• Vacances Obligatoires en Famille

    Avez-vous des frères et sœurs? Non? Alors reposez ce roman sans l’ouvrir. Par contre, si vous en avez un, deux ou même sept, alors vous vous êtes sûrement déjà demandé comment vous pouviez être parfois si différent d’eux alors que vous avez grandi sous le même toit. C’est de cela dont il est question dans ce livre, de sœurs devenues adultes mais qui partent en vacances toutes ensemble, avec la tripotée d’enfants et de maris qui complètent la panoplie. Chacune rêve d’être ailleurs, aucune ne veut déplaire à sa mère, et rien ne se passe comme prévu…

    Vacances Obligatoires en Famille, un livre de Valentine de le Court édité aux Éditions Mols

    18.90 
  • Universités et Entreprises. Milieux académiques et industriels en Belgique (1880-1970)

    À l’heure où il est de plus en plus question de mettre en place les conditions propres à établir une « société de la connaissance » en Europe, ce livre se penche sur un aspect fondamental de cet ambitieux programme : la redéfinition du rôle économique dévolu aux universités en Belgique. L’ouvrage tente de montrer, à travers une perspective historique qui remonte au milieu du XIXe siècle, que les universités belges n’ont pas attendu les années 1970 et la chute des dépenses publiques dans le secteur de la recherche et de l’enseignement supérieur pour élaborer des contacts directs avec le secteur privé. On peut d’ailleurs dire que l’âge d’or des relations industrie-université date de l’entre-deux-guerres, après que la science eût montré la voie à suivre pour accélérer le développement d’une industrie moderne. Que ce soit par l’entremise des ingénieurs issus des Facultés des sciences appliquées ou dans les collaborations interindividuelles impliquant de nombreuses disciplines, les universités belges ont déserté, pour le meilleur et pour le pire, la fameuse « tour d’ivoire » derrière laquelle on les range si fréquemment. Sur le plan de l’enseignement, elles ont également participé au démarrage des formations en management, s’inscrivant plus que jamais dans une dynamique de perfectionnement des élites dirigeantes. Au final, cet ouvrage évalue dans quelle mesure et à travers quels mécanismes l’espace académique a fini par rencontrer les exigences d’un nouveau régime économique à forte concentration scientifique.
    « Reprendre ces questions à la lumière de ce brillant ouvrage riche de notre histoire industrielle et des potentialités de nos universités va certainement alimenter l’indispensable débat d’idées. A cet égard, il serait souhaitable que ce livre génère d’autres essais et réflexions centrés sur notre situation en Communauté Française, en Belgique et en Europe. Ainsi, les instruments qui se mettent en œuvre pour tenter d’optimaliser recherche et innovation en respectant leurs valeurs intrinsèques seront appréciés avec la même rigueur scientifique que celle qui a présidé à la rédaction de cet ouvrage. » (Philippe Busquin, Député européen, Ancien commissaire européen à la recherche).

    Kenneth Bertrams (né en 1977) est docteur en histoire et licencié en philosophie de l’Université Libre de Bruxelles. Chargé de recherches au F. N. R. S. , il a publié (édition en collaboration avec Serge Jaumain) Patrons, gens d’affaires et banquiers. Hommages à Ginette Kurgan-van Hentenryk (Bruxelles, Le Livre Timperman, 2004). Sa thèse de doctorat a été couronnée par le Prix triennal Jean Stengers décerné par l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique.

    Universités et Entreprises. Milieux académiques et industriels en Belgique (1880-1970) , un livre de Kenneth Bertrams édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    30.00 
  • Une vie au service des jeunes

    Dans notre monde actuel, peut-on encore trouver des réponses aux questions que tout le monde se pose et qui sont fondamentales pour notre vie : Pourquoi la vie ? Pourquoi la mort ? Qu’est-ce que l’Homme ? D’où je viens et où je vais ? Pourquoi le mal ? Sur quelles bases, sur quelles valeurs construire sa vie ?

    Une vie au service des jeunes, un livre de Claude Germeau édité aux Éditions Mols

    21.00 
  • Une Révolution du Monachisme en Belgique (XIIIe-XVIIIe siècles)

    En rédigeant un premier ouvrage traitant des monastères traditionnels qui à partir du VIIe siècle se multiplièrent en Belgique : bénédictines d’abord, prémontrés au XIIe siècle, cisterciens au XIIe et XIIIe et quelques chapitres soumis à la règle de saint Augustin, l’auteur constata que l’expansion de ces communautés s’arrêtait dès cette époque de façon quasi définitive.
    Le comportement fastueux de beaucoup d’abbés, à la fois dignitaires religieux et seigneurs féodaux, inamovibles, gérant d’immenses et riches domaines exaspérait le peuple qui aspirait à retrouver la simplicité apostolique des premiers chrétiens et se laissait de plus en plus séduire par des illuminés sans formation, qui embrigadaient nombre de chrétiens biens intentionnés dans de petites communautés isolées dont certaines versèrent rapidement dans diverses hérésies. Une rupture entre l’Église traditionnelle et ces nouveaux chrétiens devenait inévitable d’autant plus que les moines se montrèrent incapables d’endiguer ce phénomène.
    Surgirent alors dès le début du XIIIe siècle, malgré les réticences de l’église traditionnelle, de nouvelles communautés qui, à côté des monastères riches peuplés de moines pauvres, installèrent des religieux pauvres dans des couvents pauvres, pour affronter les adversaires sur leur propre terrain. Établis dans les villes, au milieu du peuple, nantis d’une solide formation, ces « frères » sortirent de leurs couvents pour aller prêcher la bonne parole en mendiant leur pain quotidien. Les ordres mendiants, Dominicains et Franciscains étaient nés. Simultanément se produisit un autre événement capital : l’irruption des femmes dans ce monachisme nouveau, en particulier des Béguines. Pour des raisons particulières, la règle de saint Augustin connut par ailleurs un essor extraordinaire. Cette révolution dans le monachisme entraîna une nouvelle expansion des fondations religieuses, parmi lesquelles les Carmes, les Capucins, les Minimes, les Jésuites et les Tiers-Ordres, Sœurs hospitalières, grises et noires, Claires riches et pauvres, les Ursulines, les Visitandines et tant d’autres.
    Jusqu’au XVIIIe siècle, ces nouveaux ordres ont participé à la vie religieuse de notre pays et à notre histoire sociale, où ils jouèrent un rôle éminent que certains poursuivent encore aujourd’hui. Le présent ouvrage retrace comment ils ont vu le jour et comment ils ont traversé les temps difficiles.

    Joseph Lemmens, né à Boechout (Anvers) en 1921, est licencié en sciences commerciales maritimes, puis directeur général honoraire de la Commission Européenne pendant plus de vingt-sept ans.
    Son amour des vieilles pierres et sa passion de l’Histoire le conduisirent à rassembler une documentation considérable sur nos anciennes abbayes. Après un livre sur l’histoire des monastères, il concentre ici ses recherches sur la révolution du monachisme apparue au XIIIe siècle.

    Une Révolution du Monachisme en Belgique (XIIIe-XVIIIe siècles), un livre de Joseph Lemmens édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    28.00 
  • Une nouvelle Belgique est-elle possible ?

    Au travers de toutes ses réformes institutionnelles, l’État belge a chaque fois raté l’occasion de faire les choses convenablement. Partis du mythe de deux peuples enfermés – contre leur gré ? à leur insu ? – dans des frontières communes, les politiciens – car, bien entendu, la population n’a jamais été consultée – ont inventé un faux fédéralisme à deux, qui est la voie la plus sûre vers l’éclatement du pays.

    Une nouvelle Belgique est-elle possible ?, un livre de Christophe Buffin de Chosal édité aux Éditions Mols

    17.50 
  • Une maison bruxelloise

    Dans la veine de ses deux romans précédents – description de situations cocasses, inattendues et dramatiques à la fois –, dans un style incisif, précis et original, l’auteur se complaît cette fois à se mettre dans la peau d’une mère de famille séparée de celle-ci et dont le sort dépend d’elle.

    Une maison bruxelloise est le troisième roman de Valentine de le Court, après Explosion de particules et Vacances obligatoires en famille.

    Une maison bruxelloise, un livre de Valentine de le Court édité aux Éditions Mols

    17.50 
  • Une conversation

    Les auteurs :
    Bénédicte Legrand
    Pierre-Jean De Jonghe

    Échanger dans le respect de l’autre et de soi-même, en vérité, en étant libre, autonome et responsable, est le leitmotiv d’une communication constructive. Sous la forme d’un dialogue vivant, teinté d’humour et de sensibilité, les auteurs dévoilent les enjeux d’une communication vraie.
    La vie est un apprenti-sage. C’est par le regard et l’attention qu’on lui porte qu’elle se révèle et prend forme.
    Si nous prenons conscience qu’en modifiant notre communication nous modifions nos liens, ce livre est une merveilleuse source d’inspiration.

    Une conversation, un livre de Bénédicte Legrand édité aux Éditions Mols

    18.00 
  • Un Siècle en cinq actes

    Un Siècle en cinq actes, un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    21.07 
  • Un Pays convoité

    Jean-Baptiste naît au Luxembourg en 1805. Juriste, polyglotte, Membre du Congrès de 1830, suite à la Révolution belge contre le Royaume des Pays-Bas, il rédige pour partie la Constitution du nouvel État.

    Il gagnera la confiance du Roi Léopold Ier (et de Léopold II ensuite). Une véritable amitié les liera.
    Premier ministre de 1841 à 1845.
    Ambassadeur de Belgique à Berlin, où il décédera en 1881, il contribuera à rééquilibrer le rapport de forces entre les grandes puissances européennes dans leurs relations vis-à-vis de la Belgique.
    Il contribuera également au maintien des bonnes relations existant à l’époque entre la Belgique et la Prusse, qui ont permis à la Belgique d’échapper à la Guerre de 1870.
    Il sera l’artisan du mariage du Comte de Flandres, frère puîné de Léopold II avec une princesse Hohenzollern.
    Grand voyageur : Égypte, Grèce…

    Un Pays convoité, un livre de François Roelants du Vivier édité aux Éditions Mols

    24.00 
  • Un Mur de Pierres tendres. Peut-être un vendredi

    Un blouson noir sur une voie ferrée, un train s’avance vers lui et va le broyer… Mais un homme bouscule l’adolescent et le sauve.
    Charles, ce “saint-Bernard”, décide de continuer le sauvetage en hébergeant chez lui le jeune désespéré qui s’appelle Jimmy, qui a quinze ans, qui est odieux.
    Mais Charles, soutenu dans son entreprise par sa femme, est prêt à tout pour faire de son protégé un homme.
    Or Jimmy prouvera à ses parents adoptifs qu’il est difficile, voire dangereux, d’essayer de transformer une “graine de violence” en fils reconnaissant…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assassin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Un Mur de Pierres tendres. Peut-être un vendredi, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • Un autre Pays (1970-2000)

    NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE VIII
    1970-2000

    De la fin des années 1960 à la fin du XXe siècle, la Belgique a vécu de grandes mutations qui ont largement déterminé son évolution. L’accélération de la mobilité des idées, des femmes et des hommes, l’ouverture des frontières, l’approfondissement du processus d’intégration européenne, l’effritement progressif puis rapide des blocs, ont transformé le visage de la société belge ainsi que sa gestion politique. L’économie mondiale est entrée dans une période de transformation structurelle, appuyée sur des évolutions technologiques et des mécanismes de dérégulation au niveau global. Ces transformations ont constitué et constituent encore autant de défis, pour les gouvernements successifs de la Belgique, mais aussi pour la société et ses différentes composantes.
    Alors que les grilles de lecture idéologiques anciennes sont désormais décalées – bien qu’encore très utilisées –, des initiatives et des mouvements nouveaux se sont développés au sein de la société. La désaffectation que beaucoup de citoyens éprouvent à l’égard de la politique traditionnelle s’est traduite à la fois dans différentes contre-cultures protestataires et dans de nouveaux mouvements sociaux, aspirant à une reconfiguration fondamentale du champ politique. Très diversifiés, ces mouvements inscrivent de nouveaux thèmes à l’agenda politique et avancent de nouvelles valeurs, comme le respect de l’environnement, la paix mondiale, les droits de l’être humain, les droits de l’enfant, une justice équitable et l’appui au Tiers monde. Deux de ces mouvements vont avoir un impact crucial sur la société : les mouvements écologiste et féministe.
    La transformation fondamentale de l’État belge pendant les trois dernières décennies du XXe siècle n’est toutefois pas provoquée par la contestation citoyenne des années 1970. La mise en place progressive des régions et des communautés a débouché sur un État très largement fédéral, sinon déjà confédéral. Beaucoup plus qu’un simple réaménagement des institutions, ce processus a impliqué une restructuration profonde de la vie politique.
    Suivre depuis 1970 les traces des sociétés et des classes politiques qui composent la Belgique pour en percevoir les destinations et les itinéraires multiples, les décalages ainsi que les recompositions conduit à des interrogations et à des problématiques fortes : elles ne laisseront pas indifférents les citoyennes et les citoyens qui s’intéressent aussi à l’avenir encore incertain de la société et de l’État fédéral belges.

    Marnix Beyen est chargé de cours en histoire politique à l’Université d’Anvers. Ses recherches portent sur le vaste champs où politique et culture s’entrecroisent : représentations littéraires et historiques de la nation, collaboration intellectuelle au cours de la Seconde Guerre mondiale et cultures parlementaires pendant la première moitié du XXe siècle.
    Philippe Destatte est directeur général de l’Institut Destrée où il a fondé le Centre interuniversitaire d’Histoire de la Wallonie et du Mouvement wallon. Il enseigne l’histoire des institutions et de la société, ainsi que l’histoire de Belgique à l’Université de Mons. Il est également chargé du cours de prospective aux universités de Paris Diderot-Paris 7 et Reims-Champagne-Ardenne.

    Un autre Pays (1970-2000), un livre de Marnix Beyen édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    24.00 
  • Tu rendras un grand service à l’Angleterre

    Ce livre raconte l’histoire d’une des évasions les plus improbables de la Seconde Guerre mondiale et d’un échec du MI5.

    Il met en scène Jacques de Duve, un patriote belge, issue d’une ancienne famille allemande du Hanovre (von Duve) et deux officiers allemands, dont l’un était son oncle maternel et l’autre, le responsable de l’Abwehr (service de renseignement de l’armée allemande) d’Anvers.
    Les deux officiers, opposants au nazisme, ont aidé Jacques de Duve à rejoindre l’Angleterre où son épouse l’attendait.
    Avant son départ, son oncle lui a remis des renseignements militaires d’une importance exceptionnelle pour les Alliés.

    Tu rendras un grand service à l’Angleterre, un livre de Charles-Albert de Behault édité aux Éditions Mols

    24.90 
  • Tirs

    Lorsqu’un psychanalyste freudien déprimé voit entrer dans son cabinet la belle Francesca Neumann, championne du monde de tir au pigeon, il est loin de se douter que sa patiente va l’emmener dans un cauchemar qu’il mettra de longues séances à décoder. Au fil de sa cure, il va tenter de comprendre la relation impossible de Francesca avec son soupirant. D’où viennent les morts qui parsèment les rencontres de sa cliente avec Raphael di Portaluppi, un aristocrate vénitien désargenté ? Est-elle une schizophrène intraitable ou, plus simplement une manipulatrice dont il serait la dupe inconsciente ? Quel est le rapport entre le bijoutier de Marrakech, le châtelain du Condroz et le moine de l’abbaye d’Orval ? Quand le psychanalyste comprendra enfin, il sera trop tard : son passé l’aura rattrapé.
    Dans ce suspense-prétexte passionnant, avec une guerre des psy en arrière-fond, l’auteur nous emmène dans un univers impitoyable. Scandé au rythme lancinant du quartette de Schubert La jeune fille et la mort, l’intrigue ne lâche pas le lecteur un seul instant.

    Jean-Louis du Roy, né à Etterbeek (Bruxelles) en 1945 est licencié en sciences politiques et sociales (U. C. L. ) et Maître en management public (Solvay U. L. B. ). Il a occupé des fonctions dirigeantes dans le secteur financier et se consacre aujourd’hui à l’écriture.

    LA PRESSE

    Avec Tirs, son cinquième roman, il confirme son talent d’auteur à suspense qui lui avait valu, lors de la sortie de La Honte de Max Pélissier, les éloges d’une critique unanime :

    Un roman trouble et troublant…( La Libre Belgique)
    Le lecteur ne sera pas déçu…(L’Evénement)
    On y trouve tous les ingrédients qui font les excellents suspenses…(Ciné Télé Revue)
    L’élaboration tragique ne le cède en rien à la qualité de l’écriture… (L’Eventail)
    Un suspense 100% belge. Une réussite !( La Dernière Heure)
    Habilement ficelé… (Le Vif-L’Express)

    Tirs, un livre de Jean-Louis du Roy de Blicquy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    20.00 
  • Indisponible

    TEXTYLES n° 40[CR] Écriture et art contemporain

    Écriture et art contemporain (dir. Denis Laoureux)
    La relation entre les arts et les lettres constitue un des piliers sur lesquels, en Belgique, le développement de la littérature francophone a largement pris appui, depuis Charles De Coster jusqu’à aujourd’hui. Cette relation a été investie sur un plan identitaire, au point de donner naissance à un lieu commun de la culture belge attribuant à l’écrivain une sensibilité plastique, et à l’artiste une aspiration littéraire. Le volume consacré par Textyles à La Peinture (d)écrite s’était donné pour tÉche de décrypter les fondements et les mécanismes de ce double stéréotype. Le dossier Écriture et art contemporain voudrait reprendre cette problématique en la situant, cette fois, dans le contexte de la période contemporaine, c’est-à-dire à partir des années 1960.
    Il faut dire que la redéfinition des postulats esthétiques dans les années 1960 a pour effet de modifier les pratiques artistiques. La peinture perd son rôle dominant au bénéfice de disciplines en partie inédites, comme l’installation, la vidéo ou le livre d’artiste. Il semblait dès lors pertinent de s’interroger sur les diverses manières par lesquelles les hommes de lettres ont réagi devant l’émergence d’une culture visuelle où de nouvelles pratiques plastiques se substituent au modèle de référence jusqu’alors incarné par la peinture.
    Dans quelle mesure la substitution de ces nouvelles disciplines — les arts plastiques — aux catégories traditionnelles — les beaux-arts — modifie-t-elle la prétendue origine picturale de la littérature francophone ? Les écrits d’artistes s’inscrivent-ils dans des genres spécifiques ? Ceux-ci ont-ils une histoire singulière ? Quelles sont les particularités formelles des textes ? L’exposition constitue-elle une forme de récit ? Le dessin peut-il encore être littéraire ? La photographie est-elle une pratique chère aux écrivains ?

    TEXTYLES n° 40[CR] Écriture et art contemporain, un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • Tant que je vis, j’espère !

    Les auteurs :
    José Davin
    Michel Salamolard

    En une vingtaine de chapitres, sur des enjeux essentiels, les auteurs ont souhaité rejoindre la vie concrète de chacun et chacune, tout en apportant des raisons d’espérer pour continuer la route plus sereinement, parfois… malgré tout !

    Tant que je vis, j’espère !, un livre de José Davin édité aux Éditions Mols

    17.00 
  • Tant qu’il y aura des Atomes

    On ne peut qu’admirer l’art avec lequel l’auteur présente des notions scientifiques les plus arides à une jeunesse la plupart du temps peu préparée, peu réceptive. C’est le but recherché, c’est le but atteint. En quelques pages ailées (cf Homère), lumineuses, la fresque de l’Univers tel que la science le voit à l’heure actuelle se déroule devant nos yeux ébahis. Et c’est à une véritable aventure — le mot est bien faible — à laquelle on assiste (…) La vue d’ensemble proposée dans ce livre aux jeunes leur permettra de se familiariser avec leur Univers, dans lequel ils sont jetés (sans l’avoir demandé). Jetés sur ce caillou, cette planète à laquelle ils devront apporter tous leurs soins si nous-mêmes, adultes, n’avons pas été capables d’en empêcher la détérioration (…) Dans la dernière partie, l’auteur nous donne le choix entre deux expli-cations à la beauté de la nature et des mécanismes subtils de l’évolution (…) Je ne peux que recommander la lecture de cet ouvrage, qui — on le sent — a été écrit dans la jubilation, celle d’appréhender une conception globale, rassemblant en un récit concret et cohérent l’enssemble de nos connaissances scientifiques actuelles, en les présentant avec humour à nos « cadets », comme nous appelait mon maître Robert Debré. (Jean DAUSSET, Prix Nobel)

    Dreux de NETTANCOURT est Cytogénéticien. Né en 1933, ce français du Maroc a passé, grâce à une bourse Fulbrigth pour les États Unis et, plus tard, une bourse du Conseil Canadien de la Recherche, plusieurs années en Amérique du Nord. Il obtient sa maîtrise de science à l’Université du Kentucky et son doctorat en génétique à l’Université McGill. En 1965, il intègre l’EURATOM et la Direction Générale « Recherche » de la Commission des Communautés Européennes où il est successivement responsable, aux Pays Bas et en Italie, de recherches transnationales dans le domaine de la radiogénétique et de la mutagenèse. Il est chargé, en 1980, de la conception et de la gestion des trois premiers programmes communautaires de biotechnologie. De 1991 à 1996, il dirige le programme européen Capital Humain. Depuis 1996, il est Professeur Émerite de l’Université Catholique de Louvain.

    Tant qu’il y aura des Atomes, un livre de Dreux de Nettancourt édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    12.00