• Le Jeu de la feuillée

    La première pièce du théâtre français

    Le Jeu de la feuillée, un livre de Adam de la Halle édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • Indisponible

    Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles)

    Que peuvent nous apprendre les prédictions de l’Almanach de Mathieu Laensbergh en matière d’éveil aux idées des Lumières, au XVIIIe siècle ? Quel changement de mentalité à l’égard des pratiques magico-religieuses laissent entrevoir les commentaires du livret de pèlerinage à Saint-Hubert en Ardenne ? Comment les mémoires rédigés à l’occasion de procès opposant des communautés rurales aux autorités manifestent-ils le progrès du rationalisme critique, à travers un lexique où le bourgeois sensible côtoie l’aristocrate éclairé ? C’est à de telles questions que tâche de répondre le présent ouvrage, à partir d’une documentation associant littérature « populaire », journaux, catalogues de libraires, chansons, etc. La communication orale y trouve une place importante, notamment quand elle se fait dialectale. La diffusion de valeurs et d’interrogations communes s’opère aussi par le théâtre, où drames sérieux, vaudevilles et opéras-comiques – nous sommes au pays de Grétry – composent un véritable « paysage culturel ».

    Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles), un livre de Daniel Droixhe édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    22.00 
  • Le cri des oiseaux dans la tempête

    L’euthanasie active, qu’on pratique déjà aux Pays-Bas, est-elle le signe d’une fin de civilisation ?

    Le cri des oiseaux dans la tempête, un livre de Thérèse Olivier édité aux Éditions Mols

    13.00 
  • Le Corbeau

    À l’image de la célèbre formule du journal Tintin, ces récits illustrés s’adressent en réalité à un public très vaste, celui des « jeunes de 7 à 77 ans ». En effet, elles peuvent se lire à plusieurs niveaux (iconique, littéraire, interactif et philosophique). (Traduit de l’allemand et préfacé par Alain Préaux)

    Wilhelm BUSCH (1832-1908) est certainement l’un des plus grands humoristes allemands de la seconde moitié du xixe siècle. Ses nombreuses « histoires illustrées » font de lui un génial précurseur de la « bande dessinée ». Peintre-poète, aussi doué comme dessinateur que comme narrateur, Wilhelm BUSCH incarne, comme le fera plus tard Hergé, l’idéal de l’homme complet, du « dessinnarrateur », dans une discipline où l’osmose entre le dessin et l’écriture est si difficile à réaliser. Son humour, présent non seulement dans ses croquis, mais aussi dans son texte, jaillit surtout de la confrontation entre l’image et la lettre. Wilhelm BUSCH réussit par là à tempérer une vision profondément pessimiste du monde, héritée de ses années de jeunesse et confirmée par la lecture tardive du célèbre philosophe Arthur Schopenhauer. À part le célèbre récit illustré Max und Moritz, l’univers de Wilhelm BUSCH est finalement peu connu du public francophone. Aussi nous a-t-il paru intéressant de publier ici les « histoires en images » les plus marquantes de cet ancêtre illustre de la bande des-sinée européenne.

    Le Corbeau, un livre de Wilhelm Busch édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    20.00 
  • Le Carillonneur

    Le Carillonneur, un livre de Georges Rodenbach édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    8.68 
  • La Sagesse et la destinée

    Il y a bien des phrases de ce livre qui nous bouleversent par leur incontestable prescience de notre monde. Que signifient encore aujourd’hui les mots sagesse, fatalité, justice, âme, bonheur, amour ? Ne sont-ils pas à ce point discrédités qu’il faille les rejeter sans appel ? La Sagesse et la destinée nous remet en mémoire les vrais enjeux.

    Maurice MAETERLINCK (Gand 1862-Nice 1949) est un des plus grand écrivains belges d’expression française. Il a obtenu le Prix Nobel en 1911.

    La Sagesse et la destinée, un livre de Maurice Maeterlinck édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    7.41 
  • La Morte survit au 13

    Bien sûr, depuis l’événement, les clients – pardon, les hôtes – se pressent en foule au “Grand 13”. Pourtant, Mme Adèle, son énergique tenancière, ne sait trop si elle doit s’en féliciter.
    Certes, le tiroir-caisse tinte agréablement à ses oreilles, mais un assassinat dans une maison qui prétend à la respectabilité, cela fait mauvais effet. Et puis, le zèle des filles s’en trouve brutalement refroidi. Câliner des messieurs portés sur la bagatelle, d’accord : elles peuvent bien les laisser attenter à une vertu qui n’est plus qu’un lointain souvenir.
    Mais de là à les laisser attenter à leur vie…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    La Morte survit au 13, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • La monnaie et les banques, de la Mésopotamie à Manhattan

    La monnaie et les banques, de la Mésopotamie à Manhattan, un livre de Vincent Lannoye édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    24.00 
  • La Maye Réfléchit

    En même temps qu’elle réfléchit à ses rivières nos vies, nos pensées, l’eau avance. Le temps avance. Vers l’embouchure finale. Chaque fois individuelle, chaque fois renouvelée. La réflexion se fait toujours en allant, en marchant. C’est pourquoi le poème est ici « parlé marché ». Pourquoi il dialogue avec l’immobilité de la peinture (Rembrandt, Rubens, Mondrian, de Kooning, van Eyck, Spilliaert, Ensor etc…). Pourquoi il bouscule la philosophie (Descartes, Husserl, Heidegger). Pourquoi il marche joyeusement à travers la barrière des langues (Bruxelles, la Flandre). Pourquoi il réfléchit à l’Europe d’aujourd’hui, belle abstraction sans corps réel. Sans corps sensuel. Pourquoi enfin il se réjouit du goût des nourritures (les huîtres, les moules, la bière, le pain d’épice). Ici le poème réfléchit à la réflexion. Au réfléchissement et au mouvement qui nous emporte vers le large. Quel large ? C’est à venir. À deviner. À devenir.

    Jacques Darras compose depuis 1988 un long poème en 8 chants, La Maye, dont il donne aujourd’hui le septième. Il a par ailleurs traduit de l’anglais Walt Whitman, Ezra Pound, Samuel Taylor Coleridge, Malcolm Lowry, Ted Hughes, William Carlos Williams, Allen Ginsberg etc. Il a écrit des essais sur la mort, sur la mer, sur le nord et le romantisme. Parmi lesquels Nous sommes tous des romantiques allemands (Calmann-Lévy) et Nous ne sommes pas faits pour la mort (Stock). Il a reçu le prix Apollinaire et le Grand Prix de l’Académie française pour l’ensemble de son travail.

    La Maye Réfléchit, un livre de Jacques Darras édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • La Légende du roi Crapaud

    « Et il vit que, depuis le début, tout bégayait, en effet : le rêve hâtif d’Agabal Megakan, devenu Alexandre Agabal ; la longue marche des Crapauds, affamés, sans halte, contre le jour et la nuit ; et, surtout, toute cette démangeaison soudaine des chairs, aux pieds d’un Arbre torsadé en son milieu de trois ventres ; et cette eau d’immortalité refusée par Alexandre le Grand et qu’Agabal Alexandre croyait avoir bu, à travers les mots bégayants d’une Cigogne à demi folle. (…) Agabal Alexandre, à son tour, redevint Roi et, à côté de son frère Kanaan le pensif, médita le commencement, bientôt, de sa guerre et de sa victoire. Il écouta la nuit. (…) Des tintements de métal, clairs, ting, ting, ting, résonnaient dans les ténèbres : Koroman Gbete, le forgeron divin, dans sa forge en forme de cratère, ciselait le rire de son Roi. Le rêve d’Agabal Alexandre ne bégayait pas. Car, façonnée dans l’obscurité entre l’enclume et le marteau, surgissait enfin sa légende, la légende du Roi Crapaud, sous la forme d’une armure ovoïde comme l’œuf du Monde ! »

    Grâce à un récit magistral, l’auteur nous entraîne dans un monde merveilleux où la langue rivalise de virtuosité avec l’imagination. Et si, un jour, Hommes et Crapauds s’associaient dans un même vrombissement d’amour pour lever, de leurs voix déchirées, un déluge broyeur de démons, comme fut broyée, jadis, l’Atlantide ? Une voix étrange venue d’Afrique et qui, dans un murmure épique, une communion de sens, nous rappelle que le fantastique du Nord n’est pas si loin…

    Vincent Lombume Kalimasi est né à Léopoldville le 3 janvier 1947. Après des études en journalisme, sociologie et philosophie, il devient agent d’entreprise pour le compte de la Cadeza, de la Sozacom et de la Gécamines, puis directeur technique pour l’Agence congolaise de Presse (ACP) et, enfin, pour un temps, membre du cabinet du Ministre de l’information et de la culture. Depuis, il consacre son temps à l’écriture. Il vit à Kinshasa.

    La Légende du roi Crapaud, un livre de Vincent Lombume Kalimasi édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    16.00 
  • La légende des signes

    Le zodiaque : un échiquier de vie. À travers La légende des signes, le lecteur rencontrera un jeu de miroirs qui l’invitera à reconnaître les scénarios qui lui ressemblent. Chaque légende est individuelle. Ainsi, chaque lecteur puisera dans sa propre histoire les éléments (souvenirs et expériences) dont il a besoin pour découvrir ce qu’ils évoquent pour lui. Le résultat reflètera finalement sa personnalité.
    Ce livre nous invite à découvrir notre propre subjectivité en usant d’une langue essentiellement métaphorique, allusive, évocatrice, en deux mots : légendaire ou « poétique ». Il s’agit de s’arrêter un moment au bord de la route pour se tourner vers ce miroir qui « emprunte » au langage universel et séculaire de l’astrologie ses figures et ses caractères.
    Le ciel n’est donc ici qu’un à-propos, un langage original. Comme si, à travers leurs récits mythiques, les héros illustraient notre propre histoire. Comme si, en participant à leur drame et en prêtant notre voix intime aux personnages imaginaires, nous nous mettions en scène, devenant ainsi le spectateur de ce qui se trame en nous.
    La légende des signes se situe à l’opposé d’une certaine astrologie abusant le public à des fins prédictives et divinatoires. Jacques Vanaise nous propose plutôt une sorte d’anthropologie de l’imaginaire, propice à rassembler les différents personnages qui s’animent en chaque légende sur un échiquier de vie.

    Jacques Vanaise, né en 1946, étudie l’astrologie depuis plus de trente ans. Conférencier, il est par ailleurs l’auteur de nombreux ouvrages sur le sujet (dont L’Homme-Univers, Le Cri, 1993). Artisan du symbole, philosophe et poète, il s’est aussi formé à la Gestalt, à l’Analyse transactionnelle et à la Programmation neurolinguistique.

    La légende des signes, un livre de Jacques Vanaise édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    22.00 
  • La Honte de Max Pélissier

    Lorsque Jaube, un SDF, vient squatter Cosy Nook, une villa abandonnée au bord de la mer du nord, il est loin de se douter que les fantômes qui l’habitent vont le transformer en témoin puis, peu à peu, en acteur involontaire d’une tragédie où rien ne lui sera épargné. Malgré lui, il devra partager jusqu’au bout tous les ingrédients du mystère de la famille Pélissier : le testament d’un juif caché pendant la guerre, la recherche d’un Picasso disparu, le deuil impossible d’un enfant noyé, les affres d’une relation aux relents sado-masochistes, et un énorme scandale dans le milieu de l’art. Les souvenirs de Cosy Nook s’entrechoquent avec le présent, jusqu’au dénouement du drame familial.
    Dans ce suspense-prétexte à l’intrigue haletante, l’auteur nous plonge avec humour et cynisme dans les turpitudes de l’univers de l’Art, mais nous en fait aussi découvrir le pouvoir rédempteur.

    Jean-Louis DU ROY, né à Etterbeek (Bruxelles) en 1945 est licencié en sciences politiques et sociales (U.C.L.) et maître en management public (Solvay U.L.B.). Il a occupé des fonctions dirigeantes dans le domaine financier et se consacre aujourd’hui à l’écriture.
    Avec La Honte de Max Pélissier, son quatrième roman, il nous démontre qu’il est passé maître dans l’art du suspense.

    La Honte de Max Pélissier, un livre de Jean-Louis du Roy de Blicquy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    20.00 
  • La Famille Kaekebroeck

    Voici des « mœurs bruxelloises » mises en scène au travers des rapports entre les familles Kaekebroeck, Mosselman, Rampelbergh, Posenaer et autres habitants du « bas de la ville », héros pittoresques, croqués avec une grande dextérité. On ne peut s’empêcher de penser à Pagnol et à sa trilogie marseillaise. Des pages sobres et vraies, imprégnées d’une tendre bonhomie, vivantes et saines. Un récit attachant, de la couleur, une observation juste et pleine de bienveillance. Quant aux dialogues, dont l’auteur a compris l’importance, ils sont comme pris sur le vif tant ils sont naturels.
    Nul n’a mieux saisi que l’auteur de La Famille Kaekebroeck le jargon bruxellois émaillé de flandricismes, de belgicismes et de tropes hardis ou délicieux auxquels les lecteurs qui le peuvent ajoutent l’inimitable accent local. L’auteur parvient même à faire alterner, sans heurts et sans maladresses, l’atticisme de sa langue, fine et châtiée, avec le rude et burlesque baragouin de ses héros.
    C’est de ce contraste continuel que naît un charme irrésistible…

    Léopold COUROUBLE (1861-1937) fut Docteur en droit. Il séjourna au Congo de 1900 à 1903, séjour dont il s’inspira pour ses récits de voyages, notamment Profils blancs et Frimousses noires (1901). Ses textes « folklo-riques » ne doivent pas nous faire oublier, entre autres : Mes Pandectes (1900), En plein soleil (1900), Images d’outre-mer (1902) et, surtout, Les Contes et récits d’un Bruxellois (1907).

    La Famille Kaekebroeck, un livre de Léopold Courouble édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • La Corruption sentimentale

    La Corruption sentimentale analyse avec minutie le système des « rentrées littéraires » dans tous ses apects et carbonise ses vedettes. L’auteur le fait avec rage, mais équité, savoir et savoir-faire. Encore un pamphlet ! dira-t-on. Quand les choses sont arrivées à un certain point, on n’a plus d’autre choix que de « gueuler », mais avec des arguments et de l’humour. D’autant que la fin n’est pas inéluctable. Que l’on soit écrivain, libraire ou simple lecteur, on est forcé d’admettre que le phénomène de la rentrée littéraire à la française, propre à notre culture, s’est encore accentué depuis 1998. Inflation des titres, tirages moyens plus faibles, lancements fracassants : fin août-début septembre, c’est la déferlante. Libraires, critiques et lecteurs sont submergés. Rentrée 2001 : 575 romans ! La littérature de création y trouve-t-elle son compte ? Certainement pas. De septembre à novembre, les libraires ne savent plus où mettre cette abondante production romanesque d’une saison ; les critiques, débordés, n’ont plus le temps de lire, tandis que les lecteurs, harcelés, doivent impérativement jeter leur dévolu sur une dizaine de titres qu’on les presse d’acquérir, au détriment de leur libre choix. La foire d’empoigne culmine avec la remise du Goncourt et de ses acolytes. Trois mois ont passé pendant lesquels des romans novateurs, des essais importants, des ouvrages de recherche ont été ignorés. De pseudos romans d’avant-garde ont été lancés avec fracas, signes de stratégies plus ou moins secrètes. La guerre du faux fait rage. Chaque année, la répétition insensée de la comédie mobilise toute la chaîne du livre pendant des mois. Le marché, artificiellement dopé, stagne le reste du temps. Des solutions existent pourtant. Ce livre en propose. Lisez ! La Corruption sentimentale analyse avec minutie le système des « rentrées littéraires » dans tous ses apects et carbonise ses vedettes. L’auteur le fait avec rage, mais équité, savoir et savoir-faire. Encore un pamphlet ! dira-t-on. Quand les choses sont arrivées à un certain point, on n’a plus d’autre choix que de « gueuler », mais avec des arguments et de l’humour. D’autant que la fin n’est pas inéluctable. Des solutions existent pourtant. Ce livre en propose. Lisez !

    Maxime BENOIT-JEANNIN est l’auteur de plusieurs romans, notamment Mademoiselle Bovary (coédition Belfond, 1991), Colonel Lawrence (Coédition Jean-Michel Place, 1992) et Chez les Goncourt (2004). De deux biographies exhaustives : Georgette Leblanc 1869-1941 (1998) ; Eugène Ysaye, le sacre du violon (2001). Et d’un essai sur les rentrées littéraires, La Corruption sentimentale (2002).

    La Corruption sentimentale, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    21.07 
  • L’Œil de l’iguanodon

    Une nouvelle aventure de Bob Morane et Miss Ylang-Ylang. Henri VERNES nous entraîne cette fois dans une folle équipée à travers la capitale de l’Europe. On se laissera envoûter par le parfum de la sensuelle Eurasienne Miss Ylang-Ylang — qui aidera Bob Morane à sauver la ravissante Nathalie des griffes de l’« Homme aux Dents d’Or », à la solde du milliardaire et collectionneur de Las Végas, Howard Heyst. H.H. parviendra-t-il à « se faire » la peau de l’iguanodon récemment découverte près de Bernissart en Belgique, transportée pour expertise au Muséum des Sciences naturelles ? À travers une aventure haletante et fantastique, qui nous fait voir Bruxelles autrement, Henri VERNES nous prouve plus que jamais qu’il est un des « iguanodons » du suspens.

    L’Œil de l’iguanodon, un livre de Henri Vernes édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.59 
  • L’Exil du Centaure

    L’Exil du Centaure est l’histoire déchirante d’une jeune femme à travers ses fantasmes, à travers son passé. Une histoire d’amour aussi, où s’exacerbent romantisme, violence et passion. Ce roman poignant qui, à sa sortie en 1982, bénéficia des faveurs du public et obtint le Prix du roman de la Ville de Bruxelles, méritait d’être enfin réédité.
    Thilde BARBONI est l’auteur de sept romans publiés en Belgique, en Suisse et à Paris. Trois de ses romans ont été traduits et publiés en allemand et en coréen. Traductrice et psychologue de formation, elle enseigne l’italien (littérature, histoire, traduction) à Mons (École d’interprètes Internationaux), et anime à Bruxelles des ateliers de psychologie de la traduction (Centre Européen de traduction littéraire). Elle est aussi critique littéraire.

    L’Exil du Centaure, un livre de Thilde Barboni édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    6.20