• Haute Tension

    “Madame Mortimer, vous jurez de dire toute la vérité, rien que la vérité…”
    À l’époque, Rita a juré que son mari avait été abattu par un cambrioleur quelques minutes après leur retour imprévu à la villa… Il y a sept ans de cela.
    Aujourd’hui, un inconnu s’est introduit dans la chambre de Rita. Blême, les yeux creux, les mains dans les poches de son trench-coat fatigué, le feutre mou rabattu sur le front, il n’a guère bonne allure…
    Et il prétend qu’à cause d’elle, il a passé sept années en prison, alors qu’il était innocent !

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Haute Tension, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • Histoire du Congo, des origines à nos jours

    Élaborer l’histoire du Congo implique de la situer dans la longue durée et d’analyser les éléments de sa permanence qui justifient sa spécificité d’hier et d’aujourd’hui et donnent un sens à son devenir. Aussi convient-il d’étudier l’évolution de son espace, la mobilité de sa population et la construction progressive de son identité. En effet, issue des temps immémoriaux, cette épopée s’est élaborée peu à peu au cours des millénaires à partir de données écologiques et technologiques, fondements d’une certaine vision du monde et de traditions ancestrales. Cet « héritage des temps longs » rejoindra alors celui des « temps courts » pour former, étape par étape, le visage identitaire du Congo actuel. Nous verrons donc comment, à partir d’un espace déterminé, les hommes se sont approprié la terre et comment, façonnés par cet environnement, ils l’ont à leur tour modulé pour en faire leur territoire… (Elikia M’Bokolo)

    Isidore Ndaywel, président de la Société des historiens congolais, est professeur ordinaire au département des sciences historiques de l’université de Kinshasa, membre correspondant de l’Académie royale des sciences d’outre-mer à Bruxelles et chercheur au centre des mondes africains de l’université Paris I – la Sorbonne à Paris. Il est, sans conteste, une référence incontournable en matière d’Histoire du Congo.

    Histoire du Congo, des origines à nos jours, un livre de Isidore Ndaywel édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • La Morte survit au 13

    Bien sûr, depuis l’événement, les clients – pardon, les hôtes – se pressent en foule au “Grand 13”. Pourtant, Mme Adèle, son énergique tenancière, ne sait trop si elle doit s’en féliciter.
    Certes, le tiroir-caisse tinte agréablement à ses oreilles, mais un assassinat dans une maison qui prétend à la respectabilité, cela fait mauvais effet. Et puis, le zèle des filles s’en trouve brutalement refroidi. Câliner des messieurs portés sur la bagatelle, d’accord : elles peuvent bien les laisser attenter à une vertu qui n’est plus qu’un lointain souvenir.
    Mais de là à les laisser attenter à leur vie…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    La Morte survit au 13, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • La Passion de Churchill – ePub

    – Churchill’s Grand Alliance ou La Passion de Churchill, troisième volet d’une trilogie de l’historien britannique John Charmley, publié en 1995, décrit la fondation (1941) des “relations spéciales” (special relationships) entre les USA et le Royaume-Uni et leur développement jusqu’au tournant décisif de 1956 (crise de Suez).

    – Cette analyse historique se révèle d’une actualité évidente parce qu’on découvre que la crise actuelle des special relationships est toute entière contenue dans ce fondement de 1941 et dans le développement jusqu’en 1956.

    – Le travail de Charmley est minutieux, avec une base documentaire impressionnante (60 pages de notes qui ne contiennent que des références) ; cela n’empêche pas des portraits psychologiques très nuancés et des hypothèses historiques audacieuses.

    – Si Charmley est manifestement un nationaliste britannique, on ne distingue nulle part dans son propos le parti-pris ou la déformation.

    – Excellent outil, ce livre a aussi la vertu de susciter les propres réflexions du lecteur.

    La Passion de Churchill – ePub, un livre de John Charmley édité aux Éditions Mols

    15.00 
  • Le Cadenas

    C’est une évidence que le pays va mal. C’est grave et rien ne semble pouvoir modifier cet état de chose. Les Belges sont, pour la plupart, apathiques ou dégoutés. De toute manière, ils ne comprennent plus grand-chose, voire rien, à la politique. Ils ne sont pas loin d’assister à un match dont ils ne connaîtraient plus les règles.
    Les discours des politiciens s’éloignent de la réalité vécue et de la vérité. Ils sont devenus des étrangers pour leurs électeurs. La confiance dans leurs capacités s’évanouit.
    Alors, sans doute, ce petit livre est fait pour vous aider à comprendre pourquoi tant de choses fonctionnent mal en Belgique, pourquoi les problèmes sont beaucoup plus importants que ce que vous en disent la TV ou la presse.

    Le Cadenas, un livre de Pierre Zurstrassen édité aux Éditions Mols

    15.00 
  • Légitime Défense (Quai des orfèvres)

    Noël avait beau se raisonner, il ne parvenait pas à faire taire sa jalousie. Il savait bien que Belle aimait se sentir entourée, cajolée, courtisée. Pourtant, le doute le rongeait. D’où venaient ces fleurs ? À qui écrivait-elle ? Pourquoi s’absentait-elle ?
    Noël avait tenu bon jusqu’ici. Mais cette fois, il sentait que c’était sérieux. Belle lui avait menti. Sa vieille mère malade la demandait ? Allons donc ! L’excuse était grossière ! Belle voulait s’échapper pour retrouver l’autre, tout simplement. Noël en tremblait de rage. Et sa décision était prise. Il allait les surprendre… Il allait le tuer…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Légitime Défense (Quai des orfèvres), un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • Lettres à mon voisin serbe

    Le peuple albanais est de trois religions – musulmane, catholique et orthodoxe. Il a donné au monde, et à la chrétienté en particulier, deux Papes et Mère Teresa, Prix Nobel de la Paix.

    Mais depuis des décennies, la propagande serbe a donné des Albanais l’image d’un peuple homogène musulman.

    Dans Lettres à mon voisin serbe, ces mythes et mensonges serbes sont démontés les uns après les autres par Gani Azemi, écrivain, diplomate, ardent défenseur de la cause kosovare depuis mai 1968, en Kosova d’abord et auprès des instances européennes et internationales ensuite.

    Lettres à mon voisin serbe, un livre de Gani Azemi édité aux Éditions Mols

    15.00 
  • Madame la mort

    Drôle de réveillon.
    Noël se fête en famille, d’accord, mais là, Pèlerin exagère. Faire entonner, entre deux toasts au caviar, “Minuit Chrétiens” par le chœur de ses maîtresses réunies – enfin, de ses “cousines”, comme il dit – c’est un peu… risqué. D’autant que les charmantes créatures sont flanquées d’époux dont la complaisance finira bien par atteindre son point de rupture. Si ce n’est déjà fait.
    À quel mari outragé appartient donc ce cadavre qui traîne, dans sa robe bleu pastel, sur la terrasse ?

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Madame la mort, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • Ne trouves-tu pas que le temps change ?

    Les nouvelles de Daniel Simon sont comme des prises de température régulières du monde, des façons de se remettre sur pied alors que le ciel emporte le temps au-dessus de nos têtes. Nous restons parfois dans cette immobilité qui fait de notre fin une provisoire éternité : nous regardons la lumière tomber en nous et nous en diffusons, le temps d’une vie, quelques rayonnements.
    Un jour, le temps change, le monde bascule dans un ordre où nous n’avons plus toute notre place. Nous nous battons un court instant pour dilater ce temps, puis c’est fini…

    Daniel Simon, né en 1952 à Charleroi, est licencié en études théÉtrales. Il collabore régulièrement à plusieurs projets culturels au Portugal, Maroc, RDCongo, Roumanie, Tunisie… Depuis trente-cinq ans il anime des ateliers d’écriture. Il a notamment publié des poèmes (dont Épiphanies, Orange bleue éditions ; D’un pas léger, éditions Le Taillis Pré ; Dans le Parc, MEO, etc.), une vingtaine de pièces représentées ou publiées (Lansman), des nouvelles (L’échelle de Richer, éd. Luce Wilquin, 2006), des articles, des essais (Je vous écoute, Couleur livres, 2009 ; La Troisième séance, Couleur livres 2010). Il réalise par ailleurs des vidéos de création, dirige la revue Récits de Vie et la collection JE aux éditions Couleur livres.

    Ne trouves-tu pas que le temps change ?, un livre de Daniel Simon édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • Parents responsables !

    l’esprit, l’intelligence, la volonté ? Les parents ont un certain devoir de transmettre mais comment faire éclore chez nos enfants des valeurs, un projet de vie, des qualités humaines ?

    L’auteur met en évidence les principes universels d’éducation. Dans cette perspective, des représentants au plus haut niveau des communautés chrétienne, juive, laïque et musulmane ont été invités à préfacer le livre.

    Parents responsables !, un livre de Philippe Dembour édité aux Éditions Mols

    15.00 
  • Pocker d’Enfer

    Fichtre ! quelle volière : un extra-lucide en turban bayadère, un catcheur surnommé le “Mammouth volant”, un chanteur de charme à la moustache effilée… Sans oublier un quinquagénaire impotent en petite voiture capitonnée, un metteur en scène souffrant les affres de la création, un professeur spécialisé dans les recherches atomiques… Qui eut cru que les premières d’un paquebot aussi distigué que le “Queen of Sheba” compterait autant d’oiseaux rares ? Et qui eut cru que sous ces pittoresques déguisements s’affronteraient Royal Flush, tricheur professionnel, et Wenceslas Vorobeïtchik, alias M. Wens, dépêché à bord par Scotland Yard…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Pocker d’Enfer, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • Que personne ne sorte (Six hommes à tuer)

    D’abord le trou rond, aux bords roussis, dans la nappe… Adélia trouve très mal élevé qu’on écrase ses cigarettes à côté des cendriers. Et puis, quel désordre dans la salle à manger : assiettes sales, verres poisseux, chaises renversées même… Oh ! pas de doute, les amis de Jo – enfin de Luke, puisque c’est comme ça qu’ils l’appellent – ne sont pas des “gentlemen”. Mais il y a pis. La grande malle en osier qu’ils ont transportée dans la chambre d’amis, au milieu de la nuit, eh bien, elle bouge ! Adélia y a jeté un œil ce matin et pas d’erreur : quelque chose remue à l’intérieur. Quelque chose qui cherche à en sortir…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Que personne ne sorte (Six hommes à tuer), un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • Sagesse & humanisme

    Les pensées présentées dans ce livre jaillissent du cœur de l’auteur, de son authenticité spirituelle et de sa vie intérieure.
    Elles s’appliquent à notre quotidien et ne seront jamais obsolètes aussi longtemps que l’Homme sera l’Homme.
    Elles le guident par les chemins intérieurs du cœur et de la conscience dans l’évolution de sa nature humaine que l’auteur affirme perfectible.
    Des pensées qui aident à aimer mieux pour vivre mieux…, à aimer pour vivre !
    Tandis que l’œil s’attarde sur l’image, si belle, le cœur et l’esprit prennent le temps de s’imprégner du sens…

    Sagesse & humanisme, un livre de Sundari édité aux Éditions Mols

    15.00 
  • Indisponible

    TEXTYLES n° 40[CR] Écriture et art contemporain

    Écriture et art contemporain (dir. Denis Laoureux)
    La relation entre les arts et les lettres constitue un des piliers sur lesquels, en Belgique, le développement de la littérature francophone a largement pris appui, depuis Charles De Coster jusqu’à aujourd’hui. Cette relation a été investie sur un plan identitaire, au point de donner naissance à un lieu commun de la culture belge attribuant à l’écrivain une sensibilité plastique, et à l’artiste une aspiration littéraire. Le volume consacré par Textyles à La Peinture (d)écrite s’était donné pour tÉche de décrypter les fondements et les mécanismes de ce double stéréotype. Le dossier Écriture et art contemporain voudrait reprendre cette problématique en la situant, cette fois, dans le contexte de la période contemporaine, c’est-à-dire à partir des années 1960.
    Il faut dire que la redéfinition des postulats esthétiques dans les années 1960 a pour effet de modifier les pratiques artistiques. La peinture perd son rôle dominant au bénéfice de disciplines en partie inédites, comme l’installation, la vidéo ou le livre d’artiste. Il semblait dès lors pertinent de s’interroger sur les diverses manières par lesquelles les hommes de lettres ont réagi devant l’émergence d’une culture visuelle où de nouvelles pratiques plastiques se substituent au modèle de référence jusqu’alors incarné par la peinture.
    Dans quelle mesure la substitution de ces nouvelles disciplines — les arts plastiques — aux catégories traditionnelles — les beaux-arts — modifie-t-elle la prétendue origine picturale de la littérature francophone ? Les écrits d’artistes s’inscrivent-ils dans des genres spécifiques ? Ceux-ci ont-ils une histoire singulière ? Quelles sont les particularités formelles des textes ? L’exposition constitue-elle une forme de récit ? Le dessin peut-il encore être littéraire ? La photographie est-elle une pratique chère aux écrivains ?

    TEXTYLES n° 40[CR] Écriture et art contemporain, un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • Un Mur de Pierres tendres. Peut-être un vendredi

    Un blouson noir sur une voie ferrée, un train s’avance vers lui et va le broyer… Mais un homme bouscule l’adolescent et le sauve.
    Charles, ce “saint-Bernard”, décide de continuer le sauvetage en hébergeant chez lui le jeune désespéré qui s’appelle Jimmy, qui a quinze ans, qui est odieux.
    Mais Charles, soutenu dans son entreprise par sa femme, est prêt à tout pour faire de son protégé un homme.
    Or Jimmy prouvera à ses parents adoptifs qu’il est difficile, voire dangereux, d’essayer de transformer une “graine de violence” en fils reconnaissant…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assassin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Un Mur de Pierres tendres. Peut-être un vendredi, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • Voix du Congo

    Voici une anthologie qui ne s’enroule pas sur elle-même, dont les chants ne s’auto-émerveillent pas comme ces textes pionniers mais néanmoins candides de notre littérature des premières heures, empêtrés dans leurs propres lauriers et épines, serpent fou qui se mange la queue… Non, ici les thématiques, même les plus sombres au départ, finissent par irradier l’espérance. On est loin non seulement des textes pionniers comme dit précédemment, mais aussi de la littérature d’expression française entre 1970 et 1990, si « apagogique », si noircissante, si « afro-pessimiste ». Survenant en même temps que le cinquantième anniversaire de l’indépendance de la République démocratique eu Congo, cette anthologie se présente comme un chant de ralliement, d’hallali, chœur de poètes sans frontières, solidaires d’une même vision : la renaissance urgente du Congo dit « démocratique »…
    (Extrait de la préface)

    Charles Djungu-Simba K. est né à Kamituga (Kivu, RDC). Écrivain, journaliste, critique littéraire, il est professeur à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’Université Pédagogique Nationale de Kinshasa. Auteur de nombreux écrits littéraires (romans, nouvelles, recueil de poèmes), il a publié en 2007 Les écrivains du Congo-Zaïre. Approches d’un champ littéraire africain.

    Voix du Congo, un livre de Charles Djungu-Simba K. édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00