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De l’emprise à la liberté
Ce livre repose sur des témoignages.
Des personnes qui ont souffert de dérives sectaires dans des mouvements catholiques agissant dans l’Église font part de l’épreuve qu’elles ont endurée.De l’emprise à la liberté, un livre de Vincent Hanssens édité aux Éditions Mols
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de Collectif,
Un Siècle en cinq actes
Un Siècle en cinq actes, un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Naïm Khader
À quand remonte le conflit israélo-palestinien ? 3500 ans avant Jésus-Christ en terre de Canaan ? 1896 avec la création du mouvement sioniste ? 1948 lors de la création de l’État d’Israël ? Quels sont les enjeux religieux, politiques, économiques, géographiques, culturels de ce conflit ? À travers cette biographie, passionnante et accessible à tous, d’un homme remarquable, proche de Yasser Arafat, pionnier de l’OLP dont il fut le représentant en Belgique pendant une dizaine d’années, l’auteur nous fait pénétrer dans le quotidien de Naïm Khader, assassiné à Bruxelles le 1er juin 1981 pour avoir voulu défendre les droits des Palestiniens, pour avoir cherché une réconciliation entre ceux-ci et les Israéliens, pour avoir aussi affiché des valeurs éthiques et humanistes tels que la liberté, la justice, le respect de l’autre, la paix. L’originalité de cette biographie — complétée par des annexes, des cartes et des notes précises — consiste à expliquer au lecteur, à travers la chronique d’une époque fondamentale, les questions essentielles qui se posent, aujourd’hui plus que jamais, aux Palestiniens et donc, aussi, aux Israéliens, aux Arabes et à l’Occident.
Robert VERDUSSEN est journaliste. Pour le quotidien La Libre Belgique, il a suivi les événements du Moyen-Orient, depuis la guerre des Six jours en 1967 jusqu’aux accords d’Oslo et leurs suites dans les années ’90. Il en a rencontré quelques-uns des principaux acteurs, Yasser Arafat, Shimon Pérès, Anouar el Sadate, le roi Hussein. Comme tous les journalistes qui, à Bruxelles, couvraient à l’époque l’actualité de cette région du monde, il a été en rapport régulier avec Naïm Khader.
Naïm Khader, un livre de Robert Verdussen édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Les secrets d’une maison royale
Au cours des années, les spectres de la calomnie et du scandale se sont attachés à mes pas avec une insistance impitoyable. Il m’est pénible de constater que, jusqu’à aujourd’hui encore, mon nom est invariablement associé au drame de Meyerling survenu en 1889. (…) C’est dans ce but que je raconte à présent l’histoire de ma vie, une vie bizarrement colorée et marquée par de grands et brusques changements. Ma jeunesse, mon intimité avec ma tante l’impératrice Élisabeth, le mariage qu’on m’imposa, les chagrins qui fondirent sur moi par la suite, tout ceci est contenu dans cette histoire que j’ai reconstituée à l’aide de mes journaux intimes et des documents laissés par mes parents. Il paraîtra tout naturel que les personnages illustres dont les destinées suivirent les miennes de si près jouent un rôle de premier plan dans ces mémoires.
Les secrets d’une maison royale, un livre de Comtesse Larisch Wallersee-Wittelsbach édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Léopold avant Léopold Ier
Solidement documenté et soutenu par un récit à la fois éclairant et plein de vie, l’ouvrage de Gilbert KIRSCHEN met en lumière les traits dominants du caractère du prince et son apprentissage du futur. Les patientes recherches de l’auteur lui ont permis la découverte d’importants documents inédits conservés dans les archives de Cobourgn du palais royal de Bruxelles, des familles royales néerlandaise et britannique, du Foreign Office. Que belle moisson ! (Georges-Henri Dumont, extrait de la préface)
Léopold avant Léopold Ier, un livre de Gilbert Kirschen édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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La Corruption sentimentale
La Corruption sentimentale analyse avec minutie le système des « rentrées littéraires » dans tous ses apects et carbonise ses vedettes. L’auteur le fait avec rage, mais équité, savoir et savoir-faire. Encore un pamphlet ! dira-t-on. Quand les choses sont arrivées à un certain point, on n’a plus d’autre choix que de « gueuler », mais avec des arguments et de l’humour. D’autant que la fin n’est pas inéluctable. Que l’on soit écrivain, libraire ou simple lecteur, on est forcé d’admettre que le phénomène de la rentrée littéraire à la française, propre à notre culture, s’est encore accentué depuis 1998. Inflation des titres, tirages moyens plus faibles, lancements fracassants : fin août-début septembre, c’est la déferlante. Libraires, critiques et lecteurs sont submergés. Rentrée 2001 : 575 romans ! La littérature de création y trouve-t-elle son compte ? Certainement pas. De septembre à novembre, les libraires ne savent plus où mettre cette abondante production romanesque d’une saison ; les critiques, débordés, n’ont plus le temps de lire, tandis que les lecteurs, harcelés, doivent impérativement jeter leur dévolu sur une dizaine de titres qu’on les presse d’acquérir, au détriment de leur libre choix. La foire d’empoigne culmine avec la remise du Goncourt et de ses acolytes. Trois mois ont passé pendant lesquels des romans novateurs, des essais importants, des ouvrages de recherche ont été ignorés. De pseudos romans d’avant-garde ont été lancés avec fracas, signes de stratégies plus ou moins secrètes. La guerre du faux fait rage. Chaque année, la répétition insensée de la comédie mobilise toute la chaîne du livre pendant des mois. Le marché, artificiellement dopé, stagne le reste du temps. Des solutions existent pourtant. Ce livre en propose. Lisez ! La Corruption sentimentale analyse avec minutie le système des « rentrées littéraires » dans tous ses apects et carbonise ses vedettes. L’auteur le fait avec rage, mais équité, savoir et savoir-faire. Encore un pamphlet ! dira-t-on. Quand les choses sont arrivées à un certain point, on n’a plus d’autre choix que de « gueuler », mais avec des arguments et de l’humour. D’autant que la fin n’est pas inéluctable. Des solutions existent pourtant. Ce livre en propose. Lisez !
Maxime BENOIT-JEANNIN est l’auteur de plusieurs romans, notamment Mademoiselle Bovary (coédition Belfond, 1991), Colonel Lawrence (Coédition Jean-Michel Place, 1992) et Chez les Goncourt (2004). De deux biographies exhaustives : Georgette Leblanc 1869-1941 (1998) ; Eugène Ysaye, le sacre du violon (2001). Et d’un essai sur les rentrées littéraires, La Corruption sentimentale (2002).
La Corruption sentimentale, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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L’Épopée de la Compagnie d’Ostende (1723-1727)
Puisque les serres d’or des aigles de l’Empire
Ne pouvaient déchirer les lions chargeant l’Escaut.
C’était d’Ostende et de son port et de ses eaux
Que s’en allaient vers l’Orient les blancs navires :
Ils partaient pour la Chine et touchaient Malabar,
Les mousses étaient fiers, les marins semblaient ivres
D’être au loin, n’importe où, sur la mer, et de vivre
Libres et fous, avec les mâts comme étendards. Émile Verhaeren.Georges-Henri Dumont est agrégé d’histoire (Université de Louvain), ancien conservateur aux Musées royaux d’Art et d’Histoire, professeur honoraire à l’Institut catholique des hautes études commerciales, il a dirigé le cabinet de plusieurs ministres de la Culture françaises en Belgique. Ancien membre du Conseil exécutif de l’UNESCO, il préside au sein de cette organisation le comité international pour l’édition de la monumentale Histoire du développement scientifique et culturel de l’humanité. Il est membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises.
L’Épopée de la Compagnie d’Ostende (1723-1727), un livre de Georges-Henri Dumont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Hjalmar Schacht
Schacht Horace Greeley Hjalmar (22.1.1877 • 4.VI.1970). Financier et homme politique allemand. Fils d’un riche négociant, il reçut une éducation assez cosmopolite. Après avoir passé une partie de son enfance en Amérique, Schacht fit ses études dans les universités allemandes et à Paris. Entré dans la carrière bancaire, il fut au service de la Dresdner Bank (1903/16), puis prit la direction de la Banque de Darmstadt. Il fit la connaissance de Hitler et, bien que dépourvu de sympathies pour le national-socialisme, il fut impressionné par les succès électoraux de celui-ci et apporta à Hitler l’appui de certains milieux industriels et financiers. Peu après l’arrivée de Hitler au pouvoir, il accepta de reprendre la présidence de la Reichsbank (mars 1933) et devint ministre de l’Économie (juill. 1934/nov. 1937). Cependant son opposition à Goering, chargé du plan de quatre ans, et ses tentatives pour obtenir une réduction des dépenses d’armement le rendirent bientôt suspect au régime. Il fut arrêté et envoyé au camp de Dachau. Traduit devant le tribunal de Nuremberg, il fut acquitté en 1946 et, après 1950, fut appelé comme conseiller financier par les gouvernements de Syrie, d’Indonésie, d’Iran, d’Égypte, etc.
Fonctionnaire des Nations Unies, André WILMOTS dirigea début 1981, à la requête de la République Populaire de Chine, la mission d’évaluation des désastres naturels dans les provinces d’Hubei et de Hebei et de coordination de la coopération multilatérale. Il a publié en France Le Marché de l’or (1985), Le défi français (1991), Le Royaume démuni (1993), Crises et turbulences du commerce international (1995)
Hjalmar Schacht, un livre de André Wilmots édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Archiduchesse Éléonore, reine de France
Éléonore d’Autriche, sœur aînée de Charles Quint, reine de Portugal et de France, reste une des princesses méconnues de l’histoire du XVIe siècle. De son vivant, aussi bien qu’après sa mort, cette reine toute dévouée à sa haute mission, ne fut point traitée suivant ses mérites. Bien que Charles Quint lui témoignât la plus vive affection, il la sacrifia, sans scrupules, à ses desseins politiques. Quant à ses époux, le premier, le vieux roi de Portugal, n’eut guère le temps de l’apprécier, et le second, François Ier, ne lui pardonna jamais d’être la rançon des défaites françaises. Aussi put-elle remplir le grand rôle de pacificatrice qu’elle assuma, de tout son cœur, pendant les longues guerres entre Charles Quint et François Ier. Nous avons essayé de montrer, avec quelle persévérance pleine de douceur et d’habileté, elle s’efforça de susciter des entrevues pacifiques où pourrait s’élaborer la réconciliation définitive. Car elle ne se contenta point de figurer dans les articles des traités, elle voulut contribuer activement à l’œuvre auguste de la paix. Comme l’écrivait Brantôme « elle servit d’un sceau très ferme pour asseurer une paix et un repos public… » Cette vie n’en paraît pas moins environnée de toute la gloire des plus brillantes cours de l’époque, et se déroule parmi les splendeurs de la Renaissance dont témoignent les fêtes officielles que nous avons décrites. Faut-il dire que tous les épisodes, même les plus romanesques de cette vie mélancolique et brillante, sont uniquement basés sur des documents authentiques. Ainsi, à la lumière de la vérité historique, nous espérons avoir rendu justice à cette reine aimante.
Ghislaine DE BOOM était historienne, Conservateur-adjoint du Musée Royal de Belgique.
Archiduchesse Éléonore, reine de France, un livre de Ghislaine De Boom édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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André Vésale (1514-1564)
La Renaissance de la médecine. Il n’existait, jusqu’à la parution de ce livre, aucune biographie détaillée sur Vésale. La plume alerte de Robert DELAVAULT fait que ce livre, d’une si grande richesse scientifique, se lit avec le plaisir que l’on prendrait à la lecture d’un roman historique.
Robert DELAVAULT est historien de la Renaissance.
André Vésale (1514-1564), un livre de Robert Delavault édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Vivre avant tout !
Extraits :
Le ciel commence au bout du regard. N’est-il pas l’image de ce que nous cherchons… la pérennité ?
Quel est ce rire dépité qui a oublié le dépit et n’a de joie que celle d’un moment d’esprit ?
L’écho de la beauté ne dit rien sur la beauté. On n’entend que le son de celui qui la rencontre.
La raison domine la routine et l’on n’a pas le temps de s’appesantir sur l’absurdité des choses mal faites, sur la bêtise des autres et leur méchanceté. C’est une première étape, un détachement général s’amorce, et les tristesses s’accrochent comme à un radeau aux promesses de la prochaine retraite. C’est la retraite qui compte.
La tournure malencontreuse d’un épisode de notre vie peut devenir salutaire si elle apporte à l’expérience comme une ombre à ce qui resplendit, une transparence à ce qui risque d’aveugler.
Lorsqu’aucun espoir et pas une des innombrables peines de la tendresse n’assistent à l’agonie, vue de loin, la fin d’une vie peut s’accepter avec la sérénité de la pensée heureuse. La mort a quelque chose d’un accomplissement. On la sacre, on s’en remet à elle. On l’envisage pour soi et pour tous les hommes. Un temps sans calendrier s’empare de ce qui a été limité et tributaire des mesures humaines.Nicole Verschoore, née à Gand en Belgique, est docteur en philosophie et lettres, boursière du Fonds national belge de Recherche scientifique, assistante à l’université de Gand. Journaliste, elle publie régulièrement dans la Revue générale et la revue électronique www. bon-a-tirer. com. Parlant six langues et amoureuse des grandes capitales européennes, elle se veut citoyenne du monde et passe le meilleur de son temps à revoir et à sauvegarder la vérité du vécu.
Elle a publié aux éditions Le Cri les deux premiers volets d’une trilogie : Les Parchemins de la tour (2004) et Le Mont Blandin (2005).Vivre avant tout !, un livre de Nicole Verschoore édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Une vie au service des jeunes
Dans notre monde actuel, peut-on encore trouver des réponses aux questions que tout le monde se pose et qui sont fondamentales pour notre vie : Pourquoi la vie ? Pourquoi la mort ? Qu’est-ce que l’Homme ? D’où je viens et où je vais ? Pourquoi le mal ? Sur quelles bases, sur quelles valeurs construire sa vie ?
Une vie au service des jeunes, un livre de Claude Germeau édité aux Éditions Mols
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de Louis Dubrau
Profils perdus
Profils perdus, un livre de Louis Dubrau édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Phallus & cerises
Les hommes auraient peur des femmes et celles-ci transformeraient volontiers leur désir d’être désirées en besoin d’être indispensables dans la fonction maternelle et en pouvoir du non dans la fonction sexuelle. Les femmes « se vengeraient » des violences que les hommes leur infligent sous l’emprise de la peur en attaquant leurs deux points faibles : sans elles, ils ne peuvent ni se reproduire, ni jouir !
Phallus & cerises, un livre de Armand Lequeux édité aux Éditions Mols
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Miroir de Marie
Enfant, adolescente, jeune femme, tels sont les trois âges de Marie de Bourgogne, archiduchesse d’Autriche, que ce roman met magnifiquement en scène jusqu’à la chasse tragique dont elle mourut à 25 ans, ultime héroïne de cette période sombre et vivante qui annonce le déclin du Moyen Âge. À la mort de son troisième enfant, Marie de Bourgogne commence à écrire l’histoire de sa vie. Elle met à nu les jeux du pouvoir et de la guerre entre Valois de France et de Bourgogne, mais aussi son cœur de jeune princesse lucide, courageuse et fière de son rang, qui veut aimer et être heureuse, mais pas au prix du renoncement. Le roi Louis XI, son parrain et cousin, l’apprendra à ses dépens. Son père Charles tué devant Nancy, Marie de Bourgogne résiste aux entreprises bourguignonnes (Pays-Bas, Belgique et Luxembourg actuels). Enjeu central de tant de projets matrimoniaux et d’alliances politiques depuis l’âge de cinq ans, duchesse régnante à vingt, faisant face aux menaces intérieures et extérieures — la révolution et la guerre —, elle épouse, après bien des vicissitudes, Maximilian d’Autriche de deux ans son cadet. Mariage d’amour et de raison aux répercussions européennes, cette alliance sauvera Marie de la solitude, lui donnera le bonheur et l’aidera dans sa lutte acharnée contre la puissance et la ruse de Louis XI. À eux deux, Marie et Maximilian réussiront quelque temps à forcer le destin et l’apathie de l’Europe…
Maxime BENOIT-JEANNIN est l’auteur de plusieurs romans, notamment Mademoiselle Bovary (coédition Belfond, 1991), Colonel Lawrence (Coédition Jean-Michel Place, 1992) et Chez les Goncourt (2004). De deux biographies exhaustives : Georgette Leblanc 1869-1941 (1998) ; Eugène Ysaye, le sacre du violon (2001). Et d’un essai sur les rentrées littéraires, La Corruption sentimentale (2002).
Miroir de Marie, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Léopold II et le marché de l’art américain (1909)
Récemment, une découverte insolite dans les archives du Metropolitan Museum of Art à New York a conduit l’auteure jusqu’à Léopold II, dans son château de Laeken…
Nous sommes au printemps 1909. Le roi des Belges décide de vendre tous ses objets d’art, tout son mobilier de valeur. Que s’est-il passé dans la tête du vieux monarque ? Il n’a pas besoin d’argent. Est-ce une histoire de succession, comme on se plaît à le répéter ? Une revanche après l’annexion du Congo et la liquidation forcée de sa Fondation de la Couronne ?
Ou alors, est-ce un prétexte pour qui rêve de vendre bien cher aux Américains ses tableaux de qualité fort moyenne, voire médiocre ? Car, on l’a oublié… En 1890, la collection de Léopold II a été sévèrement abîmée dans l’incendie du château de Laeken.
Parmi les pièces endommagées, il y a ce Van Dyck, le Portrait de Duquesnoy. En mai 1909, il est vendu deux fois. Une première fois à Paris, pour le marché américain, et une deuxième fois à Bruxelles, aux Musées royaux des Beaux-arts. Où est passé l’original ? Qui a eu la copie ? Manifestement, l’exemplaire bruxellois est en trop parfaite santé…Geneviève Tellier fournit la preuve que l’entêtement et le refus des dogmes, politiques ou culturels, sont indispensables. On ne sait si elle fait surgir la vérité mais elle dénonce les vérités toutes faites. En cela, elle est un peu journaliste… (Jean-Pierre Stroobants, journaliste au quotidien Le Monde. )
Geneviève Tellier’s thesis reads like a detective story. She draws attention to a cultural amnesia… (Keith Moxey, professeur d’histoire de l’art à la Columbia University de New York. )
Un lavoro implacabile, una ricerca solida, ben articolata et condotta con tenacia. (Liliana Barroero, directrice des études historiques de l’Università Roma Tre de Rome)
Geneviève É. Tellier est docteur en histoire et art de l’Université libre de Bruxelles et de l’Università Roma Tre de Rome.
Léopold II et le marché de l’art américain (1909), un livre de Geneviève É. Tellier édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)