• La rencontre de monsieur Swahan

    Je suis Judith : une femme active, en recherche d’équilibre, qui a construit sa vie pas à pas. Mon existence me satisfait pleinement car elle évolue dans une certaine structure logique qui m’apaise, m’équilibre entre famille, travail et amis. J’en suis fière.
    Puis vient ce voyage qui ébranle des certitudes, quelques-unes de mes croyances et m’ouvre à d’autres réalités.
    Qui suis-je face à l’inconnu ?
    Est-ce que ma vie peut être menée avec plus d’insouciance ?
    Comment lâcher prise ?
    Y a-t-il un sens à parcourir notre chemin ici-bas ?

    La rencontre de monsieur Swahan, un livre de Géraldine de Radiguès édité aux Éditions Mols

    17.90 
  • La Morte survit au 13

    Bien sûr, depuis l’événement, les clients – pardon, les hôtes – se pressent en foule au “Grand 13”. Pourtant, Mme Adèle, son énergique tenancière, ne sait trop si elle doit s’en féliciter.
    Certes, le tiroir-caisse tinte agréablement à ses oreilles, mais un assassinat dans une maison qui prétend à la respectabilité, cela fait mauvais effet. Et puis, le zèle des filles s’en trouve brutalement refroidi. Câliner des messieurs portés sur la bagatelle, d’accord : elles peuvent bien les laisser attenter à une vertu qui n’est plus qu’un lointain souvenir.
    Mais de là à les laisser attenter à leur vie…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    La Morte survit au 13, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • La Légende du roi Crapaud

    « Et il vit que, depuis le début, tout bégayait, en effet : le rêve hâtif d’Agabal Megakan, devenu Alexandre Agabal ; la longue marche des Crapauds, affamés, sans halte, contre le jour et la nuit ; et, surtout, toute cette démangeaison soudaine des chairs, aux pieds d’un Arbre torsadé en son milieu de trois ventres ; et cette eau d’immortalité refusée par Alexandre le Grand et qu’Agabal Alexandre croyait avoir bu, à travers les mots bégayants d’une Cigogne à demi folle. (…) Agabal Alexandre, à son tour, redevint Roi et, à côté de son frère Kanaan le pensif, médita le commencement, bientôt, de sa guerre et de sa victoire. Il écouta la nuit. (…) Des tintements de métal, clairs, ting, ting, ting, résonnaient dans les ténèbres : Koroman Gbete, le forgeron divin, dans sa forge en forme de cratère, ciselait le rire de son Roi. Le rêve d’Agabal Alexandre ne bégayait pas. Car, façonnée dans l’obscurité entre l’enclume et le marteau, surgissait enfin sa légende, la légende du Roi Crapaud, sous la forme d’une armure ovoïde comme l’œuf du Monde ! »

    Grâce à un récit magistral, l’auteur nous entraîne dans un monde merveilleux où la langue rivalise de virtuosité avec l’imagination. Et si, un jour, Hommes et Crapauds s’associaient dans un même vrombissement d’amour pour lever, de leurs voix déchirées, un déluge broyeur de démons, comme fut broyée, jadis, l’Atlantide ? Une voix étrange venue d’Afrique et qui, dans un murmure épique, une communion de sens, nous rappelle que le fantastique du Nord n’est pas si loin…

    Vincent Lombume Kalimasi est né à Léopoldville le 3 janvier 1947. Après des études en journalisme, sociologie et philosophie, il devient agent d’entreprise pour le compte de la Cadeza, de la Sozacom et de la Gécamines, puis directeur technique pour l’Agence congolaise de Presse (ACP) et, enfin, pour un temps, membre du cabinet du Ministre de l’information et de la culture. Depuis, il consacre son temps à l’écriture. Il vit à Kinshasa.

    La Légende du roi Crapaud, un livre de Vincent Lombume Kalimasi édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    16.00 
  • La Honte de Max Pélissier

    Lorsque Jaube, un SDF, vient squatter Cosy Nook, une villa abandonnée au bord de la mer du nord, il est loin de se douter que les fantômes qui l’habitent vont le transformer en témoin puis, peu à peu, en acteur involontaire d’une tragédie où rien ne lui sera épargné. Malgré lui, il devra partager jusqu’au bout tous les ingrédients du mystère de la famille Pélissier : le testament d’un juif caché pendant la guerre, la recherche d’un Picasso disparu, le deuil impossible d’un enfant noyé, les affres d’une relation aux relents sado-masochistes, et un énorme scandale dans le milieu de l’art. Les souvenirs de Cosy Nook s’entrechoquent avec le présent, jusqu’au dénouement du drame familial.
    Dans ce suspense-prétexte à l’intrigue haletante, l’auteur nous plonge avec humour et cynisme dans les turpitudes de l’univers de l’Art, mais nous en fait aussi découvrir le pouvoir rédempteur.

    Jean-Louis DU ROY, né à Etterbeek (Bruxelles) en 1945 est licencié en sciences politiques et sociales (U.C.L.) et maître en management public (Solvay U.L.B.). Il a occupé des fonctions dirigeantes dans le domaine financier et se consacre aujourd’hui à l’écriture.
    Avec La Honte de Max Pélissier, son quatrième roman, il nous démontre qu’il est passé maître dans l’art du suspense.

    La Honte de Max Pélissier, un livre de Jean-Louis du Roy de Blicquy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    20.00 
  • La Famille Kaekebroeck

    Voici des « mœurs bruxelloises » mises en scène au travers des rapports entre les familles Kaekebroeck, Mosselman, Rampelbergh, Posenaer et autres habitants du « bas de la ville », héros pittoresques, croqués avec une grande dextérité. On ne peut s’empêcher de penser à Pagnol et à sa trilogie marseillaise. Des pages sobres et vraies, imprégnées d’une tendre bonhomie, vivantes et saines. Un récit attachant, de la couleur, une observation juste et pleine de bienveillance. Quant aux dialogues, dont l’auteur a compris l’importance, ils sont comme pris sur le vif tant ils sont naturels.
    Nul n’a mieux saisi que l’auteur de La Famille Kaekebroeck le jargon bruxellois émaillé de flandricismes, de belgicismes et de tropes hardis ou délicieux auxquels les lecteurs qui le peuvent ajoutent l’inimitable accent local. L’auteur parvient même à faire alterner, sans heurts et sans maladresses, l’atticisme de sa langue, fine et châtiée, avec le rude et burlesque baragouin de ses héros.
    C’est de ce contraste continuel que naît un charme irrésistible…

    Léopold COUROUBLE (1861-1937) fut Docteur en droit. Il séjourna au Congo de 1900 à 1903, séjour dont il s’inspira pour ses récits de voyages, notamment Profils blancs et Frimousses noires (1901). Ses textes « folklo-riques » ne doivent pas nous faire oublier, entre autres : Mes Pandectes (1900), En plein soleil (1900), Images d’outre-mer (1902) et, surtout, Les Contes et récits d’un Bruxellois (1907).

    La Famille Kaekebroeck, un livre de Léopold Courouble édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • La faim des magiciens

    Une ville de vingt mille habitants se construit en pleine forêt amazonienne. Des généticiens mettent au point des projets pour améliorer le sort de l’humanité, cette humanité confrontée aux problèmes de la violence et de la surpopulation. Quelle est la relation entre cette cité énigmatique et les développements de la génétique ?

    Site de l’auteur

    La faim des magiciens, un livre de Raphaël Jacquerye édité aux Éditions Mols

    21.50 
  • La dame qui fuit Saint-Tropez

    1925, sur la Côte d‘Azur. Tout sourit à Colette, dont la notoriété ne cesse de grandir. Attirée par le Midi, elle achète à Saint-Tropez une maison très simple, qu’elle baptise la Treille Muscate.
    Quelques décennies plus tard, un important homme d’affaires parisien y est assassiné dans des conditions obscures. Delphine Naboulet, admiratrice de Colette et passionnée par son œuvre, part sur les traces de son auteur favori et se retrouve au centre du drame. Sur fond d’immobilier douteux, la nouvelle enquête du Capitaine Ange Mattéi prend une saveur particulière, à l’accent du Midi et aux odeurs d’olive.

    La dame qui fuit Saint-Tropez, un livre de Martine Cadière édité aux Éditions Mols

    20.00 
  • L’Œil de l’iguanodon

    Une nouvelle aventure de Bob Morane et Miss Ylang-Ylang. Henri VERNES nous entraîne cette fois dans une folle équipée à travers la capitale de l’Europe. On se laissera envoûter par le parfum de la sensuelle Eurasienne Miss Ylang-Ylang — qui aidera Bob Morane à sauver la ravissante Nathalie des griffes de l’« Homme aux Dents d’Or », à la solde du milliardaire et collectionneur de Las Végas, Howard Heyst. H.H. parviendra-t-il à « se faire » la peau de l’iguanodon récemment découverte près de Bernissart en Belgique, transportée pour expertise au Muséum des Sciences naturelles ? À travers une aventure haletante et fantastique, qui nous fait voir Bruxelles autrement, Henri VERNES nous prouve plus que jamais qu’il est un des « iguanodons » du suspens.

    L’Œil de l’iguanodon, un livre de Henri Vernes édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.59 
  • L’Exil du Centaure

    L’Exil du Centaure est l’histoire déchirante d’une jeune femme à travers ses fantasmes, à travers son passé. Une histoire d’amour aussi, où s’exacerbent romantisme, violence et passion. Ce roman poignant qui, à sa sortie en 1982, bénéficia des faveurs du public et obtint le Prix du roman de la Ville de Bruxelles, méritait d’être enfin réédité.
    Thilde BARBONI est l’auteur de sept romans publiés en Belgique, en Suisse et à Paris. Trois de ses romans ont été traduits et publiés en allemand et en coréen. Traductrice et psychologue de formation, elle enseigne l’italien (littérature, histoire, traduction) à Mons (École d’interprètes Internationaux), et anime à Bruxelles des ateliers de psychologie de la traduction (Centre Européen de traduction littéraire). Elle est aussi critique littéraire.

    L’Exil du Centaure, un livre de Thilde Barboni édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    6.20 
  • L’or des saints

    Quelques jeunes gens parcourent l’Europe à la recherche d’un maître orfèvre. Une jeune abbesse intelligente et mystique conçoit une châsse qui exprime avec force la place de la femme dans un monde qui la méprise et l’exploite.

    L’or des saints, un livre de Bernard Wuillaume édité aux Éditions Mols

    23.00 
  • L’été des rats

    Ce livre est un roman policier à suspense, dans la grande tradition du polar d’énigme classique, avec un enquêteur récurrent, un tueur en série, des indices, des alibis, des suspects et un coupable trouvé. Il a été imaginé autour d’un poème attribué à Jacques Prévert.

    L’été des rats, un livre de Martine Cadière édité aux Éditions Mols

    20.00 
  • Je viendrai ce soir à neuf heures…

    Pourquoi un célèbre auteur parisien disparaît-il sans laisser de traces la veille de recevoir la récompense suprême pour les écrivains ? A-t-il un lien avec cet enseignant français engagé dans l’alphabétisation au Sénégal ? La journaliste lancée à sa recherche arrivera-t-elle à sonder les cœurs et les âmes ?

    Je viendrai ce soir à neuf heures…, un livre de Willy Deweert édité aux Éditions Mols

    19.90 
  • Je travaille à Paris et dors à Bruxelles

    Vous vous interrogez sur la place du travail dans notre société ? Alors ce roman est pour vous !

    En suivant Justine, vous pénétrez, de l’intérieur, le monde de la consultance : les missions, les clients, les voyages, la compétition, les team buildings, les méthodes de management, le jargon, les fusions, les restructurations… Justine se fait, elle aussi, petit à petit happer par le système. « Travailler plus pour gagner plus ! » disait Sarkozy… Mais est-ce vraiment une fin en soi ?

    Je travaille à Paris et dors à Bruxelles, un livre de Élise Bussière édité aux Éditions Mols

    20.00 
  • Haute Tension

    “Madame Mortimer, vous jurez de dire toute la vérité, rien que la vérité…”
    À l’époque, Rita a juré que son mari avait été abattu par un cambrioleur quelques minutes après leur retour imprévu à la villa… Il y a sept ans de cela.
    Aujourd’hui, un inconnu s’est introduit dans la chambre de Rita. Blême, les yeux creux, les mains dans les poches de son trench-coat fatigué, le feutre mou rabattu sur le front, il n’a guère bonne allure…
    Et il prétend qu’à cause d’elle, il a passé sept années en prison, alors qu’il était innocent !

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Haute Tension, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • Explosion de particules

    Et si l’on pouvait assister à son propre enterrement ?
    Si tous les gens que l’on a aimés ou détestés au fil de sa vie se trouvaient réunis en un même endroit, sachant pourquoi vous avez disparu, alors que vous-même n’en avez plus le moindre souvenir ?
    Et si toute l’assemblée présente, aristocrates belges en apparence classiques et bien-pensants, étaient en fait bien plus délirants, cyniques et imparfaits les uns que les autres ?
    Comment Juliette, violoniste promise à un bel avenir, a-t-elle pu mourir si tôt ?

    Explosion de particules, un livre de Valentine de le Court édité aux Éditions Mols

    19.90 
  • En Plein Soleil

    Léopold Courouble (Bruxelles 1861-1937), à Bruxelles, rue des Chartreux, dans la belle demeure familiale, surmontée d’un double pignon à redans, qu’il a décrite dans La Maison espagnole (1904). Âgé à peine de sept ans, Léopold a été mis en pension à Vanves. Pensionnaire quelque temps au Lycée Louis-le-Grand, il revient adolescent de Paris en 1877, pour achever ses humanités à l’Athénée de Bruxelles. S’il lui plaira, dans le cycle des Kaekebrœck (qui fera des émules, parmi lesquels les auteurs fameux du Mariage de Mlle Beulemans) et quelques autres ouvrages, de peindre avec un réalisme tout imprégné de sympathie les Bruxellois bruxellisants du bas de la ville, il lui déplaisait que son entreprise amenât les esprits simplistes à voir en lui un bon Brusseleer.
    Inscrit à l’Université libre de Bruxelles, il en sort en 1884 avec le diplôme de docteur en droit. Ce qu’il a appelé discrètement la fortune changeante le réduit tout soudain à la pauvreté. Que faire? Le métier d’avocat s’offre à lui. Il plaide quelque peu, mais il eut vite fait, dira George Garnir, de prendre en grippe la robe et le rabat du stagiaire. Il s’embarque alors comme simple matelot sur un navire qui part pour l’Amérique, une aventure sans lendemain qu’il racontera dans Atlantique Idylle (1895), et qui, souvenir durable, lui fournira le sujet et le cadre de son dernier roman, À bord du Jacques Van Artevelde.
    Il s’oriente vers le journalisme. Les chroniques judiciaires, signées Maître Chamaillac, qu’il donne à La Réforme, mettent en lumière son talent de narrateur ; il en publiera un choix dans Mes Pandectes (1904). Voilà qu’on lui propose, en 1889, un poste de magistrat au Congo. Il l’accepte, et il apporte à ses fonctions un zèle méritoire. Mais des ennuis de santé interrompent sa carrière africaine. Bien que brève, elle hante sa mémoire : En plein soleil (1900), Profils blancs et frimousses noires (1901), Images d’outre-mer (1903).
    Les premiers de ces textes sont enfin réédités.

    En Plein Soleil, un livre de Léopold Courouble édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    16.00