Catalogue en ligne

  • Vers un Théâtre politique, Belgique francophone 1960-2000

    20.00 

    De toute sa démarche, Vers un théâtre politique nous donne à voir qu’une nouvelle manière de concevoir l’histoire culturelle est possible et qu’elle est en marche. Superbement illustrée dans le présent travail, cette histoire ne conçoit l’apparition de pratiques et de formes nouvelles que dans les termes d’une gestation lente à l’intérieur de laquelle des forces s’entrecroisent, sont en proie à des inerties, se soutiennent réciproquement ou se contrarient. Autant dire que le travail de recherche et d’analyse est considérable et qu’il réclame de ceux qui s’y consacrent, comme le fait l’auteure du présent ouvrage, un art particulier dans l’organisation du matériau, exigeant qu’en permanence soient définis des lieux de cristallisation et des points d’articulation à l’intérieur d’un espace institutionnel délimité adéquatement. Ceci pourrait faire craindre du livre de Nancy Delhalle qu’il n’offre à force de sérieux et de gravité un aspect rebutant. Mais il n’en est rien. Avec une réelle liberté de pensée et un constant bonheur d’écriture, Nancy Delhalle dresse ici le tableau vivant d’une histoire qui est encore la nôtre et à laquelle, le cas échéant, nous avons pris part. Conversation en Wallonie, c’était hier à peine ; Rwanda 94, c’est encore aujourd’hui. Ce théâtre est le nôtre. Il est bien qu’il livre ici une large part de sa vérité. Mais il ne s’ensuit pas qu’il ait dit son dernier mot.

    Jacques DUBOIS (extrait de la préface)

    Vers un Théâtre politique, Belgique francophone 1960-2000, un livre de Nancy Delhalle édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Viva la vida

    16.00 

    Avec une simplicité désarmante, une maman s’adresse à ses filles, Justine (15 ans), Olivia (13 ans) et Louise (11 ans). Elle transmet, elle partage, elle suggère. Elle parle d’authenticité, d’harmonie, de respect, de différence, d’ouverture, de confiance en soi, tous ces ingrédients qui façonnent une personnalité.

    Viva la vida, un livre de Bénédicte Legrand édité aux Éditions Mols

  • Vivre avant tout !

    21.00 

    Extraits :
    Le ciel commence au bout du regard. N’est-il pas l’image de ce que nous cherchons… la pérennité ?
    Quel est ce rire dépité qui a oublié le dépit et n’a de joie que celle d’un moment d’esprit ?
    L’écho de la beauté ne dit rien sur la beauté. On n’entend que le son de celui qui la rencontre.
    La raison domine la routine et l’on n’a pas le temps de s’appesantir sur l’absurdité des choses mal faites, sur la bêtise des autres et leur méchanceté. C’est une première étape, un détachement général s’amorce, et les tristesses s’accrochent comme à un radeau aux promesses de la prochaine retraite. C’est la retraite qui compte.
    La tournure malencontreuse d’un épisode de notre vie peut devenir salutaire si elle apporte à l’expérience comme une ombre à ce qui resplendit, une transparence à ce qui risque d’aveugler.
    Lorsqu’aucun espoir et pas une des innombrables peines de la tendresse n’assistent à l’agonie, vue de loin, la fin d’une vie peut s’accepter avec la sérénité de la pensée heureuse. La mort a quelque chose d’un accomplissement. On la sacre, on s’en remet à elle. On l’envisage pour soi et pour tous les hommes. Un temps sans calendrier s’empare de ce qui a été limité et tributaire des mesures humaines.

    Nicole Verschoore, née à Gand en Belgique, est docteur en philosophie et lettres, boursière du Fonds national belge de Recherche scientifique, assistante à l’université de Gand. Journaliste, elle publie régulièrement dans la Revue générale et la revue électronique www. bon-a-tirer. com. Parlant six langues et amoureuse des grandes capitales européennes, elle se veut citoyenne du monde et passe le meilleur de son temps à revoir et à sauvegarder la vérité du vécu.
    Elle a publié aux éditions Le Cri les deux premiers volets d’une trilogie : Les Parchemins de la tour (2004) et Le Mont Blandin (2005).

    Vivre avant tout !, un livre de Nicole Verschoore édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Voix du Congo

    15.00 

    Voici une anthologie qui ne s’enroule pas sur elle-même, dont les chants ne s’auto-émerveillent pas comme ces textes pionniers mais néanmoins candides de notre littérature des premières heures, empêtrés dans leurs propres lauriers et épines, serpent fou qui se mange la queue… Non, ici les thématiques, même les plus sombres au départ, finissent par irradier l’espérance. On est loin non seulement des textes pionniers comme dit précédemment, mais aussi de la littérature d’expression française entre 1970 et 1990, si « apagogique », si noircissante, si « afro-pessimiste ». Survenant en même temps que le cinquantième anniversaire de l’indépendance de la République démocratique eu Congo, cette anthologie se présente comme un chant de ralliement, d’hallali, chœur de poètes sans frontières, solidaires d’une même vision : la renaissance urgente du Congo dit « démocratique »…
    (Extrait de la préface)

    Charles Djungu-Simba K. est né à Kamituga (Kivu, RDC). Écrivain, journaliste, critique littéraire, il est professeur à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’Université Pédagogique Nationale de Kinshasa. Auteur de nombreux écrits littéraires (romans, nouvelles, recueil de poèmes), il a publié en 2007 Les écrivains du Congo-Zaïre. Approches d’un champ littéraire africain.

    Voix du Congo, un livre de Charles Djungu-Simba K. édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Voter en Belgique…

    13.63 

    Les partis politiques belges ont mis au point un système efficace d’élections orientées. Le seul choix réel de l’électeur est de désigner le parti qui a sa préférence : la désignation d’un candidat par l’électeur n’a aucune influence sur l’élection ; seuls les candidats mis en ordre utile par le parti sont élus.

    L’auteur analyse cette perte de sens et la compare à un véritable hold-up sur les votes.

    Une histoire belge de plus à connaître !

    Voter en Belgique…, un livre de Philippe Delville édité aux Éditions Mols

  • Wallonie 2.0[CR]Nous étions une puissance économique, nous pouvons le redevenir !

    14.00 

    Pendant 150 ans, la Wallonie fut une région à l’avant-garde du progrès. Technophile, ouverte sur l’international, entreprenante… Ses qualités propres lui ont permis de devenir l’un des espaces les plus prospères de la planète.
    Pourquoi, à un moment donné, la Wallonie s’est-elle mise en marche plus rapidement et avec plus de succès que les autres ? Quels ont été les éléments déclencheurs de cette course en tête ? Surtout, la Wallonie peut-elle à nouveau jouer ce rôle de pionnier ?
    Le XXIe siècle s’ouvre sur une nouvelle ère économique, basée sur la créativité et les réseaux. Une ère où la performance économique résultera de la force des liens tissés chez soi, mais aussi de l’abondance des connexions nouées avec l’extérieur.
    Pour revenir aux avant-postes, la Wallonie ne peut se contenter de faire la même chose que les autres. Elle doit comprendre son nouvel environnement, sortir de ses conformismes et bouger plus vite que ses pairs.
    Le moment est idéal. Les nouveaux outils digitaux démultiplient les interactions possibles. Une nouvelle génération a soif d’exprimer ses idées et d’entreprendre…

    Jean-Yves Huwart est journaliste économique, blogueur et auteur. En 2009, après dix ans d’activité dans divers médias économiques (L’Écho, Trends-Tendances), il fonde le « think tank » www.entrepriseglobale.biz. Objectif : suivre, analyser et expliquer l’impact des changements en cours dans l’économie du XXIe siècle.
    En 2007, Jean-Yves Huwart avait publié Le Second déclin de la Wallonie. Il y passait en revue les erreurs et manquements des politiques économiques mises en œuvre en Wallonie depuis le début des années ’80.

    Wallonie 2.0[CR]Nous étions une puissance économique, nous pouvons le redevenir !, un livre de Jean-Yves Huwart édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Wallonie française !

    27.90 

    Ouvrage préfacé par Pierre-Yves DERMAGNE, vice-Premier ministre de Belgique

    Cet essai engagé et polyphonique présente la Wallonie à une France censée n’en rien savoir et donne de ce territoire belge de culture française une image nuancée et libérée des poncifs. Sans prétendre être une référence scientifique, Wallonie française ! tente d’être honnête et d’éviter les contre-vérités partisanes.
    Dominée par les nationalistes flamands, la Belgique se meurt. Par amour et pour leur survie, des Wallons se tournent vers la France : ce sont les réunionistes.
    L’auteur a deux langues natales : le wallon et le français. Il assiste à l’agonie du wallon, évincé par le français. Il craint que, face à l’anglais, le français ne subisse le même sort et lance un cri d’alarme pour la défense de la Francophonie, de son identité culturelle et de ses valeurs menacées par l’impérialisme anglo-saxon.
    Le lecteur est invité à ne pas se prendre la tête. Souvent, il sourira, car Louis Nisse aime mêler petite histoire personnelle et grande Histoire.

    Wallonie française !, un livre de Louis Nisse édité aux Éditions Mols

  • Waterloo. La marche à l’abîme

    24.90 

    Waterloo ou la fin d’un monde : il y a deux siècles, l’Europe coalisée mettait un terme à l’aventure d’un homme qui avait changé le monde. Dans les plaines du Brabant, une sanglante mêlée voyait se clore, enfin, le grand bouleversement révolutionnaire qui avait agité le continent pendant vingt-cinq années.
    Waterloo, c’est d’abord le choc de trois tempéraments : face au génie du petit Corse, le flegme très professionnel de Wellington, sans état d’âme, allié à la haine farouche du Prussion Blücher qui ne souhaite que pendre Bonaparte et dépecer la France.
    Waterloo, fin d’un drame qui dure cinq jours. Comment expliquer et tenter de comprendre comment les hommes, ces généraux français, formés par vingt années de luttes incessantes, ont pu commetre autant de fautes, laisser s’échapper autant d’occasions ?
    Waterloo, une guerre perdue d’avance ? Une catastrophe française ou un immense soulagement pour l’Europe ?
    Après Waterloo, le monde n’est plus celui du dix-huitième siècle ; il peut entrer dans le laborieux dix-neuvième ; il peut s’enrichir par la révolution industrielle, voir naître de nouvelles nations : l’Allemagne qui s’unit peu à peu, la Belgique qui prend conscience d’elle-même, l’Italie bientôt.
    Musset, dans « La Confession d’un enfant du siècle » décrit la jeunesse désabusée, privée de ces grands élans d’héroïsme dont elle avait été abreuvée. Ce sera le Romantisme, tout à la fois naissance d’un art nouveau et névrose destructrice.
    Waterloo est un choc fondateur dont nous sommes encore, deux cents ans après, les témoins incrédules et les inévitables descendants.
    L’auteur tente ici de décrire pour expliquer, d’expliquer pour comprendre.

    La sortie du livre coïncide avec les commémorations du deux centième anniversaire de la bataille.

    Le point de vue est tantôt français, tantôt anglais, tantôt prussien ou même hollandais. La tension naît au fur et à mesure que les scènes défilent. Ce livre tient à la fois du théâtre et du roman d’aventure.

    L’auteur, Jean Luc Ancely, est Français et réside en Belgique ; ancien élève de Saumur, il a fait carrière dans l’Arme blindée Cavalerie. Il est l’auteur d’ouvrages littéraires, essais et tragédies.

    Waterloo. La marche à l’abîme, un livre de Jean-Luc Ancely édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Zola, le dessous des femmes

    11.16 

    De l’ancêtre Adélaïde Fouque dont le cerveau est un peu fêlé à Clotilde Rougon, qui va perpétuer la branche légitime en donnant naissance à un fils sans être mariée, la question de la femme et de son émancipation se pose à chaque page des Rougon-Macquart. Voici la première analyse systématique de cette longue lignée de femmes qui s’étend sur vingt romans. Bien que chaque chapitre traite d’un thème particulier — et puisse donc se lire indépendamment du reste de l’ouvrage —, une lecture de tout le livre permet de découvrir l’étonnante mosaïque de connexions que Zola a enfouies dans son texte, comme des tiroirs secrets dans un meuble ancien, pour établir, entre autres, les fameux liens du sang de ses personnages féminins.

    Zola, le dessous des femmes, un livre de Micheline Van Der Beken édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)