• Polo le Lapin se bouche les oreilles !

    Livre à raconter sur la thématique de l’aliénation parentale.
    Des questions sont posées à l’enfant pour l’aider à réfléchir et à se sortir de l’enfer causé par la séparation de ses parents dont il n’est en rien responsable.

    Polo le Lapin se bouche les oreilles !, un livre de Bruno Humbeeck édité aux Éditions Mols

    12.50 
  • Polo le Lapin. Fifi l’éléphant et la souris Marcel qui le harcèle tout le temps !

    Livre à raconter sur la thématique du harcèlement en milieu scolaire.
    Des questions sont posées à l’enfant pour l’aider à réfléchir et à sortir la classe et chacun d’eux de la spirale infernale.

    Polo le Lapin. Fifi l’éléphant et la souris Marcel qui le harcèle tout le temps !, un livre de Bruno Humbeeck édité aux Éditions Mols

    12.50 
  • Prends mes mains dans les tiennes

    Attilio Stajano est volontaire dans l’unité de soins palliatifs d’un hôpital bruxellois. À travers les personnes qu’il rencontre au sein de ce service, mais aussi à travers sa propre expérience de la fin de vie, il nous donne à voir des histoires et des sensibilités très différentes, qui ont pourtant toutes un trait commun : à la fin, quand les gestes et les mots se font rares, il ne reste que l’amour.

    Prends mes mains dans les tiennes, un livre de Attilio Stajano édité aux Éditions Mols

    20.00 
  • Profils perdus

    Profils perdus, un livre de Louis Dubrau édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    21.00 
  • Quand les Wallons s’éveilleront…

    Essayiste politique reconnu, Jules Gheude dissèque la problématique communautaire belge depuis plus de trente ans.

    Ce livre rassemble de très nombreux témoignages et contributions d’hommes politiques, journalistes, professeurs d’université belges, mais aussi français.

    Comme son livre précédent – L’incurable mal belge, deuxième des trois finalistes du Prix du Livre politique en 2007 –, celui-ci est une mine d’informations, davantage cette fois tournées vers l’avenir.

    Quand les Wallons s’éveilleront…, un livre de Jules Gheude édité aux Éditions Mols

    26.90 
  • Que personne ne sorte (Six hommes à tuer)

    D’abord le trou rond, aux bords roussis, dans la nappe… Adélia trouve très mal élevé qu’on écrase ses cigarettes à côté des cendriers. Et puis, quel désordre dans la salle à manger : assiettes sales, verres poisseux, chaises renversées même… Oh ! pas de doute, les amis de Jo – enfin de Luke, puisque c’est comme ça qu’ils l’appellent – ne sont pas des “gentlemen”. Mais il y a pis. La grande malle en osier qu’ils ont transportée dans la chambre d’amis, au milieu de la nuit, eh bien, elle bouge ! Adélia y a jeté un œil ce matin et pas d’erreur : quelque chose remue à l’intérieur. Quelque chose qui cherche à en sortir…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Que personne ne sorte (Six hommes à tuer), un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • Qui meurt perd !

    De l’Amérique latine en Asie, en passant par l’Afrique et Saint-Pétersbourg, la France et la Belgique, voyez comme tous les hommes se ressemblent et sont pourtant différents ! Mêmes folies, mêmes limites, avec toutefois une palette infinie de nuances dans les couleurs de la condition humaine.
    Ces vingt-quatre nouvelles mettent en scène des person-nages dynamiques, dérisoires, cyniques, ambitieux, optimistes, désespérés, qui sont autant de cris pour s’en sortir, se distraire, échapper au quotidien…

    Alain GENOT (Charleroi, 1951) a fait ses études en Angleterre, avant de passer sa vie dans neuf pays différents. Ancien avocat international à Paris, conseiller ministériel à Bruxelles, maître de conférences invité et diplomate en Inde, Irlande, Éthiopie, Djibouti et Pérou, il vit et écrit aujourd’hui en Axarquie, dans les monts de Malaga. Il signe avec Qui meurt perd ! son premier recueil de nouvelles, inspiré par ses nombreux voyages et expériences humaines.

    Qui meurt perd !, un livre de Alain Genot édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • Rocking-Chair

    Dans les salons de cénacles parisiens dont elle faisait tout de même partie, il arrivait à cette romancière de déclarer que Marcel Proust était, à ses yeux, un humoriste et qu’elle riait souvent aux larmes en le relisant. Autour d’elle, alors, un silence prudent s’installait, car il s’il est aisé et nécessaire de donner la réplique à des auteurs « arrivés », ce n’est pas à une dame, certes publiée mais peu connue en librairie, de porter des jugements… Autre maladresse, cette romancière s’embourbait davantage quand elle demandait à la cantonade des nouvelles de la petite phrase musicale de Vinteuil si chère à Charles Swann, ou bien quand elle rappelait avec enthousiasme les parlotes de la tante Léontine et de la géniale Françoise dans la fameuse chambre et le passage où Legrandin affirme au père de Marcel que Balbec est un désert, alors que madame de Cambremer – sa sœur – y vit fastueusement. Sans oublier le clan Verdurin et les salonards…

    Marie NICOLAÏ, romancière, adaptatrice, essayiste, a mené une activité soutenue auprès des Femmes Chefs d’Entreprises. Elle est, notamment, vice-présidente de l’Association des écrivains belges de langue française, membre administrateur de la Société royale protectrice de l’enfance, membre du comité de l’International P. E. N. , sociétaire de la Société des gens de lettres (Bruxelles, Paris). Deux de ses romans, Une Dévotion (1999) et Les Feuilles bleues (2005), ont été publiés aux éditions Le Cri.

    Rocking-Chair, un livre de Marie Nicolaï édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    17.00 
  • Rousseau par ceux qui l’ont vu

    Rousseau par ceux qui l’ont vu, un livre de Raymond Trousson édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    23.00 
  • Indisponible

    Rwanda – Deux Sangs, une vie

    Ce livre retrace le chemin de vie d’un homme, mi-blanc, mi-noir, qui retourne aux sources après le génocide pour comprendre le Rwanda, ce pays qui l’a vu naître. Un récit de fiction, sensible et touchant, toujours surprenant, empreint de témoignages réels.

    Yves De Wolf-Clément est né à Kigali en 1967. Il a vécu la majeure partie de sa vie au Rwanda. Après son baccalauréat à Kigali, il décroche une licence en sciences politiques et relations internationales à Bruxelles. Il s’investit dans les problématiques de la liberté d’expression et fonde en 1992 le Centre international d’étude et de promotion des droits humains et de l’information (ASSEPAC). Auteur de plusieurs publications juridiques, il est actuellement consultant international et effectue des missions en Afrique dans le secteur de la démocratisation et des droits humains.

    Rwanda – Deux Sangs, une vie, un livre de Yves De Wolf-Clement édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • Sagesse & humanisme

    Les pensées présentées dans ce livre jaillissent du cœur de l’auteur, de son authenticité spirituelle et de sa vie intérieure.
    Elles s’appliquent à notre quotidien et ne seront jamais obsolètes aussi longtemps que l’Homme sera l’Homme.
    Elles le guident par les chemins intérieurs du cœur et de la conscience dans l’évolution de sa nature humaine que l’auteur affirme perfectible.
    Des pensées qui aident à aimer mieux pour vivre mieux…, à aimer pour vivre !
    Tandis que l’œil s’attarde sur l’image, si belle, le cœur et l’esprit prennent le temps de s’imprégner du sens…

    Sagesse & humanisme, un livre de Sundari édité aux Éditions Mols

    15.00 
  • Samantha à Kinshasa

    Il faut lire Marie-Louise Mumbu (alias Bibish pour les Kinois et les proches) comme on fait un voyage inoubliable. Grâce à son humour subtil, son style ciselé et un vocabulaire efficace, Bibish nous prend par la main pour nous entraîner à la suite de son héroïne Samantha, journaliste de profession, à travers les quartiers de Kinshasa.
    C’est alors à une grande leçon de vie, d’humilité, mais aussi de dérision, que nous convie l’auteur, un rendez-vous pour un repas littéraire savoureux. Mais on ne se contente pas de déguster, on se dit surtout qu’après ça, plus rien n’est vraiment grave… ni la montre brisée, ni le temps qui passe…
    Tout le monde devrait lire Bibish.

    Marie-Louise Mumbu (Bibish), née en 1975 à Bukavu (République démocratique du Congo), est journaliste et écrivain.
    Diplômée en 2002 de l’Institut technique des Sciences de l’information et communication à Kinshasa (ISTI), et correspondante d’Africultures (revue culturelle trimestrielle), elle a été administratrice des studios Kabako jusqu’à l’été 2003. Elle a travaillé dans l’administration et la production pour différents artistes et projets culturels à travers le monde, elle a aussi participé à de nombreux ateliers d’écriture (Guy-Junior Régis, Olivier Coyette, Sonia Ristic, Odile Zeller, Jean-Luc Outers, Matthieu Malgrange).
    Elle vit à Kinshasa, où elle est connue sous le nom de Bibish. À travers le récit qu’elle nous offre aujourd’hui, elle nous dévoile toute l’étendue de son talent.

    Samantha à Kinshasa, un livre de Marie-Louise Mumbu édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    16.00 
  • Samuel est revenu

    Samuel est revenu, un livre de Xavier Deutsch édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.59 
  • Sans Commentaire ? Une histoire de la Belgique à travers la caricature

    Les caricatures politiques sont une forme de journalisme à part entière. Comme les chroniques, elles commentent l’actualité. Mais, par leur langage formel et, souvent, leur simplicité, elles s’avèrent plus percutantes. Les caricatures peuvent aussi bien provoquer que nier, minimiser qu’amplifier, diaboliser qu’idéaliser, dramatiser que banaliser. Tout cela dans un but unique : agir sur l’opinion publique.
    Depuis sa naissance — voire sa «préhistoire» — la Belgique a vu paraître des centaines de journaux, revues, pamphlets, affiches et tracts à vocation idéologique, dans lesquels toutes les fractures et débats sociaux possibles ont été commentés et illustrés.
    Parmi ces innombrables exemples, Paul Van Damme et Stijn Van de Perre ont sélectionné plus de 400 dessins particulièrement parlants. Une bonne soixantaine d’institutions publiques et de collectionneurs privés belges et étrangers leur ont prêté main-forte.
    Dans Sans commentaire ?, l’histoire de Belgique est illustrée à travers cinquante grands thèmes. Pour chacun d’eux, les auteurs ont choisi une dizaine de caricatures, qu’ils ont resituées dans leur contexte historique. Accompagnés de synthèses agréables à lire et de lignes du temps, ces nombreux dessins racontent l’histoire de notre pays. De l’indépendance à la mondialisation, de la Belgique unitaire à l’État fédéral, de la formation des partis aux scandales politiques. Une approche neuve et personnelle de l’histoire politique de la Belgique, soucieuse avant tout d’offrir au lecteur de quoi «voir» pour «comprendre».

    Préface Vincent Dujardin et Laurence Van Ypersele

    Paul Van Damme (1959) est historien, professeur d’histoire et coordinateur à l’École hôtelière Ter Groene Poorte, de Bruges. Il publie depuis plusieurs années des ouvrages pédagogiques. C’est aussi un collectionneur passionné de caricatures politiques anciennes.

    Stijn Van de Perre (1966) est attaché à la faculté d’histoire de l’Université de Gand et à l’Institut supérieur Artevelde — Orientation Travail social — de Gand. Il a obtenu son doctorat avec une thèse consacrée à la politique fiscale de la Belgique au cours du XIXe siècle. Il s’intéresse aussi particulièrement à la révolution belge.

    Sans Commentaire ? Une histoire de la Belgique à travers la caricature, un livre de Paul Van Damme édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    49.00 
  • Sans lunettes

    Centré sur le rapport entre les individus, Sans lunettes est une histoire d’hommes et de femmes à la recherche d’authenticité, d’équilibre et de partage, dans leur vie personnelle, professionnelle et affective.

    Sans lunettes, un livre de Géraldine de Radiguès édité aux Éditions Mols

    18.00 
  • Secret d’État

    LE LIVRE NOIR DES BELGES ZAIRIANISÉS 1973-2007

    •Une saisie de onze tableaux au musée d’art Ancien de Bruxelles pour une valeur de 500 millions FB.
    •Deux ministres des Affaires étrangères qui concluent un accord secret.
    •Des avoirs de la Sabena qui sont récupérés à Kinshasa sans laisser de trace.
    •Une valise pleine de billets pour récompenser un Premier ministre.
    •L’entrée de la Belgique dans la zone euro perturbée.
    •Un arrêt de la Cour de cassation dont le gouvernement ne tient pas compte.
    •Des procès qui s’éternisent…
    •Le point commun de tous ces événements : Un secret d’État jalousement gardé.
    •Documents et preuves à l’appui…

    Belgique – République Démocratique du Congo. Mars 2007. Les deux États reprennent leur coopération structurelle, interrompue depuis juillet 1990 par Mobutu. L’histoire se répète-t-elle ? Voici environ trente ans, les deux pays renouaient leurs liens de coopération, suspendus par le président zaïrois à la faveur d’une crise diplomatique. L’un des épisodes de cette période troublée commence le 30 novembre 1973. Ce vendredi-là, le général annonce un vaste programme de nationalisation d’entreprises appartenant à des ressortissants étrangers. Les victimes de la « zaïrianisation » sont-elles indemnisées de manière équitable ? Non. Elles réclament réparation. Aujourd’hui encore, trente-quatre ans après les faits, le dossier suit son cours. Quelque 150 affaires restent en souffrance devant les tribunaux belges. Que s’est-il passé ? Comment expliquer une telle situation, à la limite du concevable ? Les auteurs ont mené l’enquête. Au point de faire des découvertes… hallucinantes !

    CE LIVRE N’EST PAS UNE FICTION !

    Vincent Delannoy (né à Kinshasa en 1972), licencié en Histoire (Katholieke Universiteit Leuven) et en Philologie romane (Université Catholique de Louvain), travaille pour la presse économique et d’entreprise. Dès son plus jeune âge, il s’est passionné, pour son pays natal. Depuis 2006, il se consacre au journalisme d’investigation.

    Olivier Willocx (né à Ixelles en 1966), licencié en Sciences économiques (Université Libre de Bruxelles), titulaire d’une maîtrise en Droit européen (Universiteit van Amsterdam), est administrateur-délégué de la Chambre de Commerce de Bruxelles et de l’Union des Entreprises de Bruxelles. À la suite de nombreux voyages en Afrique, il suit de près le dossier des Belges zaïrianisés.

    Secret d’État, un livre de Vincent Delannoy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    19.00