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Ils vont beaucoup t’aimer
Fin des années trente, les bruits de bottes se font entendre. Dans le petit village de Saint-Cassien, Victor et Mariette unissent leurs destinées.
1940, l’armée allemande envahit la Belgique. Victor est fait prisonnier et envoyé́ dans un camp. Il restera en Allemagne jusqu’à la fin du conflit.
Comment se retrouver après cinq ans ? Se reconnaît-on alors que l’autre a tellement changé au fil des évènements ? Un enfant va naître, une fille, elle est différente, très différente.
Sur fond de grande Histoire et d’une nature très présente, c’est la vie tout simplement, celle de trois êtres humains qui demandent à être heureux. Peuvent-ils l’être ensemble ?Ils vont beaucoup t’aimer est le premier roman de MICHEL VISART.
Jusqu’il y a peu journaliste à la RTBF, citoyen engagé dans le monde associatif, MICHEL VISART propose ici une œuvre de fiction qui s’inspire en toute liberté de la vie de personnes dont il a eu la chance de croiser le chemin.Ils vont beaucoup t’aimer, un livre de Michel Visart édité aux Éditions Mols
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Les Grenouilles
Après 1984 de George Orwell ou Le meilleur des Mondes d’Aldous Huxley – auxquels on ne peut s’empêcher de penser –, Raymond Duesberg nous livre ces Grenouilles, véritable poème visionnaire de la cruauté, de l’érotisme… Mais c’est surtout, dans sa cohérence implacable, le monde de demain : Lémuria, une ville où semblent s’être réfugié les ultimes survivants de l’humanité, qui y vivent tapis dans des « cros », marqués en leur chair de maladies incurables, définis par des tâches grotesques et dérisoires, asservis à un régime dictatorial, à une religion sans amour, habités, cependant, par quelque obscure nostalgie…
Dans notre littérature trop quiète, Raymond Duesberg introduit cette violence précise et folle qui fut celle d’un autre visionnaire, cinq cents ans plus tôt, son compatriote Jérôme Bosch. Son écriture unique, surgissement magnifique et insolite, profuse, cocasse, révèle un de ces écrivains de la race des grands visionnaires.
Lors de sa publication en 1962, ce roman provoqua un véritable séïsme littéraire et une critique unanime, il fut un best-seller commercial. Nous nous devions de rééditer ce chef-d’œuvre, dont le propos est plus que jamais d’actualité.Raymond Duesberg, industriel retiré des affaires, vit à Bruxelles. Il est l’auteur d’un seul livre, mais quel livre !
Les Grenouilles, un livre de Raymond Duesberg édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 07. Le singulier M. Hingle
L’Attikos, en provenance du Pirée, remonte la Tamise chargé de fret. Un homme saute à quai. Au coin de Malabar Street, il bouscule intentionnellement un docker ivre, qui est aussitôt happé par un autobus. C’est le début d’une série impressionnante de crimes indescriptibles, tous signés Mr Hingle.
Dickson et le surintendant Goodfield se lancent sur la piste de leur ami enlevé lors d’une soirée offerte en l’honneur de la visite à Londres du prince afghan Am Doullah. Ils sont suivis par deux suspects que Dickson abat froidement sous le regard médusé de Goodfield. Suit alors une course folle à travers un dédale de souterrains sordides où Dickson et Goodfield parviennent à libérer in extremis Tom Wills d’une mort assurée, à la merci du prince et de ses tueurs. Mais quel est le lien entre Am Doullah et Hingle ? L’enquête se transforme en véritable chasse, sinon en carnage, Dickson étant déterminé à éradiquer définitivement le mal.
Il faudra encore une confrontation avec la belle mais non moins redoutable princesse Ludmillah Werenoff, un voyage hallucinant sur une plage entourée de falaises, un albatros happé en plein vol par une araignée géante, un crabe horrible encore plus grand, quatre dacoïts — tueurs indiens fanatiques — et une ultime offensive pour venir à bout de l’énigme de ce singulier Mr Hingle. Mais qui a jamais rencontré le véritable Mr Hingle ? Dickson le révèle alors que nous sommes à bout de souffle.Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 07. Le singulier M. Hingle, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 06. La terrible Nuit du zoo
Comme d’habitude, Bill Wackens effectue sa ronde nocturne dans le pavillon des fauves du zoo de Londres — qu’il a pris soin de fermer à clefs de l’intérieur —. À l’aube, on le retrouve déchiqueté par un monstre. Un étrange vagabond est repéré sur les lieux. Par ailleurs, la dernière acquisition du zoo — un magnifique loup blanc — a elle aussi été abattue d’une balle. Harry Dickson et Tom Wills vont être entraînés dans une enquête hallucinante où le Dr George Huxton disparaît sans laisser de trace, au nez et à la barbe de son assistant Cabuy, et où la fiancée de Huxton, Luciana de Haspa — scientifique à l’origine de l’achat du loup blanc —, prétend vouloir les aider à résoudre l’énigme…
Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 06. La terrible Nuit du zoo, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 05. On a tué M. Parkinson
Joachim Parkinson, propriétaire nanti du show des « phénomènes », souhaitait racheter Heertha — un splendide puma — au directeur du cirque Bidderstone. Mais Parkinson est assassiné d’une flèche d’or à proximité de la cage aux lions.
Lorsque Harry Dickson arrive sur les lieux du crime, il constate que le cadavre a disparu. C’est alors que le dompteur Hardmuth est mortellement blessé par le puma. Il existe forcément des liens entre tous ces événements : de l’intérêt que nourrissait Parkinson pour le félin, aux flèches meurtrières. Harry Dickson opère dès lors une descente vers le monde des forains…Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 05. On a tué M. Parkinson, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 04. La Maison du Grand Péril
De nuit, Harry Dickson et son élève Tom Wills font une promenade lorsque leur attention est attirée, dans la vitrine du commerçant Phil Rummy — mort un mois auparavant —, par l’étrange silhouette d’un homme chauve. Ils perquisitionnent les lieux et découvrent une chaise royale ainsi qu’une missive annonçant l’assassinat de Lady Ruth Branican, meurtre que Dickson ne pourra éviter. Terrorisé, le mari de la victime refuse toute collaboration, mais révèle qu’il a rencontré Lady Branican à Téhéran en Perse. Le célèbre Harry Dickson parviendra-t-il à remonter aux sources du mal birman qui hante la « Maison du Grand Péril » ?
Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 04. La Maison du Grand Péril, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 03. L’Affaire Bardouillet
Charles Bardouillet, myope et discret jusqu’au jour où on le découvre mort, faisait chanter les riches, dont Hamilton Melton — l’amant de Lady Elisa Ogilvy — qui, lui aussi, vient de passer de vie à trépas, mais en se suicidant, ruiné. Le maître chanteur aurait pu être la victime d’une de ses proies, si Lady Elisa Ogilvy ne prétendait l’avoir vu bien vivant et avoir été, à nouveau, l’objet d’une tentative de chantage de sa part. Par ailleurs, la comédienne Charlotte Hyams a certainement joué un rôle trouble d’intermédiaire entre Bardouillet et Lady Ogilvy : elle fréquentait d’autres victimes de Bardouillet ! Autant d’intrigues que le fameux Harry Dickson aura à débrouiller, sans compter la disparition, depuis quelques jours, du comédien Bell…
Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 03. L’Affaire Bardouillet, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 02. Le Lit du diable
En 1858, John Grestock revient en Écosse dans le lugubre manoir familial de triste réputation qu’il a quitté huit ans auparavant. Quelle n’est pas sa surprise lorsqu’il constate que sa chambre est aujourd’hui luxueusement meublée ! Mais il remarque des traces de sang sur le lit, et deux hommes lui proposent une somme considérable pour qu’il ne remette plus jamais les pieds à Grestock Island !
Cette histoire parvient, cinquante ans plus tard, aux oreilles du célèbre Harry Dickson, qui fait aussitôt le lien avec l’affaire sur laquelle il enquête, à savoir l’inscription laissée sur un rocher en Écosse par un géologue assassiné. Juste avant de mourir, la victime a eu le temps d’écrire : « Grestock » !
Sur les lieux, Harry Dickson et son fidèle élève Tom Wills parviendront-ils à démasquer ceux qui, voués à un culte de l’antique Babylone, hantent le « lit du diable » ?Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 02. Le Lit du diable, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 01. Cric-Croc, le mort en habit
Cric-Croc, un bandit à tête de mort et en redingote, terrorise Londres. Il vient notamment d’enlever sur scène la ravissante actrice Gladys Faires, alors qu’elle répétait la dernière pièce du populaire dramaturge Périclès Holdon. Pendant ce temps, une bande de truands, versés dans la traite des blanches (de préférence des jolies comédiennes) dans les bas quartiers de Londres, sont éliminés un à un par un justicier fantôme. Le célèbre Harry Dickson pourra-t-il venir en aide à Scotland Yard pour dénouer les liens qui unissent ces deux affaires ?
Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 01. Cric-Croc, le mort en habit, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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L’éléphant qui avait du pollen sur les pattes arrière
Lecteur, je te dois un mot d’explication : tel un détective, j’effectue des recherches sur ma
prime enfance. Je souffre de ne pas savoir ce qui s’est réellement passé. Personne ne m’a
jamais donné la raison de mon placement alors que je n’avais même pas deux ans. Et quant
à mon état, je n’ai eu droit qu’à un festival d’argumentations pimentées de jargon médical,
pour être sûr que je n’y comprenne rien. Qu’en est-il ? Je ne supporte plus d’avouer mon
ignorance aux gens que je rencontre. Pour éviter de m’emberlificoter dans de fastidieuses
explications, je réponds « accident de voiture à dix ans ». Et je suis toujours surpris de voir
l’effet de ma réponse sur mon interlocuteur. Ma décision, je l’ai prise en survolant les Alpes.
La crise que ma mère avait piquée lorsque nous étions allés la voir à Barona, près de Milan,
ma sœur et moi, résonne toujours dans mes oreilles. Je veux simplement savoir ce qui s’est
passé à ma naissance, avant qu’il ne soit trop tard…Gilles, brillant ingénieur du son, qui a travaillé avec les plus grands artistes, ne lâchera pas le morceau.
Il frappera à toutes les portes, jusqu’à pousser celles des Archives générales du Royaume, en espérant
y dénicher la clé de l’énigme.Émouvant roman où la plume fine et sensible de l’auteur conduit le lecteur dans l’intimité d’une
relation difficile, celle d’une mère, que la vie n’a pas ménagée, et de son fils, d’un optimisme qui
déplace les montagnes.L’éléphant qui avait du pollen sur les pattes arrière, un livre de Philippe Marchandise édité aux Éditions Mols
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Fais descendre le Polonais
Trois condisciples d’université aux parcours de vie contrastés se retrouvent mêlés, quelques dizaines d’années plus tard, à un crime survenu dans un bar montant bruxellois.
Quels sont les liens entre le riche et célèbre pénaliste, le patron pervers de la boîte de nuit et l’auteur de fiction en mal de succès ?
À la veille de sa mort, l’avocat confie à l’écrivain le manuscrit de ses mémoires. Il y manque une cinquantaine de pages. Étrangement, celles- ci parviennent au romancier au compte-gouttes et dans le désordre.
Peu à peu, en y lisant les témoignages d’un nain au passé douteux, homme lige du propriétaire du bar, du voyou recruteur et de la tenancière, l’écrivain découvre des informations sur le crime. Pris au jeu, il mène l’enquête, accompagné par une jeune entraîneuse qui travaille dans la boîte depuis peu et le séduit.
Profitant de l’aubaine, l’écrivain se saisit de l’histoire pour la transformer en fiction. Il comprend alors avec effroi qu’il est lui-même lié de très près au cold case* qu’il raconte. De fictionnel, son roman dérive vers la chronique d’une réalité́ à laquelle il ne pourra échapper.
Roman noir haletant qui embarque le lecteur dans l’univers glauque de la nuit, Fais descendre le Polonais tient le lecteur en haleine et ne le lâche qu’une fois l’affaire élucidée.Jean-Louis du Roy de Blicquy – www.jeanlouisduroy.com –, après une carrière dans la finance, se consacre désormais à l’écriture. Fais descendre le Polonais est son septième ouvrage paru au Cri.
* Affaire criminelle non élucidée, ayant fait l’objet d’un classement sans suite.
Jean-Louis du Roy, né à Etterbeek (Bruxelles) en 1945 est licencié en sciences politiques et sociales (U. C. L. ) et Maître en management public (Solvay U. L. B. ). Il a occupé des fonctions dirigeantes dans le secteur financier et se consacre aujourd’hui à l’écriture.
LA PRESSE
Avec Tirs, son cinquième roman, il confirme son talent d’auteur à suspense qui lui avait valu, lors de la sortie de La Honte de Max Pélissier, les éloges d’une critique unanime :
Un roman trouble et troublant…( La Libre Belgique)
Le lecteur ne sera pas déçu…(L’Evénement)
On y trouve tous les ingrédients qui font les excellents suspenses…(Ciné Télé Revue)
L’élaboration tragique ne le cède en rien à la qualité de l’écriture… (L’Eventail)
Un suspense 100% belge. Une réussite !( La Dernière Heure)
Habilement ficelé… (Le Vif-L’Express)Fais descendre le Polonais, un livre de Jean-Louis du Roy de Blicquy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Au jardin des Immortels
Une nuit d’été. Une fête somptueuse et décadente. Des invités étranges et décalés. Un jardin peuplé de créatures mystérieuses. Une nature qui ne répond à aucune logique cartésienne. C’est tout cela que découvre Hector, jeune orphelin solitaire, après avoir volé une invitation qui ne lui est pas destinée. Cissy, une femme énigmatique rencontrée à l’entrée du domaine, le fait pénétrer dans cet autre monde dont il ne maîtrise pas les codes. Peut-on sortir indemne d’une plongée en eaux inconnues ? Qui sont vraiment ses hôtes ? Après avoir découvert ce qui se cache sous leur apparence de riches désœuvrés, Hector pourra-t-il se sauver ?
Au jardin des immortels est le cinquième roman de Valentine de le Court. Écrivaine et comédienne, cette ancienne avocate passionnée de mythologie antique explore cette fois la question du temps et de la mortalité́ humaine dans un récit qui nous conduit aux racines de notre civilisation européenne.
Au jardin des Immortels, un livre de Valentine de le Court édité aux Éditions Mols
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Vacances Obligatoires en Famille
Avez-vous des frères et sœurs? Non? Alors reposez ce roman sans l’ouvrir. Par contre, si vous en avez un, deux ou même sept, alors vous vous êtes sûrement déjà demandé comment vous pouviez être parfois si différent d’eux alors que vous avez grandi sous le même toit. C’est de cela dont il est question dans ce livre, de sœurs devenues adultes mais qui partent en vacances toutes ensemble, avec la tripotée d’enfants et de maris qui complètent la panoplie. Chacune rêve d’être ailleurs, aucune ne veut déplaire à sa mère, et rien ne se passe comme prévu…
Vacances Obligatoires en Famille, un livre de Valentine de le Court édité aux Éditions Mols
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Une maison bruxelloise
Dans la veine de ses deux romans précédents – description de situations cocasses, inattendues et dramatiques à la fois –, dans un style incisif, précis et original, l’auteur se complaît cette fois à se mettre dans la peau d’une mère de famille séparée de celle-ci et dont le sort dépend d’elle.
Une maison bruxelloise est le troisième roman de Valentine de le Court, après Explosion de particules et Vacances obligatoires en famille.
Une maison bruxelloise, un livre de Valentine de le Court édité aux Éditions Mols
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Un Mur de Pierres tendres. Peut-être un vendredi
Un blouson noir sur une voie ferrée, un train s’avance vers lui et va le broyer… Mais un homme bouscule l’adolescent et le sauve.
Charles, ce “saint-Bernard”, décide de continuer le sauvetage en hébergeant chez lui le jeune désespéré qui s’appelle Jimmy, qui a quinze ans, qui est odieux.
Mais Charles, soutenu dans son entreprise par sa femme, est prêt à tout pour faire de son protégé un homme.
Or Jimmy prouvera à ses parents adoptifs qu’il est difficile, voire dangereux, d’essayer de transformer une “graine de violence” en fils reconnaissant…Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assassin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.Un Mur de Pierres tendres. Peut-être un vendredi, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Tirs
Lorsqu’un psychanalyste freudien déprimé voit entrer dans son cabinet la belle Francesca Neumann, championne du monde de tir au pigeon, il est loin de se douter que sa patiente va l’emmener dans un cauchemar qu’il mettra de longues séances à décoder. Au fil de sa cure, il va tenter de comprendre la relation impossible de Francesca avec son soupirant. D’où viennent les morts qui parsèment les rencontres de sa cliente avec Raphael di Portaluppi, un aristocrate vénitien désargenté ? Est-elle une schizophrène intraitable ou, plus simplement une manipulatrice dont il serait la dupe inconsciente ? Quel est le rapport entre le bijoutier de Marrakech, le châtelain du Condroz et le moine de l’abbaye d’Orval ? Quand le psychanalyste comprendra enfin, il sera trop tard : son passé l’aura rattrapé.
Dans ce suspense-prétexte passionnant, avec une guerre des psy en arrière-fond, l’auteur nous emmène dans un univers impitoyable. Scandé au rythme lancinant du quartette de Schubert La jeune fille et la mort, l’intrigue ne lâche pas le lecteur un seul instant.Jean-Louis du Roy, né à Etterbeek (Bruxelles) en 1945 est licencié en sciences politiques et sociales (U. C. L. ) et Maître en management public (Solvay U. L. B. ). Il a occupé des fonctions dirigeantes dans le secteur financier et se consacre aujourd’hui à l’écriture.
LA PRESSE
Avec Tirs, son cinquième roman, il confirme son talent d’auteur à suspense qui lui avait valu, lors de la sortie de La Honte de Max Pélissier, les éloges d’une critique unanime :
Un roman trouble et troublant…( La Libre Belgique)
Le lecteur ne sera pas déçu…(L’Evénement)
On y trouve tous les ingrédients qui font les excellents suspenses…(Ciné Télé Revue)
L’élaboration tragique ne le cède en rien à la qualité de l’écriture… (L’Eventail)
Un suspense 100% belge. Une réussite !( La Dernière Heure)
Habilement ficelé… (Le Vif-L’Express)Tirs, un livre de Jean-Louis du Roy de Blicquy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)