• Juliette de Robersart

    Juliette de Robersart, un livre de Roland Mortier édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    9.50 
  • Albert II

    Destin peu ordinaire que celui d’Albert II. “Premier voyageur de commerce” de belgique pendant plusieurs années, il monte sur le trône à un âge où la majorité des hommes songent à la retraite. Et c’est pour succéder à son frère aîné, Baudouin, un roi emblématique, quasi béatifié par un pays qui vient de se transformer en état fédéral. La mission s’annonce dificile.

    Pol van den Driessche en est le coauteur.

    Albert II, un livre de Luc Neuckermans édité aux Éditions Mols

    11.03 
  • De la scène à la lucarne (conversations avec Henri Billen)

    À travers l’évocation de la longue carrière d’Henri Billen (1918), homme de théâtre – sur les planches, dans les jeux radiophoniques et à la tête du service des Dramatiques à l’INR (et puis à la RTB), un pan entier du monde artistique belge francophone du XXe siècle ressurgit. Il a d’abord fréquenté et puis dirigé le Jeune Théâtre de son Alma Mater, l’Université Libre de Bruxelles. Dans ce milieu, il a côtoyé un groupe de « créateurs libres » qui, comme lui, sont passés – d’allers en retours – de la scène à la lucarne. Ce sont les Wangermée, Van Hout, Delville, Lanc, Danblon, Anrieu, Roland, Ravar, Becker, Brédael, Thierry… Sans oublier Louis-Philippe Kammans, le fondateur de la compagnie avant d’être le premier « patron » d’Henri Billen aux débuts de la télévision. Sur les balbutiements de l’INR, Henri Billen porte un regard tendre et sans nostalgie. Il raconte, avec humour, une période d’expériences audacieuses et artisanales où les pionniers programmaient des fictions pour le petit écran avec à l’esprit une définition exigeante des missions du service public. Celles-ci bénéficièrent de la complicité de nombreux comédiens belges dont un certain nombre d’AJT (d’Anciens du Jeune Théâtre). Cette série d’entretiens avec Henri Billen s’appuie sur la bibliographie spécialisée, des fonds d’archives la plupart originaux et de nombreuses interviews, souvent réalisées en sa compagnie.

    Docteur en Histoire (ULB), Pierre Van den Dungen est chercheur (ULB) et professeur à La Cambre-ENSAV (Bruxelles). Spécialiste en histoire de la presse et des médias (Milieux de presse et journalistes en Belgique (1828-1914), Bruxelles, Académie royale de Belgique, 2005, La Civilisation du journal, Histoire culturelle et littéraire de la presse française au XIXe siècle (1800-1914), Dominique Kalifa et alios (dir), Paris, Nouveau Monde, à paraître en 2009…).

    De la scène à la lucarne (conversations avec Henri Billen), un livre de Pierre Van Den Dungen édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • Charlotte de Bourbon

    Le roman d’une nonne rebelle. La vie mouvementée de Charlotte de Bourbon, princesse de sang royal, s’inscrit dans le contexte historique des affrontements politico-religieux qui ensanglantèrent la France et les Pays-Bas au XVIe siècle. (Préface de Georges-Henri Dumont)

    Charlotte de Bourbon, un livre de Viviane Dumont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.59 
  • Jean XXIII

    Des témoignages de premier ordre de personnes éminentes ayant personnellement connu le Pape Jean XXIII ont ici été rassemblés par Gunnar Riebs.

    Angelo Roncalli, devenu Pape sous le nom de Jean XXIII, a ouvert grandement les fenêtres et les portes de l’Eglise sur le monde en provoquant le Concile Vatican II, à la surprise générale, Concile Vatican II (1962-1965) dont on fête actuellement le 50e anniversaire.

    Le 27 avril 2014, Jean XXIII était canonisé au cours d’une cérémonie qui s’annonçait très importante à Rome.

    Jean XXIII, un livre de Gunnar Riebs édité aux Éditions Mols

    18.80 
  • Henry Bauchau dans la tourmente du XXe siècle

    Né en 1913, Henry Bauchau a traversé le siècle. Il ne publie son premier recueil poétique qu’en 1958. Pourtant, il y a un poète qui s’ignore dans le chroniqueur d’avant-guerre, dans le combattant de 1940, dans le citoyen engagé dans l’action sociale sous l’Occupation ; il y a un être d’action dissimulé dans l’écrivain. Ce sont ces deux pans de la vie de Bauchau qui sont abordés dans ce travail, fruit des efforts conjugués de deux historiens et d’une spécialiste de la littérature contemporaine. Le travail des premiers, – bâti sur la base d’archives pour une bonne part inédites –, trouve son prolongement naturel dans l’analyse de la seconde : aucun des deux objets, historique et imaginaire, n’est indépendant, et leur corrélation permet d’éclairer un parcours certes singulier, mais inscrit dans une dynamique générationnelle.

    Geneviève Duchenne est professeur invitée aux Facultés universitaires Saint-Louis de Bruxelles et chercheur qualifiée de l’Université catholique de Louvain.
    Vincent Dujardin est chercheur qualifié du FRS/FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain.
    Myriam Watthee-Delmotte est maître de recherches du FRS/FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain où elle dirige le Centre de Recherche sur l’Imaginaire. Elle est également responsable de la gestion Fonds Henry Bauchau de l’UCL ( http://bauchau.fltr.ucl.ac.be).

    Henry Bauchau dans la tourmente du XXe siècle, un livre de Geneviève Duchenne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    19.00 
  • Le destin tragique des Habsbourg

    L’étonnante fortune des Habsbourg atteignit son point culminant au XVIe siècle. Avec l’Empereur Charles Quint et le roi Philippe II, son fils, l’autorité de cette dynastie s’étendit, en Europe et dans le Nouveau Monde, sur des territoires si vastes que le soleil ne s’y couchait jamais.
    Mais les anglais croyaient à la jalousie des dieux qui s’irritaient des prospérités trop éclatantes. À la gloire universelle de Charles Quint, s’oppose le triste destin de ses sœurs Éléonore et, surtout, Ysabeau d’Autriche. Le puissant monarque Philippe II fut accusé du plus odieux des crimes, par suite du sort réservé à son fils don Carlos. La légende a déformé la vie et la mort de Don Carlos, et l’existence d’Ysabeau d’Autriche a sombré dans l’oubli. À la lumière impartiale de l’histoire, Ghislaine De Boom fait revivre ces deux tragiques destins, si étroitement mêmes aux grands événements politiques et religieux du XVIe siècle.

    Ghislaine De Boom fut docteur en philosophie et lettres de l’université libre de Bruxelles. Elle fut la première femme lauréate du Concours universitaire. Elle s’attacha à approfondir l’étude du destin des princesses de la famille de Habsbourg.

    Le destin tragique des Habsbourg, un livre de Ghislaine De Boom édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    20.00 
  • Le Prince de Ligne

    (Extrait de la préface de SIMON LEYS : )
    Casanova qui connaissait bien son illustre ami lui fit une observation perspicace : « Votre esprit est d’une espèce qui donne de l’élan à celui d’un autre ». Or c’est bien cet élan-là qui anime les pages qu’on va lire ; Sophie Deroisin était une « âme sensible » au sens stendhalien du mot : elle avait autant de cœur que d’esprit, elle aimait admirer et souffrait joyeusement d’enthousiasme chronique. « L’enthousiasme est le plus beau des défauts, disait notre Prince, il vaut mieux avoir tort ainsi qu’avoir raison autrement ». Mais ici, l’enthousiasme n’a certes pas égaré Sophie Deroisin – tout au plus lui a-t-il peut-être occulté parfois certains pans du tableau. Ligne incarne le XVIIIe siècle – on l’a dit en commençant – et Sophie Deroisin saisit admirablement la grâce qui caractérise cet âge – mais elle préfère ne pas en voir toute la déconcertante férocité, la boue, la cruauté, la crasse et le sang. Or Ligne avait les deux pieds plantés dedans (Mozart aussi). Là-dessus, les historiens universitaires nous donnent une abondance de détails concrets. Mais leur image plus complète n’est pas nécessairement plus vraie. Dans sa vieillesse à Vienne, exilé volontaire de son cher Belœil – que « l’humeur, l’horreur, l’honneur » l’empêchaient seuls de revoir, Ligne connut la pauvreté. Des témoins de l’époque le décrivent, vieillard hirsute et sans perruque, et qui « puait fort ». Il avait aussi un âne, un mouton et une chèvre qui chaque matin grimpaient sur son lit pour mendier du pain. Les deux informations, également fiables, ne sont nullement contradictoires ; mais les biographies savantes n’ont retenu que la première, et Sophie Deroisin, la seconde. Il me semble qu’elle n’a pas eu tort.
    Emerson disait que les livres n’ont qu’une seule fonction : inspirer. On ne saurait mieux résumer la vertu de celui-ci.

    Le Prince de Ligne, un livre de Sophie Deroisin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    21.00 
  • André Vésale (1514-1564)

    La Renaissance de la médecine. Il n’existait, jusqu’à la parution de ce livre, aucune biographie détaillée sur Vésale. La plume alerte de Robert DELAVAULT fait que ce livre, d’une si grande richesse scientifique, se lit avec le plaisir que l’on prendrait à la lecture d’un roman historique.

    Robert DELAVAULT est historien de la Renaissance.

    André Vésale (1514-1564), un livre de Robert Delavault édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    21.07 
  • Archiduchesse Éléonore, reine de France

    Éléonore d’Autriche, sœur aînée de Charles Quint, reine de Portugal et de France, reste une des princesses méconnues de l’histoire du XVIe siècle. De son vivant, aussi bien qu’après sa mort, cette reine toute dévouée à sa haute mission, ne fut point traitée suivant ses mérites. Bien que Charles Quint lui témoignât la plus vive affection, il la sacrifia, sans scrupules, à ses desseins politiques. Quant à ses époux, le premier, le vieux roi de Portugal, n’eut guère le temps de l’apprécier, et le second, François Ier, ne lui pardonna jamais d’être la rançon des défaites françaises. Aussi put-elle remplir le grand rôle de pacificatrice qu’elle assuma, de tout son cœur, pendant les longues guerres entre Charles Quint et François Ier. Nous avons essayé de montrer, avec quelle persévérance pleine de douceur et d’habileté, elle s’efforça de susciter des entrevues pacifiques où pourrait s’élaborer la réconciliation définitive. Car elle ne se contenta point de figurer dans les articles des traités, elle voulut contribuer activement à l’œuvre auguste de la paix. Comme l’écrivait Brantôme « elle servit d’un sceau très ferme pour asseurer une paix et un repos public… » Cette vie n’en paraît pas moins environnée de toute la gloire des plus brillantes cours de l’époque, et se déroule parmi les splendeurs de la Renaissance dont témoignent les fêtes officielles que nous avons décrites. Faut-il dire que tous les épisodes, même les plus romanesques de cette vie mélancolique et brillante, sont uniquement basés sur des documents authentiques. Ainsi, à la lumière de la vérité historique, nous espérons avoir rendu justice à cette reine aimante.

    Ghislaine DE BOOM était historienne, Conservateur-adjoint du Musée Royal de Belgique.

    Archiduchesse Éléonore, reine de France, un livre de Ghislaine De Boom édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    21.07 
  • Hjalmar Schacht

    Schacht Horace Greeley Hjalmar (22.1.1877 • 4.VI.1970). Financier et homme politique allemand. Fils d’un riche négociant, il reçut une éducation assez cosmopolite. Après avoir passé une partie de son enfance en Amérique, Schacht fit ses études dans les universités allemandes et à Paris. Entré dans la carrière bancaire, il fut au service de la Dresdner Bank (1903/16), puis prit la direction de la Banque de Darmstadt. Il fit la connaissance de Hitler et, bien que dépourvu de sympathies pour le national-socialisme, il fut impressionné par les succès électoraux de celui-ci et apporta à Hitler l’appui de certains milieux industriels et financiers. Peu après l’arrivée de Hitler au pouvoir, il accepta de reprendre la présidence de la Reichsbank (mars 1933) et devint ministre de l’Économie (juill. 1934/nov. 1937). Cependant son opposition à Goering, chargé du plan de quatre ans, et ses tentatives pour obtenir une réduction des dépenses d’armement le rendirent bientôt suspect au régime. Il fut arrêté et envoyé au camp de Dachau. Traduit devant le tribunal de Nuremberg, il fut acquitté en 1946 et, après 1950, fut appelé comme conseiller financier par les gouvernements de Syrie, d’Indonésie, d’Iran, d’Égypte, etc.

    Fonctionnaire des Nations Unies, André WILMOTS dirigea début 1981, à la requête de la République Populaire de Chine, la mission d’évaluation des désastres naturels dans les provinces d’Hubei et de Hebei et de coordination de la coopération multilatérale. Il a publié en France Le Marché de l’or (1985), Le défi français (1991), Le Royaume démuni (1993), Crises et turbulences du commerce international (1995)

    Hjalmar Schacht, un livre de André Wilmots édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    21.07 
  • Léopold avant Léopold Ier

    Solidement documenté et soutenu par un récit à la fois éclairant et plein de vie, l’ouvrage de Gilbert KIRSCHEN met en lumière les traits dominants du caractère du prince et son apprentissage du futur. Les patientes recherches de l’auteur lui ont permis la découverte d’importants documents inédits conservés dans les archives de Cobourgn du palais royal de Bruxelles, des familles royales néerlandaise et britannique, du Foreign Office. Que belle moisson ! (Georges-Henri Dumont, extrait de la préface)

    Léopold avant Léopold Ier, un livre de Gilbert Kirschen édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    21.07 
  • Les secrets d’une maison royale

    Au cours des années, les spectres de la calomnie et du scandale se sont attachés à mes pas avec une insistance impitoyable. Il m’est pénible de constater que, jusqu’à aujourd’hui encore, mon nom est invariablement associé au drame de Meyerling survenu en 1889. (…) C’est dans ce but que je raconte à présent l’histoire de ma vie, une vie bizarrement colorée et marquée par de grands et brusques changements. Ma jeunesse, mon intimité avec ma tante l’impératrice Élisabeth, le mariage qu’on m’imposa, les chagrins qui fondirent sur moi par la suite, tout ceci est contenu dans cette histoire que j’ai reconstituée à l’aide de mes journaux intimes et des documents laissés par mes parents. Il paraîtra tout naturel que les personnages illustres dont les destinées suivirent les miennes de si près jouent un rôle de premier plan dans ces mémoires.

    Les secrets d’une maison royale, un livre de Comtesse Larisch Wallersee-Wittelsbach édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    21.07 
  • Naïm Khader

    À quand remonte le conflit israélo-palestinien ? 3500 ans avant Jésus-Christ en terre de Canaan ? 1896 avec la création du mouvement sioniste ? 1948 lors de la création de l’État d’Israël ? Quels sont les enjeux religieux, politiques, économiques, géographiques, culturels de ce conflit ? À travers cette biographie, passionnante et accessible à tous, d’un homme remarquable, proche de Yasser Arafat, pionnier de l’OLP dont il fut le représentant en Belgique pendant une dizaine d’années, l’auteur nous fait pénétrer dans le quotidien de Naïm Khader, assassiné à Bruxelles le 1er juin 1981 pour avoir voulu défendre les droits des Palestiniens, pour avoir cherché une réconciliation entre ceux-ci et les Israéliens, pour avoir aussi affiché des valeurs éthiques et humanistes tels que la liberté, la justice, le respect de l’autre, la paix. L’originalité de cette biographie — complétée par des annexes, des cartes et des notes précises — consiste à expliquer au lecteur, à travers la chronique d’une époque fondamentale, les questions essentielles qui se posent, aujourd’hui plus que jamais, aux Palestiniens et donc, aussi, aux Israéliens, aux Arabes et à l’Occident.

    Robert VERDUSSEN est journaliste. Pour le quotidien La Libre Belgique, il a suivi les événements du Moyen-Orient, depuis la guerre des Six jours en 1967 jusqu’aux accords d’Oslo et leurs suites dans les années ’90. Il en a rencontré quelques-uns des principaux acteurs, Yasser Arafat, Shimon Pérès, Anouar el Sadate, le roi Hussein. Comme tous les journalistes qui, à Bruxelles, couvraient à l’époque l’actualité de cette région du monde, il a été en rapport régulier avec Naïm Khader.

    Naïm Khader, un livre de Robert Verdussen édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    21.07 
  • Le dernier roi de l’Atacama

    Trente ans après son décès, Gustave le Paige, originaire de Liège, plus connu au Chili sous le nom de « Padre Gustavo », y reste une figure marquante. Son œuvre est scientifique, culturelle et sociale. Grâce à lui, l’archéologie chilienne prend son envol. Et avec elle, la découverte d’une civilisation oubliée : la culture atacamène. Ses actions ont permis d’améliorer la vie des populations locales et de leur rendre une identité et une Culture. Il est devenu, indiscutablement, « le dernier roi de l’Atacama ».

    Le dernier roi de l’Atacama, un livre de Christian Du Brulle édité aux Éditions Mols

    21.50 
  • Alexandre Farnèse

    Alexandre Farnèse fut l’un des plus grands condottieri du xvie siècle. Il était le fils d’Ottavio Farnèse, duc de Parme, arrière-petit-fils de Paul III, et de Marguerite, fille de Charles Quint d’Espagne, dite « Madama ». Dans la seconde moitié du xvie siècle, marquée par les luttes entre la Réforme protestante et la Contre-Réforme catholique, aux Pays-Bas, en France et en Allemagne, Alexandre Farnèse met son génie militaire au service de son oncle, Philippe II d’Espagne, en combattant victorieusement dans les Flandres, aux Pays-Bas et en France. Devenu célèbre pour la reconquête d’Anvers, le désastre de l’« Invincible Armada » l’empêchera de débarquer en Angleterre. En France où Philippe II l’avait envoyé, il libéra Paris en 1590 du siège des huguenots d’Henri de Navarre. Celui que les Anglo-Hollandais avaient surnommé « le Parme », était très connu en Hollande. Adversaire craint mais respecté, il fut admiré pour ses talents diplomatiques par Guillaume d’Orange et la reine Elisabeth d’Angleterre. La biographie d’Antonello PIETROMARCHI, basée sur les œuvres historiques et biographiques les plus récentes traitant de la lutte pour la prédominance dans l’Europe du xvie siècle, est de lecture aisée et passionnante et fait également la part belle aux personnages moins connus ou secondaires.

    Antonello PIETROMARCHI a commencé sa carrière diplomatique en 1955. Il a été Premier Secrétaire à Washington, ministre conseiller au Caire, ambassadeur au Maroc et en Hollande. C’est là qu’il a entamé ses recherches sur d’Alexandre Farnèse, héros italien aux dons moraux, militaires et diplomatiques certains. Depuis 1995, Antonello PIETROMARCHI a dirigé le « Département des Italiens dans le monde » à la présidence du Conseil. Il a notamment publié Luciano Bonaparte, il fratello nemico di Napoleone (Mondadori, 1994) qui a reçu le Prix Castiglioncello et qui est publié en français par la Librairie Académique Perrin, et Un Occhio di riguardo : la vita del Conte Primoli (Firenze, 1985) paru en français sous le titre Un Romain chez les Bonaparte.

    Alexandre Farnèse, un livre de Antonello Pietromarchi édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    23.00