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Vauban, l’homme
La France et la Belgique sont constellées de citadelles et d’ouvrages fortifiés par Vauban. L’homme est surtout connu comme architecte militaire et preneur de place. Ses avis et conseils éclairent le roi sur le peuple et le pays réels. Mais l’auteur veut apporter un éclairage différent sur le personnage. Il étudie son caractère et sonde son cœur pour découvrir les ressorts de son âme. Il cherche à reconnaître les qualités qui animent une telle énergie dans la vie et soutiennent une telle richesse dans les œuvres. Sa passion du service et son souci patriotique de la France profonde restent un modèle.
Vauban, l’homme, un livre de Alain d’Aunay édité aux Éditions Mols
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À l’attention de Sa Majesté le Roi
À l’attention de Sa Majesté le Roi constitue la ‘radioscopie’ de la monarchie la plus complète à ce jour. Ce livre détaille le rôle, la fonction, les pouvoirs et la valeur symbolique du Roi en Belgique.
Il a bénéficié d’une présentation en séance académique à la Chambre des représentants à l’invitation de son Président, M. Herman De Croo, et en présence du Vicomte Etienne Davignon, Ministre d’Etat.Les auteurs :
Robert SENELLE, professeur émérite de l’Université de Gand, auteur de nombreux ouvrages, un des précepteurs du prince Philippe;
Emile CLEMENT, licencié en Sciences politiques et sociales (KUL);
Edgard Van de VELDE, chargé de cours à l’Europese Hogeschool EHSAL à Bruxelles.À l’attention de Sa Majesté le Roi, un livre de Robert Senelle édité aux Éditions Mols
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Chronique de l’ébranlement
L’idée de ce livre Chronique de l’ébranlement, le “concept”, est assez simple : c’est la crise née le 11 septembre 2001. Pourquoi ne pas rassembler en un volume, sous forme d’une seule chronique, les diverses chroniques parues tous les quinze jours, depuis septembre 2001 ?
Le témoignage de De defensa est complété par un essai, qui est une tentative plus contrôlée, plus structurée de donner une appréciation générale de la crise qui nous frappe.Chronique de l’ébranlement, un livre de Philippe Grasset édité aux Éditions Mols
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Haut-Uele, trésor touristique
Les images qui viennent à l’esprit lorsque l’on songe au Haut-Uele sont d’abord celles de ses populations renommées, les Mangbetu, les Azande, les Logo, les Budu, les Mayogo — dont la richesse et la diversité des cultures avaient frappé les conquérants, tant Arabes qu’Européens.
La présente monographie a pour ambition, outre de présenter ces peuples, de donner un aperçu général de la situation géographique, du relief, de la géologie, de l’hydrographie, de la faune, de la flore et de la démographie du Haut-Uele, et d’analyser, plus en profondeur, son évolution historique, culturelle, administrative politique, économique et touristique.
Au plan historique, elle montre, notamment, comment le Haut-Uele a été particulièrement sensible aux diverses perturbations qu’a connues le pays après l’indépendance. Elle analyse la rébellion des Simba, d’abord, au milieu des années 1960, et celles de la fin des années 1990 et du début 2000, ensuite, qui furent particulièrement destructrices, rébellions auxquelles s’ajoutèrent l’affaiblissement/désintégration de nombreux pouvoirs locaux et les interventions de dirigeants d’en haut dans les affaires locales.
Elle consacre un important chapitre aux peuples qui composent le Haut-Uele, à leurs langues, à leurs expressions artistiques et musicales et à leur vie religieuse.
Au plan administratif, elle analyse pourquoi, aujourd’hui, la région connaît une organisation comportant plus de chefferies que de secteurs, ces pouvoirs locaux que l’autorité coloniale (re)construisit et/ou reconnut en fonction de critères liés à des enjeux locaux ou à ses intérêts propres.
Elle s’interroge aussi sur les raisons pour lesquelles le Haut-Uele se trouve livré au trafic et à l’occupation armée. Trafic et occupation liés à sa position géopolitique (il se situe aux frontières du Sud-Soudan et de la République centrafricaine, et non loin des frontières ougandaises, dans leurs parties les moins administrées) et favorisés par des espaces peu habités regorgeant de richesses naturelles (dont l’or et l’ivoire), d’une part, et par un pouvoir local tribal émietté de type «ancien», sans grande capacité de résistance aux conquêtes militaires, d’autre part.
Elle décrit l’évolution négative d’une économie basée, d’une part, sur des cultures (le palmier à huile, le coton, l’arachide, l’hévéa, le café Robusta) de plus en plus délaissées et, d’autre part, sur l’exploitation de mines d’or, à Moto, par un Office des mines d’or de Kilo-Moto, qui n’a pas toujours suffisamment mis en valeur les ressources existantes. Elle montre également comment l’économie des «colons» du Haut-Uele en particulier, et de la Province-Orientale en général, a été un élément déterminant, en 1973, dans la décision du régime Mobutu de nationaliser les entreprises ayant appartenu aux étrangers.
Elle aborde, enfin, les cinq grands défis qui se posent au Haut-Uele: les transports, les communications, le tourisme, dont les atouts locaux sont non négligeables, l’enseignement et la santé.Haut-Uele, trésor touristique, un livre de Jean Omasombo Tshonda édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jules Gheude
L’incurable mal belge
QUI PEUT ENCORE PARLER DE FICTION ?
Tout en déplorant que sa patrie culturelle ne coïncide pas avec son Etat et bien que son cœur batte en direction de l’Hexagone, François Perin va déployer – en tant que constitutionnaliste, homme politique, chroniqueur et écrivain – une énergie peu commune pour engendrer la réforme fédérale du Royaume de Belgique.
En mars 1980, il démissionne spectaculairement du Sénat, en déclarant que la Belgique est malade de trois maux, incurables et irréversibles, dont le nationalisme flamand.
L’incurable mal belge, un livre de Jules Gheude édité aux Éditions Mols
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MANIEMA, espace et vies
En raison de sa position géographique, le Maniema a depuis longtemps constitué un carrefour ouvrant la voie à la fois vers les Kasaï à l’ouest, le Katanga au sud et la Province-Orientale au nord. Plusieurs courants migratoires ou guerriers ont transité par le Maniema avant de poursuivre vers l’est, le nord ou le sud. Les traitants arabo-swahilis venus de l’est ont investi d’abord le Maniema avant de conquérir la Province-Orientale et les Kasaï. Au début de la colonisation belge, le voyageur Stanley et bien d’autres, comme Cameron, Foa, Von Gotzen… ont dû transiter par le Maniema pour accéder à d’autres régions du Congo. Il en va de même avec les rébellions postcoloniales : celle des Simba de 1964 a conquis le Maniema avant de se répandre au nord et à l’ouest. Quant à l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL) qui conduisit L. D. Kabila au pouvoir en 1997, elle a utilisé le même couloir pour accéder au Kasaï.
Créée en 1962, la province du Maniema perd ce statut en 1966 et voit ses sept territoires administratifs répartis entre les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, à cause des conflits qui la dominent, de son rôle dans la rébellion des Simba, mais aussi de son faible poids économique et démographique. À la suite de la nouvelle organisation administrative de 1967, le Maniema est rétabli comme l’un des trois districts de la province du Kivu recréée dans sa configuration du 30 juin 1960. Et en 1988, encore sous le régime Mobutu, le Maniema redevient une province, statut qu’il conserve jusqu’à ce jour.
En plus de l’évolution sociopolitique et administrative, cette monographie sur le Maniema consacre de longues pages aux aspects physiques (géologie, flore, faune…), à l’économie, à la santé et à l’éducation dans la province.MANIEMA, espace et vies, un livre de Jean Omasombo Tshonda édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Michel Otten
Paysages du Nord
« En Belgique, écrit Marcel Moreau, les allées de la raison sont peut-être moins nettement tracées qu’en France. » Est-ce pour cela que les écrivains belges s’abandonnent plus librement aux sollicitations du trompe-l’oeil, du rêve, du fantastique, du phantasme ou du mythe? Ce sont des écrivains réalistes, certes, mais chez eux la réalité, même la plus banale, peut à tout moment glisser vers l’hallucination parce qu’ils osent faire confiance au regard qui traverse les apparences.
Paysages du Nord, un livre de Michel Otten édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Autour des trônes que j’ai vus tomber (Louise) & Je devais être impératrice (Stéphanie)
Mémoires des fille du roi Léopold II. À seize ans, Louise ne manquait pas de charme. Léopold II et Marie-Henriette s’accordèrent pour choisir le prince Philippe de Saxe-Cobourg, de la branche autrichienne, comme époux. Philippe de Saxe-Cobourg avait quatorze ans de plus qu’elle, c’était un noceur qui partageait avec le prince héritier, l’archiduc Rodolphe, de multiples aventures galantes. À Vienne, Philippe de Saxe-Cobourg s’efforça de transformer la petite oie blanche qu’il avait épousée en mondaine accomplie… Délaissée, frustrée, la princesse Louise se consolait en flirtant dans le beau monde viennois. Louise tomba amoureuse d’un fringant sous-lieutenant originaire de Croatie, Geza von Mattachich-Keylevich… L’empereur François-Joseph se laissa convaincre de faire conduire Louise dans un établissement pour malades mentaux… La Princesse, toujours étroitement surveillée, était partie faire une cure à Bad-Elster en Bavière. C’est de là que se fit une évasion digne d’un roman feuilleton… Comme sa sœur Louise et son frère Léopold, Stéphanie fut élevée à la dure. Mariée à seize ans (1881) au prince héritier Rodolphe de Habsbourg, elle se sentit très vite écartée de la vie de son mari, voire de celle de la famille impériale. L’archiduc Rodolphe multiplia les liaisons fugitives et les beuveries. Il se dégoûta finalement de lui-même et se tua, avec sa maîtresse, dans le pavillon de chasse du petit village de Mayerling, en Basse-Autriche. Les mémoires de la princesse Stéphanie sont indispensables à qui veut connaître la vie quotidienne à la cour de Bruxelles et à celle de la Hofburg où François-Joseph survécut à tous les événements…
Les auteurs. Aînée des trois filles de Léopold II et de la reine Marie-Henriette, Louise Marie Amélie naquit à Laeken, le 28 février 1858. Deuxième fille de Léopold II et de la reine Marie-Henriette, la princesse Stéphanie naquit à Laeken, le 21 mai 1864.Autour des trônes que j’ai vus tomber (Louise) & Je devais être impératrice (Stéphanie), un livre de Louise de Belgique édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jacques Ickx
Tout autour de nous
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le quotidien belge Les Sports compte, parmi ses grandes plumes, un passionné de mécanique et de sports moteurs.
Jacques Ickx, journaliste freelance de ce journal très pointu, rédige, entre 1948 et 1951, un billet quasi quotidien consacré au sport et aux sportifs, mais aussi à d’autres sujets, sous un titre générique « Tout autour de nous »Tout autour de nous, un livre de Jacques Ickx édité aux Éditions Mols
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Jean-Charles Snoy (1907-1991)
Représentant la Belgique, aux côtés de Paul-Henri Spaak, à la signature des traités de Rome le 25 mars 1957, Jean-Charles Snoy et d’Oppuers (1907-1991) est surtout connu pour son rôle dans la construction européenne. Mais ceci est réducteur. Considéré à juste titre comme un homme d’Etat, respecté en Belgique et fort écouté à l’étranger, il est animé par la conviction qu’« il vaut mieux servir la chose publique que des intérêts privés ». Enraciné dans une tradition de rigueur intellectuelle et morale complétée par de très brillantes études, il connaît, en dépit de circonstances difficiles, une fulgurante carrière. Secrétaire général du ministère des Affaires économiques à 32 ans, artisan infatigable de la préparation de l’après-guerre puis de la reconstruction de la Belgique, il l’est aussi de celle de l’Europe. Profondément attaché à la nature dont il se fait tour à tour le défenseur et le promoteur, Snoy, « l’homme qui aimait planter des arbres », est un acteur et un témoin de premier plan de l’histoire nationale et européenne du xxe siècle. Homme de caractère, il n’aurait pas déparé la galerie de ceux dressés par La Bruyère. Ou pour le dire avec Philippe de Schoutheeete qui signe la préface, Snoy illustre admirablement la formule d’Héraclite : « Le caractère de l’homme est sa destinée ». Grâce à de nombreuses archives belges, américaines, françaises anglaises, néerlandaises et luxembourgeoises, ce livre jette, à travers la vie d’un « grand commis de l’Etat », un nouvel éclairage sur quatre décennies d’histoire de Belgique ainsi que sur l’apport belge au processus d’intégration européenne.
Vincent Dujardin est chercheur qualifié du FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain. Il est aussi professeur invité à l’Université Jagellone de Cracovie et aux FUCAM. Ses recherches portent sur l’histoire politique de la Belgique, de la construction européenne, des relations internationales et du Congo.
Michel Dumoulin est professeur ordinaire à l’Université catholique de Louvain et membre de l’Académie royale de Belgique. Ses publications portent notamment sur l’histoire de la construction européenne, celle des relations de l’Europe avec l’Outre-Mer et celle des milieux et réseaux dans le cadre des relations internationales.Jean-Charles Snoy (1907-1991), un livre de Vincent Dujardin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Les Jésuites dans la ville
Les Collèges Jésuites et la société belge du XIXe siècle.
Ce livre tente de cerner la place des écoles jésuites dans la société belge du xixe s. Et force est de constater que certains clichés ne résistent pas à l’analyse. Le xixe s. est l’époque d’une lutte acharnée entre cléricaux et anticléricaux mais les libéraux d’Alost appellent les Pères pour qu’ils reprennent le collège communal de leur ville. Les jésuites visent l’élite de la société mais un tiers des élèves sont issus de milieux modestes. L’école traditionnelle éliminerait les enfants du peuple mais la recherche montre que ceux-ci sont toujours présents en rhétorique. Les jésuites sont les champions des humanités classiques mais, dès le milieu du xixe s., l’ensemble de leurs classes primaires et commerciales dépassent les effectifs des classes latines. D’autres problèmes sont abordés et amènent bien des nuances par rapport aux idées reçues : « Question flamande », opposition entre classicisme et romantisme, question des « classiques païens »…
En outre, les collèges ne sont pas que des écoles, on ne peut les évoquer sans tenir compte de la multitude d’activités qui gravitaient autour d’eux : œuvres sociales, congrégations mariales, sociétés académiques, engagements politiques et journalistiques qui ouvraient aux élèves une foule de perspectives d’avenir qui allaient bien au-delà d’une position que l’on suppose, à tort, obligatoirement conservatrice et ultramontaine. Les jésuites, leurs élèves et leurs Anciens seront impliqués dans les collèges et en dehors des écoles dans les controverses qui opposeront le monde catholique belge à ses adversaires mais qui diviseront aussi le camp catholique…
Au sein de ce travail, plusieurs comparaisons avec d’autres époques, d’autres réseaux d’enseignement ou avec la situation française ont été menées. Elles ont permis de dégager les particularités tout à fait remarquables des collèges des jésuites belges du xixe s.Xavier Dusausoit (né à Uccle en 1962) a soutenu une thèse de doctorat (UCL) consacrée aux collèges des jésuites belges au xixe s. Il a en outre collaboré à de nombreux ouvrages historiques (La Libération de Nivelles et ses conséquences (1944-1945), 400 ans de présence jésuite à Bruxelles et Dictionnaire historique de Bruxelles (en préparation).
Les Jésuites dans la ville, un livre de Xavier Dusausoit édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Les Stoclet. Microcosme d’ambitions et de passions
Le « palais » Stoclet, inscrit depuis 2009 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, est la matérialisation d’un rêve, celui d’Adolphe Stoclet et de Suzanne Stevens.
Fruit d’une passion, cette maison et les exceptionnelles collections qu’elle abrita (le volume contient notamment le répertoire des tableaux anciens de la collection), n’ont pu voir le jour que grâce à la réalisation des ambitions de deux générations d’hommes entreprenants qui bâtirent puis consolidèrent la grande fortune dont bénéficia le commanditaire du « Stocleon ».
L’histoire de la maison et de la famille aux ramifications européennes qui l’habita se révèle être, au-delà du véritable mythe qu’est devenu le « palais » et des enjeux que représente son avenir, une saga menant de Vienne à Saint-Pétersbourg en passant notamment par Paris, Milan et les Indes Néerlandaises.
Moments de la petite et de la grande histoire se mêlent durant près de deux siècles, faisant de celle d’un microcosme familial dont la discrétion fut proverbiale, une saga où se succèdent, en s’entremêlant souvent, les coups de génie des uns et les maladresses des autres dans un contexte où la passion, sous une forme ou sous une autre, est régulièrement au rendez-vous.
En cette année du centenaire du « palais » Stoclet conçu comme « œuvre d’art totale », il importait non seulement d’en inscrire la réalisation dans la longue durée mais aussi de s’intéresser à celles et ceux dont il a été le dénominateur commun au fil du temps.
Grâce à des sources nombreuses collectées dans plusieurs pays européens ainsi qu’aux Etats-Unis, ce livre constitue aussi une contribution à la meilleure connaissance de certaines facettes de l’histoire économique, sociale et culturelle de la période contemporaine.Michel Dumoulin est professeur ordinaire à l’Université catholique de Louvain, membre de l’Académie royale de Belgique et président honoraire de l’Institut Historique Belge de Rome. Ses publications portent notamment sur l’histoire de la construction européenne, celle des relations de l’Europe avec l’Outre-Mer et celles des milieux et réseaux dans le cadre des relations internationales.
Pierre-Olivier Laloux, licencié en philologie germanique de l’Université catholique de Louvain y est doctorant sur le thème « Bruxelles-Vienne aux XIXe et XXe siècles : univers croisés ».Les Stoclet. Microcosme d’ambitions et de passions, un livre de Michel Dumoulin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Max Elskamp
Œuvre complète
Œuvre complète, un livre de Max Elskamp édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Œuvre complète
Prose: La Course des chevaux libres • Un Amour de fin du monde • Le Sourire d’Isabella • L’Orage • Les Tours de Dresde • Les Dés de pierre • La Nostalgie batailleuse • Portrait de jeune fille mille neuf cent douze • Rencontres avec le Prince • Nedefna, Nedefni. Poésie: Ce Tango qui cette nuit-là ressemblait à du Brahms • Le Polonais • Poèmes d’amour persans • Via Venezia • Scènes de la vie d’autrefois • Trois poèmes inédits • L’Immortel bien-aimé • La Comptabilité des dieux. Théâtre: L’Aurore mandarine • Les Désirables. (Préface d’Arnaud de la Croix)
Acteur à seize ans, il donne quelques années plus tard des récitals «poésie et musique» en compagnie de la pianiste Bernadette Notelet. Il est poète, dramaturge, nouvelliste et romancier raffiné. Sa personnalité mystérieuse très «fin de siècle», moderne cependant, en rupture souvent, éclaire son paysage littéraire.
Œuvre complète, un livre de Yves-William Delzenne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Œuvre théâtrale complète
LE MOT MAGIQUE / L’AGENDA ORANGE / TETE DE TRUC / REINCARNE-TOI POLYCARPE ! / CYCLOCHOC / YALTA / ENTRECHATS / FOLLIES PARADE / LE MOUROIR DES ALOUETTES / L’IMBECILE / LA PIAULE / L’AVARE II / AH ! QUEL BEAU COUPLE ! / CRIME MAGISTRAL ou l’homme descend du songe / LE DEMON DE MINUIT ex fou d’amour / L’OBSEDE ou la solitude du pénis / LE BIGAME / LE NAIN DE PATMOS / L’IMPOSTEUR / LE VIOL D’UNE PETITE CERISE NOIRE ou d’une griotte / JESSE ET JESSICA / L’EPRISE / LE MONSTRE QUE JE SUIS.
Pascal Vrebos est né à Bruxelles en 1952. Traduit et représenté comme auteur dramatique dans de nombreux pays à travers le monde, il enseigne aussi la sémiologie, la stylistique et l’analyse textuelle au Conservatoire Royal de Bruxelles et à l’Institut Cooremans.
Homme de radio et de télévision (à la RTBF, puis à RTL/TVi et Bel RTL), il est, outre ses pièces de théâtre, l’auteur de multiples publications dont, notamment, Le Gorbatchoc (Le Cri, 1989), Ultimes Entretiens avec Henry Miller (Le Cri, 1991), Apocalypses (Le Cri, 2002)
Il a reçu de nombreux prix parmi lesquels le Prix de la Société des Auteurs et Compositeurs dramatiques, pour l’ensemble de son œuvre, et le « Best ou California » pour Tête de Truc.
Il a acquis la notoriété scientifique et professionnelle en 1994 par un arrêté du Gouvernement. En décembre 1999, le Sénat le nomme membre du Conseil Supérieur de la Justice.Œuvre théâtrale complète, un livre de Pascal Vrebos édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Universités et Entreprises. Milieux académiques et industriels en Belgique (1880-1970)
À l’heure où il est de plus en plus question de mettre en place les conditions propres à établir une « société de la connaissance » en Europe, ce livre se penche sur un aspect fondamental de cet ambitieux programme : la redéfinition du rôle économique dévolu aux universités en Belgique. L’ouvrage tente de montrer, à travers une perspective historique qui remonte au milieu du XIXe siècle, que les universités belges n’ont pas attendu les années 1970 et la chute des dépenses publiques dans le secteur de la recherche et de l’enseignement supérieur pour élaborer des contacts directs avec le secteur privé. On peut d’ailleurs dire que l’âge d’or des relations industrie-université date de l’entre-deux-guerres, après que la science eût montré la voie à suivre pour accélérer le développement d’une industrie moderne. Que ce soit par l’entremise des ingénieurs issus des Facultés des sciences appliquées ou dans les collaborations interindividuelles impliquant de nombreuses disciplines, les universités belges ont déserté, pour le meilleur et pour le pire, la fameuse « tour d’ivoire » derrière laquelle on les range si fréquemment. Sur le plan de l’enseignement, elles ont également participé au démarrage des formations en management, s’inscrivant plus que jamais dans une dynamique de perfectionnement des élites dirigeantes. Au final, cet ouvrage évalue dans quelle mesure et à travers quels mécanismes l’espace académique a fini par rencontrer les exigences d’un nouveau régime économique à forte concentration scientifique.
« Reprendre ces questions à la lumière de ce brillant ouvrage riche de notre histoire industrielle et des potentialités de nos universités va certainement alimenter l’indispensable débat d’idées. A cet égard, il serait souhaitable que ce livre génère d’autres essais et réflexions centrés sur notre situation en Communauté Française, en Belgique et en Europe. Ainsi, les instruments qui se mettent en œuvre pour tenter d’optimaliser recherche et innovation en respectant leurs valeurs intrinsèques seront appréciés avec la même rigueur scientifique que celle qui a présidé à la rédaction de cet ouvrage. » (Philippe Busquin, Député européen, Ancien commissaire européen à la recherche).Kenneth Bertrams (né en 1977) est docteur en histoire et licencié en philosophie de l’Université Libre de Bruxelles. Chargé de recherches au F. N. R. S. , il a publié (édition en collaboration avec Serge Jaumain) Patrons, gens d’affaires et banquiers. Hommages à Ginette Kurgan-van Hentenryk (Bruxelles, Le Livre Timperman, 2004). Sa thèse de doctorat a été couronnée par le Prix triennal Jean Stengers décerné par l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique.
Universités et Entreprises. Milieux académiques et industriels en Belgique (1880-1970) , un livre de Kenneth Bertrams édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)