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de Jean Ray
Harry Dickson – 13. Le Cabinet du Dr Selles
Antime Paradieu meurt terrorisé lors d’une conversation téléphonique. Mr Midgett est retrouvé pratiquement déchiqueté. Ils étaient tous deux patients du Dr Selles, dont la maison recèle passages secrets, fenêtres escamotables, pièces fantômes, cris, magie noire et sang…
Voilà les ingrédients de l’intrigue qu’auront à dénouer le fameux Harry Dickson et son indéfectible élève Tom Wills.Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 13. Le Cabinet du Dr Selles, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 12. L’Étoile à sept branches
Alors que Timotheus Soames sort de prison, un certain Belkirk le remplace dans sa cellule. On retrouve ce dernier drogué et on soupçonne Soames d’être mystérieusement revenu dans son ancienne cellule afin de récupérer un objet précieux.
Belkirk est à son tour libéré et, alors que Tom Wills — fidèle élève d’Harry Dickson — le filait, il est assassiné d’une décharge électrique dans une ruelle de Covent Garden, serrant contre lui une étoile de métal à sept branches !
On raconte que l’étoile appartenait deux siècles auparavant au capitane Shark, un pirate dont le secret pouvait mettre à mal l’Angleterre. Le pirate confectionna sept étoiles et en confia une à chacun de ses six complices, dont les descendants recherchent aujourd’hui la septième, car elle est l’ultime pièce pour retrouver l’emplacement du secret.
Soames est-il en possession cette ultime clef, et donc du mystère de Shark ou de « l’étoile à sept branches » ?Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 12. L’Étoile à sept branches, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 11. Le Loup-garou
Popp Podgers, riche propriétaire, entretient des rapports houleux avec ses concitoyens, jusqu’à Miss Phara Simpson (fille d’un fermier rebelle) qui refuse obstinément ses avances. Mais les choses n’en restent pas là : Barnett, garde forestier de Podgers, est tué par un loup ; les marins de Podgers refusent de naviguer, toujours par peur d’un loup qui aurait égorgé les six grand béliers reproducteurs, alors que le dernier loup aperçu dans la région remonte à 1846 ; le capitaine Sandbury, au service de Podgers, meurt lui aussi, précipité d’une tour par un grand loup !
Pourtant, Podgers se fiance soudain à l’acariâtre Miss Lippman, directrice de l’école.
Entre le fermier Simpson et sa fille, entre Miss Lippman et Podgers, entre les histoires de loups et de meurtres, le célèbre Harry Dickson aura du fil à retordre.Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 11. Le Loup-garou, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 10. Les Tableaux hantés
Le grand collectionneur Frédéric Mandelme fait appel à Harry Dickson car deux personnages d’une de ses œuvres de l’école lombarde ont été effacés, alors que le tableau se trouvait enfermé dans un lieu sécurisé.
Le célèbre détective découvre rapidement que la peinture est d’une facture plus récente. C’est alors que Warkins, le maître d’hôtel de Mandelme, est assassiné…Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 10. Les Tableaux hantés, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Les Dieux et les hommes
Ces pages servent de prologue à une Vie d’Héraclès. Elles rappellent les dieux et les héros dont il est issu, et le monde fabuleux au milieu duquel il accomplit ses travaux. Nous nous sommes attardés à composer de ce monde des tableaux divers, mais le thème qui nous a occupés surtout à travers ces récits et ces évocations, c’est la lutte des Olympiens contre la force orgueilleuse des Titans, contre les géants et les monstres. De ce grand mythe essentiel, l’histoire d’Héraclès est l’illustration principale. L’intervention du fils d’Alcmène apporte l’épisode final au drame qui se développe ici. Il est le plus laborieux artisan de la victoire de Zeus, et les contradictions tragiques de son destin témoignent que cette victoire est à jamais précaire et incertaine.
Albert DASNOY (1901-1992), correspondant de la Classe des Beaux-Arts (1967), membre en 1969, était peintre, critique d’art, conteur, philosophe. Il poursuivit, à travers tous ses travaux, le sens fondamental des démarches humaines et de la vie elle-même. Sous l’humus des idées reçues, il fut sans cesse à la recherche de la source profonde de ce qui apparaît au jour. Les éditions Le Cri ont entamé la réédition de son œuvre en 2000 par la publication de ses essais Le Prestige du passé et Les Dieux et les hommes.
Les Dieux et les hommes, un livre de Albert Dasnoy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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L’Exil du Centaure
L’Exil du Centaure est l’histoire déchirante d’une jeune femme à travers ses fantasmes, à travers son passé. Une histoire d’amour aussi, où s’exacerbent romantisme, violence et passion. Ce roman poignant qui, à sa sortie en 1982, bénéficia des faveurs du public et obtint le Prix du roman de la Ville de Bruxelles, méritait d’être enfin réédité.
Thilde BARBONI est l’auteur de sept romans publiés en Belgique, en Suisse et à Paris. Trois de ses romans ont été traduits et publiés en allemand et en coréen. Traductrice et psychologue de formation, elle enseigne l’italien (littérature, histoire, traduction) à Mons (École d’interprètes Internationaux), et anime à Bruxelles des ateliers de psychologie de la traduction (Centre Européen de traduction littéraire). Elle est aussi critique littéraire.L’Exil du Centaure, un livre de Thilde Barboni édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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L’Arbre
Le personnage principal de L’Arbre est le chêne-des-trois-chemins qui abrite depuis tout temps sous son feuillage les amours des jeunes gens du pays. Ainsi Neele et Joos, fiancés, se retrouvent le soir sous l’arbre pour s’y aimer. L’action se déroule dans une île de Zeelande. Les habitants y sont farouchement attachés aux coutumes ancestrales et craignent par-dessus tout la vie moderne et la civilisation, synonymes pour eux d’ivrognerie, de luxure, de haine et de mort. Or surviennent des étrangers pour y établir un chemin de fer. Un jour, lors d’une kermesse, on rapporte le corps de l’un d’eux, le grand roux, qui s’est pendu à une des branches de l’arbre. Joos, alors, a le pressentiment de l’infidélité de Neele. Elle lui avoue qu’elle l’a trompé et lorsqu’il lui demande de l’épouser malgré tout, la jeune femme, enceinte, refuse…
Georges RODENBACH (1855-1898). Avec Émile Verhaeren, il est l’aîné de la génération symboliste belge. Dans La Jeunesse blanche (1886), il inaugure un phrasé poétique désormais inséparable d’une thématique restreinte : miroirs, canaux, brouillards, villes mortes, béguinages, chevelures. Sa gloire parisienne date de 1892 et de Bruges-la-Morte, bref récit qui tient le milieu entre le roman psychologique, la nouvelle fantastique et le poème en prose. Le Voile est joué avec succès à la Comédie française en 1894. Chroniqueur attitré du Figaro, il devient une figure en vue du Tout-Paris littéraire et mondain.
L’Arbre, un livre de Georges Rodenbach édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Lettre à un jeune fumeur
Ce petit livre traite d’un sujet grave car la cigarette est la plus grande tueuse de notre temps et concerne près d’un tiers de la population mondiale.
Qui n’a perdu un être cher ou proche à cause d’elle ?
Lettre à un jeune fumeur, un livre de Henri-Géry Hers édité aux Éditions Mols
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T3 Comme au Ciel Liverpool 1994
T3 Comme au Ciel Liverpool 1994, un livre de Xavier Deutsch édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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T2 Sur la Terre Budapest 1944
T2 Sur la Terre Budapest 1944, un livre de Xavier Deutsch édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Dall’abuso alla libertà – ePub
Dall’abuso alla libertà – ePub, un livre de Vincent Hanssens édité aux Éditions Mols