnent une abondance de détails concrets. Mais leur image plus complète n’est pas nécessairement plus vraie. Dans sa vieillesse à Vienne, exilé volontaire de son cher Belœil – que « l’humeur, l’horreur, l’honneur » l’empêchaient seuls de revoir, Ligne connut la pauvreté. Des témoins de l’époque le décrivent, vieillard hirsute et sans perruque, et qui « puait fort ». Il avait aussi un âne, un mouton et une chèvre qui chaque matin grimpaient sur son lit pour mendier du pain. Les deux informations, également fiables, ne sont nullement contradictoires ; mais les biographies savantes n’ont retenu que la première, et Sophie Deroisin, la seconde. Il me semble qu’elle n’a pas eu tort.
Emerson disait que les livres n’ont qu’une seule fonction : inspirer. On ne saurait mieux résumer la vertu de celui-ci.Le Prince de Ligne, un livre de Sophie Deroisin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Alain Tytgat
Le prof d’histoire
Quelques amis décident d’unir leurs familles pour acheter un hameau en Ardèche, où ils passeront leurs vacances. Marcelin, le prof d’histoire, et Reginald, l’écrivain, ne se doutent pas que cette aventure fera non seulement remonter jusqu’à eux l’histoire sanglante des Huguenots mais remettra profondément en cause une amitié qui semblait inébranlable en révélant leurs personnalités respectives et leurs divergences philosophiques. En dire davantage déflorerait les rebondissements, mises en abîme et chutes qui égrènent ce roman passionnant et haletant.
Alain Tytgat est né en 1949 au Congo. Juriste de formation, il a fait carrière dans la publicité. Passionné d’histoire, de littérature et de musique, il partage aujourd’hui son temps entre l’écriture et les voyages. Il vit à Gand.
Le prof d’histoire, un livre de Alain Tytgat édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Le Ricochet
Notre rapport à l’autre nous éveille, nous révèle une partie de nous-mêmes.
Est-ce que quelqu’un viendra nous combler de nos manques ? De notre solitude ? Mieux se connaître, n’est-ce pas un moyen d’acquérir plus de liberté dans notre rapport à la vie ?Le Ricochet, un livre de Géraldine de Radiguès édité aux Éditions Mols