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Good morning Belgium
Projet multidisciplinaire et transversal, Good Morning Belgium a rassemblé des observateurs attentifs de l’évolution institutionnelle belge provenant de toutes les régions du pays. Parmi ceux-ci, Philippe van Parijs et Dave Sinardet sont deux des universitaires connaissant le mieux tant la Flandre que la Belgique francophone.
Good morning Belgium, un livre de Vincent Laborderie édité aux Éditions Mols
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Haut-Uele, trésor touristique
Les images qui viennent à l’esprit lorsque l’on songe au Haut-Uele sont d’abord celles de ses populations renommées, les Mangbetu, les Azande, les Logo, les Budu, les Mayogo — dont la richesse et la diversité des cultures avaient frappé les conquérants, tant Arabes qu’Européens.
La présente monographie a pour ambition, outre de présenter ces peuples, de donner un aperçu général de la situation géographique, du relief, de la géologie, de l’hydrographie, de la faune, de la flore et de la démographie du Haut-Uele, et d’analyser, plus en profondeur, son évolution historique, culturelle, administrative politique, économique et touristique.
Au plan historique, elle montre, notamment, comment le Haut-Uele a été particulièrement sensible aux diverses perturbations qu’a connues le pays après l’indépendance. Elle analyse la rébellion des Simba, d’abord, au milieu des années 1960, et celles de la fin des années 1990 et du début 2000, ensuite, qui furent particulièrement destructrices, rébellions auxquelles s’ajoutèrent l’affaiblissement/désintégration de nombreux pouvoirs locaux et les interventions de dirigeants d’en haut dans les affaires locales.
Elle consacre un important chapitre aux peuples qui composent le Haut-Uele, à leurs langues, à leurs expressions artistiques et musicales et à leur vie religieuse.
Au plan administratif, elle analyse pourquoi, aujourd’hui, la région connaît une organisation comportant plus de chefferies que de secteurs, ces pouvoirs locaux que l’autorité coloniale (re)construisit et/ou reconnut en fonction de critères liés à des enjeux locaux ou à ses intérêts propres.
Elle s’interroge aussi sur les raisons pour lesquelles le Haut-Uele se trouve livré au trafic et à l’occupation armée. Trafic et occupation liés à sa position géopolitique (il se situe aux frontières du Sud-Soudan et de la République centrafricaine, et non loin des frontières ougandaises, dans leurs parties les moins administrées) et favorisés par des espaces peu habités regorgeant de richesses naturelles (dont l’or et l’ivoire), d’une part, et par un pouvoir local tribal émietté de type «ancien», sans grande capacité de résistance aux conquêtes militaires, d’autre part.
Elle décrit l’évolution négative d’une économie basée, d’une part, sur des cultures (le palmier à huile, le coton, l’arachide, l’hévéa, le café Robusta) de plus en plus délaissées et, d’autre part, sur l’exploitation de mines d’or, à Moto, par un Office des mines d’or de Kilo-Moto, qui n’a pas toujours suffisamment mis en valeur les ressources existantes. Elle montre également comment l’économie des «colons» du Haut-Uele en particulier, et de la Province-Orientale en général, a été un élément déterminant, en 1973, dans la décision du régime Mobutu de nationaliser les entreprises ayant appartenu aux étrangers.
Elle aborde, enfin, les cinq grands défis qui se posent au Haut-Uele: les transports, les communications, le tourisme, dont les atouts locaux sont non négligeables, l’enseignement et la santé.Haut-Uele, trésor touristique, un livre de Jean Omasombo Tshonda édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Collectif,
Het Brussels maatschappelijk middenveld laat zijn stem horen[CR]Staten-Generaal van Brussel (nederlandse versie)
« Il faut faire bouger les lignes », zei François Mitterrand. Dat was precies de ambitie van de Staten-Generaal van Brussel : op wetenschappelijke wijze de balans opmaken van de situatie van ons Stadsgewest aan de hand van zestien sleutelthema’s, die bevindingen voorstellen aan de burgers tijdens groots opgezette discussieavonden, hun reacties en voorstellen verzamelen, conclusies formuleren en die doorspelen aan de politici, om de toekomst van alle echte of ‘geadopteerde’ Brusselaars te beïnvloeden.
Maar wie heeft de burgers doen warmlopen voor dat grootschalige project ? Het Platform van de civiele maatschappij, dat op nog nooit geziene wijze, over de gebruikelijke barrières – waaronder de taalgrenzen – heen, Brusselse verenigingen (Aula Magna, bruXsel forum*, Manifesto), vakbonden (ABVV Brussel en ACV), de werkgevers (Brussels Enterprises, Commerce , Industry), de culturele sector (Brussels Kunstenoverleg , Réseau des Arts à Bruxelles ) en de milieusector (BRAL en Inter-Environnement Bruxelles) samenbrengt.
Het Platform richtte al snel een wetenschappelijk comité op (ULB, VUB, Facultés universitaires Saint-Louis en het elektronisch tijdschrift Brussels Studies) en nodigde honderden verenigingen uit alle sectoren uit om samen zijn ambitie waar te maken.
Mobiliteit • Veiligheid • Bevolking • Duurzame ontwikkeling • Onderwijs • Huisvesting • Economie • Cultuur • Jeugd • Stadsgewest • Levenskwaliteit • Kennisstad • Internationalisering • Instellingen • Sociale ongelijkheden • Overheidsfinanciën : zestien diepgravende en objectieve studies werden uitgevoerd door een honderdtal onderzoekers.
U vindt hier de integrale tekst van die studies, aangevuld met de voorstellen die naar voren werden gebracht tijdens de zestien discussieavonden die door tweeduizend deelnemers werden bijgewoond, en met de conclusies die op 25 april 2009 werden voorgesteld aan meer dan zevenhonderd mensen, onder wie een groot aantal politici.
De dynamiek van de Staten-Generaal is als een vloedgolf : de eerste resultaten zijn er al en in de komende jaren zullen er nog geboekt worden. Moge dit boek daartoe bijdragen !
The English versions of introductions to, and conclusions from the Citizens’ Forum of Brussels, also appear in this book.Het Brussels maatschappelijk middenveld laat zijn stem horen[CR]Staten-Generaal van Brussel (nederlandse versie), un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Histoire de Bruxelles
Mille ans séparent Bruxelles, capitale européenne, du petit portus sur les rives de la Senne. Mille ans de gloires et d’épreuves, à partir d’une ville enclose dans ses deux murailles successives, qui s’est étendue au territoire des dix-huit communes voisines pour constituer une agglomération, puis une Région à part entière, entité de la Belgique fédérale.
Les constantes politiques, économiques, sociales et culturelles qui marquent, au cours des siècles, l’histoire de Bruxelles-Capitale forment la trame d’un biographie passionnante d’un bout à l’autre. Que celle-ci n’ait qu’un seul auteur, faisant miel de travaux des spécialistes des différentes époques et des savantes contributions d’ouvrages collectifs, donne au récit et aux analyses une saisissante cohérence.Georges-Henri DUMONT est agrégé en histoire (Université de Louvain), ancien conservateur aux musées royaux d’Art et d’Histoire, professeur honoraire à l’Institut catholique des hautes études commerciales, il a dirigé le cabinet de plusieurs ministres de la Culture française en Belgique. Ancien membre du Conseil exécutif de l’UNESCO, il préside, au sein de cette organisation, le comité international pour l’édition de la monumentale Histoire du développement scientifique et culturel de l’humanité. Il est membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises. Parmi ses nombreux ouvrages, on notera sa Chronologie de la Belgique, de 1830 à nos jours (Le Cri), et son Histoire de la Belgique (Le Cri). Son essai sur Léopold II (Fayard, 1990) a reçu le grand prix de la biographie de l’Académie française.
Histoire de Bruxelles, un livre de Georges-Henri Dumont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Histoire de l’empire parthe
Voici la biographie passionnante d’un empire. Elle nous révèle une période méconnue de l’aventure humaine ; celle de la civilisation Parthe. Venus des steppes de l’Asie Centrale, au IIIe siècle avant J.-C., les Parthes — à l’origine des éleveurs nomades — ont fondé, en moins d’un siècle, un vaste empire sédentarisé, puissamment organisé, qui couvrit d’abord la Perse, puis tout le Moyen-Orient, de l’Euphrate à l’Indus. Confrontés aux royaumes des Grecs, issus des conquêtes d’Alexandre le Grand, puis aux empereurs romains, ils ont joué un rôle de premier plan dans l’histoire de l’antiquité. Infatiguables pionniers, ils ont, par leur position géographique à la croisée des mondes gréco-romain, chinois et indien, contribué dans une large mesure à la diffusion des arts, du commerce et des idées sur l’axe eurasiatique — la fameuse « Route de la Soie », dont ils furent les grands promoteurs. Mais les Parthes eurent aussi à répondre aux défis de l’histoire. Avec des fortunes diverses, ils furent à l’origine de notions qui marqueront l’évolution des sociétés humaines ; tels la chevalerie et le féodalisme, dont ils établirent les principes constitutifs. Ils ont tracé des routes ; dans l’architecture créé l’iwan — la voûte qui, plus tard, servira de base à nos bâtisseurs de cathédrales ; inventé de nouvelles techniques bancaires — comme le chèque.
André VERSTANDIG, historien, spécialiste du monde antique, né à Uccle (Bruxelles) en 1969.
Membre de la SRNB, et titulaire de plusieurs distinctions honorifiques, il est l’auteur de plusieurs livres et articles scientifiques
de premier plan sur l’archéologie de l’Orient Ancien.Histoire de l’empire parthe, un livre de André Verstandig édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Histoire de la Belgique (des origines à 1830)
L’État belge n’existe que depuis 1830, mais un État ne surgit pas du néant grâce à une révolution aisément victorieuse. À travers les siècles, la Belgique a connu des avatars multiples, des phases de rayonnement et des heures d’effacement, c’est-à-dire une évolution qui explique la réalité d’aujourd’hui.
Qu’il analyse les convergences culturelles autour de l’Escaut et de la Meuse, qu’il évoque le rôle de Charlemagne, de Louis de Male, de Philippe le Bon, celui de Charles Quint, de Joseph II ou de Napoléon, Georges-Henri DUMONT réussit à dégager l’essentiel de l’accessoire et à faire revivre avec intensité le jeu des forces en présence. Son don exceptionnel de synthèse a été célébré par une critique unanime.Georges-Henri DUMONT est agrégé en histoire (Université de Louvain), ancien conservateur aux musées royaux d’Art et d’Histoire, professeur honoraire à l’Institut catholique des hautes études commerciales, il a dirigé le cabinet de plusieurs ministres de la Culture française en Belgique. Ancien membre du Conseil exécutif de l’UNESCO, il préside au sein de cette organisation, le comité international pour l’édition de la monumentale Histoire du développement scientifique et culturel de l’humanité. Il est membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises. Parmi ses nombreux ouvrages, on notera sa Chronologie de la Belgique 1830 à nos jours (Le Cri), et son Histoire de Bruxelles (Le Cri). Son essai sur Léopold II (Fayard, 1990) a reçu le grand prix de la biographie de l’Académie française.
Histoire de la Belgique (des origines à 1830), un livre de Georges-Henri Dumont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Histoire de la Toison d’or
Philippe le Bon, qui se voulait l’égal des rois et empereurs, fonda en 1430 à Bruges le « Noble Ordre de la Toison d’or », en souvenir de l’équipée mythologique de Jason et des Argonautes, partis en Colchide à la conquête de la Toison. Un Ordre qui, disait-il, devait surpasser en éclat tous les autres.
Si l’Ordre a revêtu dès le début un caractère religieux et chevaleresque, on ne peut nier qu’il fut aussi et surtout une institution d’ordre politique : « que par iceluy la tranquillité et la prospérité de la chose publique soient deffenduës, gardées et maintenuës ».
L’Ordre connut au cours de son histoire trois sièges : Dijon, Bruxelles (trois siècles durant) et Vienne. En tout eurent lieu vingt-trois chapitres, dont vingt et un dans les anciens Pays d’en bas (Belgique, Hollande, Luxembourg, Nord de la France) et seulement deux en dehors : Dijon et Barcelone.
Ces chapitres, qui passaient en revue les faits et gestes des chevaliers, examinaient en même temps les événements internationaux et la réponse à leur donner. Accompagnés de tournois, de cortèges fastueux et de riches spectacles, les chapitres offraient au bon peuple d’étonnantes réjouissances et l’occasion à ne pas manquer de ripailler, de festoyer, de chanter et de danser.
Fuyant l’arrivée des troupes françaises en 1794, le trésorier de l’Ordre ordonna l’évacuation du trésor afin de le mettre à l’abri, en attendant de pouvoir le faire revenir à Bruxelles. D’abord entreposé en 1797 à la chancellerie des Pays-Bas à Vienne, ce trésor fabuleux fut ensuite dispersé à travers les musées viennois où l’on peut encore l’admirer de nos jours.
Pierre Houart et Maxime Benoît-Jeannin ont conjugué leurs talents pour insuffler à cette Histoire de la Toison d’or à la fois la rigueur historique et la forme, ceci pour le plus grand plaisir du lecteur.Pierre Houart, né à Etterbeek en 1921, entreprit des études de sciences politiques et sociales aux universités de Bruxelles et Louvain, et un summer school à Columbia University (N.Y.). Il fonda notamment les revues Toison d’or en 1969, et Présence de l’Histoire en 1971. Membre associé du Centre Européen d’Études bourguignonnes et président d’honneur de l’Academia belgo-española de Historia de Madrid, il préside la Fondation Toison d’or — Académie Européenne d’Histoire —. Il est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages, parmi lesquels L’Afrique aux trois visages (CID), Les Riches Heures de la Cour en Belgique et Deux mille ans d’histoire, de la Belgique romaine à Albert II (J.-M. Collet).
Maxime Benoît-Jeannin est l’auteur de plusieurs romans, dont Mademoiselle Bovary (coédition Le Cri-Belfond, 1991), Colonel Lawrence (Coédition Le Cri-Jean-Michel Place, 1992) et Chez les Goncourt (Le Cri, 2004). De deux biographies exhaustives : Georgette Leblanc 1869-1941 (Le Cri, 1998) ; Eugène Ysaye, le sacre du violon (Le Cri, 2001). Et d’un essai sur les rentrées littéraires, La Corruption sentimentale (Le Cri, 2002).Histoire de la Toison d’or, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Histoire du Congo, des origines à nos jours
Élaborer l’histoire du Congo implique de la situer dans la longue durée et d’analyser les éléments de sa permanence qui justifient sa spécificité d’hier et d’aujourd’hui et donnent un sens à son devenir. Aussi convient-il d’étudier l’évolution de son espace, la mobilité de sa population et la construction progressive de son identité. En effet, issue des temps immémoriaux, cette épopée s’est élaborée peu à peu au cours des millénaires à partir de données écologiques et technologiques, fondements d’une certaine vision du monde et de traditions ancestrales. Cet « héritage des temps longs » rejoindra alors celui des « temps courts » pour former, étape par étape, le visage identitaire du Congo actuel. Nous verrons donc comment, à partir d’un espace déterminé, les hommes se sont approprié la terre et comment, façonnés par cet environnement, ils l’ont à leur tour modulé pour en faire leur territoire… (Elikia M’Bokolo)
Isidore Ndaywel, président de la Société des historiens congolais, est professeur ordinaire au département des sciences historiques de l’université de Kinshasa, membre correspondant de l’Académie royale des sciences d’outre-mer à Bruxelles et chercheur au centre des mondes africains de l’université Paris I – la Sorbonne à Paris. Il est, sans conteste, une référence incontournable en matière d’Histoire du Congo.
Histoire du Congo, des origines à nos jours, un livre de Isidore Ndaywel édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Historia fupi ya Congo, Tangu mwanzo mpaka leo – Version Swahili
Kampeni ya mafunzo ya uraia iliyofikia wakati wake mkubwa siku ya kusherehekea kumbukumbu ya myaka makumi matano ya uhuru wa Jamuhuri ya kidemokrasia ya Congo ilikuwa kwetu kishawishi cha kuandika kitabu hiki kuhusu Historia fupi ya Congo.
Ukitegemea maandishi ya Historia ya sasa ya Congo, utungo huu ambao, kwa mara nyingine tena, unahusika na uchambuzi, kwa jumla, wa historia ya Congo tangu mwanzo mpaka leo, unatumainia kuwa chombo rahisi kwa kupata kitakachosaidia fahamu yetu na kukamilisha maelezo zaidi kuhusu nchi hii. Hakika, kuchukua msukumo mzuri zaidi juu ya kujenga nchi bora kuliko mwanzo, ginsi inavyotakiwa na wimbo wa taifa, ni jambo linalotegemea kwanza, kuwa, kila mara, na habari za sasa juu ya historia ya taifa letu.
Na kwa mtu anayejishurlisha na mambo ya nchi ya Congo, akiwa nje ya nchi hii, kitabu hiki kitaweza kumsaidia sana ili ajitilie vitambulisho katika nyakati na mahali, kuelewa wakati wa sasa kwa kutokea asili yake na vilevile kujenga matumaini yake kufwatana na yale yanayotakiwa kila mara na watu.Historia fupi ya Congo, Tangu mwanzo mpaka leo – Version Swahili, un livre de Isidore Ndaywel édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Ils avaient leurs raisons
Ancien présentateur du Journal télévisé de la RTBF, à deux reprises parlementaire européen dans le groupe libéral présidé par Simone Veil, Luc Beyer de Ryke, francophone des Flandres, fut élu au conseil provincial et au conseil communal de Gand. Observateur de la vie politique, amoureux de l’Histoire, il cherche à comprendre « les raisons » qui ont porté une partie des Flamands à collaborer avec l’envahisseur – par deux fois –, et auxquelles un vice-Premier ministre et Minsitre de l’Intérieur, Jan Jambon, faisait récemment allusion.
Ils avaient leurs raisons, un livre de Luc Beyer de Ryke édité aux Éditions Mols
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Indécence
Dans cet essai prophétique, Willy Deweert dénonce sans concession les graves dysfonctionnements de la société dans les secteurs clés de l’économie, de la politique, de l’enseignement, du sport, de la religion, des médias et de l’informatique.
Mais l’auteur va plus loin : il est non seulement temps de s’indigner, mais surtout d’agir pour ouvrir les champs du possible, relancer l’histoire de l’humanité et inaugurer une ère nouvelle. Comment ? C’est aussi l’objet de ce livre.Indécence, un livre de Willy Deweert édité aux Éditions Mols
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de Andrée Dumon
Je ne vous ai pas oubliés
Témoignage de l’auteur :
• sur ses actions durant la Résistance : participation au Réseau Comète, avec notamment Andrée De Jonghe – dont Marie-Pierre d’Udekem d’Acoz, historienne spécialiste de la Seconde Guerre mondiale, est la biographe –, dans le but d’exfiltrer les aviateurs anglais tombés en Belgique derrière les lignes ennemies durant la Seconde Guerre mondiale vers les Pyrénées et l’Espagne à destination de l’Angleterre ; jusqu’à son arrestation en août 1942 et son passage par la prison de Saint-Gilles ou elle « fête » ses 20 ans ;
• sur sa vie ensuite dans les prisons et camps successifs d’Allemagne, de Pologne et d’Autriche – Mesum, Zweibrücken (Sarre), Gross-Strehlitz (Haute Silésie), Ravensbrück, Mauthausen – et ses tentatives d’évasion, les travaux forcés, les mises au cachot… jusqu’à sa libération en avril 1945.Je ne vous ai pas oubliés, un livre de Andrée Dumon édité aux Éditions Mols
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Jean-Charles Snoy (1907-1991)
Représentant la Belgique, aux côtés de Paul-Henri Spaak, à la signature des traités de Rome le 25 mars 1957, Jean-Charles Snoy et d’Oppuers (1907-1991) est surtout connu pour son rôle dans la construction européenne. Mais ceci est réducteur. Considéré à juste titre comme un homme d’Etat, respecté en Belgique et fort écouté à l’étranger, il est animé par la conviction qu’« il vaut mieux servir la chose publique que des intérêts privés ». Enraciné dans une tradition de rigueur intellectuelle et morale complétée par de très brillantes études, il connaît, en dépit de circonstances difficiles, une fulgurante carrière. Secrétaire général du ministère des Affaires économiques à 32 ans, artisan infatigable de la préparation de l’après-guerre puis de la reconstruction de la Belgique, il l’est aussi de celle de l’Europe. Profondément attaché à la nature dont il se fait tour à tour le défenseur et le promoteur, Snoy, « l’homme qui aimait planter des arbres », est un acteur et un témoin de premier plan de l’histoire nationale et européenne du xxe siècle. Homme de caractère, il n’aurait pas déparé la galerie de ceux dressés par La Bruyère. Ou pour le dire avec Philippe de Schoutheeete qui signe la préface, Snoy illustre admirablement la formule d’Héraclite : « Le caractère de l’homme est sa destinée ». Grâce à de nombreuses archives belges, américaines, françaises anglaises, néerlandaises et luxembourgeoises, ce livre jette, à travers la vie d’un « grand commis de l’Etat », un nouvel éclairage sur quatre décennies d’histoire de Belgique ainsi que sur l’apport belge au processus d’intégration européenne.
Vincent Dujardin est chercheur qualifié du FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain. Il est aussi professeur invité à l’Université Jagellone de Cracovie et aux FUCAM. Ses recherches portent sur l’histoire politique de la Belgique, de la construction européenne, des relations internationales et du Congo.
Michel Dumoulin est professeur ordinaire à l’Université catholique de Louvain et membre de l’Académie royale de Belgique. Ses publications portent notamment sur l’histoire de la construction européenne, celle des relations de l’Europe avec l’Outre-Mer et celle des milieux et réseaux dans le cadre des relations internationales.Jean-Charles Snoy (1907-1991), un livre de Vincent Dujardin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Jeanne d’Arc en garde à vue
Mise en examen de Jeanne d’Arc, sainte diabolique suspecte de jouer double jeu à force d’être toujours prise entre deux feux, tiraillée entre camps rivaux ou confrères ennemis — Bourgogne et Orléans, France-Angleterre, Voltaire corrigé par Schiller, Michelet par Dupanloup, Péguy contre Jaurès — ou tout dernièrement, la mission Rivette ayant échoué à la soustraire aux pattes douteuses de ses porte-étendard, transmuée en Madonne des sans-papiers à l’Odéon par une table de philosophes œuvrant au noir. Spécialistes et critiques font ici échange de vues pour prononcer d’un commun accord la mise en examen de l’histoire par la littérature, des sciences par les arts. (Textes réunis par Dominique GOY-BLANQUET)
Jeanne d’Arc en garde à vue, un livre de Dominique Goy-Blanquet édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Joseph Pholien
((« Le petit père Pholien »))…, le surnom sonne encore familièrement aux oreilles de ceux qui ont connu le Premier Ministre Pholien. Son style, en effet, se voulait celui de la bonhomie. Cependant, ses principes étaient ceux de la fermeté, du respect d’« une hiérarchie des valeurs » telles que justice, loyauté et courage. Et ses armes furent le droit, l’humour aussi.
((Les vingt-cinq années où s’exerça l’action politique de Joseph Pholien s’étendent de 1936 à 1962)). Les crises se succédèrent pour notre pays, au milieu d’une Europe en désarroi : la montée de l’extrême-droite, l’invasion et l’occupation nazies, puis l’épuration sauvage, l’abdication de Léopold III en faveur de son très jeune fils, la guerre de Corée et l’indépendance du Congo.
A travers ces défis lourds de conséquences, son objectif fut toujours « l’apaisement et l’unité du pays, comme aussi la bonne entente entre ses concitoyens » et il y parvint. Il contribua ainsi à l’accession d’une Belgique stable dans l’Europe d’aujourd’hui.
Grâce au travail scientifique d’une équipe d’historiens chevronnés, cette ((étude biographique)) prend place parmi celles qui ont permis d’éclairer l’histoire récente de la Belgique.
Joseph Pholien, un livre de Françoise Carton de Tournai édité aux Éditions Mols
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Journal de route du Prince Albert en 1909 au Congo
Le livre contient le journal de route écrit de la main du Prince Albert de retour en Belgique en 1909 sur base de ses carnets de notes et des commentaires de l’auteur.
Le voyage du Prince Albert est le premier d’un membre de la famille royale au Congo. Voulu et organisé par le Prince lui-même, il constitue un véritable exploit sportif. Á vélo, à pied, en bateau et en chemin de fer, il parcourut pendant près de 3 mois ce pays immense venant du Cap et de Rhodésie, à partir du Katanga afin de rejoindre le fleuve et redescendre sur Léopoldville, Matadi et Boma.
Le journal n’a jamais été édité. Le Prince Albert n’en avait pas l’intention.
Journal de route du Prince Albert en 1909 au Congo, un livre de Raymond Buren édité aux Éditions Mols
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Julien Green et la voie initiatique
L’étude approfondie de Valérie Catelain éclaire sous un jour original l’œuvre essentielle d’un écrivain capable de situer sur un même parcours de sens la passion allant jusqu’au crime, le désespoir de la vie terne et l’espérance d’un salut possible. Ses analyses qui mettent en évidence le pitoyable et l’impitoyable de l’homme qui ont sollicité Green jusqu’à l’obsession, progressent à la façon du voyageur décrit et décrypté par l’écrivain de sorte que l’auteur et son exégète convergent dans une contemplation réciproque qu’il appartient au lecteur de percevoir et qui définit pour lui un autre voyage, celui de la connaissance partagée. Cet ouvrage en est l’indispensable viatique. (Georges Thinès)
Valérie Catelain, professeur de littérature comparée à l’Université catholique de Lille, docteur en littérature française, est une spécialiste reconnue de l’œuvre de Julien Green, à propos de laquelle elle a organisé de nombreux colloques internationaux. Ses publications portent notamment sur Edmond Jabès, Michel Mohrt et Romain Gary. Elle prépare un essai sur les récits de James Joyce et d’Anton Tchekhov.
Julien Green et la voie initiatique, un livre de Valérie Catelain édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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L’année du Roi. 1848 Léopold 1er, l’apogée d’un règne
1848. La révolution, en février, chasse Louis-Philippe de son trône. Dans la foulée, les autres monarchies européennes vacillent. C’est le “printemps des peuples” qui s’étend de l’Allemagne à l’Italie, en passant par
l’empire des Habsbourg. Celui qui menait la diplomatie européenne au nom des monarchies et du conservatisme, Metternich, est chassé et condamné à s’exiler honteusement. Au milieu de la tourmente, la Belgique, indépendante depuis seulement dix-huit ans, donne l’exemple étonnant d’un pays en paix, jouissant des libertés aqu’une constitution libérale lui procure et mettant en œuvre des réformes sociales inédites. Un pays où bals et réceptions à la Cour de Bruxelles sont l’exception brillante en Europe. Un homme personnifie cet État et le défend avec sagesse et ténacité : le roi Léopold Ier, qui usera de toute son influence et de son volumineux carnet d’adresses pour maintenir la Belgique dans la voie de la prospérité et lui éviter l’annexion par la France comme l’auraient souhaité plusieurs figures marquantes de la IIe République. Au milieu du long règne de Léopold de Saxe-Cobourg-Gotha, roi des Belges, 1848 est sans conteste “l’année du Roi”.L’année du Roi. 1848. Léopold 1er, l’apogée d’un règne, un livre de François Roelants du Vivier édité aux Éditions Mols
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L’Entrée dans le XXe siècle (1905-1918)
NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE IV
1905-1918Du 75e anniversaire de son indépendance en 1905 à novembre 1918, la Belgique a vécu une période d’une rare intensité en termes de bouleversements qui l’affectèrent profondément.
Alors que l’Europe s’attend, au moment de l’invasion allemande de 1914, à une résistance de principe, la surprise est au rendez-vous : la Belgique résiste.
Dans la foulée, la guerre sert en quelque sorte de révélateur et d’accélérateur aux incubations de la Belle Époque dans les domaines où règnent traditionnellement les tensions : socio-économique, idéologique et communautaire, sans oublier les relations entre l’exécutif et le législatif…Michel Dumoulin est professeur ordinaire à l’UCL et membre de l’Académie royale de Belgique. Il est l’auteur de nombreuses publications portant sur l’histoire de la construction européenne, celle des entreprises et celle des relations de la Belgique avec les mondes contemporains.
L’Entrée dans le XXe siècle (1905-1918), un livre de Michel Dumoulin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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L’estime de soi pour aider à grandir
Les enseignants, les psychologues, les travailleurs sociaux ou les parents se trouvent de nos jours confrontés à un singulier défi : restaurer, stimuler ou maintenir l’estime de soi de leur élève, de leur patient ou de leur enfant… sans pouvoir identifier clairement l’objet de leur préoccupation. Nous proposons précisément dans cet ouvrage de définir concrètement ce que sous-entend le concept d’estime de soi en permettant aux parents, aux professionnels engagés dans une mission pédagogique ou sociale d’acquérir une connaissance plus précise des mécanismes qui la fondent. Il s’agira notamment à travers le cheminement que propose ce livre de comprendre l’ensemble des processus par lesquels l’enfant, l’adolescent ou l’adulte apprennent à se connaître, se construisent une image plus ou moins positive d’eux-mêmes et parviennent à s’aimer.
L’estime de soi pour aider à grandir, un livre de Bruno Humbeeck édité aux Éditions Mols
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L’évangile de Thomas
L’évangile de Thomas est en général décrit comme un assemblage de paroles de Jésus sans ordre précis. Pour la première fois, l’auteur démontre qu’il est construit suivant une logique rigoureuse et possède une structure bien définie. Centré sur l’intériorité, cet évangile donne la trame d’un enseignement qui a pour but de mener chaque personne à la sagesse ultime, désignée par le Royaume.
L’évangile de Thomas, un livre de François de Borman édité aux Éditions Mols
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L’humour pour aider à grandir
Pour l’enseignant, pour le travailleur social ou pour le parent, le rire et son complice l’humour, constituent incontestablement de précieux outils… à manier avec précaution. Sous ses faux airs naturels, le rire s’appuie sur des ressorts artificiels. Lorsque l’on doit faire rire pour vivre, pour faire vivre, ou tout simplement pour aider à grandir, il vaut assurément mieux ne pas trop laisser l’humour frapper au hasard…
L’humour pour aider à grandir, un livre de Bruno Humbeeck édité aux Éditions Mols
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de Jules Gheude
L’incurable mal belge
QUI PEUT ENCORE PARLER DE FICTION ?
Tout en déplorant que sa patrie culturelle ne coïncide pas avec son Etat et bien que son cœur batte en direction de l’Hexagone, François Perin va déployer – en tant que constitutionnaliste, homme politique, chroniqueur et écrivain – une énergie peu commune pour engendrer la réforme fédérale du Royaume de Belgique.
En mars 1980, il démissionne spectaculairement du Sénat, en déclarant que la Belgique est malade de trois maux, incurables et irréversibles, dont le nationalisme flamand.
L’incurable mal belge, un livre de Jules Gheude édité aux Éditions Mols
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L’islam dans tous ses états – Nouvelle édition
L’ampleur des événements actuels a amené l’auteur à élargir son champ d’analyse et à ne plus se limiter dans cette nouvelle édition à l’étude de la tourmente islamique. Il plonge également son lecteur au cœur de l’intense confrontation Est-Ouest, tant leurs causes et solutions s’entremêlent.
L’islam dans tous ses états – Nouvelle édition, un livre de Jacques Rifflet édité aux Éditions Mols
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L’Union fait-elle toujours la force ? (1950-1970)
NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE VII
1950 – 1970Voici un livre essentiel pour comprendre non seulement la situation dans laquelle se trouve la Belgique aujourd’hui, mais aussi le rôle que cette dernière a joué au niveau de la construction européenne et au niveau international.
Au niveau national, dès les années 1950, le mouvement flamand, qui était pour une bonne part décapité au lendemain de la guerre des suites de la répression de la collaboration, reprend vigueur, notamment au moment de l’Expo ’58, puis à la faveur des marches sur Bruxelles, dans la foulée de la question linguistique. Dans le même temps, la flamandisation des élites politiques connaît un sérieux coup d’accélérateur. « L’affaire de Louvain » de 1968 conduit à la plus longue crise gouvernementale connue par le pays jusque-là, crée un traumatisme du côté francophone et engendre un bouleversement de l’échiquier politique, avec entre autres conséquences la disparition progressive des partis nationaux. De plus, dès 1960, le déséquilibre économique s’accentue à l’intérieur du pays suite à la fermeture des charbonnages et à la crise structurelle qui s’en suit en Wallonie, alors que la Flandre connaît une plus grande croissance économique. La conjonction des deux fédéralismes, flamand et wallon, va faire sauter le caractère unitaire du pays, dès la première réforme de l’État de 1970, mais qui ne permettra de freiner la construction d’un nationalisme flamand, certes sous-produit du nationalisme belge, mais qui appelle une demande toujours plus pressante d’autonomie, désormais d’ordre à la fois culturel et économique…Vincent Dujardin est chercheur qualifié du FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain (UCL). Il a notamment publié une biographie de Pierre Harmel (Le Cri, 2004), qui fut un véritable best-seller.
Michel Dumoulin est professeur ordinaire à l’UCL et membre de l’Académie royale de Belgique. Éminent historien, il est l’auteur de nombreuses publications.
L’Union fait-elle toujours la force ? (1950-1970), un livre de Vincent Dujardin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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L’Audience de Don Juan d’Autriche
Cet essai porte sur le séjour de Don Juan d’Autriche, demi-frère de Philippe II, dans les Flandres (de 1576 à 1578) à l’époque de la guerre. Sur le plan historique, ce livre est le résultat d’une recherche approfondie et rigoureuse. Mais, au-delà des faits livrés par l’histoire et relatés dans l’essai, il s’agit avant tout de se poser la question : pourquoi le personnage solaire, héroïque, que représente Don Juan d’Autriche, amiral de la flotte, vainqueur de Lépante, célèbre dans toute l’Europe pour ses exploits sur les mers, finit-il par se résoudre à cette mission de Gouverneur des Flandres qu’il avait d’abord refusée et qui ne lui convient pas, où sa situation ne cesse de se dégrader ? Pour tenter de répondre à cette énigme historique et individuelle, le récit nous entraîne, pas à pas, comme une enquête, au plus profond des motivations de Don Juan. Un cheminement original qui réserve au lecteur quelque surprise.
L’Audience de Don Juan d’Autriche, un livre de Frédéric Wauters édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Alain Roba
L’Enlèvement d’Europe. Trois millénaires d’un mythe.
Selon la Mythologie grecque, Zeus, épris de la princesse Europe, fille d’Agénor, roi de Tyr, se métamorphose en taureau pour la séduire. Confiante, elle s’assit sur le dos de l’animal qui l’enleva et la conduisit jusqu’en Crète. Là, il l’épousa. De cette union naquit Minos et sa dynastie. Le voyage d’Europe la conduit d’Orient en Occident où elle donne son nom au continent européen.
De l’Antiquité à nos jours, l’histoire de l’art est parsemée de représentations de ce mythe. De la statuaire hellénique aux artistes contemporains, de siècle en siècle, de la Renaissance aux temps modernes, la peinture, la poésie et la musique ont rebondi vers les sources millénaires.
Jeune fille « ravie », puis amante à l’époque romaine, plus tard jeune reine élégante, le taureau apaisé à ses côtés. Aux moments de troubles elle porte un casque telle Athéna gardant la Cité, prête à se battre pour une cause juste. Le grand public ignore le plus souvent les richesses historiques et culturelles communes à l’ensemble des citoyens européens.
Au travers de la représentation iconographique du mythe de l’Enlèvement d’Europe, ce livre pose la question de l’identité européenne, renforce le sentiment d’appartenance à l’Union européenne, et met en exergue la place de la Belgique en son sein.
La collection d’œuvres anciennes, des premiers siècles avant notre ère jusqu’au xxie siècle, fruit des recherches que j’ai menées depuis près de trente-cinq ans, permet ici d’admirer des estampes, gravures et livres anciens, des œuvres plastiques, groupes de porcelaine, numismatique antique et contemporaine, philatélie, médailles et objets divers, prouvant que l’ensemble politique auquel nous sommes attelés, a une histoire qui se trouve intimement liée à ce mythe fondateur : le ravissement par Zeus de la princesse Europe.
On trouvera également dans ces pages des cartoons et illustrations de presse sur des thèmes de l’actualité européenne des vingt dernières années… le sujet de l’enlèvement d’Europe y est fréquemment présent et montre que ceux qui, à leur manière, illustrent l’actualité de l’Union européenne dans la presse internationale, l’associent aux élans et enthousiasmes, aux défis et déceptions de sa construction. Ainsi, à côté des autres symboles européens, la princesse Europe accompagne les événements politiques de la construction de l’Union européenne, signe de mouvement plutôt que d’accomplissement.L’Enlèvement d’Europe. Trois millénaires d’un mythe., un livre de Alain Roba édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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L’Épopée de la Compagnie d’Ostende (1723-1727)
Puisque les serres d’or des aigles de l’Empire
Ne pouvaient déchirer les lions chargeant l’Escaut.
C’était d’Ostende et de son port et de ses eaux
Que s’en allaient vers l’Orient les blancs navires :
Ils partaient pour la Chine et touchaient Malabar,
Les mousses étaient fiers, les marins semblaient ivres
D’être au loin, n’importe où, sur la mer, et de vivre
Libres et fous, avec les mâts comme étendards. Émile Verhaeren.Georges-Henri Dumont est agrégé d’histoire (Université de Louvain), ancien conservateur aux Musées royaux d’Art et d’Histoire, professeur honoraire à l’Institut catholique des hautes études commerciales, il a dirigé le cabinet de plusieurs ministres de la Culture françaises en Belgique. Ancien membre du Conseil exécutif de l’UNESCO, il préside au sein de cette organisation le comité international pour l’édition de la monumentale Histoire du développement scientifique et culturel de l’humanité. Il est membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises.
L’Épopée de la Compagnie d’Ostende (1723-1727), un livre de Georges-Henri Dumont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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L’Esprit des journaux
Cet Esprit des journaux était une espèce de journal (disons-le sans injure) voleur et compilateur, qui prenait leurs bons articles aux divers journaux français, qui en traduisait à son tour des principaux journaux anglais et allemands, et qui en donnait aussi quelques-uns de son cru, de sa rédaction propre. Voilà un assez bel idéal de plan, ce semble. L’Esprit des journaux le remplissait très-bien. Que n’y ai-je pas retrouvé dans le petit nombre d’années que j’en ai parcourues ! (Sainte-Beuve, Portraits contemporains, 1847. )
Actes du colloque «Diffusion et transferts de la modernité dans l’Esprit des journaux» organisé par le Groupe d’étude du xviiie siècle (Gedhs) de l’Université de Liège (Liège, 16 -17 février 2009). Édités par Daniel Droixhe, avec la collaboration de Muriel Collart.
L’Esprit des journaux, un livre de Daniel Droixhe édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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L’Expo 58, un tournant dans l’histoire de Bruxelles
Le cinquantenaire de l’Expo 58 a été célébré avec faste. Expositions, dossiers spéciaux dans la presse, émissions télévisées permettant à un public varié d’exposer ses souvenirs… tout a été mis en œuvre pour rappeler l’importance et le succès de l’événement. A contre-courant de ces commémorations convenues, l’objectif de cet ouvrage est d’examiner l’impact de l’Exposition sur la ville qui l’accueillit : Bruxelles.
Profitant du recul qui permet au chercheur de jeter un regard rétrospectif dépassant le simple témoignage, l’émotion ou le ressenti personnel,
il propose un décryptage de l’événement d’un point de vue bruxellois. Il montre que l’Expo célébrée en 1958 par de nombreux habitants de la capitale, eut en définitive un impact bien plus considérable sur leur vie quotidienne qu’ils avaient pu l’imaginer à l’époque.
Ce livre a donc pour ambition non seulement de recontextualiser l’évènement mais aussi de s’interroger sur le chemin parcouru depuis lors en matière de politiques urbaines, qu’il s’agisse d’urbanisme, de mobilité, de logement, d’internationalisation ou de marketing. Derrière l’analyse de l’impact de l’Exposition sur la ville, il pose la question du lien entre développement urbain et évènements internationaux. Nourri par des études approfondies et des mises en perspective sur la longue durée de sociologues, politologues, architectes, géographes et historiens, il ouvre les portes d’une réflexion globale tant sur le passé que sur le devenir de la Région bruxelloise, dans une période où, plus que jamais, elle est l’enjeu de désirs contradictoires.Chloé Deligne est historienne, chercheuse qualifiée FNRS à l’Université Libre de Bruxelles et codirectrice du CIRHIBRU.
Serge Jaumain est professeur d’Histoire à l’Université Libre de Bruxelles et codirecteur du CIRHIBRU.L’Expo 58, un tournant dans l’histoire de Bruxelles, un livre de Chloé Deligne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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La Belgique dans tous ses états
La Belgique nous interpelle. Pour certains, ses chances de survie sont limitées. Il n’y a plus aucune affinité entre le Nord et le Sud du pays. Dès lors, pour permettre à chacun de s’épanouir, la séparation s’impose. Pour d’autres, au contraire, il faut rester attaché à la Belgique telle qu’elle a été voulue par les Constituants en 1830, sans exclure cependant certaines adaptations, notamment la nécessité d’une plus grande décentralisation.
Ces conceptions diamétralement opposées ne sont généralement que l’expression de visions irrationnelles ou la traduction de réflexes purement émotifs, que leurs auteurs s’efforcent de justifier en se référant à des données qu’ils qualifient d’objectives, mais qui sont souvent erronées ou tronquées. (…)
L’ouvrage de Sylvain Plasschaert vient donc à son heure. Il constituera une précieuse contribution pour tous ceux qui réfléchissent à l’évolution de la Belgique et qui, dans les prochains mois, se pencheront sur son avenir.
D’abord, parce que l’ouvrage précise, voire rectifie, un certain nombre de données sur lesquelles se fondent les détracteurs de l’État belge. (…)
L’ouvrage du professeur Plasschaert apparaît comme une somme au sens étymologique du terme, c’est-à-dire « une œuvre qui résume toutes les connaissances relatives à un sujet ». Effectivement, sur le passé, le présent et l’avenir de la Belgique, on y trouve des réponses aux questions que l’on peut se poser…
(Extrait de la préface d’Étienne Cerexhe)Sylvain Plasschaert est professeur émérite de l’ Université d’Anvers et de la KULeuven. Son enseignement et ses publications ont été consacrés principalement à des problèmes économiques internationaux, et notamment au développement économique de la Chine. Il s’est également intéressé à l’évolution économique et institutionnelle de la Belgique, qu’il a pu observer, en sa qualité de membre, durant de longues périodes, du Conseil supérieur des finances, du Conseil central de l’économie, et du Conseil économique flamand.
La Belgique dans tous ses états, un livre de Sylvain Plasschaert édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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La Belgique et le Congo (1885-1980)
NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE IX
1885-1980Ce volume de la Nouvelle Histoire de Belgique vient clore la série en présentant une vue d’ensemble (de 1885 à 1980) de l’impact du Congo sur la Belgique. En 1885, deux destins se sont croisés : celui d’une petite nation européenne, la Belgique, et celui d’une vaste région de l’Afrique centrale. Cette rencontre a été d’une importance capitale pour cette dernière puisque de ce choc est né le Congo, une des principales nations africaines actuelles. Si beaucoup de choses restent à dire sur le destin, à maints égards tragique, de ce grand pays africain, notre attention s’est également portée sur l’autre protagoniste de cette histoire. Aussi curieux que cela puisse paraître, on s’est rarement penché sur les effets que l’aventure africaine a eus sur la Belgique. Il faut bien avouer que, hormis pour quelques spécialistes, la connaissance de la dimension africaine de l’histoire belge se résume bien souvent soit à des souvenirs personnels — pour celles et ceux qui ont participé à l’activité coloniale —, soit à des clichés et à des idées préconçues – pour les autres. Cette méconnaissance n’est évidemment pas étrangère à la passion qui imprègne régulièrement les réactions du grand public face à l’évocation d’événements historiques liés au passé colonial belge. Ce livre nous aide dès lors à répondre à des questions essentielles sur les relations belgo-congolaises. Quel impact l’aventure africaine de la Belgique a-t-elle eu sur sa position sur l’échiquier international ? Quel rôle le Congo (colonial et postcolonial) a-t-il joué dans la politique intérieure belge ? Dans quelle mesure la vie économique de la Belgique a-t-elle été influencée par sa colonie, puis par le Congo indépendant ? Guy Vanthemsche, professeur d’histoire contemporaine à la Vrije Universiteit Brussel, a publié plusieurs ouvrages concernant l’économie et la société belges du XXe siècle. Ce domaine de recherche l’a amené à s’intéresser également à l’histoire coloniale.
La Belgique et le Congo (1885-1980), un livre de Guy Vanthemsche édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)