• Vivre avant tout !

    Extraits :
    Le ciel commence au bout du regard. N’est-il pas l’image de ce que nous cherchons… la pérennité ?
    Quel est ce rire dépité qui a oublié le dépit et n’a de joie que celle d’un moment d’esprit ?
    L’écho de la beauté ne dit rien sur la beauté. On n’entend que le son de celui qui la rencontre.
    La raison domine la routine et l’on n’a pas le temps de s’appesantir sur l’absurdité des choses mal faites, sur la bêtise des autres et leur méchanceté. C’est une première étape, un détachement général s’amorce, et les tristesses s’accrochent comme à un radeau aux promesses de la prochaine retraite. C’est la retraite qui compte.
    La tournure malencontreuse d’un épisode de notre vie peut devenir salutaire si elle apporte à l’expérience comme une ombre à ce qui resplendit, une transparence à ce qui risque d’aveugler.
    Lorsqu’aucun espoir et pas une des innombrables peines de la tendresse n’assistent à l’agonie, vue de loin, la fin d’une vie peut s’accepter avec la sérénité de la pensée heureuse. La mort a quelque chose d’un accomplissement. On la sacre, on s’en remet à elle. On l’envisage pour soi et pour tous les hommes. Un temps sans calendrier s’empare de ce qui a été limité et tributaire des mesures humaines.

    Nicole Verschoore, née à Gand en Belgique, est docteur en philosophie et lettres, boursière du Fonds national belge de Recherche scientifique, assistante à l’université de Gand. Journaliste, elle publie régulièrement dans la Revue générale et la revue électronique www. bon-a-tirer. com. Parlant six langues et amoureuse des grandes capitales européennes, elle se veut citoyenne du monde et passe le meilleur de son temps à revoir et à sauvegarder la vérité du vécu.
    Elle a publié aux éditions Le Cri les deux premiers volets d’une trilogie : Les Parchemins de la tour (2004) et Le Mont Blandin (2005).

    Vivre avant tout !, un livre de Nicole Verschoore édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    21.00 
  • Viva la vida

    Avec une simplicité désarmante, une maman s’adresse à ses filles, Justine (15 ans), Olivia (13 ans) et Louise (11 ans). Elle transmet, elle partage, elle suggère. Elle parle d’authenticité, d’harmonie, de respect, de différence, d’ouverture, de confiance en soi, tous ces ingrédients qui façonnent une personnalité.

    Viva la vida, un livre de Bénédicte Legrand édité aux Éditions Mols

    16.00 
  • Vers la deuxième indépendance du Congo

    Si la guerre se termine, le Congo, après avoir connu des élections démocratiques, récupérera enfin toute sa souveraineté. Il pourra alors, peut-être, proclamer véritablement son indépendance. La deuxième… Avec ou sans la Belgique ?
    Ce livre décrit le pari qu’a représenté la transition vers la démocratie, finalement réussi grâce à l’appui international, à la détermination des acteurs politiques congolais mais, surtout, grâce à la volonté d’une population désireuse de décider de son destin, de reconstruire son État, de confirmer son sentiment national.
    Ce livre retrace aussi le parcours de Joseph Kabila, depuis son arrivée au pouvoir dans des circonstances dramatiques jusqu’à sa victoire électorale. Il relate les tentatives d’émancipation économique et les obstacles qui se sont multipliés, parmi lesquels la relance de la guerre au Kivu par le général rebelle Laurent Nkunda.
    Lorsqu’il s’agit du Congo, le pessimisme coïncide souvent avec le bon sens, en apparence en tous cas. Ce livre-ci tranche par rapport à ce conformisme de la raison, il se conclut sur une note prudemment optimiste, à l’heure où le Rwanda et le Congo ont décidé d’unir leurs efforts pour régler la question des combattants hutus rwandais réfugiés au Congo, prétexte à quinze années de guerre, de pillages, de martyre aussi pour les femmes du Kivu…
    Les perspectives qui se dessinent en Afrique centrale ne laissent personne indifférent. Après avoir sillonné le Congo dans tous les sens depuis des années, Colette Braeckman nous dresse son bilan de manière passionnante et magistrale.

    Colette Braeckman est journaliste, chargée de l’actualité africaine au journal Le Soir où elle s’intéresse tout particulièrement à l’Afrique centrale. Outre ses articles quotidiens, elle publie aussi dans Le Monde diplomatique et de nombreuses revues, elle est l’auteur de livres incontournables.

    Vers la deuxième indépendance du Congo, un livre de Colette Braeckman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    19.00 
  • Vauban, l’homme

    La France et la Belgique sont constellées de citadelles et d’ouvrages fortifiés par Vauban. L’homme est surtout connu comme architecte militaire et preneur de place. Ses avis et conseils éclairent le roi sur le peuple et le pays réels. Mais l’auteur veut apporter un éclairage différent sur le personnage. Il étudie son caractère et sonde son cœur pour découvrir les ressorts de son âme. Il cherche à reconnaître les qualités qui animent une telle énergie dans la vie et soutiennent une telle richesse dans les œuvres. Sa passion du service et son souci patriotique de la France profonde restent un modèle.

    Vauban, l’homme, un livre de Alain d’Aunay édité aux Éditions Mols

    28.90 
  • Variations Valéry, les cadences de la marquise

    Écrire est souvent un exercice d’équilibre entre les mots et l’objet de l’écriture. Dans ces variations-ci l’auteur y ajoute la jonglerie puisqu’il s’impose, dans près de cent textes, d’y faire figurer les quatre mots d’une phrase banale, en les relançant dans tous les genres et formes : prose, poésie, théâtre, fable, essai, conte, nouvelle, roman, journal, et ce dans le style, les codes d’écriture et sujets favoris de 75 écrivains, de Pascal et Montaigne à Amélie Nothomb et É.-E. Schmitt en passant par Saint-Simon, Péguy, Larbaud, Raymond Devos, Stendhal, d’Ormesson, Obaldia et bien d’autres…
    L’éventail des sujets traités est panoramique, le contenu riche, plein d’humour, allusif à souhait, farci de citations détournées, ironique sans méchanceté mais avec quelques coups de patte jubilatoires. La préface, attribuée à Blondin, est chaleureuse, la critique de ce livre par Angelo Rinaldi est un éreintement subtil, la postface de Barthes est éclairante : au fond de l’impasse de l’écriture brille l’éclat du pastiche…
    Voilà une promenade littéraire qui vaut le détour : on s’y amuse beaucoup et on vérifie, une fois encore, que c’est lorsqu’elle a l’air de plaisanter que la littérature est la plus sérieuse.

    Jean Charlent est Dr. en Droit (UCL). Carrière de cadre supérieur d’IBM Belgique et, à Paris, d’IBM Europe-Moyen-Orient-Afrique. Auteur, en français et anglais, de nombreux articles de critique, d’analyses, études et chroniques et co-auteur d’un ouvrage d’histoire de l’électricité industrielle. Conférencier invité régulièrement dans diverses universités en Belgique, France, Suisse, États-Unis, Russie, et à diverses tribunes pour traiter de sociologie de l’informatique, d’éducation continuée, des rapports entre Sciences-Techniques et Société, des enjeux et défis de notre temps.

    Variations Valéry, les cadences de la marquise, un livre de Jean Charlent édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • Valmy

    L’homme, Louis XVI, qui accède au pouvoir en mai 1774, jeune, inexpérimenté, plein de bonne volonté, bon époux et bientôt bon père, est conscient de ses limites. Il sait qu’il lui faut réformer ce vieux pays glorieux dont il est le nouveau roi, la France.

    En suivant son parcours, de 1774 jusqu’à la proclamation de la République, en passant par sa déchéance en août 1792, l’auteur tente, sans dogmatisme, d’y voir plus clair, de débroussailler notre vision parfois trop schématique de ce que furent ces évènements souvent dramatiques, toujours instructifs, mais définitivement enseignée depuis Michelet.

    Valmy, un livre de Jean-Luc Ancely édité aux Éditions Mols

    23.90 
  • Vacances Obligatoires en Famille

    Avez-vous des frères et sœurs? Non? Alors reposez ce roman sans l’ouvrir. Par contre, si vous en avez un, deux ou même sept, alors vous vous êtes sûrement déjà demandé comment vous pouviez être parfois si différent d’eux alors que vous avez grandi sous le même toit. C’est de cela dont il est question dans ce livre, de sœurs devenues adultes mais qui partent en vacances toutes ensemble, avec la tripotée d’enfants et de maris qui complètent la panoplie. Chacune rêve d’être ailleurs, aucune ne veut déplaire à sa mère, et rien ne se passe comme prévu…

    Vacances Obligatoires en Famille, un livre de Valentine de le Court édité aux Éditions Mols

    18.90 
  • Universités et Entreprises. Milieux académiques et industriels en Belgique (1880-1970)

    À l’heure où il est de plus en plus question de mettre en place les conditions propres à établir une « société de la connaissance » en Europe, ce livre se penche sur un aspect fondamental de cet ambitieux programme : la redéfinition du rôle économique dévolu aux universités en Belgique. L’ouvrage tente de montrer, à travers une perspective historique qui remonte au milieu du XIXe siècle, que les universités belges n’ont pas attendu les années 1970 et la chute des dépenses publiques dans le secteur de la recherche et de l’enseignement supérieur pour élaborer des contacts directs avec le secteur privé. On peut d’ailleurs dire que l’âge d’or des relations industrie-université date de l’entre-deux-guerres, après que la science eût montré la voie à suivre pour accélérer le développement d’une industrie moderne. Que ce soit par l’entremise des ingénieurs issus des Facultés des sciences appliquées ou dans les collaborations interindividuelles impliquant de nombreuses disciplines, les universités belges ont déserté, pour le meilleur et pour le pire, la fameuse « tour d’ivoire » derrière laquelle on les range si fréquemment. Sur le plan de l’enseignement, elles ont également participé au démarrage des formations en management, s’inscrivant plus que jamais dans une dynamique de perfectionnement des élites dirigeantes. Au final, cet ouvrage évalue dans quelle mesure et à travers quels mécanismes l’espace académique a fini par rencontrer les exigences d’un nouveau régime économique à forte concentration scientifique.
    « Reprendre ces questions à la lumière de ce brillant ouvrage riche de notre histoire industrielle et des potentialités de nos universités va certainement alimenter l’indispensable débat d’idées. A cet égard, il serait souhaitable que ce livre génère d’autres essais et réflexions centrés sur notre situation en Communauté Française, en Belgique et en Europe. Ainsi, les instruments qui se mettent en œuvre pour tenter d’optimaliser recherche et innovation en respectant leurs valeurs intrinsèques seront appréciés avec la même rigueur scientifique que celle qui a présidé à la rédaction de cet ouvrage. » (Philippe Busquin, Député européen, Ancien commissaire européen à la recherche).

    Kenneth Bertrams (né en 1977) est docteur en histoire et licencié en philosophie de l’Université Libre de Bruxelles. Chargé de recherches au F. N. R. S. , il a publié (édition en collaboration avec Serge Jaumain) Patrons, gens d’affaires et banquiers. Hommages à Ginette Kurgan-van Hentenryk (Bruxelles, Le Livre Timperman, 2004). Sa thèse de doctorat a été couronnée par le Prix triennal Jean Stengers décerné par l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique.

    Universités et Entreprises. Milieux académiques et industriels en Belgique (1880-1970) , un livre de Kenneth Bertrams édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    30.00 
  • Une vie au service des jeunes

    Dans notre monde actuel, peut-on encore trouver des réponses aux questions que tout le monde se pose et qui sont fondamentales pour notre vie : Pourquoi la vie ? Pourquoi la mort ? Qu’est-ce que l’Homme ? D’où je viens et où je vais ? Pourquoi le mal ? Sur quelles bases, sur quelles valeurs construire sa vie ?

    Une vie au service des jeunes, un livre de Claude Germeau édité aux Éditions Mols

    21.00 
  • Une Révolution du Monachisme en Belgique (XIIIe-XVIIIe siècles)

    En rédigeant un premier ouvrage traitant des monastères traditionnels qui à partir du VIIe siècle se multiplièrent en Belgique : bénédictines d’abord, prémontrés au XIIe siècle, cisterciens au XIIe et XIIIe et quelques chapitres soumis à la règle de saint Augustin, l’auteur constata que l’expansion de ces communautés s’arrêtait dès cette époque de façon quasi définitive.
    Le comportement fastueux de beaucoup d’abbés, à la fois dignitaires religieux et seigneurs féodaux, inamovibles, gérant d’immenses et riches domaines exaspérait le peuple qui aspirait à retrouver la simplicité apostolique des premiers chrétiens et se laissait de plus en plus séduire par des illuminés sans formation, qui embrigadaient nombre de chrétiens biens intentionnés dans de petites communautés isolées dont certaines versèrent rapidement dans diverses hérésies. Une rupture entre l’Église traditionnelle et ces nouveaux chrétiens devenait inévitable d’autant plus que les moines se montrèrent incapables d’endiguer ce phénomène.
    Surgirent alors dès le début du XIIIe siècle, malgré les réticences de l’église traditionnelle, de nouvelles communautés qui, à côté des monastères riches peuplés de moines pauvres, installèrent des religieux pauvres dans des couvents pauvres, pour affronter les adversaires sur leur propre terrain. Établis dans les villes, au milieu du peuple, nantis d’une solide formation, ces « frères » sortirent de leurs couvents pour aller prêcher la bonne parole en mendiant leur pain quotidien. Les ordres mendiants, Dominicains et Franciscains étaient nés. Simultanément se produisit un autre événement capital : l’irruption des femmes dans ce monachisme nouveau, en particulier des Béguines. Pour des raisons particulières, la règle de saint Augustin connut par ailleurs un essor extraordinaire. Cette révolution dans le monachisme entraîna une nouvelle expansion des fondations religieuses, parmi lesquelles les Carmes, les Capucins, les Minimes, les Jésuites et les Tiers-Ordres, Sœurs hospitalières, grises et noires, Claires riches et pauvres, les Ursulines, les Visitandines et tant d’autres.
    Jusqu’au XVIIIe siècle, ces nouveaux ordres ont participé à la vie religieuse de notre pays et à notre histoire sociale, où ils jouèrent un rôle éminent que certains poursuivent encore aujourd’hui. Le présent ouvrage retrace comment ils ont vu le jour et comment ils ont traversé les temps difficiles.

    Joseph Lemmens, né à Boechout (Anvers) en 1921, est licencié en sciences commerciales maritimes, puis directeur général honoraire de la Commission Européenne pendant plus de vingt-sept ans.
    Son amour des vieilles pierres et sa passion de l’Histoire le conduisirent à rassembler une documentation considérable sur nos anciennes abbayes. Après un livre sur l’histoire des monastères, il concentre ici ses recherches sur la révolution du monachisme apparue au XIIIe siècle.

    Une Révolution du Monachisme en Belgique (XIIIe-XVIIIe siècles), un livre de Joseph Lemmens édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    28.00 
  • Une nouvelle Belgique est-elle possible ?

    Au travers de toutes ses réformes institutionnelles, l’État belge a chaque fois raté l’occasion de faire les choses convenablement. Partis du mythe de deux peuples enfermés – contre leur gré ? à leur insu ? – dans des frontières communes, les politiciens – car, bien entendu, la population n’a jamais été consultée – ont inventé un faux fédéralisme à deux, qui est la voie la plus sûre vers l’éclatement du pays.

    Une nouvelle Belgique est-elle possible ?, un livre de Christophe Buffin de Chosal édité aux Éditions Mols

    17.50 
  • Une maison bruxelloise

    Dans la veine de ses deux romans précédents – description de situations cocasses, inattendues et dramatiques à la fois –, dans un style incisif, précis et original, l’auteur se complaît cette fois à se mettre dans la peau d’une mère de famille séparée de celle-ci et dont le sort dépend d’elle.

    Une maison bruxelloise est le troisième roman de Valentine de le Court, après Explosion de particules et Vacances obligatoires en famille.

    Une maison bruxelloise, un livre de Valentine de le Court édité aux Éditions Mols

    17.50 
  • Une conversation

    Les auteurs :
    Bénédicte Legrand
    Pierre-Jean De Jonghe

    Échanger dans le respect de l’autre et de soi-même, en vérité, en étant libre, autonome et responsable, est le leitmotiv d’une communication constructive. Sous la forme d’un dialogue vivant, teinté d’humour et de sensibilité, les auteurs dévoilent les enjeux d’une communication vraie.
    La vie est un apprenti-sage. C’est par le regard et l’attention qu’on lui porte qu’elle se révèle et prend forme.
    Si nous prenons conscience qu’en modifiant notre communication nous modifions nos liens, ce livre est une merveilleuse source d’inspiration.

    Une conversation, un livre de Bénédicte Legrand édité aux Éditions Mols

    18.00 
  • Un Siècle en cinq actes

    Un Siècle en cinq actes, un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    21.07 
  • Un Pays convoité

    Jean-Baptiste naît au Luxembourg en 1805. Juriste, polyglotte, Membre du Congrès de 1830, suite à la Révolution belge contre le Royaume des Pays-Bas, il rédige pour partie la Constitution du nouvel État.

    Il gagnera la confiance du Roi Léopold Ier (et de Léopold II ensuite). Une véritable amitié les liera.
    Premier ministre de 1841 à 1845.
    Ambassadeur de Belgique à Berlin, où il décédera en 1881, il contribuera à rééquilibrer le rapport de forces entre les grandes puissances européennes dans leurs relations vis-à-vis de la Belgique.
    Il contribuera également au maintien des bonnes relations existant à l’époque entre la Belgique et la Prusse, qui ont permis à la Belgique d’échapper à la Guerre de 1870.
    Il sera l’artisan du mariage du Comte de Flandres, frère puîné de Léopold II avec une princesse Hohenzollern.
    Grand voyageur : Égypte, Grèce…

    Un Pays convoité, un livre de François Roelants du Vivier édité aux Éditions Mols

    24.00 
  • Un Mur de Pierres tendres. Peut-être un vendredi

    Un blouson noir sur une voie ferrée, un train s’avance vers lui et va le broyer… Mais un homme bouscule l’adolescent et le sauve.
    Charles, ce “saint-Bernard”, décide de continuer le sauvetage en hébergeant chez lui le jeune désespéré qui s’appelle Jimmy, qui a quinze ans, qui est odieux.
    Mais Charles, soutenu dans son entreprise par sa femme, est prêt à tout pour faire de son protégé un homme.
    Or Jimmy prouvera à ses parents adoptifs qu’il est difficile, voire dangereux, d’essayer de transformer une “graine de violence” en fils reconnaissant…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assassin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Un Mur de Pierres tendres. Peut-être un vendredi, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00