• Harry Dickson – 12. L’Étoile à sept branches

    6.50 

    Alors que Timotheus Soames sort de prison, un certain Belkirk le remplace dans sa cellule. On retrouve ce dernier drogué et on soupçonne Soames d’être mystérieusement revenu dans son ancienne cellule afin de récupérer un objet précieux.
    Belkirk est à son tour libéré et, alors que Tom Wills — fidèle élève d’Harry Dickson — le filait, il est assassiné d’une décharge électrique dans une ruelle de Covent Garden, serrant contre lui une étoile de métal à sept branches !
    On raconte que l’étoile appartenait deux siècles auparavant au capitane Shark, un pirate dont le secret pouvait mettre à mal l’Angleterre. Le pirate confectionna sept étoiles et en confia une à chacun de ses six complices, dont les descendants recherchent aujourd’hui la septième, car elle est l’ultime pièce pour retrouver l’emplacement du secret.
    Soames est-il en possession cette ultime clef, et donc du mystère de Shark ou de « l’étoile à sept branches » ?

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 12. L’Étoile à sept branches, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 13. Le Cabinet du Dr Selles

    6.50 

    Antime Paradieu meurt terrorisé lors d’une conversation téléphonique. Mr Midgett est retrouvé pratiquement déchiqueté. Ils étaient tous deux patients du Dr Selles, dont la maison recèle passages secrets, fenêtres escamotables, pièces fantômes, cris, magie noire et sang…
    Voilà les ingrédients de l’intrigue qu’auront à dénouer le fameux Harry Dickson et son indéfectible élève Tom Wills.

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 13. Le Cabinet du Dr Selles, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 14. Le Temple de fer

    6.50 

    Des jeunes hommes riches sont enlevés. On soupçonne les adeptes du Temple de fer et un matelot portugais qui, le lendemain de son incarcération, est retrouvé mort. On arrête également six mulâtres dont l’appartenance au Temple semble établie, mais le véhicule qui les transporte se volatilise en cours de route. À la recherche de la vérité sur les origines, la réalité et les desseins du Temple de fer, Harry Dickson va être confronté à un être d’une rare cruauté…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 14. Le Temple de fer, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 15. La Rue de la Tête-Perdue

    6.50 

    Deux dames sans histoires, Slowby et Wood, paisibles habitantes de Harcester, disparaissent après la visite d’un étrange inconnu. Abe Niggins, l’archiviste du coin, découvre sur la nappe des deux dames un dessin représentant le symbole de l’antique Babylone.
    Par ailleurs, dans une cave de faux-monnayeurs dans la rue de Harcester, les faussaires se sont suicidés avant l’arrivée des autorités. On découvre aussi les corps de deux vieilles dames horriblement étranglées. Le symbole de l’antique Babylone se trouve sur un des murs.
    Harry Dickson va concentrer ses efforts sur la rue de Harcester, dites de la « tête-perdue » — on peut en effet y voir une statue décapitée —, où il tentera de comprendre et d’enrailler les tenants et aboutissants d’un culte sordide…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 15. La Rue de la Tête-Perdue, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 16. La Résurrection de la Gorgone

    6.50 

    Le jeune journaliste Albert Renders meurt les organes broyés. Il avait pourtant échappé au sculpteur fou Mattheus Jarns, qui voulait le fondre dans sa statue Lutte de Centaures.
    Harry Dickson se fait passer pour Jonas Flemmington, amateur d’art américain, pour se rendre chez la redoutable mais non moins ravissante artiste Miss Euryale Ellis, qui souhaite lui vendre des œuvres de Jarns. Dès lors vont se bousculer Gorgones de la mythologie grecque — femmes à chevelures de serpents qui transforment les hommes en statues —, drogues à base d’herbes soporifiques, un adapte des sciences occultes, Nathaniel Rock — compagnon de Miss Ellis —, qui terrorisa Londres…
    Dickson aura fort à faire pour ne pas finir en statue et pour échapper à ce qui ressemble furieusement à de la magie noire…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 16. La Résurrection de la Gorgone, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 17. Les Gardiens du gouffre

    6.50 

    Avant de mourir, l’explorateur Walter Somerville a demandé à Harry Dickson de protéger sa fille Ethel, lorsque cette dernière appelle le célèbre détective à l’aide.
    Dickson et son fidèle Tom Wills vont alors se lancer dans une folle course poursuite jusqu’au Pérou, d’où Somerville aurait ramené une précieuse émeraude : le Soleil vert. Il sera notamment question d’un cambrioleur de génie — le Chat-Tigre —, d’un lac fantôme et de richesses souterraines, avant que nos deux héros ne puissent résoudre l’énigme des « gardiens du gouffre ».

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 17. Les Gardiens du gouffre, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 18. Les trois Cercles de l’épouvante

    6.50 

    Quelqu’un menace la police de Londres d’exécuter les six hommes en état de léthargie, arrêtés dans divers parcs, si elle ne libère pas Fang-Suh, le tenancier d’une fumerie d’opium. Or, Fang-Suh est exécuté et les six hommes étranglés dans leurs lits. Le surintendant Goodfield est alors victime du même mal étrange que les six hommes et on ne tarde pas à réclamer en outre vingt-mille livres de rançon en échange de sa vie. Harry Dickson et son élève Tom Wills vont se lancer au secours de Goodfield, leur ami de toujours. La fumerie de Fang-Suh leur révélera un dragon, des figurines en cire étrangement ressemblantes aux six victimes des parcs, des « Chevaliers de la Lune », un univers asiatique emprunt d’opium et de science occulte, avant qu’ils ne puissent dénouer l’énigme du mal qui ronge leur ami Goodfield.

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 18. Les trois Cercles de l’épouvante, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 19. Le Monstre blanc

    6.50 

    Le patient d’un asile d’aliénés, persuadé d’avoir rencontré des disparus en enfer, est assassiné. Le Pr Bellin, anthopoligiste de renom, est lui aussi assassiné. L’aventurier-écrivain Jerry Copeland et sa ravissante épouse Turkestane Wanda disparaissent à leur tour. Copeland a toutefois laissé un manuscrit où il retrace l’histoire d’un homme découvrant de l’or, au fond d’un souterrain aux abords de Londres, et qui… affronte un « monstre blanc » !
    Pour résoudre l’énigme, Tom Wills, le jeune élève de Dickson, n’hésitera pas à s’offrir en appât à cette créature venue du Turkestan…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 19. Le Monstre blanc, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 20. Le Vampire aux yeux rouges

    6.50 

    Après un périple en Allemagne à la recherche du Vampire aux yeux rouges, qu’il croyait pourtant avoir arrêté en la personne d’Ebenezer Grump, et un imbroglio de chassés-croisés entre Grump, la maison hantée du notaire assassiné d’Hilderstein et le comte Jean-Népomucène Dragoni, pourtant décédé deux cents ans auparavant, Harry Dickson et son élève Tom Wills rentrent à Londres, et c’est là que se déroulera l’ultime combat avec le Vampire et un des plus cruels meurtrier de tous les temps…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 20. Le Vampire aux yeux rouges, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Haut-Uele, trésor touristique

    29.00 

    Les images qui viennent à l’esprit lorsque l’on songe au Haut-Uele sont d’abord celles de ses populations renommées, les Mangbetu, les Azande, les Logo, les Budu, les Mayogo — dont la richesse et la diversité des cultures avaient frappé les conquérants, tant Arabes qu’Européens.
    La présente monographie a pour ambition, outre de présenter ces peuples, de donner un aperçu général de la situation géographique, du relief, de la géologie, de l’hydrographie, de la faune, de la flore et de la démographie du Haut-Uele, et d’analyser, plus en profondeur, son évolution historique, culturelle, administrative politique, économique et touristique.
    Au plan historique, elle montre, notamment, comment le Haut-Uele a été particulièrement sensible aux diverses perturbations qu’a connues le pays après l’indépendance. Elle analyse la rébellion des Simba, d’abord, au milieu des années 1960, et celles de la fin des années 1990 et du début 2000, ensuite, qui furent particulièrement destructrices, rébellions auxquelles s’ajoutèrent l’affaiblissement/désintégration de nombreux pouvoirs locaux et les interventions de dirigeants d’en haut dans les affaires locales.
    Elle consacre un important chapitre aux peuples qui composent le Haut-Uele, à leurs langues, à leurs expressions artistiques et musicales et à leur vie religieuse.
    Au plan administratif, elle analyse pourquoi, aujourd’hui, la région connaît une organisation comportant plus de chefferies que de secteurs, ces pouvoirs locaux que l’autorité coloniale (re)construisit et/ou reconnut en fonction de critères liés à des enjeux locaux ou à ses intérêts propres.
    Elle s’interroge aussi sur les raisons pour lesquelles le Haut-Uele se trouve livré au trafic et à l’occupation armée. Trafic et occupation liés à sa position géopolitique (il se situe aux frontières du Sud-Soudan et de la République centrafricaine, et non loin des frontières ougandaises, dans leurs parties les moins administrées) et favorisés par des espaces peu habités regorgeant de richesses naturelles (dont l’or et l’ivoire), d’une part, et par un pouvoir local tribal émietté de type «ancien», sans grande capacité de résistance aux conquêtes militaires, d’autre part.
    Elle décrit l’évolution négative d’une économie basée, d’une part, sur des cultures (le palmier à huile, le coton, l’arachide, l’hévéa, le café Robusta) de plus en plus délaissées et, d’autre part, sur l’exploitation de mines d’or, à Moto, par un Office des mines d’or de Kilo-Moto, qui n’a pas toujours suffisamment mis en valeur les ressources existantes. Elle montre également comment l’économie des «colons» du Haut-Uele en particulier, et de la Province-Orientale en général, a été un élément déterminant, en 1973, dans la décision du régime Mobutu de nationaliser les entreprises ayant appartenu aux étrangers.
    Elle aborde, enfin, les cinq grands défis qui se posent au Haut-Uele: les transports, les communications, le tourisme, dont les atouts locaux sont non négligeables, l’enseignement et la santé.

    Haut-Uele, trésor touristique, un livre de Jean Omasombo Tshonda édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Haute Tension

    15.00 

    “Madame Mortimer, vous jurez de dire toute la vérité, rien que la vérité…”
    À l’époque, Rita a juré que son mari avait été abattu par un cambrioleur quelques minutes après leur retour imprévu à la villa… Il y a sept ans de cela.
    Aujourd’hui, un inconnu s’est introduit dans la chambre de Rita. Blême, les yeux creux, les mains dans les poches de son trench-coat fatigué, le feutre mou rabattu sur le front, il n’a guère bonne allure…
    Et il prétend qu’à cause d’elle, il a passé sept années en prison, alors qu’il était innocent !

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Haute Tension, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Heinrich Heine

    25.00 

    Heinrich Heine, écrivain juif d’origine allemande et de passion française, incarne nombre de contradictions de son époque, exacerbées par sa propre appartenance à deux mondes complémentaires dans leur antagonisme : le germanique et le latin. Selon son ami Théophile Gautier, « jamais nature ne fut composée d’éléments plus divers que celle de Henri Heine ; il était à la fois gai et triste, sceptique et croyant, tendre et cruel, sentimental et persifleur, classique et romantique, Allemand et Français, délicat et cynique, enthousiaste et plein de sang-froid, tout, excepté ennuyeux ; c’était vraiment l’Euphorion, enfant de Faust et de la belle Hélène. » De la bouche de ce sagittaire, né à Düsseldorf, le 13 décembre 1797, et décédé à Paris, le 17 février 1856, jaillissaient en sifflant des flèches sarcastiques qui ne manquaient jamais leur but. Mais il fut aussi ce grand poète dont Schubert, Schumann, Mendelssohn, Brahms et beaucoup d’autres mirent en musique d’innombrables Lieder.

    Alain PREAUX, Docteur en philosophie et lettres (Université Libre de Bruxelles), est l’auteur de nombreux articles sur les xviiie et xixe siècles allemands (entre autres Friedrich Schiller, Jean Paul, E.T.A. Hoffmann, Achim von Arnim, Friedrich Hölderlin et Heinrich Heine). Il enseigne à l’École supérieure de traducteurs et interprètes de la Ville de Bruxelles, ainsi qu’à l’Université Libre de Bruxelles. Il a publié trois ouvrages relatifs à Friedrich Hölderlin, tous parus aux éditions Le Cri : Poèmes de l’autre vie (1993), Prose de l’autre vie (1996) et L’énigme Hölderlin (1996).

    Heinrich Heine, un livre de Alain Préaux édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Henry Bauchau dans la tourmente du XXe siècle

    19.00 

    Né en 1913, Henry Bauchau a traversé le siècle. Il ne publie son premier recueil poétique qu’en 1958. Pourtant, il y a un poète qui s’ignore dans le chroniqueur d’avant-guerre, dans le combattant de 1940, dans le citoyen engagé dans l’action sociale sous l’Occupation ; il y a un être d’action dissimulé dans l’écrivain. Ce sont ces deux pans de la vie de Bauchau qui sont abordés dans ce travail, fruit des efforts conjugués de deux historiens et d’une spécialiste de la littérature contemporaine. Le travail des premiers, – bâti sur la base d’archives pour une bonne part inédites –, trouve son prolongement naturel dans l’analyse de la seconde : aucun des deux objets, historique et imaginaire, n’est indépendant, et leur corrélation permet d’éclairer un parcours certes singulier, mais inscrit dans une dynamique générationnelle.

    Geneviève Duchenne est professeur invitée aux Facultés universitaires Saint-Louis de Bruxelles et chercheur qualifiée de l’Université catholique de Louvain.
    Vincent Dujardin est chercheur qualifié du FRS/FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain.
    Myriam Watthee-Delmotte est maître de recherches du FRS/FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain où elle dirige le Centre de Recherche sur l’Imaginaire. Elle est également responsable de la gestion Fonds Henry Bauchau de l’UCL ( http://bauchau.fltr.ucl.ac.be).

    Henry Bauchau dans la tourmente du XXe siècle, un livre de Geneviève Duchenne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Het Brussels maatschappelijk middenveld laat zijn stem horen[CR]Staten-Generaal van Brussel (nederlandse versie)

    12.00 

    « Il faut faire bouger les lignes », zei François Mitterrand. Dat was precies de ambitie van de Staten-Generaal van Brussel : op wetenschappelijke wijze de balans opmaken van de situatie van ons Stadsgewest aan de hand van zestien sleutelthema’s, die bevindingen voorstellen aan de burgers tijdens groots opgezette discussieavonden, hun reacties en voorstellen verzamelen, conclusies formuleren en die doorspelen aan de politici, om de toekomst van alle echte of ‘geadopteerde’ Brusselaars te beïnvloeden.
    Maar wie heeft de burgers doen warmlopen voor dat grootschalige project ? Het Platform van de civiele maatschappij, dat op nog nooit geziene wijze, over de gebruikelijke barrières – waaronder de taalgrenzen – heen, Brusselse verenigingen (Aula Magna, bruXsel forum*, Manifesto), vakbonden (ABVV Brussel en ACV), de werkgevers (Brussels Enterprises, Commerce , Industry), de culturele sector (Brussels Kunstenoverleg , Réseau des Arts à Bruxelles ) en de milieusector (BRAL en Inter-Environnement Bruxelles) samenbrengt.
    Het Platform richtte al snel een wetenschappelijk comité op (ULB, VUB, Facultés universitaires Saint-Louis en het elektronisch tijdschrift Brussels Studies) en nodigde honderden verenigingen uit alle sectoren uit om samen zijn ambitie waar te maken.
    Mobiliteit • Veiligheid • Bevolking • Duurzame ontwikkeling • Onderwijs • Huisvesting • Economie • Cultuur • Jeugd • Stadsgewest • Levenskwaliteit • Kennisstad • Internationalisering • Instellingen • Sociale ongelijkheden • Overheidsfinanciën : zestien diepgravende en objectieve studies werden uitgevoerd door een honderdtal onderzoekers.
    U vindt hier de integrale tekst van die studies, aangevuld met de voorstellen die naar voren werden gebracht tijdens de zestien discussieavonden die door tweeduizend deelnemers werden bijgewoond, en met de conclusies die op 25 april 2009 werden voorgesteld aan meer dan zevenhonderd mensen, onder wie een groot aantal politici.
    De dynamiek van de Staten-Generaal is als een vloedgolf : de eerste resultaten zijn er al en in de komende jaren zullen er nog geboekt worden. Moge dit boek daartoe bijdragen !
    The English versions of introductions to, and conclusions from the Citizens’ Forum of Brussels, also appear in this book.

    Het Brussels maatschappelijk middenveld laat zijn stem horen[CR]Staten-Generaal van Brussel (nederlandse versie), un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Histoire de Bruxelles

    28.00 

    Mille ans séparent Bruxelles, capitale européenne, du petit portus sur les rives de la Senne. Mille ans de gloires et d’épreuves, à partir d’une ville enclose dans ses deux murailles successives, qui s’est étendue au territoire des dix-huit communes voisines pour constituer une agglomération, puis une Région à part entière, entité de la Belgique fédérale.
    Les constantes politiques, économiques, sociales et culturelles qui marquent, au cours des siècles, l’histoire de Bruxelles-Capitale forment la trame d’un biographie passionnante d’un bout à l’autre. Que celle-ci n’ait qu’un seul auteur, faisant miel de travaux des spécialistes des différentes époques et des savantes contributions d’ouvrages collectifs, donne au récit et aux analyses une saisissante cohérence.

    Georges-Henri DUMONT est agrégé en histoire (Université de Louvain), ancien conservateur aux musées royaux d’Art et d’Histoire, professeur honoraire à l’Institut catholique des hautes études commerciales, il a dirigé le cabinet de plusieurs ministres de la Culture française en Belgique. Ancien membre du Conseil exécutif de l’UNESCO, il préside, au sein de cette organisation, le comité international pour l’édition de la monumentale Histoire du développement scientifique et culturel de l’humanité. Il est membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises. Parmi ses nombreux ouvrages, on notera sa Chronologie de la Belgique, de 1830 à nos jours (Le Cri), et son Histoire de la Belgique (Le Cri). Son essai sur Léopold II (Fayard, 1990) a reçu le grand prix de la biographie de l’Académie française.

    Histoire de Bruxelles, un livre de Georges-Henri Dumont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Histoire de l’empire parthe

    27.00 

    Voici la biographie passionnante d’un empire. Elle nous révèle une période méconnue de l’aventure humaine ; celle de la civilisation Parthe. Venus des steppes de l’Asie Centrale, au IIIe siècle avant J.-C., les Parthes — à l’origine des éleveurs nomades — ont fondé, en moins d’un siècle, un vaste empire sédentarisé, puissamment organisé, qui couvrit d’abord la Perse, puis tout le Moyen-Orient, de l’Euphrate à l’Indus. Confrontés aux royaumes des Grecs, issus des conquêtes d’Alexandre le Grand, puis aux empereurs romains, ils ont joué un rôle de premier plan dans l’histoire de l’antiquité. Infatiguables pionniers, ils ont, par leur position géographique à la croisée des mondes gréco-romain, chinois et indien, contribué dans une large mesure à la diffusion des arts, du commerce et des idées sur l’axe eurasiatique — la fameuse « Route de la Soie », dont ils furent les grands promoteurs. Mais les Parthes eurent aussi à répondre aux défis de l’histoire. Avec des fortunes diverses, ils furent à l’origine de notions qui marqueront l’évolution des sociétés humaines ; tels la chevalerie et le féodalisme, dont ils établirent les principes constitutifs. Ils ont tracé des routes ; dans l’architecture créé l’iwan — la voûte qui, plus tard, servira de base à nos bâtisseurs de cathédrales ; inventé de nouvelles techniques bancaires — comme le chèque.

    André VERSTANDIG, historien, spécialiste du monde antique, né à Uccle (Bruxelles) en 1969.
    Membre de la SRNB, et titulaire de plusieurs distinctions honorifiques, il est l’auteur de plusieurs livres et articles scientifiques
    de premier plan sur l’archéologie de l’Orient Ancien.

    Histoire de l’empire parthe, un livre de André Verstandig édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)