• La monnaie et les banques, de la Mésopotamie à Manhattan

    La monnaie et les banques, de la Mésopotamie à Manhattan, un livre de Vincent Lannoye édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    24.00 
  • La Morte survit au 13

    Bien sûr, depuis l’événement, les clients – pardon, les hôtes – se pressent en foule au “Grand 13”. Pourtant, Mme Adèle, son énergique tenancière, ne sait trop si elle doit s’en féliciter.
    Certes, le tiroir-caisse tinte agréablement à ses oreilles, mais un assassinat dans une maison qui prétend à la respectabilité, cela fait mauvais effet. Et puis, le zèle des filles s’en trouve brutalement refroidi. Câliner des messieurs portés sur la bagatelle, d’accord : elles peuvent bien les laisser attenter à une vertu qui n’est plus qu’un lointain souvenir.
    Mais de là à les laisser attenter à leur vie…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    La Morte survit au 13, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • La Sagesse et la destinée

    Il y a bien des phrases de ce livre qui nous bouleversent par leur incontestable prescience de notre monde. Que signifient encore aujourd’hui les mots sagesse, fatalité, justice, âme, bonheur, amour ? Ne sont-ils pas à ce point discrédités qu’il faille les rejeter sans appel ? La Sagesse et la destinée nous remet en mémoire les vrais enjeux.

    Maurice MAETERLINCK (Gand 1862-Nice 1949) est un des plus grand écrivains belges d’expression française. Il a obtenu le Prix Nobel en 1911.

    La Sagesse et la destinée, un livre de Maurice Maeterlinck édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    7.41 
  • Le Carillonneur

    Le Carillonneur, un livre de Georges Rodenbach édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    8.68 
  • Le Corbeau

    À l’image de la célèbre formule du journal Tintin, ces récits illustrés s’adressent en réalité à un public très vaste, celui des « jeunes de 7 à 77 ans ». En effet, elles peuvent se lire à plusieurs niveaux (iconique, littéraire, interactif et philosophique). (Traduit de l’allemand et préfacé par Alain Préaux)

    Wilhelm BUSCH (1832-1908) est certainement l’un des plus grands humoristes allemands de la seconde moitié du xixe siècle. Ses nombreuses « histoires illustrées » font de lui un génial précurseur de la « bande dessinée ». Peintre-poète, aussi doué comme dessinateur que comme narrateur, Wilhelm BUSCH incarne, comme le fera plus tard Hergé, l’idéal de l’homme complet, du « dessinnarrateur », dans une discipline où l’osmose entre le dessin et l’écriture est si difficile à réaliser. Son humour, présent non seulement dans ses croquis, mais aussi dans son texte, jaillit surtout de la confrontation entre l’image et la lettre. Wilhelm BUSCH réussit par là à tempérer une vision profondément pessimiste du monde, héritée de ses années de jeunesse et confirmée par la lecture tardive du célèbre philosophe Arthur Schopenhauer. À part le célèbre récit illustré Max und Moritz, l’univers de Wilhelm BUSCH est finalement peu connu du public francophone. Aussi nous a-t-il paru intéressant de publier ici les « histoires en images » les plus marquantes de cet ancêtre illustre de la bande des-sinée européenne.

    Le Corbeau, un livre de Wilhelm Busch édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    20.00 
  • Le cri des oiseaux dans la tempête

    L’euthanasie active, qu’on pratique déjà aux Pays-Bas, est-elle le signe d’une fin de civilisation ?

    Le cri des oiseaux dans la tempête, un livre de Thérèse Olivier édité aux Éditions Mols

    13.00 
  • Indisponible

    Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles)

    Que peuvent nous apprendre les prédictions de l’Almanach de Mathieu Laensbergh en matière d’éveil aux idées des Lumières, au XVIIIe siècle ? Quel changement de mentalité à l’égard des pratiques magico-religieuses laissent entrevoir les commentaires du livret de pèlerinage à Saint-Hubert en Ardenne ? Comment les mémoires rédigés à l’occasion de procès opposant des communautés rurales aux autorités manifestent-ils le progrès du rationalisme critique, à travers un lexique où le bourgeois sensible côtoie l’aristocrate éclairé ? C’est à de telles questions que tâche de répondre le présent ouvrage, à partir d’une documentation associant littérature « populaire », journaux, catalogues de libraires, chansons, etc. La communication orale y trouve une place importante, notamment quand elle se fait dialectale. La diffusion de valeurs et d’interrogations communes s’opère aussi par le théâtre, où drames sérieux, vaudevilles et opéras-comiques – nous sommes au pays de Grétry – composent un véritable « paysage culturel ».

    Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles), un livre de Daniel Droixhe édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    22.00 
  • Le Jeu de la feuillée

    La première pièce du théâtre français

    Le Jeu de la feuillée, un livre de Adam de la Halle édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • Le Livre d’Heures

    Traduit de l’allemand par Gaston Compère et Frédéric Kiesel
    Édition intégrale , bilingue inédite

    Le Livre d’Heures, un livre de Rainer Maria Rilke édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    20.00 
  • Indisponible

    Le Maître du Savon

    Pourquoi une jolie immigrée russe fait-elle du vélo fixe dans un appartement rempli d’hommes qui hurlent ? Comment réagir quand un magicien découpe vraiment sa femme en deux ? Quelle est l’influence d’un tableau de Munch sur la vie dans un grand ensemble ?
    Alain Berenboom trace, tout au long de ces nouvelles, le portrait d’une Belgique burlesque et désespérée, sensuelle et nostalgique, où tout est possible : les aventures d’un pharmacien dans un quartier populaire à la fin des années cinquante ; celles d’un épicier lituanien, Superman dans le Bruxelles d’aujourd’hui ; les déboires d’un prisonnier qui aimait trop le savon ; les surprises d’un diplomate égaré dans un cinéma de Jérusalem ; la définition d’un écrivain belge et les raisons qui expliquent que son manuscrit ne soit jamais publié ; l’utilité de connaître Shakespeare en version originale lorsqu’on est Mongole et coincée à l’aéroport de Bruxelles…

    Alain Berenboom, quand il ne pratique pas le droit d’auteur dont il est un des meilleurs spécialistes, vagabonde autour du monde et de la Belgique. De La Position du Missionnaire roux à sa récente série qui explore la Belgique de l’immédiate après-guerre (Périls en ce Royaume, Le Roi du Congo), ses romans allient subtilement l’humour à l’émotion et à la révolte. Chroniqueur pour le journal Le Soir, il est aussi administrateur de la Cinémathèque royale de Belgique.

    Le Maître du Savon, un livre de Alain Berenboom édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    14.00 
  • Le Mont Blandin

    Après Les Parchemins de la tour (Le Cri, 2004) et le XIXe siècle, Le Mont Blandin revoit, au début du xxe siècle, le caractère d’hommes et de femmes poussés par la passion politique, l’amour de la vie et du travail, le devoir social, l’éducation des jeunes et la préparation de l’avenir. Attributs d’une mentalité profondément ancrée dans la conscience qui marquait la première moitié du xxe siècle et qui, comme la naïveté perdue de l’enfance qui les observe, seront emportés, dès les années cinquante, par l’omniprésence des médias dans l’intimité.
    Des retrouvailles avant l’intrusion des idées reçues incontrôlables.
    L’auteur. Nicole Verschoore, née à Gand en Belgique, est docteur en philosophie et lettres. Boursière du Fonds national belge de Recherche scientifique et assistante à l’université de Gand, journaliste, elle publie régulièrement dans la Revue générale et la revue électronique www. bon-a-tirer. com. Parlant six langues et amoureuse des grandes capitales européennes, elle se veut citoyenne du monde et passe le meilleur de son temps à revoir et à sauvegarder la vérité du vécu.
    Le Mont Blandin est le second volet d’une trilogie, entamée avec Les Parchemins de la tour.

    Nicole Verschoore, née à Gand en Belgique, est docteur en philosophie et lettres, boursière du Fonds national belge de Recherche scientifique, assistante à l’université de Gand. Journaliste, elle publie régulièrement dans la Revue générale et la revue électronique www. bon-a-tirer. com. Parlant six langues et amoureuse des grandes capitales européennes, elle se veut citoyenne du monde et passe le meilleur de son temps à revoir et à sauvegarder la vérité du vécu.
    Elle a publié aux éditions Le Cri les deux premiers volets d’une trilogie : Les Parchemins de la tour (2004) et Le Mont Blandin (2005).

    Le Mont Blandin, un livre de Nicole Verschoore édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • Le Prestige du passé

    Il n’y a pas beaucoup de sages aujourd’hui ; peu d’hommes réussissent à garder leur sang-froid au milieu des appels multiples de la mode, ou des modes, et des opinions du monde, et à rester fidèles à ce qu’ils croient juste ; moins encore défendent vigoureu-sement leurs convictions, en toute probité, tout en demeurant à l’écoute des autres, en s’efforçant de les comprendre et en s’ouvrant aux différences comme à des richesses particuliè-rement précieuses. Albert DASNOY était un de ces sages. Il nous livre ici ses réflexions sur l’attrait des modèles anciens. Il creuse le sujet au prix d’infinies lectures pour découvrir ce qui, en fin de compte, explique Le lecteur découvre les démarches aberrantes qui ont poussé les hommes à mépriser leurs propres travaux pour se tourner vers un passé qui ne les valait pas. À travers des pages d’une grande acuité, se pose aussi la question de l’art et du sacré.

    Albert DASNOY (1901-1992), correspondant de la Classe des Beaux-Arts (1967), membre en 1969, était peintre, critique d’art, conteur, philosophe. Il poursuivit, à travers tous ses travaux, le sens fondamental des démarches humaines et de la vie elle-même. Sous l’humus des idées reçues, il fut sans cesse à la recherche de la source profonde de ce qui apparaît au jour. Les éditions Le Cri ont entamé la réédition de son œuvre en 2000 par la publication de ses essais Le Prestige du passé et Les Dieux et les hommes.

    Le Prestige du passé, un livre de Albert Dasnoy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    11.16 
  • Le Prince de la Concorde

    La biographie romancée de Catherine d’Oultremont se déroule dans le respect scrupuleux des grandes étapes de ce que fut la vie de Jean Pic de la Mirandole : sa quête incessante du savoir qui va le conduire dans toutes les grandes universités et les plus célèbres centres d’études d’Italie, où il rencontrera les plus grands maîtres des plus grandes écoles de pensée de l’époque.
    Et il y aura surtout Florence où l’on voit Jean Pic qui, dans toute la gloire de sa jeunesse, déjà précédé d’une éclatante réputation, sera accueilli « en héros » à l’académie florentine. On peut imaginer avec quel émerveillement, avec quelle immense ferveur, le jeune homme, subjugué par l’ambiance capiteuse de l’académie, se laissera graduellement fasciner par la vie intellectuelle qu’il y découvrait et par le platonisme florentin tel que l’enseignait Marsile Ficin. Les circonstances y étaient pour beaucoup. Qu’on y pense : Pic a tout juste vingt ans. Il est accueilli avec empressement à la cour du Magnifique, par ceux-là même en qui il voyait, à juste titre, les plus brillants esprits de son temps. Il côtoie Poliziano le poète, les frères Benivieni dont le mystique Girolamo, Laurent lui-même se lie d’amitié avec lui et lui fait l’insigne honneur de soumettre à son jugement quelques poèmes écrits dans sa jeunesse. Il admire le jeune Michel Ange qui y fait ses premières armes, tandis qu’en philosophie le « Prince des platoniciens » s’empresse et propose protection, aide et assistance au jeune prodige qui s’était confié à lui. Comment supposer que Pic ait pu garder la tête froide face à cette efflorescence intellectuelle, à ce chatoiement d’idées, comment imaginer qu’il puisse ne pas céder à tant de chaleureuses adulations. Et se profile aussi dans l’ombre et faisant contrepoids à tant d’éclats, le sombre et farouche fanatique que deviendra bientôt Jérôme Savonarole…
    C’est ainsi qu’à travers le roman de Catherine d’Oultremont, nous découvrons en autant de vignettes variées et diverses les foyers les plus vivants de la Renaissance italienne du xve siècle, avec en arrière-plan les tensions géopolitiques de cette tumultueuse et brillante Italie. Ce roman devient ainsi une belle et vivante introduction à cette période fascinante que fut la Renaissance, d’où allait sortir notre modernité.
    Extrait de la préface de Louis Valcke (Université de Sherbrooke, Québec)

    Catherine d’Oultremont, née en 1955, passe son enfance et sa jeunesse en Catalogne avant de s’établir en Belgique. Elle vivra toutefois plusieurs années en Italie, où s’affirmera sa passion pour la Renaissance italienne. De formation artistique, autodidacte en matière de philosophie, Catherine d’Oultremont apporte sa contribution à des revues d’études traditionnelles et philosophiques. Le Prince de la Concorde est son premier roman. Mais quel roman !

    Le Prince de la Concorde, un livre de Catherine d’Oultremont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    24.90 
  • Le prof d’histoire

    Quelques amis décident d’unir leurs familles pour acheter un hameau en Ardèche, où ils passeront leurs vacances. Marcelin, le prof d’histoire, et Reginald, l’écrivain, ne se doutent pas que cette aventure fera non seulement remonter jusqu’à eux l’histoire sanglante des Huguenots mais remettra profondément en cause une amitié qui semblait inébranlable en révélant leurs personnalités respectives et leurs divergences philosophiques. En dire davantage déflorerait les rebondissements, mises en abîme et chutes qui égrènent ce roman passionnant et haletant.

    Alain Tytgat est né en 1949 au Congo. Juriste de formation, il a fait carrière dans la publicité. Passionné d’histoire, de littérature et de musique, il partage aujourd’hui son temps entre l’écriture et les voyages. Il vit à Gand.

    Le prof d’histoire, un livre de Alain Tytgat édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • Le Rôle divin de l’eau

    Cette année encore Julien avait pris la route du sud pour rejoindre son oncle Maurice, maire de Sursenet, petit village perdu dans le Haut Vaucluse.
    Le maire l’attendait de pied ferme, bien décidé cette fois à dévoiler à son neveu le mystère qui entourait la source qui sourdait dans la propriété familiale et abreuvait largement tout le village.
    Un début d’été prometteur si ce n’était l’intérêt pressant d’une multinationale des eaux aux ambitions douteuses.
    L’enjeu était de taille car ce que la source avait révélé au maire dépassait l’entendement.
    David contre Goliath !
    Mais quel secret cachait donc Maurice ? Quel rôle jouait Emeline, l’amie d’enfance de Julien ? Quel pouvoir méconnu détenait l’eau ; l’eau la survie de l’humanité ?

    Alain TYTGAT est né en 1949 au Congo. Juriste de formation, il a fait carrière dans la publicité. Passionné d’histoire, de littérature et de musique, il partage aujourd’hui son temps entre l’écriture et les voyages. Il a publié deux romans aux éditions Le Cri : Le Prof d’histoire (2005) et Les Liaisons infinies (2008).

    Le Rôle divin de l’eau, un livre de Alain Tytgat édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    17.00 
  • Le Souffle des Ancêtres

    Hélène Albi, romancière, est en quête d’un personnage qui lui apparaît en rêve. Elle décide d’en faire le héros de son prochain roman, qu’elle écrira dès son retour de Casamance.
    C’est précisément lors de ce voyage qu’elle fait une rencontre aussi étonnante que décisive.
    Puis ce sera l’Afrique avec les silences de la savane, le vent qui se fait poète et le murmure des arbres – pour ne pas effrayer les esprits qui, dans leurs feuillages, tiennent conseil. Autant de signes pour celui qui sait écouter.
    Mais quel rôle l’aventure romanesque d’Hélène jouera-t-elle précisément dans la transmission de l’expérience de vie d’un vieil homme à son petit fils ?
    Au-delà des mers et de la mort, le roman de Catherine d’Oultremont est une histoire de la « transmission », de la sagesse à travers le temps, du Souffle des ancêtres…

    Catherine d’Oultremont, née en 1955, passe son enfance et sa jeunesse en Catalogne avant de s’établir en Belgique. Elle vit toutefois plusieurs années en Italie, où s’affirme sa passion pour la Renaissance italienne, et séjourne à de nombreuses reprises en Afrique. De formation artistique, elle apporte sa contribution à des revues d’études traditionnelles et philosophiques.
    Le Souffle des ancêtres est son second roman, après Le Prince de la Concorde (2006), qui a passionné ses lecteurs.

    Le Souffle des Ancêtres, un livre de Catherine d’Oultremont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    24.00