• Wallonie 2.0. Nous étions une puissance économique, nous pouvons le redevenir !

    14.00 

    Pendant 150 ans, la Wallonie fut une région à l’avant-garde du progrès. Technophile, ouverte sur l’international, entreprenante… Ses qualités propres lui ont permis de devenir l’un des espaces les plus prospères de la planète.
    Pourquoi, à un moment donné, la Wallonie s’est-elle mise en marche plus rapidement et avec plus de succès que les autres ? Quels ont été les éléments déclencheurs de cette course en tête ? Surtout, la Wallonie peut-elle à nouveau jouer ce rôle de pionnier ?
    Le XXIe siècle s’ouvre sur une nouvelle ère économique, basée sur la créativité et les réseaux. Une ère où la performance économique résultera de la force des liens tissés chez soi, mais aussi de l’abondance des connexions nouées avec l’extérieur.
    Pour revenir aux avant-postes, la Wallonie ne peut se contenter de faire la même chose que les autres. Elle doit comprendre son nouvel environnement, sortir de ses conformismes et bouger plus vite que ses pairs.
    Le moment est idéal. Les nouveaux outils digitaux démultiplient les interactions possibles. Une nouvelle génération a soif d’exprimer ses idées et d’entreprendre…

    Jean-Yves Huwart est journaliste économique, blogueur et auteur. En 2009, après dix ans d’activité dans divers médias économiques (L’Écho, Trends-Tendances), il fonde le « think tank » www.entrepriseglobale.biz. Objectif : suivre, analyser et expliquer l’impact des changements en cours dans l’économie du XXIe siècle.
    En 2007, Jean-Yves Huwart avait publié Le Second déclin de la Wallonie. Il y passait en revue les erreurs et manquements des politiques économiques mises en œuvre en Wallonie depuis le début des années ’80.

    Wallonie 2.0. Nous étions une puissance économique, nous pouvons le redevenir !, un livre de Jean-Yves Huwart édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Wallonie française !

    27.90 

    Ouvrage préfacé par Pierre-Yves DERMAGNE, vice-Premier ministre de Belgique

    Cet essai engagé et polyphonique présente la Wallonie à une France censée n’en rien savoir et donne de ce territoire belge de culture française une image nuancée et libérée des poncifs. Sans prétendre être une référence scientifique, Wallonie française ! tente d’être honnête et d’éviter les contre-vérités partisanes.
    Dominée par les nationalistes flamands, la Belgique se meurt. Par amour et pour leur survie, des Wallons se tournent vers la France : ce sont les réunionistes.
    L’auteur a deux langues natales : le wallon et le français. Il assiste à l’agonie du wallon, évincé par le français. Il craint que, face à l’anglais, le français ne subisse le même sort et lance un cri d’alarme pour la défense de la Francophonie, de son identité culturelle et de ses valeurs menacées par l’impérialisme anglo-saxon.
    Le lecteur est invité à ne pas se prendre la tête. Souvent, il sourira, car Louis Nisse aime mêler petite histoire personnelle et grande Histoire.

    Wallonie française !, un livre de Louis Nisse édité aux Éditions Mols

  • Waterloo. La marche à l’abîme

    24.90 

    Waterloo ou la fin d’un monde : il y a deux siècles, l’Europe coalisée mettait un terme à l’aventure d’un homme qui avait changé le monde. Dans les plaines du Brabant, une sanglante mêlée voyait se clore, enfin, le grand bouleversement révolutionnaire qui avait agité le continent pendant vingt-cinq années.
    Waterloo, c’est d’abord le choc de trois tempéraments : face au génie du petit Corse, le flegme très professionnel de Wellington, sans état d’âme, allié à la haine farouche du Prussion Blücher qui ne souhaite que pendre Bonaparte et dépecer la France.
    Waterloo, fin d’un drame qui dure cinq jours. Comment expliquer et tenter de comprendre comment les hommes, ces généraux français, formés par vingt années de luttes incessantes, ont pu commetre autant de fautes, laisser s’échapper autant d’occasions ?
    Waterloo, une guerre perdue d’avance ? Une catastrophe française ou un immense soulagement pour l’Europe ?
    Après Waterloo, le monde n’est plus celui du dix-huitième siècle ; il peut entrer dans le laborieux dix-neuvième ; il peut s’enrichir par la révolution industrielle, voir naître de nouvelles nations : l’Allemagne qui s’unit peu à peu, la Belgique qui prend conscience d’elle-même, l’Italie bientôt.
    Musset, dans « La Confession d’un enfant du siècle » décrit la jeunesse désabusée, privée de ces grands élans d’héroïsme dont elle avait été abreuvée. Ce sera le Romantisme, tout à la fois naissance d’un art nouveau et névrose destructrice.
    Waterloo est un choc fondateur dont nous sommes encore, deux cents ans après, les témoins incrédules et les inévitables descendants.
    L’auteur tente ici de décrire pour expliquer, d’expliquer pour comprendre.

    La sortie du livre coïncide avec les commémorations du deux centième anniversaire de la bataille.

    Le point de vue est tantôt français, tantôt anglais, tantôt prussien ou même hollandais. La tension naît au fur et à mesure que les scènes défilent. Ce livre tient à la fois du théâtre et du roman d’aventure.

    L’auteur, Jean Luc Ancely, est Français et réside en Belgique ; ancien élève de Saumur, il a fait carrière dans l’Arme blindée Cavalerie. Il est l’auteur d’ouvrages littéraires, essais et tragédies.

    Waterloo. La marche à l’abîme, un livre de Jean-Luc Ancely édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Zola, le dessous des femmes

    11.16 

    De l’ancêtre Adélaïde Fouque dont le cerveau est un peu fêlé à Clotilde Rougon, qui va perpétuer la branche légitime en donnant naissance à un fils sans être mariée, la question de la femme et de son émancipation se pose à chaque page des Rougon-Macquart. Voici la première analyse systématique de cette longue lignée de femmes qui s’étend sur vingt romans. Bien que chaque chapitre traite d’un thème particulier — et puisse donc se lire indépendamment du reste de l’ouvrage —, une lecture de tout le livre permet de découvrir l’étonnante mosaïque de connexions que Zola a enfouies dans son texte, comme des tiroirs secrets dans un meuble ancien, pour établir, entre autres, les fameux liens du sang de ses personnages féminins.

    Zola, le dessous des femmes, un livre de Micheline Van Der Beken édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)