• L’Épopée de la Compagnie d’Ostende (1723-1727)

    21.07 

    Puisque les serres d’or des aigles de l’Empire
    Ne pouvaient déchirer les lions chargeant l’Escaut.
    C’était d’Ostende et de son port et de ses eaux
    Que s’en allaient vers l’Orient les blancs navires :
    Ils partaient pour la Chine et touchaient Malabar,
    Les mousses étaient fiers, les marins semblaient ivres
    D’être au loin, n’importe où, sur la mer, et de vivre
    Libres et fous, avec les mâts comme étendards. Émile Verhaeren.

    Georges-Henri Dumont est agrégé d’histoire (Université de Louvain), ancien conservateur aux Musées royaux d’Art et d’Histoire, professeur honoraire à l’Institut catholique des hautes études commerciales, il a dirigé le cabinet de plusieurs ministres de la Culture françaises en Belgique. Ancien membre du Conseil exécutif de l’UNESCO, il préside au sein de cette organisation le comité international pour l’édition de la monumentale Histoire du développement scientifique et culturel de l’humanité. Il est membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises.

    L’Épopée de la Compagnie d’Ostende (1723-1727), un livre de Georges-Henri Dumont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • L’Enlèvement d’Europe. Trois millénaires d’un mythe.

    28.00 

    Selon la Mythologie grecque, Zeus, épris de la princesse Europe, fille d’Agénor, roi de Tyr, se métamorphose en taureau pour la séduire. Confiante, elle s’assit sur le dos de l’animal qui l’enleva et la conduisit jusqu’en Crète. Là, il l’épousa. De cette union naquit Minos et sa dynastie. Le voyage d’Europe la conduit d’Orient en Occident où elle donne son nom au continent européen.
    De l’Antiquité à nos jours, l’histoire de l’art est parsemée de représentations de ce mythe. De la statuaire hellénique aux artistes contemporains, de siècle en siècle, de la Renaissance aux temps modernes, la peinture, la poésie et la musique ont rebondi vers les sources millénaires.
    Jeune fille « ravie », puis amante à l’époque romaine, plus tard jeune reine élégante, le taureau apaisé à ses côtés. Aux moments de troubles elle porte un casque telle Athéna gardant la Cité, prête à se battre pour une cause juste. Le grand public ignore le plus souvent les richesses historiques et culturelles communes à l’ensemble des citoyens européens.
    Au travers de la représentation iconographique du mythe de l’Enlèvement d’Europe, ce livre pose la question de l’identité européenne, renforce le sentiment d’appartenance à l’Union européenne, et met en exergue la place de la Belgique en son sein.
    La collection d’œuvres anciennes, des premiers siècles avant notre ère jusqu’au xxie siècle, fruit des recherches que j’ai menées depuis près de trente-cinq ans, permet ici d’admirer des estampes, gravures et livres anciens, des œuvres plastiques, groupes de porcelaine, numismatique antique et contemporaine, philatélie, médailles et objets divers, prouvant que l’ensemble politique auquel nous sommes attelés, a une histoire qui se trouve intimement liée à ce mythe fondateur : le ravissement par Zeus de la princesse Europe.
    On trouvera également dans ces pages des cartoons et illustrations de presse sur des thèmes de l’actualité européenne des vingt dernières années… le sujet de l’enlèvement d’Europe y est fréquemment présent et montre que ceux qui, à leur manière, illustrent l’actualité de l’Union européenne dans la presse internationale, l’associent aux élans et enthousiasmes, aux défis et déceptions de sa construction. Ainsi, à côté des autres symboles européens, la princesse Europe accompagne les événements politiques de la construction de l’Union européenne, signe de mouvement plutôt que d’accomplissement.

    L’Enlèvement d’Europe. Trois millénaires d’un mythe., un livre de Alain Roba édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • L’Audience de Don Juan d’Autriche

    16.11 

    Cet essai porte sur le séjour de Don Juan d’Autriche, demi-frère de Philippe II, dans les Flandres (de 1576 à 1578) à l’époque de la guerre. Sur le plan historique, ce livre est le résultat d’une recherche approfondie et rigoureuse. Mais, au-delà des faits livrés par l’histoire et relatés dans l’essai, il s’agit avant tout de se poser la question : pourquoi le personnage solaire, héroïque, que représente Don Juan d’Autriche, amiral de la flotte, vainqueur de Lépante, célèbre dans toute l’Europe pour ses exploits sur les mers, finit-il par se résoudre à cette mission de Gouverneur des Flandres qu’il avait d’abord refusée et qui ne lui convient pas, où sa situation ne cesse de se dégrader ? Pour tenter de répondre à cette énigme historique et individuelle, le récit nous entraîne, pas à pas, comme une enquête, au plus profond des motivations de Don Juan. Un cheminement original qui réserve au lecteur quelque surprise.

    L’Audience de Don Juan d’Autriche, un livre de Frédéric Wauters édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • L’Union fait-elle toujours la force ? (1950-1970)

    18.00 

    NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE VII
    1950 – 1970

    Voici un livre essentiel pour comprendre non seulement la situation dans laquelle se trouve la Belgique aujourd’hui, mais aussi le rôle que cette dernière a joué au niveau de la construction européenne et au niveau international.
    Au niveau national, dès les années 1950, le mouvement flamand, qui était pour une bonne part décapité au lendemain de la guerre des suites de la répression de la collaboration, reprend vigueur, notamment au moment de l’Expo ’58, puis à la faveur des marches sur Bruxelles, dans la foulée de la question linguistique. Dans le même temps, la flamandisation des élites politiques connaît un sérieux coup d’accélérateur. « L’affaire de Louvain » de 1968 conduit à la plus longue crise gouvernementale connue par le pays jusque-là, crée un traumatisme du côté francophone et engendre un bouleversement de l’échiquier politique, avec entre autres conséquences la disparition progressive des partis nationaux. De plus, dès 1960, le déséquilibre économique s’accentue à l’intérieur du pays suite à la fermeture des charbonnages et à la crise structurelle qui s’en suit en Wallonie, alors que la Flandre connaît une plus grande croissance économique. La conjonction des deux fédéralismes, flamand et wallon, va faire sauter le caractère unitaire du pays, dès la première réforme de l’État de 1970, mais qui ne permettra de freiner la construction d’un nationalisme flamand, certes sous-produit du nationalisme belge, mais qui appelle une demande toujours plus pressante d’autonomie, désormais d’ordre à la fois culturel et économique…

    Vincent Dujardin est chercheur qualifié du FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain (UCL). Il a notamment publié une biographie de Pierre Harmel (Le Cri, 2004), qui fut un véritable best-seller.

    Michel Dumoulin est professeur ordinaire à l’UCL et membre de l’Académie royale de Belgique. Éminent historien, il est l’auteur de nombreuses publications.

    L’Union fait-elle toujours la force ? (1950-1970), un livre de Vincent Dujardin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • L’islam dans tous ses états – Nouvelle édition

    38.00 

    L’ampleur des événements actuels a amené l’auteur à élargir son champ d’analyse et à ne plus se limiter dans cette nouvelle édition à l’étude de la tourmente islamique. Il plonge également son lecteur au cœur de l’intense confrontation Est-Ouest, tant leurs causes et solutions s’entremêlent.

    L’islam dans tous ses états – Nouvelle édition, un livre de Jacques Rifflet édité aux Éditions Mols

  • L’incurable mal belge

    29.00 

    QUI PEUT ENCORE PARLER DE FICTION ?

    Tout en déplorant que sa patrie culturelle ne coïncide pas avec son Etat et bien que son cœur batte en direction de l’Hexagone, François Perin va déployer – en tant que constitutionnaliste, homme politique, chroniqueur et écrivain – une énergie peu commune pour engendrer la réforme fédérale du Royaume de Belgique.

    En mars 1980, il démissionne spectaculairement du Sénat, en déclarant que la Belgique est malade de trois maux, incurables et irréversibles, dont le nationalisme flamand.

    L’incurable mal belge, un livre de Jules Gheude édité aux Éditions Mols

  • L’humour pour aider à grandir

    20.00 

    Pour l’enseignant, pour le travailleur social ou pour le parent, le rire et son complice l’humour, constituent incontestablement de précieux outils… à manier avec précaution. Sous ses faux airs naturels, le rire s’appuie sur des ressorts artificiels. Lorsque l’on doit faire rire pour vivre, pour faire vivre, ou tout simplement pour aider à grandir, il vaut assurément mieux ne pas trop laisser l’humour frapper au hasard…

    L’humour pour aider à grandir, un livre de Bruno Humbeeck édité aux Éditions Mols

  • L’évangile de Thomas

    23.00 

    L’évangile de Thomas est en général décrit comme un assemblage de paroles de Jésus sans ordre précis. Pour la première fois, l’auteur démontre qu’il est construit suivant une logique rigoureuse et possède une structure bien définie. Centré sur l’intériorité, cet évangile donne la trame d’un enseignement qui a pour but de mener chaque personne à la sagesse ultime, désignée par le Royaume.

    L’évangile de Thomas, un livre de François de Borman édité aux Éditions Mols

  • L’estime de soi pour aider à grandir

    20.00 

    Les enseignants, les psychologues, les travailleurs sociaux ou les parents se trouvent de nos jours confrontés à un singulier défi : restaurer, stimuler ou maintenir l’estime de soi de leur élève, de leur patient ou de leur enfant… sans pouvoir identifier clairement l’objet de leur préoccupation. Nous proposons précisément dans cet ouvrage de définir concrètement ce que sous-entend le concept d’estime de soi en permettant aux parents, aux professionnels engagés dans une mission pédagogique ou sociale d’acquérir une connaissance plus précise des mécanismes qui la fondent. Il s’agira notamment à travers le cheminement que propose ce livre de comprendre l’ensemble des processus par lesquels l’enfant, l’adolescent ou l’adulte apprennent à se connaître, se construisent une image plus ou moins positive d’eux-mêmes et parviennent à s’aimer.

    L’estime de soi pour aider à grandir, un livre de Bruno Humbeeck édité aux Éditions Mols

  • L’Entrée dans le XXe siècle (1905-1918)

    18.00 

    NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE IV
    1905-1918

    Du 75e anniversaire de son indépendance en 1905 à novembre 1918, la Belgique a vécu une période d’une rare intensité en termes de bouleversements qui l’affectèrent profondément.
    Alors que l’Europe s’attend, au moment de l’invasion allemande de 1914, à une résistance de principe, la surprise est au rendez-vous : la Belgique résiste.
    Dans la foulée, la guerre sert en quelque sorte de révélateur et d’accélérateur aux incubations de la Belle Époque dans les domaines où règnent traditionnellement les tensions : socio-économique, idéologique et communautaire, sans oublier les relations entre l’exécutif et le législatif…

    Michel Dumoulin est professeur ordinaire à l’UCL et membre de l’Académie royale de Belgique. Il est l’auteur de nombreuses publications portant sur l’histoire de la construction européenne, celle des entreprises et celle des relations de la Belgique avec les mondes contemporains.

    L’Entrée dans le XXe siècle (1905-1918), un livre de Michel Dumoulin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Julien Green et la voie initiatique

    26.00 

    L’étude approfondie de Valérie Catelain éclaire sous un jour original l’œuvre essentielle d’un écrivain capable de situer sur un même parcours de sens la passion allant jusqu’au crime, le désespoir de la vie terne et l’espérance d’un salut possible. Ses analyses qui mettent en évidence le pitoyable et l’impitoyable de l’homme qui ont sollicité Green jusqu’à l’obsession, progressent à la façon du voyageur décrit et décrypté par l’écrivain de sorte que l’auteur et son exégète convergent dans une contemplation réciproque qu’il appartient au lecteur de percevoir et qui définit pour lui un autre voyage, celui de la connaissance partagée. Cet ouvrage en est l’indispensable viatique. (Georges Thinès)

    Valérie Catelain, professeur de littérature comparée à l’Université catholique de Lille, docteur en littérature française, est une spécialiste reconnue de l’œuvre de Julien Green, à propos de laquelle elle a organisé de nombreux colloques internationaux. Ses publications portent notamment sur Edmond Jabès, Michel Mohrt et Romain Gary. Elle prépare un essai sur les récits de James Joyce et d’Anton Tchekhov.

    Julien Green et la voie initiatique, un livre de Valérie Catelain édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Journal de route du Prince Albert en 1909 au Congo

    25.00 

    Le livre contient le journal de route écrit de la main du Prince Albert de retour en Belgique en 1909 sur base de ses carnets de notes et des commentaires de l’auteur.

    Le voyage du Prince Albert est le premier d’un membre de la famille royale au Congo. Voulu et organisé par le Prince lui-même, il constitue un véritable exploit sportif. Á vélo, à pied, en bateau et en chemin de fer, il parcourut pendant près de 3 mois ce pays immense venant du Cap et de Rhodésie, à partir du Katanga afin de rejoindre le fleuve et redescendre sur Léopoldville, Matadi et Boma.

    Le journal n’a jamais été édité. Le Prince Albert n’en avait pas l’intention.

    Journal de route du Prince Albert en 1909 au Congo, un livre de Raymond Buren édité aux Éditions Mols

  • Joseph Pholien

    25.00 

    ((« Le petit père Pholien »))…, le surnom sonne encore familièrement aux oreilles de ceux qui ont connu le Premier Ministre Pholien. Son style, en effet, se voulait celui de la bonhomie. Cependant, ses principes étaient ceux de la fermeté, du respect d’« une hiérarchie des valeurs » telles que justice, loyauté et courage. Et ses armes furent le droit, l’humour aussi.

    ((Les vingt-cinq années où s’exerça l’action politique de Joseph Pholien s’étendent de 1936 à 1962)). Les crises se succédèrent pour notre pays, au milieu d’une Europe en désarroi : la montée de l’extrême-droite, l’invasion et l’occupation nazies, puis l’épuration sauvage, l’abdication de Léopold III en faveur de son très jeune fils, la guerre de Corée et l’indépendance du Congo.

    A travers ces défis lourds de conséquences, son objectif fut toujours « l’apaisement et l’unité du pays, comme aussi la bonne entente entre ses concitoyens » et il y parvint. Il contribua ainsi à l’accession d’une Belgique stable dans l’Europe d’aujourd’hui.

    Grâce au travail scientifique d’une équipe d’historiens chevronnés, cette ((étude biographique)) prend place parmi celles qui ont permis d’éclairer l’histoire récente de la Belgique.

    Joseph Pholien, un livre de Françoise Carton de Tournai édité aux Éditions Mols

  • Jeanne d’Arc en garde à vue

    12.89 

    Mise en examen de Jeanne d’Arc, sainte diabolique suspecte de jouer double jeu à force d’être toujours prise entre deux feux, tiraillée entre camps rivaux ou confrères ennemis — Bourgogne et Orléans, France-Angleterre, Voltaire corrigé par Schiller, Michelet par Dupanloup, Péguy contre Jaurès — ou tout dernièrement, la mission Rivette ayant échoué à la soustraire aux pattes douteuses de ses porte-étendard, transmuée en Madonne des sans-papiers à l’Odéon par une table de philosophes œuvrant au noir. Spécialistes et critiques font ici échange de vues pour prononcer d’un commun accord la mise en examen de l’histoire par la littérature, des sciences par les arts. (Textes réunis par Dominique GOY-BLANQUET)

    Jeanne d’Arc en garde à vue, un livre de Dominique Goy-Blanquet édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Jean-Charles Snoy (1907-1991)

    30.00 

    Représentant la Belgique, aux côtés de Paul-Henri Spaak, à la signature des traités de Rome le 25 mars 1957, Jean-Charles Snoy et d’Oppuers (1907-1991) est surtout connu pour son rôle dans la construction européenne. Mais ceci est réducteur. Considéré à juste titre comme un homme d’Etat, respecté en Belgique et fort écouté à l’étranger, il est animé par la conviction qu’« il vaut mieux servir la chose publique que des intérêts privés ». Enraciné dans une tradition de rigueur intellectuelle et morale complétée par de très brillantes études, il connaît, en dépit de circonstances difficiles, une fulgurante carrière. Secrétaire général du ministère des Affaires économiques à 32 ans, artisan infatigable de la préparation de l’après-guerre puis de la reconstruction de la Belgique, il l’est aussi de celle de l’Europe. Profondément attaché à la nature dont il se fait tour à tour le défenseur et le promoteur, Snoy, « l’homme qui aimait planter des arbres », est un acteur et un témoin de premier plan de l’histoire nationale et européenne du xxe siècle. Homme de caractère, il n’aurait pas déparé la galerie de ceux dressés par La Bruyère. Ou pour le dire avec Philippe de Schoutheeete qui signe la préface, Snoy illustre admirablement la formule d’Héraclite : « Le caractère de l’homme est sa destinée ». Grâce à de nombreuses archives belges, américaines, françaises anglaises, néerlandaises et luxembourgeoises, ce livre jette, à travers la vie d’un « grand commis de l’Etat », un nouvel éclairage sur quatre décennies d’histoire de Belgique ainsi que sur l’apport belge au processus d’intégration européenne.

    Vincent Dujardin est chercheur qualifié du FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain. Il est aussi professeur invité à l’Université Jagellone de Cracovie et aux FUCAM. Ses recherches portent sur l’histoire politique de la Belgique, de la construction européenne, des relations internationales et du Congo.
    Michel Dumoulin est professeur ordinaire à l’Université catholique de Louvain et membre de l’Académie royale de Belgique. Ses publications portent notamment sur l’histoire de la construction européenne, celle des relations de l’Europe avec l’Outre-Mer et celle des milieux et réseaux dans le cadre des relations internationales.

    Jean-Charles Snoy (1907-1991), un livre de Vincent Dujardin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Je ne vous ai pas oubliés

    22.90 

    Témoignage de l’auteur :
    • sur ses actions durant la Résistance : participation au Réseau Comète, avec notamment Andrée De Jonghe – dont Marie-Pierre d’Udekem d’Acoz, historienne spécialiste de la Seconde Guerre mondiale, est la biographe –, dans le but d’exfiltrer les aviateurs anglais tombés en Belgique derrière les lignes ennemies durant la Seconde Guerre mondiale vers les Pyrénées et l’Espagne à destination de l’Angleterre ; jusqu’à son arrestation en août 1942 et son passage par la prison de Saint-Gilles ou elle « fête » ses 20 ans ;
    • sur sa vie ensuite dans les prisons et camps successifs d’Allemagne, de Pologne et d’Autriche – Mesum, Zweibrücken (Sarre), Gross-Strehlitz (Haute Silésie), Ravensbrück, Mauthausen – et ses tentatives d’évasion, les travaux forcés, les mises au cachot… jusqu’à sa libération en avril 1945.

    Je ne vous ai pas oubliés, un livre de Andrée Dumon édité aux Éditions Mols