• De Rome à Marcinelle !

    18.00 

    La catastrophe de Marcinelle du 8 août 1956 a provoqué un deuil national sans équivalent dans l’histoire de la Belgique et suscité un mouvement de solidarité dans l’Europe entière.
    Cinquante ans après, le souvenir demeure vivace pour celles et ceux qui ont vécu l’événement. Un double message s’impose à nous pour les nouvelles générations, il s’agit avant tout de comprendre pour mieux construire le présent et le futur.
    Pour le monde du travail, la solidarité reste le moyen par excellence d’agir, de modifier les législations et de faire honneur à tous les militants du monde qui luttent pour de meilleures conditions de travail. La commémoration de Marcinelle n’est qu’un début, le combat continue !
    Ce livre (coédité avec la CSC-Énergie-Chimie) reprend les communications d’un colloque scientifique qui s’est tenu à Charleroi en juin 2006. Il a réuni des scientifiques belges et italiens, ainsi que des acteurs syndicaux, patronaux, et des responsables de la Commission européenne, qui ont abordé la catastrophe dans sa dimension historique, posé le diagnostic aujourd’hui, réflechi aux défis futurs de la sécurité et de la santé au travail en vue d’agir pour plus de sécurité sur le lieu de travail.
    Que révèle la bataille du souvenir entreprise après Marcinelle sur la société belge face à son passé ? Quels sont les principaux enseignements que peut véhiculer la mémoire d’une catastrophe d’une telle ampleur ? Comment tirer profit des leçons du passé pour renforcer la prévention des risques sur le lieu de travail aujourd’hui et demain ? Comment répondre aux défis que posent l’élargissement de l’Europe et la globalisation en matière de sécurité et de santé au travail ?
    Autant de questions auquel ce livre tente d’apporter des réponses.

    De Rome à Marcinelle !, un livre de Italo Rodomonti édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • De la scène à la lucarne (conversations avec Henri Billen)

    18.00 

    À travers l’évocation de la longue carrière d’Henri Billen (1918), homme de théâtre – sur les planches, dans les jeux radiophoniques et à la tête du service des Dramatiques à l’INR (et puis à la RTB), un pan entier du monde artistique belge francophone du XXe siècle ressurgit. Il a d’abord fréquenté et puis dirigé le Jeune Théâtre de son Alma Mater, l’Université Libre de Bruxelles. Dans ce milieu, il a côtoyé un groupe de « créateurs libres » qui, comme lui, sont passés – d’allers en retours – de la scène à la lucarne. Ce sont les Wangermée, Van Hout, Delville, Lanc, Danblon, Anrieu, Roland, Ravar, Becker, Brédael, Thierry… Sans oublier Louis-Philippe Kammans, le fondateur de la compagnie avant d’être le premier « patron » d’Henri Billen aux débuts de la télévision. Sur les balbutiements de l’INR, Henri Billen porte un regard tendre et sans nostalgie. Il raconte, avec humour, une période d’expériences audacieuses et artisanales où les pionniers programmaient des fictions pour le petit écran avec à l’esprit une définition exigeante des missions du service public. Celles-ci bénéficièrent de la complicité de nombreux comédiens belges dont un certain nombre d’AJT (d’Anciens du Jeune Théâtre). Cette série d’entretiens avec Henri Billen s’appuie sur la bibliographie spécialisée, des fonds d’archives la plupart originaux et de nombreuses interviews, souvent réalisées en sa compagnie.

    Docteur en Histoire (ULB), Pierre Van den Dungen est chercheur (ULB) et professeur à La Cambre-ENSAV (Bruxelles). Spécialiste en histoire de la presse et des médias (Milieux de presse et journalistes en Belgique (1828-1914), Bruxelles, Académie royale de Belgique, 2005, La Civilisation du journal, Histoire culturelle et littéraire de la presse française au XIXe siècle (1800-1914), Dominique Kalifa et alios (dir), Paris, Nouveau Monde, à paraître en 2009…).

    De la scène à la lucarne (conversations avec Henri Billen), un livre de Pierre Van Den Dungen édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • De l’emprise à la liberté

    21.50 

    Ce livre repose sur des témoignages.
    Des personnes qui ont souffert de dérives sectaires dans des mouvements catholiques agissant dans l’Église font part de l’épreuve qu’elles ont endurée.

    De l’emprise à la liberté, un livre de Vincent Hanssens édité aux Éditions Mols

  • De Blanche-Neige à Harry Potter, des histoires pour rebondir

    18.00 

    Ce livre, pour comprendre la résilience, emboîtant le pas à Blanche-neige, Harry Potter et d’autres, sera utile aux adolescents, à qui il est dédié par sa forme, comme aux parents et aux professionnels de l’éducation éducative et sociale, à qui il s’adresse par le fond. Cet ouvrage constitue en effet à la fois une mine de thèmes de réflexion à propos de l’éducation et un réservoir de concepts, de problématiques, d’analyses, d’expériences de terrain et de techniques d’action rencontrant toutes un même idéal : celui de la tolérance et de la solidarité…

    De Blanche-Neige à Harry Potter, des histoires pour rebondir, un livre de Bruno Humbeeck édité aux Éditions Mols

  • Davies, la mort qui tue

    17.00 

    Davies a une double vie : détective privé le jour, agent de la sureté de l’État la nuit. Davies a un don : le don de se placer au centre des situations les plus rocambolesques.
    Engagé par le notaire Gentil — qui n’a de gentil que son nom — pour retrouver l’assassin de son client décédé, Davies doit combattre des terroristes internationaux tout en poursuivant des agents secrets qui en savent beaucoup trop… Une seule certitude : si Davies ne sauve pas la capitale de l’Europe de la menace terroriste, personne ne pourra le faire !
    Au cours de cette aventure, nous faisons la connaissance de personnages pas très nets issus de la CIA, du Hamas et/ou du Mossad, le tout agrémenté d’une dose d’amour, d’humour noir, et d’une intrigue non conventionnelle.
    Davies est parmi nous. Prenez garde en traversant !

    Fabrice Gardin associe dans son travail quotidien au Théâtre des Galeries la communication à sa passion du théâtre et de l’écriture. Il est l’auteur de Les Inconsolables (lecture-spectacle en mai 2004 au Théâtre du Parc), Destin (Théâtre du Méridien, octobre 2005, éditions Le Cri), Anna, Une rencontre comme une autre (La Samaritaine, avril 2007, éditions Le Cri), L’Hôtel idéal, Compartiment non-fumeurs et Une vie d’infortune (L’Arrière-Scène, octobre 2008). Il a adapté Candide de Voltaire (Compagnie des Galeries, été 2002) et L’assassin habite au 21 de S. -A. Steeman (Théâtre des Galeries, octobre/novembre 2008).

    Christian Lutz est né à Léopoldville en 1954. Après un passage par les multiples réseaux du livre — de la librairie à la distribution en passant par l’imprimerie —, il fonde les éditions Le Cri en 1981. Il a été administrateur de la Foire internationale du Livre de Bruxelles de 1984 à 1992. Outre un roman écrit avec Fabrice Gardin, il est aussi l’auteur d’un roman historique, Marie ou la Renaissance (avec Arnaud de la Croix, Legrain, Bruxelles — rééd. Le Cri, Bruxelles, 2002) et d’une adaptation de Dracula de Bram Stoker (avec Denis Leddet).

    Ensemble, ils ont publié Peut-être rencontrerons-nous des pintades en route (roman, Le Cri, 2006).

    Davies, la mort qui tue, un livre de Fabrice Gardin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Dall’abuso alla libertà – ePub

    0.00 

    Dall’abuso alla libertà – ePub, un livre de Vincent Hanssens édité aux Éditions Mols

  • D’un Sang bleu assez froid

    7.41 

    Un homme d’affaires, à qui tout semble réussir, navigue entre son épouse aristocrate, une amie de jeunesse, quelques aventures, et ses ambitions professionnelles. Lorsqu’il rencontre Laura, il est loin de se douter que sa vie va être littéralement mise en pièces… À travers ce roman haletant, l’auteur décrit avec humour et cynisme l’environnement d’un héros de notre temps, victime inconsciente des leurres de notre société « moderne », du monde sans pitié des affaires et des champs de courses.

    Jean-Louis DU ROY, né à Etterbeek (Bruxelles) en 1945 est licencié en sciences politiques et sociales (U.C.L.) et maître en management public (Solvay U.L.B.). Il a occupé des fonctions dirigeantes dans le domaine financier et se consacre aujourd’hui à l’écriture.

    D’un Sang bleu assez froid, un livre de Jean-Louis du Roy de Blicquy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • D’un Dieu ténébreux

    21.00 

    De l’Inde capiteuse des comptoirs français à l’atelier berlinois du sculpteur favori du IIIe Reich, en passant par un Paris mondain promis aux lâchetés de la collaboration, Roman Vanderloo, jeune homme que sa beauté expose, connaîtra tous les visages de la trahison, tous les corps du désir, avant de trouver, retrouver, celle qui incarnera pour lui le seul amour.

    À l’occasion de la parution — chez Le Cri, éditeur — du premier tome des œuvres d’Yves-William Delzenne, Arnaud de la Croix présenta l’auteur en ces termes : J’ai appris à connaître l’homme, parfois insupportable, souvent délicieux : doux mélange où surnage, curieusement, et dans mon cœur et dans ma tête, la fidélité. Cet entêtement à accomplir, au travers de ses vocations multiples — charmeur, acteur, dandy, diseur, causeur, élégant, séducteur, narcissique en diable, agent d’artistes ou galeriste, généreux toujours —, un travail, l’aptitude à creuser un sillon, l’air de rien, ce qui finalement est tout. C’est cet homme qui donne ici un roman bien dans sa manière et très surprenant.

    D’un Dieu ténébreux, un livre de Yves-William Delzenne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Cuisiner. Un Art de Vivre

    18.00 

    Ce livre a sauvé mes enfants de la malnutrition ! (Une cliente au Salon du livre)

    Enfin rééditée, cette somme du bon sens culinaire, avec une abondante iconographie et trois dessin originaux de Thierry Bosquet, ravira les amateurs de beaux livres et de fourneaux.
    Des annexes et index pratiques permettent une lecture interactive efficace et complète, afin d’optimiser tout projet culinaire.

    Sous une forme efficace, avec une iconographie fournie, ce livre constitue une source d’inspiration inépuisable pour ceux qui aiment et/ou doivent cuisiner.

    Marie Delcourt fut avant tout une Helléniste de première force, traductrice et biographe des grands classiques, éminent professeur à l’Université de Liège, elle était une chercheuse de haut niveau hantée par le souci de communiquer son savoir.
    C’est ainsi qu’excellente cuisinière, elle tint à rédiger ce manuel culinaire à l’usage de ceux qui exerçaient une profession absorbante.
    Ce contexte fera de son projet un livre exceptionnel.

    Cuisiner. Un Art de Vivre, un livre de Marie Delcourt édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Crimes à vendre

    15.00 

    “Monsieur le préfet de police, je vous préviens qu’un crime sera commis demain dans le XVIIe arrondissement. Signé : Le Furet.”
    Des lettres de ce genre, la police en reçoit des dizaines. Elles échouent dans la corbeille à papiers et on n’en parle plus. À moins que… À moins qu’un assassinat ne soit effectivement commis dans le XVIIe arrondissement… Simple coïncidence ? Peut-être… Pourtant, lorsque le Furet récidive, sa lettre est examinée d’un peu plus près. Cette fois, c’est le XVIe qui est visé. Et cette fois encore, le Furet a vu juste. Trop bien informé pour être honnête, le Furet. Il faut le coincer avant que la population de la capitale ne soit décimée…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Crimes à vendre, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Conscience tardive

    12.00 

    Conscience tardive, un livre de Kristoffer Berger édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Congo. Mémoires à vif

    23.50 

    Les auteurs :
    Luc Beyer de Ryke
    Françoise Germain-Robin

    La rédaction de ce livre a été entamée à l’automne 2017 par Luc Beyer de Ryke, journaliste bien connu des auditeurs de la RTBF. La mort l’a fauché par surprise en janvier 2018. C’est sa compagne, Françoise Germain-Robin, qui a repris la plume. Comme un acte d’amour et en hommage à sa mémoire. Et à tous ces hommes et ces femmes, Belges et Congolais, qui ont vécu « le temps des colonies » et dont il voulait faire une galerie de portraits. Leurs témoignages, livrés tels quels ici, font partie de l’histoire de la Belgique et du Congo, intimement liés malgré les déchirures.

    Congo. Mémoires à vif, un livre de Luc Beyer de Ryke édité aux Éditions Mols

  • Congo, Le Septième lot

    21.00 

    Joris Borluut, architecte de la ville de Bruges à laquelle il veut rendre sa beauté ancienne, est élu carillonneur après un brillant concours. Emporté par le désir, il épouse la sensuelle Barbe, fille de son ami Van Hull, mais, déçu par son caractère violent, il a une liaison avec la sœur de sa femme, la douce et mystique Godelieve. Barbe découvre l’adultère et Godelieve fuit dans un béguinage. Joris va alors se consacrer tout entier à son art. Une querelle éclate entre lui, le défenseur des valeurs esthétiques de Bruges, et le parti de Farazyn, plus pragmatique, qui désire une renaissance économique pour la ville et la création de Bruges-Port-de-Mer. Joris perd sa place d’architecte et, désespéré, …

    Georges RODENBACH (1855-1898). Avec Émile Verhaeren, il est l’aîné de la génération symboliste belge. Dans La Jeunesse blanche (1886), il inaugure un phrasé poétique désormais inséparable d’une thématique restreinte : miroirs, canaux, brouillards, villes mortes, béguinages, chevelures. Sa gloire parisienne date de 1892 et de Bruges-la-Morte, bref récit qui tient le milieu entre le roman psychologique, la nouvelle fantastique et le poème en prose. Le Voile est joué avec succès à la Comédie française en 1894. Chroniqueur attitré du Figaro, il devient une figure en vue du Tout-Paris littéraire et mondain.

    Congo, Le Septième lot, un livre de Jean-Claude Marlair édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Confiance dans l’azur

    23.00 

    Le titre du présent ouvrage fait écho à celui d’Hubert Reeves, Patience dans l’azur, Seuil, 1988.

    Confiance dans l’azur, un livre de François-Xavier Nève de Mévergnies édité aux Éditions Mols

  • Cœurs mis à nu, 16 siècles d’écriture du Moi

    12.00 

    À propos du livre (Académie royale de Langue et de Littérature françaises de Belgique)

    Jacques Crickillon définit un jour Marcel Lobet comme «l’homme qui creuse sans fin ses sillons vers une ligne d’horizon salvatrice, qui revient très souvent à cette fonction de délivrance qu’il attribue à l’écriture littéraire», préoccupation qui explique l’attention que porta continuellement Lobet à la confession littéraire, thème de deux de ses essais : Écrivains en aveu, en 1959, et La ceinture de feuillage, en 1965.

    Ces livres devenus introuvables constituent la matière essentielle du présent recueil établi par Marc Lobet, le fils de l’auteur. Ces Cœurs mis à nu, à l’instar des Classiques de l’an 2000 qui fuent réédités naguère, témoignent, à propos de la littérature d’aveu et d’introspection, du mode d’approche critique de Lobet : sans didactisme et loin de tout esprit de système, la quête qu’il poursuivait tentait de sonder la vérité humaine.

    Des articles de revues, des communications à l’Académie viennent compléter les études rassemblées initialement par l’écrivain lui-même : tous ces textes scrutent des dramaturgies intérieures qui peuvent se confondre avec la vie surnaturelle ou rejoindre l’angoisse métaphysique, la hantise de l’absurde, le tragique de notre condition.

    Cœurs mis à nu, 16 siècles d’écriture du Moi, un livre de Marcel Lobet édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 20. Le Vampire aux yeux rouges

    6.50 

    Après un périple en Allemagne à la recherche du Vampire aux yeux rouges, qu’il croyait pourtant avoir arrêté en la personne d’Ebenezer Grump, et un imbroglio de chassés-croisés entre Grump, la maison hantée du notaire assassiné d’Hilderstein et le comte Jean-Népomucène Dragoni, pourtant décédé deux cents ans auparavant, Harry Dickson et son élève Tom Wills rentrent à Londres, et c’est là que se déroulera l’ultime combat avec le Vampire et un des plus cruels meurtrier de tous les temps…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 20. Le Vampire aux yeux rouges, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)