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de Jean Ray
Harry Dickson – 17. Les Gardiens du gouffre
Avant de mourir, l’explorateur Walter Somerville a demandé à Harry Dickson de protéger sa fille Ethel, lorsque cette dernière appelle le célèbre détective à l’aide.
Dickson et son fidèle Tom Wills vont alors se lancer dans une folle course poursuite jusqu’au Pérou, d’où Somerville aurait ramené une précieuse émeraude : le Soleil vert. Il sera notamment question d’un cambrioleur de génie — le Chat-Tigre —, d’un lac fantôme et de richesses souterraines, avant que nos deux héros ne puissent résoudre l’énigme des « gardiens du gouffre ».Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 17. Les Gardiens du gouffre, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 18. Les trois Cercles de l’épouvante
Quelqu’un menace la police de Londres d’exécuter les six hommes en état de léthargie, arrêtés dans divers parcs, si elle ne libère pas Fang-Suh, le tenancier d’une fumerie d’opium. Or, Fang-Suh est exécuté et les six hommes étranglés dans leurs lits. Le surintendant Goodfield est alors victime du même mal étrange que les six hommes et on ne tarde pas à réclamer en outre vingt-mille livres de rançon en échange de sa vie. Harry Dickson et son élève Tom Wills vont se lancer au secours de Goodfield, leur ami de toujours. La fumerie de Fang-Suh leur révélera un dragon, des figurines en cire étrangement ressemblantes aux six victimes des parcs, des « Chevaliers de la Lune », un univers asiatique emprunt d’opium et de science occulte, avant qu’ils ne puissent dénouer l’énigme du mal qui ronge leur ami Goodfield.
Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 18. Les trois Cercles de l’épouvante, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 19. Le Monstre blanc
Le patient d’un asile d’aliénés, persuadé d’avoir rencontré des disparus en enfer, est assassiné. Le Pr Bellin, anthopoligiste de renom, est lui aussi assassiné. L’aventurier-écrivain Jerry Copeland et sa ravissante épouse Turkestane Wanda disparaissent à leur tour. Copeland a toutefois laissé un manuscrit où il retrace l’histoire d’un homme découvrant de l’or, au fond d’un souterrain aux abords de Londres, et qui… affronte un « monstre blanc » !
Pour résoudre l’énigme, Tom Wills, le jeune élève de Dickson, n’hésitera pas à s’offrir en appât à cette créature venue du Turkestan…Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 19. Le Monstre blanc, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 20. Le Vampire aux yeux rouges
Après un périple en Allemagne à la recherche du Vampire aux yeux rouges, qu’il croyait pourtant avoir arrêté en la personne d’Ebenezer Grump, et un imbroglio de chassés-croisés entre Grump, la maison hantée du notaire assassiné d’Hilderstein et le comte Jean-Népomucène Dragoni, pourtant décédé deux cents ans auparavant, Harry Dickson et son élève Tom Wills rentrent à Londres, et c’est là que se déroulera l’ultime combat avec le Vampire et un des plus cruels meurtrier de tous les temps…
Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 20. Le Vampire aux yeux rouges, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Haute Tension
“Madame Mortimer, vous jurez de dire toute la vérité, rien que la vérité…”
À l’époque, Rita a juré que son mari avait été abattu par un cambrioleur quelques minutes après leur retour imprévu à la villa… Il y a sept ans de cela.
Aujourd’hui, un inconnu s’est introduit dans la chambre de Rita. Blême, les yeux creux, les mains dans les poches de son trench-coat fatigué, le feutre mou rabattu sur le front, il n’a guère bonne allure…
Et il prétend qu’à cause d’elle, il a passé sept années en prison, alors qu’il était innocent !Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.Haute Tension, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Alain Préaux
Heinrich Heine
Heinrich Heine, écrivain juif d’origine allemande et de passion française, incarne nombre de contradictions de son époque, exacerbées par sa propre appartenance à deux mondes complémentaires dans leur antagonisme : le germanique et le latin. Selon son ami Théophile Gautier, « jamais nature ne fut composée d’éléments plus divers que celle de Henri Heine ; il était à la fois gai et triste, sceptique et croyant, tendre et cruel, sentimental et persifleur, classique et romantique, Allemand et Français, délicat et cynique, enthousiaste et plein de sang-froid, tout, excepté ennuyeux ; c’était vraiment l’Euphorion, enfant de Faust et de la belle Hélène. » De la bouche de ce sagittaire, né à Düsseldorf, le 13 décembre 1797, et décédé à Paris, le 17 février 1856, jaillissaient en sifflant des flèches sarcastiques qui ne manquaient jamais leur but. Mais il fut aussi ce grand poète dont Schubert, Schumann, Mendelssohn, Brahms et beaucoup d’autres mirent en musique d’innombrables Lieder.
Alain PREAUX, Docteur en philosophie et lettres (Université Libre de Bruxelles), est l’auteur de nombreux articles sur les xviiie et xixe siècles allemands (entre autres Friedrich Schiller, Jean Paul, E.T.A. Hoffmann, Achim von Arnim, Friedrich Hölderlin et Heinrich Heine). Il enseigne à l’École supérieure de traducteurs et interprètes de la Ville de Bruxelles, ainsi qu’à l’Université Libre de Bruxelles. Il a publié trois ouvrages relatifs à Friedrich Hölderlin, tous parus aux éditions Le Cri : Poèmes de l’autre vie (1993), Prose de l’autre vie (1996) et L’énigme Hölderlin (1996).
Heinrich Heine, un livre de Alain Préaux édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Henry Bauchau dans la tourmente du XXe siècle
Né en 1913, Henry Bauchau a traversé le siècle. Il ne publie son premier recueil poétique qu’en 1958. Pourtant, il y a un poète qui s’ignore dans le chroniqueur d’avant-guerre, dans le combattant de 1940, dans le citoyen engagé dans l’action sociale sous l’Occupation ; il y a un être d’action dissimulé dans l’écrivain. Ce sont ces deux pans de la vie de Bauchau qui sont abordés dans ce travail, fruit des efforts conjugués de deux historiens et d’une spécialiste de la littérature contemporaine. Le travail des premiers, – bâti sur la base d’archives pour une bonne part inédites –, trouve son prolongement naturel dans l’analyse de la seconde : aucun des deux objets, historique et imaginaire, n’est indépendant, et leur corrélation permet d’éclairer un parcours certes singulier, mais inscrit dans une dynamique générationnelle.
Geneviève Duchenne est professeur invitée aux Facultés universitaires Saint-Louis de Bruxelles et chercheur qualifiée de l’Université catholique de Louvain.
Vincent Dujardin est chercheur qualifié du FRS/FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain.
Myriam Watthee-Delmotte est maître de recherches du FRS/FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain où elle dirige le Centre de Recherche sur l’Imaginaire. Elle est également responsable de la gestion Fonds Henry Bauchau de l’UCL ( http://bauchau.fltr.ucl.ac.be).Henry Bauchau dans la tourmente du XXe siècle, un livre de Geneviève Duchenne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Hjalmar Schacht
Schacht Horace Greeley Hjalmar (22.1.1877 • 4.VI.1970). Financier et homme politique allemand. Fils d’un riche négociant, il reçut une éducation assez cosmopolite. Après avoir passé une partie de son enfance en Amérique, Schacht fit ses études dans les universités allemandes et à Paris. Entré dans la carrière bancaire, il fut au service de la Dresdner Bank (1903/16), puis prit la direction de la Banque de Darmstadt. Il fit la connaissance de Hitler et, bien que dépourvu de sympathies pour le national-socialisme, il fut impressionné par les succès électoraux de celui-ci et apporta à Hitler l’appui de certains milieux industriels et financiers. Peu après l’arrivée de Hitler au pouvoir, il accepta de reprendre la présidence de la Reichsbank (mars 1933) et devint ministre de l’Économie (juill. 1934/nov. 1937). Cependant son opposition à Goering, chargé du plan de quatre ans, et ses tentatives pour obtenir une réduction des dépenses d’armement le rendirent bientôt suspect au régime. Il fut arrêté et envoyé au camp de Dachau. Traduit devant le tribunal de Nuremberg, il fut acquitté en 1946 et, après 1950, fut appelé comme conseiller financier par les gouvernements de Syrie, d’Indonésie, d’Iran, d’Égypte, etc.
Fonctionnaire des Nations Unies, André WILMOTS dirigea début 1981, à la requête de la République Populaire de Chine, la mission d’évaluation des désastres naturels dans les provinces d’Hubei et de Hebei et de coordination de la coopération multilatérale. Il a publié en France Le Marché de l’or (1985), Le défi français (1991), Le Royaume démuni (1993), Crises et turbulences du commerce international (1995)
Hjalmar Schacht, un livre de André Wilmots édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Hubert Pierlot (1883-1963)
Dans la mémoire collective, Hubert Pierlot est le Premier ministre qui a rompu avec le roi Léopold III en mai 1940. Le chef de Gouvernement qui, avec plusieurs de ses Ministres (Albert De Vleeschauwer, Camille Gutt et Paul-Henri Spaak), a décidé de poursuivre la lutte contre l’Allemagne nazie, en Grande-Bretagne aux côtés des Alliés.
La présente biographie – qui se base sur une impressionnante quantité d’archives et de papiers personnels inédits – raconte bien davantage.
Elle brosse le portrait du Pierlot privé : le temps de la formation, les voyages de jeunesse (au Canada). Mais aussi l’époque décisive de l’engagement volontaire, au nom du devoir et pendant 52 mois, sur le Front de l’Yser lors de la Première Guerre mondiale.
Avec l’entrée dans la vie publique, voici ensuite évoquées plus de 30 années de politique belge et, plus encore, internationale avec l’installation du Cabinet Pierlot à Londres de 1940 à 1944.
L’ouvrage propose également une relecture sans faux-semblant de la Question royale dans laquelle, dès 1939…, Pierlot joue un rôle de premier plan. Car cet austère catholique à la foi de charbonnier, ce monarchiste convaincu, cet avocat dédié à l’exaltation du « sentiment national », va privilégier la légalité constitutionnelle (la Loi) à la politique personnelle du roi Léopold III. Au risque de faire mentir les paroles de l’hymne national (« Le Roi, la Loi, la Liberté »)…
Enfin, au nom de la « Vérité qui a ses droits », il prendra publiquement position sur cette terrible Question. Il en a payé le prix. Malgré ses états de service, Pierlot achèvera sa vie en proscrit parmi sa famille politique, dans l’isolement, soutenu seulement par une phalange d’amis fidèles.Pierre Van den Dungen est chercheur en Histoire, maître de conférences (ULB) et professeur (à La Cambre-Ensav). Spécialiste de la presse quotidienne (Milieux de presse et journalistes en Belgique (1828-1914), Bruxelles, Académie royale de Belgique, 2005, Presse, nations et mondialisation au xixe siècle, M.-E. Thérenty, A. Vaillant (dir.), Paris, Nouveau Monde), il a également publié un ouvrage sur les débuts de la télévision en Belgique (De la Scène à la lucarne. Pionniers de la télévision en Belgique francophone. Conversations avec Henri Billen, Bruxelles, Le Cri, 2008).
Hubert Pierlot (1883-1963), un livre de Pierre Van Den Dungen édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Ils vont beaucoup t’aimer
Fin des années trente, les bruits de bottes se font entendre. Dans le petit village de Saint-Cassien, Victor et Mariette unissent leurs destinées.
1940, l’armée allemande envahit la Belgique. Victor est fait prisonnier et envoyé́ dans un camp. Il restera en Allemagne jusqu’à la fin du conflit.
Comment se retrouver après cinq ans ? Se reconnaît-on alors que l’autre a tellement changé au fil des évènements ? Un enfant va naître, une fille, elle est différente, très différente.
Sur fond de grande Histoire et d’une nature très présente, c’est la vie tout simplement, celle de trois êtres humains qui demandent à être heureux. Peuvent-ils l’être ensemble ?Ils vont beaucoup t’aimer est le premier roman de MICHEL VISART.
Jusqu’il y a peu journaliste à la RTBF, citoyen engagé dans le monde associatif, MICHEL VISART propose ici une œuvre de fiction qui s’inspire en toute liberté de la vie de personnes dont il a eu la chance de croiser le chemin.Ils vont beaucoup t’aimer, un livre de Michel Visart édité aux Éditions Mols
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de Collectif,
IN’HUI 39 – Jean Wahl, le poète
Jean Wahl (né à Marseille le 25 mai 1888, mort à Paris le 19 juin 1974) aura essentiellement été connu et reconnu comme philosophe. L’hommage que lui rendirent Paul Ricœur et Emmanuel Levinas dans un petit ouvrage paru en 1976 aux Éditions Beauchesne, présenté par Jeanne Hersch, constitue à ce jour la meilleure évaluation de cette pensée inquiète et joyeuse tout ensemble, pour qui la métaphysique demeure un exercice légitime et profitable. Ecole normale en 1907, agrégation de philosophie en compagnie de Gabriel Marcel, la carrière de Wahl le mène à une chaire en Sorbonne en 1936. Les lois antijuives de décembre 1940 le destituant, il continue son enseignement dans une chambre d’hôtel et se fait arrêter par la Gestapo en juillet 1941. Enfermé au camp de Drancy dont il échappera par miracle, il part pour les États-Unis en 1942 où il obtient un poste au Mount Holyoke College, South Hadley Massachusetts.
Tentatives (Début d’un fragment qui commence par Dante, Jean Wahl – Four Anti Quartets, Quatre Anti Quatuors, Jean Wahl traduit par Jacques Darras – La poésie au matin de la philosophie, Jacques Darras – Jean Wahl vers lui-même, Frédéris Worms – L’ange nécessaire, Anne Luyat-Moore – Portrait du jeune homme en poète viril, Wallace Stevens – Sur la Poésie, Jean Wahl – La poésie comme exercice spirituel, Jean Wahl – Poèmes à William Blake, Jean Wahl traduit par Jacques Darras.
IN’HUI 39 – Jean Wahl, le poète, un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Collectif,
IN’HUI 52-53 – Les métamorphoses du sonnet
Giacomo da Lentini – Dante – Pétrarque – Shakespeare – Jodelle – Fzdvr – Desnos – Zanzotto – Wordsworth – Barrett Browning – Hopkins – St Vincent Millay – e. e cumming’s – Hill – Siles – Adán – Lowell – Harrison.
Une innovation sicilienne par Anne Robin – Essence et cadence du sonnet italien des premiers siècles par Michel Paoli – De Pétrarque à Zanzotto par Isabella Palumbo Fossati Casa – Sonnet, c’est un sonnet, l’espoir, c’est une dame par Dominique Goy-Blanquet – Destaché / cœur par Jacques Roubaud – Fzdvr par Florence Delay – Les sonnets de Desnos dans État de Veille, Contrée et Calixto par Carmen Vásquez – De l’immobilité de Douvres par Jacques Darras – Les sonnets portugais d’Elizabeth Barrett Browning ou vers la dissolution du sonnet par excès par Claire Malroux – Pour une sémiologie du sonnet, par Adolphe Haberer « Say it is ashboughs » : remarques sur Hopkins, le sonnet et le frêne par Adrian Grafe – Edna St. Vincent Millay par Bruce Kohler- E. E Cumming’s. les sonnets métamorphiques par Jean-Pierre Lavallard – Murmurer l’indicible : un sonnet de Geoffrey Hill par Patrick Hersant – Recouvrer l’usage du sonnet dans l’Espagne des années 80 par Françoise Morcillo – Martín Adán ou l’expérience des limites par Carlos Henderson – « Le nihiliste est un héros » : History de Robert Lowell par Hélène Aji – Les nouvelles voix du sonnet contemporain par Marilyn Hacker.
IN’HUI 52-53 – Les métamorphoses du sonnet, un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Collectif,
IN’HUI 60-61 – La rose au risque du Chardon. Anthologie de poèmes anglais et écossais contemporains
Nous ne connaissons pas vraiment l’Angleterre. Nous ne la connaissons pas parce que nous ne connaissons pas sa poésie. Dire cela peut paraître prétentieux pour la poésie. Nous admettons en revanche les prétentions qu’a le roman de nous informer sur la nature d’une société. Le roman nous semble traduire ce qu’une société pense de l’amour et de l’argent — les deux sujets majeurs du roman. La poésie, au mieux, nous renseigne sur l’état du langage. Cela intéresse les spécialistes que sont les linguistes, s’ils s’avisent de lire la poésie. Alors que pour savoir si les facultés d’invention d’une nation sont vives, si la proximité à la langue y est superficielle ou profonde, si la rue entre dans l’académisme et en sort sans aucun conflit, il n’y a rien de mieux que de lire attentivement le poème. Constater, par exemple, que le fossé de la Manche ou Channel, selon la rive où l’on se place, sépare plus profondément que jamais les traditions poétiques françaises et anglaise est une indication politique de premier ordre. Alors que le roman anglais passe facilement le détroit, quasiment à la vitesse de l’Eurostar, le poème de même nationalité met des siècles à parcourir la distance. La résistance anglaise à se rapprocher du Continent se dénote là bien plus sûrement que dans aucun simulacre de traité ou figure de ballet du cops diplomatique. Il n’en sera peut-être pas toujours ainsi mais nul ne peut le prédire avec certitude…
Hugh MacDiarmid – Tony Harrison – Edith Sitwell – Ford Madox Ford – Stevie Smith – Lachlan Mackinnon.
Choix, présentation et traduction de Jacques Darras avec le concours de Patrick Hersant.IN’HUI 60-61 – La rose au risque du Chardon. Anthologie de poèmes anglais et écossais contemporains, un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Collectif,
IN’HUI 62 – L’Insurrection angélique
La lecture du présent choix permettra, je l’espère, de mieux cerner la richesse et la complexité de cette œuvre ; les images foudroyantes font place à des silences neigeux, la phrase roule parfois sur elle comme une vague, s’enroule comme liane sous des trombes d’eau ; nous traversons l’enfer, nous respirons l’odeur de la rose de sang dans ce monde, les alliances de mots jaillissent comme des sources, des saules, la parole devient supplication, prière, ou pierre sèche, silex rude des visages, l’homme récite l’argile qui le forma et que la barbarie brisa… Lorsque tomba le poète, le ghetto avait déjà été rasé depuis le 19 avril 1943, trois cent quatre-vingt mille Juifs furent déportés, les cinquante mille exterminés peu après. L’insurrection du peuple élu humilié, déshumanisé, n’eut guère plus de succès que l’Insurrection du peuple de Varsovie. Tout fut dynamité et, sur le champ fumant des ruines, le corps de Baczynski rejoignit celui de milliers d’autres mais, sous l’amas de cadavres montait, à son insu, la lumière de ceux qui s’opposent, la grandeur de ceux qui savent dire non. Et dans ce refus-là, brillait — à peine perceptible — la splendeur de l’éclat dont le poète fut le chantre et la psalmiste. (Claude-Henry du Bord – extrait)
Poèmes choisis et traduits du polonais par Claude-Henry du Bord et Christophe Jezewski avec la collaboration de François-Xavier Jaujard et Dominique Sila Khan.
IN’HUI 62 – L’Insurrection angélique, un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Collectif,
IN’HUI 64 – L’Esprit du théâtre d’Aristote à Shakespeare
Les poètes ont-ils droit de cité ? À cela notre précédent ouvrage, De Platon à Shakespeare, répondait par nuances de oui et non. Ont-ils droit de scène ? Oui, si l’on en juge par les affiches récentes où les comédiens illustres mettent leur renom au service de poètes méconnus comme La Fontaine ou Rimbaud, tandis que les scènes nationales multiplient les petits théâtres voués à la poésie, et que chaque printemps, à la Mutualité, poètes et acteurs unissent leurs efforts pour transmettre le feu sacré aux enfants des écoles. La question de la médiation poétique, de son rôle effectif ou non, central ou ornemental, au théâtre, a donc été posée aux « acteurs de la cité », comédiens, critiques dramatiques et spécialistes de la scène, comme aux « poètes de la cité », qu’ils aient ou non choisi le théâtre comme véhicule.
Dominique Goy-Blanquet – Dominique Buisset – Pascale Hummel – Delphine Neimon – Catherine Lisak – Brian Gibbons – Jacques Darras – Gil Delannoi – Richard Marienstras – Frédéric Picco – Michael Coveney – Jacques Bonnaffé.
IN’HUI 64 – L’Esprit du théâtre d’Aristote à Shakespeare, un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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IN’HUI H.S. – L’Embouchure de la Maye
IN’HUI H.S. – L’Embouchure de la Maye, un livre de Jacques Darras édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)