• De l’air

    De l’air, un livre de Xavier Deutsch édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    10.00 
  • De la scène à la lucarne (conversations avec Henri Billen)

    À travers l’évocation de la longue carrière d’Henri Billen (1918), homme de théâtre – sur les planches, dans les jeux radiophoniques et à la tête du service des Dramatiques à l’INR (et puis à la RTB), un pan entier du monde artistique belge francophone du XXe siècle ressurgit. Il a d’abord fréquenté et puis dirigé le Jeune Théâtre de son Alma Mater, l’Université Libre de Bruxelles. Dans ce milieu, il a côtoyé un groupe de « créateurs libres » qui, comme lui, sont passés – d’allers en retours – de la scène à la lucarne. Ce sont les Wangermée, Van Hout, Delville, Lanc, Danblon, Anrieu, Roland, Ravar, Becker, Brédael, Thierry… Sans oublier Louis-Philippe Kammans, le fondateur de la compagnie avant d’être le premier « patron » d’Henri Billen aux débuts de la télévision. Sur les balbutiements de l’INR, Henri Billen porte un regard tendre et sans nostalgie. Il raconte, avec humour, une période d’expériences audacieuses et artisanales où les pionniers programmaient des fictions pour le petit écran avec à l’esprit une définition exigeante des missions du service public. Celles-ci bénéficièrent de la complicité de nombreux comédiens belges dont un certain nombre d’AJT (d’Anciens du Jeune Théâtre). Cette série d’entretiens avec Henri Billen s’appuie sur la bibliographie spécialisée, des fonds d’archives la plupart originaux et de nombreuses interviews, souvent réalisées en sa compagnie.

    Docteur en Histoire (ULB), Pierre Van den Dungen est chercheur (ULB) et professeur à La Cambre-ENSAV (Bruxelles). Spécialiste en histoire de la presse et des médias (Milieux de presse et journalistes en Belgique (1828-1914), Bruxelles, Académie royale de Belgique, 2005, La Civilisation du journal, Histoire culturelle et littéraire de la presse française au XIXe siècle (1800-1914), Dominique Kalifa et alios (dir), Paris, Nouveau Monde, à paraître en 2009…).

    De la scène à la lucarne (conversations avec Henri Billen), un livre de Pierre Van Den Dungen édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • Dieu, les Focolari et moi

    En ce moment, où se discute la cause de béatification et de canonisation de Chiara Lubich, fondatrice du Mouvement des Focolari, il nous a semblé indispensable de faire connaître ce témoignage et les réactions qu’il a suscitées, notamment auprès de certains Jésuites éminents et d’autres théologiens, juges, etc., au sein même de l’Église.

    Dieu, les Focolari et moi, un livre de Renata Patti édité aux Éditions Mols

    21.50 
  • Dix-huit Fantômes

    Dans le collège pour jeunes filles de Mèrémont, une des pensionnaires, Vissia, est retrouvée, pieds et poings liés, étranglée avec ses propres cheveux. Aucune des dix-huit autres occupantes du dortoir n’a rien vu ni entendu.
    La direction du collège demande à Désiré Marco de trouver le coupable, à charge pour lui de démontrer qu’il vient de l’extérieur, le personnel étant au-dessus de tout soupçon. Marco découvrira que l’établissement cache des mœurs étranges. Ainsi, Vissia était une séductrice patentée. Les mœurs des autres jeunes filles étaient tout aussi dissolues, et les membres de l’établissement cachaient tous un secret plus ou moins lourd…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Dix-huit Fantômes, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • En haut de la terre

    En haut de la terre, un livre de Xavier Deutsch édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    19.00 
  • En Plein Soleil

    Léopold Courouble (Bruxelles 1861-1937), à Bruxelles, rue des Chartreux, dans la belle demeure familiale, surmontée d’un double pignon à redans, qu’il a décrite dans La Maison espagnole (1904). Âgé à peine de sept ans, Léopold a été mis en pension à Vanves. Pensionnaire quelque temps au Lycée Louis-le-Grand, il revient adolescent de Paris en 1877, pour achever ses humanités à l’Athénée de Bruxelles. S’il lui plaira, dans le cycle des Kaekebrœck (qui fera des émules, parmi lesquels les auteurs fameux du Mariage de Mlle Beulemans) et quelques autres ouvrages, de peindre avec un réalisme tout imprégné de sympathie les Bruxellois bruxellisants du bas de la ville, il lui déplaisait que son entreprise amenât les esprits simplistes à voir en lui un bon Brusseleer.
    Inscrit à l’Université libre de Bruxelles, il en sort en 1884 avec le diplôme de docteur en droit. Ce qu’il a appelé discrètement la fortune changeante le réduit tout soudain à la pauvreté. Que faire? Le métier d’avocat s’offre à lui. Il plaide quelque peu, mais il eut vite fait, dira George Garnir, de prendre en grippe la robe et le rabat du stagiaire. Il s’embarque alors comme simple matelot sur un navire qui part pour l’Amérique, une aventure sans lendemain qu’il racontera dans Atlantique Idylle (1895), et qui, souvenir durable, lui fournira le sujet et le cadre de son dernier roman, À bord du Jacques Van Artevelde.
    Il s’oriente vers le journalisme. Les chroniques judiciaires, signées Maître Chamaillac, qu’il donne à La Réforme, mettent en lumière son talent de narrateur ; il en publiera un choix dans Mes Pandectes (1904). Voilà qu’on lui propose, en 1889, un poste de magistrat au Congo. Il l’accepte, et il apporte à ses fonctions un zèle méritoire. Mais des ennuis de santé interrompent sa carrière africaine. Bien que brève, elle hante sa mémoire : En plein soleil (1900), Profils blancs et frimousses noires (1901), Images d’outre-mer (1903).
    Les premiers de ces textes sont enfin réédités.

    En Plein Soleil, un livre de Léopold Courouble édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    16.00 
  • Et si j’ouvrais la porte de mon sixième sens ?

    Et si c’était vrai, si nous avions bien un sixième sens ?
    Question éternelle.
    Ce livre est une invitation à vous poser dans une bulle hors de toutes croyances, préjugés ou opinions. Un peu comme si vous faisiez l’exercice d’effacer tout ce que l’on vous avait appris et que vous aviez l’audace de dépasser vos frontières.

    Et si j’ouvrais la porte de mon sixième sens ?, un livre de Marie-Pascale Coenraets édité aux Éditions Mols

    18.00 
  • Eugène Ysaye

    Grand interprète de Bach et de Beethoven, Eugène Ysaye (1858-1931) créa les œuvres les plus représentatives de son temps, imposant au public Franck, Lekeu, d’Indy, Chausson, Fauré, Dukas, Debussy, Elgar et les Russes du groupe des Cinq. Il fut aussi une véritable star, lancée dans de gigantesques tournées. Lui qui avait débuté dans les brasseries joua devant les derniers monarques de l’Europe et porta, comme jadis Liszt, le titre nostalgique de maître de chapelle de la cour. Ses partenaires furent le gotha de la musique internationale : Raoul Pugno, Isaac Albeniz, Rachmaninov, Busoni, d’Albert, les deux Rubinstein — pour ne citer que les plus connus — et sur le tard Cortot, Yves Nat et Clara Haskil. Heifetz et Milstein eurent encore la chance de jouer avec lui. Casals l’accompagna à Vienne dans un concert mémorable… Thibaud aimait à recevoir ses conseils. Par les dizaines d’élèves qu’il forma, sa postérité artistique est encore aujourd’hui fort nombreuse. Ni la maladie ni le déclin de ses moyens artistiques n’assombrirent vraiment ses dernières années qui demeurèrent très créatives, grâce à sa seconde femme, l’Américaine Jeannette Dincin, et à la reine Élisabeth de Belgique avec laquelle il jeta les bases du concours de violon qui devait porter brièvement son nom avant de devenir le Concours international reine Élisabeth. « Il nous manquait un bon ouvrage complet, largement documenté et peu discutable sur Eugène Ysaye. Excellente chose, c’est à un auteur point cantonné dans la seule musicologie que nous le devons. Maxime BENOIT-JEANNIN intéressera le grand public par son portrait exact et chaleureux d’un géant, autant que les spécialistes par l’abondance et le sérieux de son information. (…) ». (Privilège, supplément à L’Echo)

    Maxime BENOIT-JEANNIN est l’auteur de plusieurs romans, notamment Mademoiselle Bovary (coédition Belfond, 1991), Colonel Lawrence (Coédition Jean-Michel Place, 1992) et Chez les Goncourt (2004). De deux biographies exhaustives : Georgette Leblanc 1869-1941 (1998) ; Eugène Ysaye, le sacre du violon (2001). Et d’un essai sur les rentrées littéraires, La Corruption sentimentale (2002).

    Eugène Ysaye, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    24.29 
  • Euthanasie, l’envers du décor

    Huit soignants belges – professeurs d’université, médecins, infirmiers et éthiciens reconnus et expérimentés en accompagnement palliatif – tentent ensemble de dire leurs questions autour de la fin de vie, des soins palliatifs et de la pratique de l’euthanasie. Deux femmes médecins, française et israélienne, se sont jointes à eux. Les regards croisés de ces praticiens de la santé font la richesse et l’originalité de cet ouvrage.

    Euthanasie, l’envers du décor, un livre de Timothy Devos édité aux Éditions Mols

    23.00 
  • Exit permit ! 328 jours de captivité au Qatar

    Avril 2008, Philippe Bogaert, jeune homme d’affaires belge, part enthousiaste au Qatar pour une mission en tant que directeur de programme.
    Quelques mois à peine plus tard, à la suite de conflits persistants avec les autorités, il est propulsé au poste de directeur général. L’ascension de rêve se transforme en cauchemar lorsqu’il devient la cible de la vindicte de l’actionnaire majoritaire qatarien.
    Du jour au lendemain, Bogaert se retrouve sans salaire et interdit de quitter le territoire de l’émirat.
    Pris au piège dans un imbroglio kafkaïen qui fait de lui un véritable prisonnier d’état, Bogaert ne pense plus qu’à une chose : s’échapper du Qatar.
    Derrière les murs de la résidence de l’Ambassadeur belge, où il a trouvé refuge, l’évasion se prépare dans le plus grand secret…
    L’histoire vécue dont il fut l’involontaire héros, Philippe Bogaert la raconte avec émotion, humour et sobriété, dans un récit haletant et enlevé. Son souci est principalement d’avertir les candidats à l’exil doré dans un eldorado climatisé, sans bien savoir ce qui se cache derrière les palmiers, le ciel bleu, les splendides hôtels et les gros contrats.

    Philippe Bogaert, producteur et pianiste émérite, dirige depuis 2004 la maison de production Finger. À son retour du Qatar, il a suivi un Executive MBA à la Louvain School of Management.

    Exit permit ! 328 jours de captivité au Qatar, un livre de Philippe Bogaert édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    19.00 
  • Explosion de particules

    Et si l’on pouvait assister à son propre enterrement ?
    Si tous les gens que l’on a aimés ou détestés au fil de sa vie se trouvaient réunis en un même endroit, sachant pourquoi vous avez disparu, alors que vous-même n’en avez plus le moindre souvenir ?
    Et si toute l’assemblée présente, aristocrates belges en apparence classiques et bien-pensants, étaient en fait bien plus délirants, cyniques et imparfaits les uns que les autres ?
    Comment Juliette, violoniste promise à un bel avenir, a-t-elle pu mourir si tôt ?

    Explosion de particules, un livre de Valentine de le Court édité aux Éditions Mols

    19.90 
  • Fais descendre le Polonais

    Trois condisciples d’université aux parcours de vie contrastés se retrouvent mêlés, quelques dizaines d’années plus tard, à un crime survenu dans un bar montant bruxellois.
    Quels sont les liens entre le riche et célèbre pénaliste, le patron pervers de la boîte de nuit et l’auteur de fiction en mal de succès ?
    À la veille de sa mort, l’avocat confie à l’écrivain le manuscrit de ses mémoires. Il y manque une cinquantaine de pages. Étrangement, celles- ci parviennent au romancier au compte-gouttes et dans le désordre.
    Peu à peu, en y lisant les témoignages d’un nain au passé douteux, homme lige du propriétaire du bar, du voyou recruteur et de la tenancière, l’écrivain découvre des informations sur le crime. Pris au jeu, il mène l’enquête, accompagné par une jeune entraîneuse qui travaille dans la boîte depuis peu et le séduit.
    Profitant de l’aubaine, l’écrivain se saisit de l’histoire pour la transformer en fiction. Il comprend alors avec effroi qu’il est lui-même lié de très près au cold case* qu’il raconte. De fictionnel, son roman dérive vers la chronique d’une réalité́ à laquelle il ne pourra échapper.
    Roman noir haletant qui embarque le lecteur dans l’univers glauque de la nuit, Fais descendre le Polonais tient le lecteur en haleine et ne le lâche qu’une fois l’affaire élucidée.

    Jean-Louis du Roy de Blicquy – www.jeanlouisduroy.com –, après une carrière dans la finance, se consacre désormais à l’écriture. Fais descendre le Polonais est son septième ouvrage paru au Cri.

    * Affaire criminelle non élucidée, ayant fait l’objet d’un classement sans suite.

    Jean-Louis du Roy, né à Etterbeek (Bruxelles) en 1945 est licencié en sciences politiques et sociales (U. C. L. ) et Maître en management public (Solvay U. L. B. ). Il a occupé des fonctions dirigeantes dans le secteur financier et se consacre aujourd’hui à l’écriture.

    LA PRESSE

    Avec Tirs, son cinquième roman, il confirme son talent d’auteur à suspense qui lui avait valu, lors de la sortie de La Honte de Max Pélissier, les éloges d’une critique unanime :

    Un roman trouble et troublant…( La Libre Belgique)
    Le lecteur ne sera pas déçu…(L’Evénement)
    On y trouve tous les ingrédients qui font les excellents suspenses…(Ciné Télé Revue)
    L’élaboration tragique ne le cède en rien à la qualité de l’écriture… (L’Eventail)
    Un suspense 100% belge. Une réussite !( La Dernière Heure)
    Habilement ficelé… (Le Vif-L’Express)

    Fais descendre le Polonais, un livre de Jean-Louis du Roy de Blicquy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    22.90 
  • François Perin

    Peu d’hommes politiques belges ont atteint un tel niveau de prestige, d’intelligence et d’éloquence et communiqué autant d’enthousiasme.

    Alors que la Belgique est confrontée à la poussée de plus en plus forte du nationalisme flamand, le lecteur trouvera ici les vérités insupportables et les avertissements que le brillant constitutionnaliste n’eut de cesse de débiter, avec parfois l’énergie du désespoir.

    François Perin, un livre de Jules Gheude édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    28.90 
  • Georgette Leblanc

    Georgette Leblanc. « Sœur du créateur d’Arsène Lupin, cantatrice, actrice, égérie lesbienne… […] la meilleure chose à faire est de consulter l’impressionnante monographie […] : dix ans de travail et 600 pages serrées pour cette «amante de la vie». » (Benoît Duteurtre, Marianne)

    Maxime BENOIT-JEANNIN est l’auteur de plusieurs romans, notamment Mademoiselle Bovary (coédition Belfond, 1991), Colonel Lawrence (Coédition Jean-Michel Place, 1992) et Chez les Goncourt (2004). De deux biographies exhaustives : Georgette Leblanc 1869-1941 (1998) ; Eugène Ysaye, le sacre du violon (2001). Et d’un essai sur les rentrées littéraires, La Corruption sentimentale (2002).

    Georgette Leblanc, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    24.29 
  • Georgette Leblanc, Maurice Maeterlinck

    Des conversations avec Stanislavski inspirent à Georgette Leblanc les représentations de La Tragédie de Macbeth et de Pelléas et Mélisande à l’abbaye de Saint-Wandrille, sa résidence d’été. Femme d’énergie, elle sert le théâtre de Maeterlinck avec un dévouement absolu à Paris et dans les grandes capitales européennes.
    Leur dialogue amoureux et intellectuel continue, exigeant et rude, jusqu’à la rupture en 1918. Le Prix Nobel lui avait écrit : « Même si tu n’avais pas été femme, tu aurais été le seul être que j’eusse aimé complètement. » Il lui reconnaît un don d’écrivain-né. « Mon cher Maurice, (…), lui répond-elle, “Tu me diras” toujours mieux et plus exactement que moi-même ! Et qu’importe que cela vienne de toi ou de moi… pourvu que la beauté naisse ! … » Elle se révolte cependant contre l’absorption totale de sa pensée et de sa personnalité. Trop tard…

    Maxime Benoît-Jeannin est, entre autres, le biographe de Georgette Leblanc (1869-1941) (Le Cri, 1998) et d’Eugène Ysaye (Le Cri, 2001), il est aussi le romancier de Mademoiselle Bovary (LeCri, 1991) et d’Au bord du monde, un film d’avant-guerre au cinéma Eden (Le Cri, 2009).

    Georgette Leblanc, Maurice Maeterlinck, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    26.00 
  • Gracchus Babeuf et Jean Calvin

    Gracchus Babeuf et Jean Calvin font rentrer la poésie avec l’histoire dans la ville de Noyon. Poème-manifeste.

    Jacques DARRAS, né à Bernay-en-Ponthieu (Somme) en 1939, est professeur de littérature anglo-américaine à l’Université de Picardie. Après des études à la rue d’Ulm à Paris, il a publié les quatre premiers chants d’un long poème (La Maye I, Le petit Affluent de la Maye II, L’Embouchure de la Maye dans les vagues de la Manche III, Van Eyck et les rivières IV), des essais (Le Génie du Nord, La Mer hors d’elle-même) et des traductions (Ezra Pound, Walt Whitman, Malcolm Lowry). Il est également le premier Français à avoir prononcé les Reith Lectures à la BBC en 1989, lors du bicentenaire de la Révolution française. Il dirige la revue In’hui depuis 1979.

    Gracchus Babeuf et Jean Calvin, un livre de Jacques Darras édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    7.44 
  • Indisponible

    Harry Dickson – 01. Cric-Croc, le mort en habit

    Cric-Croc, un bandit à tête de mort et en redingote, terrorise Londres. Il vient notamment d’enlever sur scène la ravissante actrice Gladys Faires, alors qu’elle répétait la dernière pièce du populaire dramaturge Périclès Holdon. Pendant ce temps, une bande de truands, versés dans la traite des blanches (de préférence des jolies comédiennes) dans les bas quartiers de Londres, sont éliminés un à un par un justicier fantôme. Le célèbre Harry Dickson pourra-t-il venir en aide à Scotland Yard pour dénouer les liens qui unissent ces deux affaires ?

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 01. Cric-Croc, le mort en habit, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    6.50 
  • Indisponible

    Harry Dickson – 02. Le Lit du diable

    En 1858, John Grestock revient en Écosse dans le lugubre manoir familial de triste réputation qu’il a quitté huit ans auparavant. Quelle n’est pas sa surprise lorsqu’il constate que sa chambre est aujourd’hui luxueusement meublée ! Mais il remarque des traces de sang sur le lit, et deux hommes lui proposent une somme considérable pour qu’il ne remette plus jamais les pieds à Grestock Island !
    Cette histoire parvient, cinquante ans plus tard, aux oreilles du célèbre Harry Dickson, qui fait aussitôt le lien avec l’affaire sur laquelle il enquête, à savoir l’inscription laissée sur un rocher en Écosse par un géologue assassiné. Juste avant de mourir, la victime a eu le temps d’écrire : « Grestock » !
    Sur les lieux, Harry Dickson et son fidèle élève Tom Wills parviendront-ils à démasquer ceux qui, voués à un culte de l’antique Babylone, hantent le « lit du diable » ?

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 02. Le Lit du diable, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    6.50 
  • Indisponible

    Harry Dickson – 03. L’Affaire Bardouillet

    Charles Bardouillet, myope et discret jusqu’au jour où on le découvre mort, faisait chanter les riches, dont Hamilton Melton — l’amant de Lady Elisa Ogilvy — qui, lui aussi, vient de passer de vie à trépas, mais en se suicidant, ruiné. Le maître chanteur aurait pu être la victime d’une de ses proies, si Lady Elisa Ogilvy ne prétendait l’avoir vu bien vivant et avoir été, à nouveau, l’objet d’une tentative de chantage de sa part. Par ailleurs, la comédienne Charlotte Hyams a certainement joué un rôle trouble d’intermédiaire entre Bardouillet et Lady Ogilvy : elle fréquentait d’autres victimes de Bardouillet ! Autant d’intrigues que le fameux Harry Dickson aura à débrouiller, sans compter la disparition, depuis quelques jours, du comédien Bell…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 03. L’Affaire Bardouillet, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    6.50 
  • Indisponible

    Harry Dickson – 04. La Maison du Grand Péril

    De nuit, Harry Dickson et son élève Tom Wills font une promenade lorsque leur attention est attirée, dans la vitrine du commerçant Phil Rummy — mort un mois auparavant —, par l’étrange silhouette d’un homme chauve. Ils perquisitionnent les lieux et découvrent une chaise royale ainsi qu’une missive annonçant l’assassinat de Lady Ruth Branican, meurtre que Dickson ne pourra éviter. Terrorisé, le mari de la victime refuse toute collaboration, mais révèle qu’il a rencontré Lady Branican à Téhéran en Perse. Le célèbre Harry Dickson parviendra-t-il à remonter aux sources du mal birman qui hante la « Maison du Grand Péril » ?

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 04. La Maison du Grand Péril, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    6.50 
  • Indisponible

    Harry Dickson – 05. On a tué M. Parkinson

    Joachim Parkinson, propriétaire nanti du show des « phénomènes », souhaitait racheter Heertha — un splendide puma — au directeur du cirque Bidderstone. Mais Parkinson est assassiné d’une flèche d’or à proximité de la cage aux lions.
    Lorsque Harry Dickson arrive sur les lieux du crime, il constate que le cadavre a disparu. C’est alors que le dompteur Hardmuth est mortellement blessé par le puma. Il existe forcément des liens entre tous ces événements : de l’intérêt que nourrissait Parkinson pour le félin, aux flèches meurtrières. Harry Dickson opère dès lors une descente vers le monde des forains…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 05. On a tué M. Parkinson, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    6.50 
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    Harry Dickson – 06. La terrible Nuit du zoo

    Comme d’habitude, Bill Wackens effectue sa ronde nocturne dans le pavillon des fauves du zoo de Londres — qu’il a pris soin de fermer à clefs de l’intérieur —. À l’aube, on le retrouve déchiqueté par un monstre. Un étrange vagabond est repéré sur les lieux. Par ailleurs, la dernière acquisition du zoo — un magnifique loup blanc — a elle aussi été abattue d’une balle. Harry Dickson et Tom Wills vont être entraînés dans une enquête hallucinante où le Dr George Huxton disparaît sans laisser de trace, au nez et à la barbe de son assistant Cabuy, et où la fiancée de Huxton, Luciana de Haspa — scientifique à l’origine de l’achat du loup blanc —, prétend vouloir les aider à résoudre l’énigme…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 06. La terrible Nuit du zoo, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

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    Harry Dickson – 07. Le singulier M. Hingle

    L’Attikos, en provenance du Pirée, remonte la Tamise chargé de fret. Un homme saute à quai. Au coin de Malabar Street, il bouscule intentionnellement un docker ivre, qui est aussitôt happé par un autobus. C’est le début d’une série impressionnante de crimes indescriptibles, tous signés Mr Hingle.
    Dickson et le surintendant Goodfield se lancent sur la piste de leur ami enlevé lors d’une soirée offerte en l’honneur de la visite à Londres du prince afghan Am Doullah. Ils sont suivis par deux suspects que Dickson abat froidement sous le regard médusé de Goodfield. Suit alors une course folle à travers un dédale de souterrains sordides où Dickson et Goodfield parviennent à libérer in extremis Tom Wills d’une mort assurée, à la merci du prince et de ses tueurs. Mais quel est le lien entre Am Doullah et Hingle ? L’enquête se transforme en véritable chasse, sinon en carnage, Dickson étant déterminé à éradiquer définitivement le mal.
    Il faudra encore une confrontation avec la belle mais non moins redoutable princesse Ludmillah Werenoff, un voyage hallucinant sur une plage entourée de falaises, un albatros happé en plein vol par une araignée géante, un crabe horrible encore plus grand, quatre dacoïts — tueurs indiens fanatiques — et une ultime offensive pour venir à bout de l’énigme de ce singulier Mr Hingle. Mais qui a jamais rencontré le véritable Mr Hingle ? Dickson le révèle alors que nous sommes à bout de souffle.

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 07. Le singulier M. Hingle, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

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    Harry Dickson – 08. Les Vengeurs du Diable

    Minuit ! En prêtant l’oreille, on pourrait entendre le lamento du carillon de Westminster ou la grave sonorité de Big-Ben. Les bruits du dehors sont ouatés par le brouillard. À l’intérieur du British Museum, le silence est complet. Même les gardiens, aux savates doublées de feutre épais, ne font pas plus de bruit que les ombres qu’agitent leurs fanaux de veille.
    Pourtant, deux des leurs meurent la nuque brisée par un « grand singe » ! Une hallucinante enquête va conduire le célèbre détective Harry Dickson à affronter le dieu Hanuman et les « Vengeurs du Diable »…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 08. Les Vengeurs du Diable, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

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    Harry Dickson – 09. La Cité de l’étrange peur

    Tout commence à Londres dans le quartier paisible de Ham, dont les habitants semblent étrangement isolés de ceux des quartiers voisins. Toutefois, les amis de Mrs Hasslop, dont l’écrivain public Mr Doove, se réunissent chaque mardi soir chez cette dernière. Or, Mr Doove est en retard à la dernière réunion, il a été témoin du meurtre par balle d’un matelot aux abords du Scotch Saloon, près de Ham. À l’autopsie, on découvre que le matelot aurait été électrocuté.
    Sur les lieux, Harry Dickson se souvient aussitôt de quatre crimes similaires perpétrés dix ans auparavant. Molly Vink, à la fois au service de Mrs Hasslop et voleuse notoire, s’est introduite dans Ham pour découvrir son secret et dérober une fortune. Mais, terrorisée, elle doit pourtant fuir lorsqu’elle est confrontée, chez sa patronne, à une effrayante inconnue. Un marchand d’oiseaux, qui erre la nuit une cage sous le bras, semble être à l’origine des électrocutions meurtrières. À la recherche du marchand, Dickson constate que les habitants de Ham ont eux aussi déserté le quartier.
    Son enquête et l’historique de Ham mèneront le détective aux origines de l’énigme : dans une île des mers du Sud !

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

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    Harry Dickson – 10. Les Tableaux hantés

    Le grand collectionneur Frédéric Mandelme fait appel à Harry Dickson car deux personnages d’une de ses œuvres de l’école lombarde ont été effacés, alors que le tableau se trouvait enfermé dans un lieu sécurisé.
    Le célèbre détective découvre rapidement que la peinture est d’une facture plus récente. C’est alors que Warkins, le maître d’hôtel de Mandelme, est assassiné…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 10. Les Tableaux hantés, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

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    Harry Dickson – 11. Le Loup-garou

    Popp Podgers, riche propriétaire, entretient des rapports houleux avec ses concitoyens, jusqu’à Miss Phara Simpson (fille d’un fermier rebelle) qui refuse obstinément ses avances. Mais les choses n’en restent pas là : Barnett, garde forestier de Podgers, est tué par un loup ; les marins de Podgers refusent de naviguer, toujours par peur d’un loup qui aurait égorgé les six grand béliers reproducteurs, alors que le dernier loup aperçu dans la région remonte à 1846 ; le capitaine Sandbury, au service de Podgers, meurt lui aussi, précipité d’une tour par un grand loup !
    Pourtant, Podgers se fiance soudain à l’acariâtre Miss Lippman, directrice de l’école.
    Entre le fermier Simpson et sa fille, entre Miss Lippman et Podgers, entre les histoires de loups et de meurtres, le célèbre Harry Dickson aura du fil à retordre.

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

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    Harry Dickson – 12. L’Étoile à sept branches

    Alors que Timotheus Soames sort de prison, un certain Belkirk le remplace dans sa cellule. On retrouve ce dernier drogué et on soupçonne Soames d’être mystérieusement revenu dans son ancienne cellule afin de récupérer un objet précieux.
    Belkirk est à son tour libéré et, alors que Tom Wills — fidèle élève d’Harry Dickson — le filait, il est assassiné d’une décharge électrique dans une ruelle de Covent Garden, serrant contre lui une étoile de métal à sept branches !
    On raconte que l’étoile appartenait deux siècles auparavant au capitane Shark, un pirate dont le secret pouvait mettre à mal l’Angleterre. Le pirate confectionna sept étoiles et en confia une à chacun de ses six complices, dont les descendants recherchent aujourd’hui la septième, car elle est l’ultime pièce pour retrouver l’emplacement du secret.
    Soames est-il en possession cette ultime clef, et donc du mystère de Shark ou de « l’étoile à sept branches » ?

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

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    Harry Dickson – 13. Le Cabinet du Dr Selles

    Antime Paradieu meurt terrorisé lors d’une conversation téléphonique. Mr Midgett est retrouvé pratiquement déchiqueté. Ils étaient tous deux patients du Dr Selles, dont la maison recèle passages secrets, fenêtres escamotables, pièces fantômes, cris, magie noire et sang…
    Voilà les ingrédients de l’intrigue qu’auront à dénouer le fameux Harry Dickson et son indéfectible élève Tom Wills.

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

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    Harry Dickson – 14. Le Temple de fer

    Des jeunes hommes riches sont enlevés. On soupçonne les adeptes du Temple de fer et un matelot portugais qui, le lendemain de son incarcération, est retrouvé mort. On arrête également six mulâtres dont l’appartenance au Temple semble établie, mais le véhicule qui les transporte se volatilise en cours de route. À la recherche de la vérité sur les origines, la réalité et les desseins du Temple de fer, Harry Dickson va être confronté à un être d’une rare cruauté…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

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    Harry Dickson – 15. La Rue de la Tête-Perdue

    Deux dames sans histoires, Slowby et Wood, paisibles habitantes de Harcester, disparaissent après la visite d’un étrange inconnu. Abe Niggins, l’archiviste du coin, découvre sur la nappe des deux dames un dessin représentant le symbole de l’antique Babylone.
    Par ailleurs, dans une cave de faux-monnayeurs dans la rue de Harcester, les faussaires se sont suicidés avant l’arrivée des autorités. On découvre aussi les corps de deux vieilles dames horriblement étranglées. Le symbole de l’antique Babylone se trouve sur un des murs.
    Harry Dickson va concentrer ses efforts sur la rue de Harcester, dites de la « tête-perdue » — on peut en effet y voir une statue décapitée —, où il tentera de comprendre et d’enrailler les tenants et aboutissants d’un culte sordide…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

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    Harry Dickson – 16. La Résurrection de la Gorgone

    Le jeune journaliste Albert Renders meurt les organes broyés. Il avait pourtant échappé au sculpteur fou Mattheus Jarns, qui voulait le fondre dans sa statue Lutte de Centaures.
    Harry Dickson se fait passer pour Jonas Flemmington, amateur d’art américain, pour se rendre chez la redoutable mais non moins ravissante artiste Miss Euryale Ellis, qui souhaite lui vendre des œuvres de Jarns. Dès lors vont se bousculer Gorgones de la mythologie grecque — femmes à chevelures de serpents qui transforment les hommes en statues —, drogues à base d’herbes soporifiques, un adapte des sciences occultes, Nathaniel Rock — compagnon de Miss Ellis —, qui terrorisa Londres…
    Dickson aura fort à faire pour ne pas finir en statue et pour échapper à ce qui ressemble furieusement à de la magie noire…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

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