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D’un Sang bleu assez froid
Un homme d’affaires, à qui tout semble réussir, navigue entre son épouse aristocrate, une amie de jeunesse, quelques aventures, et ses ambitions professionnelles. Lorsqu’il rencontre Laura, il est loin de se douter que sa vie va être littéralement mise en pièces… À travers ce roman haletant, l’auteur décrit avec humour et cynisme l’environnement d’un héros de notre temps, victime inconsciente des leurres de notre société « moderne », du monde sans pitié des affaires et des champs de courses.
Jean-Louis DU ROY, né à Etterbeek (Bruxelles) en 1945 est licencié en sciences politiques et sociales (U.C.L.) et maître en management public (Solvay U.L.B.). Il a occupé des fonctions dirigeantes dans le domaine financier et se consacre aujourd’hui à l’écriture.
D’un Sang bleu assez froid, un livre de Jean-Louis du Roy de Blicquy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Juliette de Robersart
Juliette de Robersart, un livre de Roland Mortier édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Historia fupi ya Congo, Tangu mwanzo mpaka leo – Version Swahili
Kampeni ya mafunzo ya uraia iliyofikia wakati wake mkubwa siku ya kusherehekea kumbukumbu ya myaka makumi matano ya uhuru wa Jamuhuri ya kidemokrasia ya Congo ilikuwa kwetu kishawishi cha kuandika kitabu hiki kuhusu Historia fupi ya Congo.
Ukitegemea maandishi ya Historia ya sasa ya Congo, utungo huu ambao, kwa mara nyingine tena, unahusika na uchambuzi, kwa jumla, wa historia ya Congo tangu mwanzo mpaka leo, unatumainia kuwa chombo rahisi kwa kupata kitakachosaidia fahamu yetu na kukamilisha maelezo zaidi kuhusu nchi hii. Hakika, kuchukua msukumo mzuri zaidi juu ya kujenga nchi bora kuliko mwanzo, ginsi inavyotakiwa na wimbo wa taifa, ni jambo linalotegemea kwanza, kuwa, kila mara, na habari za sasa juu ya historia ya taifa letu.
Na kwa mtu anayejishurlisha na mambo ya nchi ya Congo, akiwa nje ya nchi hii, kitabu hiki kitaweza kumsaidia sana ili ajitilie vitambulisho katika nyakati na mahali, kuelewa wakati wa sasa kwa kutokea asili yake na vilevile kujenga matumaini yake kufwatana na yale yanayotakiwa kila mara na watu.Historia fupi ya Congo, Tangu mwanzo mpaka leo – Version Swahili, un livre de Isidore Ndaywel édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Mokolo mwa Congo, Uta ebandeli kino lelo[CR]Version Lingala
Tangwa ya boyekoli bolingo bwa ekolo eye ekomaki makasi eleko ya bokundoli mibu ntuku itano ya lipanda lya RDC, elingisaki bobimi bwa mokuse mwa mokolo mwa Congo moye.
Esalemi kobanda Mokolo mwa sika mwa Congo, buku eye etali lisusu mobimba mwa mokolo mwa Congo uta libandeli kino na mikolo mya lelo, ezali bongo esalele ebongi kozala na maboko mpo na kosalisa mpe kobakisa sango. Ya solo, komilengele mpo ya kotonga ekolo kitoko koleka ya kala, lolenge loyembo la ekolo lozali kotinda, ekotinda koyeba malamu mokolo mwa ekolo.
Mpe mpo ya moto oyo azali kotonga makambo ma Congo na libanda, buku eye ekosunga ye koyeba ndelo na yango na ntango mpe na etando, mpo ya koyeba mposa na botalaka maluli ma mokolo na mokolo.
Mwango moye mokokaki kokokisama te soki mozwaki lisungi lya AECID te (Agencia Espa ola de Cooperaciùn International para el Desariollo) mpe malendisi ma Félix Costades Artiela, Ntoma wa Esipanye na Kisasa mpe wa mosalisi wa ye Angela Maria Rivera Yepes.Mokolo mwa Congo, Uta ebandeli kino lelo[CR]Version Lingala, un livre de Isidore Ndaywel édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Marie Gevers
Almanach des Fruits offerts aux signes du zodiaque
Si peu de notions d’astronomie que l’on ait, on sait parfaitement que ni le dessin stellaire, ni la dénomination des signes du Zodiaque ne répondent à la réalité (…). Néanmoins, nous gardons les anciens noms qui s’associent aux légendes, aux rêves, aux croyances ancestrales. De même nous disons encore septembre, octobre, novembre, décembre, bien que ces mois ne soient plus les 7e, 8e, 9e, 10e mois de l’année, depuis que Charles IX (…) a modifié le calendrier en fixant le départ de l’année au premier janvier, et non plus à Pâques. Nous savons que le muguet n’a rien à voir avec le bonheur humain, mais personne ne songe à combattre, personne ne tente de détruire cette fiction amicale, personne non plus n’empêche le gui, suspendu au plafond de Noël, de permettre un baiser. (…) Ainsi, jetés dans l’univers stellaire, sont mis à portée de nos regards, les mythologies antiques de Grèce ou de Rome, mêlées au monde arabe, auquel beaucoup d’étoiles doivent leurs noms. Le Bouvier nous est offert par la Bible. Le Zodiaque fut précisé 3 000 ans avant notre ère, et il continue à nous donner une nourriture onirique de haute qualité. (…) Que le lecteur ne cherche donc que le seul plaisir du rêve et de la fantaisie dans cet « Almanach perpétuel » (…)
Marie Gevers (Edegem, 1883-1975) compte parmi les plus grands écrivains belges de langue française. Elle fut membre de l’Académie de langue et de littérature françaises (1938). D’abord poète, elle publia Missembourg, Les Arbres et le vent (prix Eugène Schmits 1924). Ses autres livres, récits et romans, chantent la sauvage beauté de la Campine anversoise, la « primitivité épique » des gens qui y vivent ou la somptuosité des saisons qui se posent sur les choses. Elle se révèle aussi fine psychologue dans Madame Orpha, ou la sérénade de mai (prix du Roman populiste 1934), Paix sur les champs, La Ligne de vie. Parmi ses autres livres : Plaisir des parallèles (Le Cri, 2002), La Comtesse des digues, Guldentop, Le Voyage de frère Jean, La Grande Marée, Plaisir des météores, L’Oreille volée, Château de l’Ouest, L’Herbier légen-daire, Vie et mort d’un étang (autobiographique).
Almanach des Fruits offerts aux signes du zodiaque, un livre de Marie Gevers édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Marcel Lobet
Cœurs mis à nu, 16 siècles d’écriture du Moi
À propos du livre (Académie royale de Langue et de Littérature françaises de Belgique)
Jacques Crickillon définit un jour Marcel Lobet comme «l’homme qui creuse sans fin ses sillons vers une ligne d’horizon salvatrice, qui revient très souvent à cette fonction de délivrance qu’il attribue à l’écriture littéraire», préoccupation qui explique l’attention que porta continuellement Lobet à la confession littéraire, thème de deux de ses essais : Écrivains en aveu, en 1959, et La ceinture de feuillage, en 1965.
Ces livres devenus introuvables constituent la matière essentielle du présent recueil établi par Marc Lobet, le fils de l’auteur. Ces Cœurs mis à nu, à l’instar des Classiques de l’an 2000 qui fuent réédités naguère, témoignent, à propos de la littérature d’aveu et d’introspection, du mode d’approche critique de Lobet : sans didactisme et loin de tout esprit de système, la quête qu’il poursuivait tentait de sonder la vérité humaine.
Des articles de revues, des communications à l’Académie viennent compléter les études rassemblées initialement par l’écrivain lui-même : tous ces textes scrutent des dramaturgies intérieures qui peuvent se confondre avec la vie surnaturelle ou rejoindre l’angoisse métaphysique, la hantise de l’absurde, le tragique de notre condition.
Cœurs mis à nu, 16 siècles d’écriture du Moi, un livre de Marcel Lobet édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Collectif,
Het Brussels maatschappelijk middenveld laat zijn stem horen[CR]Staten-Generaal van Brussel (nederlandse versie)
« Il faut faire bouger les lignes », zei François Mitterrand. Dat was precies de ambitie van de Staten-Generaal van Brussel : op wetenschappelijke wijze de balans opmaken van de situatie van ons Stadsgewest aan de hand van zestien sleutelthema’s, die bevindingen voorstellen aan de burgers tijdens groots opgezette discussieavonden, hun reacties en voorstellen verzamelen, conclusies formuleren en die doorspelen aan de politici, om de toekomst van alle echte of ‘geadopteerde’ Brusselaars te beïnvloeden.
Maar wie heeft de burgers doen warmlopen voor dat grootschalige project ? Het Platform van de civiele maatschappij, dat op nog nooit geziene wijze, over de gebruikelijke barrières – waaronder de taalgrenzen – heen, Brusselse verenigingen (Aula Magna, bruXsel forum*, Manifesto), vakbonden (ABVV Brussel en ACV), de werkgevers (Brussels Enterprises, Commerce , Industry), de culturele sector (Brussels Kunstenoverleg , Réseau des Arts à Bruxelles ) en de milieusector (BRAL en Inter-Environnement Bruxelles) samenbrengt.
Het Platform richtte al snel een wetenschappelijk comité op (ULB, VUB, Facultés universitaires Saint-Louis en het elektronisch tijdschrift Brussels Studies) en nodigde honderden verenigingen uit alle sectoren uit om samen zijn ambitie waar te maken.
Mobiliteit • Veiligheid • Bevolking • Duurzame ontwikkeling • Onderwijs • Huisvesting • Economie • Cultuur • Jeugd • Stadsgewest • Levenskwaliteit • Kennisstad • Internationalisering • Instellingen • Sociale ongelijkheden • Overheidsfinanciën : zestien diepgravende en objectieve studies werden uitgevoerd door een honderdtal onderzoekers.
U vindt hier de integrale tekst van die studies, aangevuld met de voorstellen die naar voren werden gebracht tijdens de zestien discussieavonden die door tweeduizend deelnemers werden bijgewoond, en met de conclusies die op 25 april 2009 werden voorgesteld aan meer dan zevenhonderd mensen, onder wie een groot aantal politici.
De dynamiek van de Staten-Generaal is als een vloedgolf : de eerste resultaten zijn er al en in de komende jaren zullen er nog geboekt worden. Moge dit boek daartoe bijdragen !
The English versions of introductions to, and conclusions from the Citizens’ Forum of Brussels, also appear in this book.Het Brussels maatschappelijk middenveld laat zijn stem horen[CR]Staten-Generaal van Brussel (nederlandse versie), un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Collectif,
La société civile bruxelloise se mobilise. États Généraux de Bruxelles (version francophone)
« Il faut faire bouger les lignes », disait François Mitterrand. Telle était bien l’ambition des Etats généraux de Bruxelles : dresser un état des lieux scientifique de la situation de notre Ville-Région, autour de seize thématiques-clés ; présenter ces résultats aux citoyens lors de grandes conférences-débats ; recueillir leurs réactions et propositions ; formuler des conclusions et les adresser au monde politique, afin d’influencer l’avenir de tous les Bruxellois de souche ou d’adoption.
Mais qui donc a instigué cette mobilisation citoyenne ? La Plateforme de la société civile, qui rassemble de manière totalement inédite, par-delà les barrières habituelles et notamment linguistiques, des associations bruxelloises (Aula Magna, bruXsel forum*, Manifesto), des syndicats (CSC et FGTB Bruxelles), le patronat (Brussels Enterprises, Commerce , Industry), le secteur culturel (Réseau des Arts à Bruxelles , Brussels Kunstenoverleg) et celui de l’environnement (Inter-Environnement Bruxelles et BRAL).
Rapidement, la Plateforme s’est dotée d’un Comité scientifique (ULB, VUB, Facultés universitaires Saint-Louis, et la revue électronique Brussels Studies) et a invité des centaines d’associations de tous secteurs à participer à sa démarche.
Mobilité • Sécurité • Population • Développement durable • Enseignement • Logement • Economie • Culture • Jeunesses • Zone métropolitaine • Qualité de vie • Pôle de connaissance • Internationalisation •
Institutions • Inégalités sociales • Finances publiques : seize études de fond et non partisanes ont ainsi été conduites par une centaine de chercheurs.
Vous trouverez leur texte intégral ici, complété par les propositions des deux mille participants aux seize conférences-débats qui s’en sont ensuivi, et par les conclusions présentées à plus de sept cent personnes, dont une large représentation du monde politique, le 25 avril 2009.
La dynamique des Etats généraux représente une lame de fond : ils ont déjà porté certains fruits, et continueront d’en porter tout au long des années à venir. Puisse ce livre y contribuer !
The English versions of introductions to, and conclusions from the Citizens’ Forum of Brussels, also appear in this book.La société civile bruxelloise se mobilise. États Généraux de Bruxelles (version francophone), un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Tant qu’il y aura des Atomes
On ne peut qu’admirer l’art avec lequel l’auteur présente des notions scientifiques les plus arides à une jeunesse la plupart du temps peu préparée, peu réceptive. C’est le but recherché, c’est le but atteint. En quelques pages ailées (cf Homère), lumineuses, la fresque de l’Univers tel que la science le voit à l’heure actuelle se déroule devant nos yeux ébahis. Et c’est à une véritable aventure — le mot est bien faible — à laquelle on assiste (…) La vue d’ensemble proposée dans ce livre aux jeunes leur permettra de se familiariser avec leur Univers, dans lequel ils sont jetés (sans l’avoir demandé). Jetés sur ce caillou, cette planète à laquelle ils devront apporter tous leurs soins si nous-mêmes, adultes, n’avons pas été capables d’en empêcher la détérioration (…) Dans la dernière partie, l’auteur nous donne le choix entre deux expli-cations à la beauté de la nature et des mécanismes subtils de l’évolution (…) Je ne peux que recommander la lecture de cet ouvrage, qui — on le sent — a été écrit dans la jubilation, celle d’appréhender une conception globale, rassemblant en un récit concret et cohérent l’enssemble de nos connaissances scientifiques actuelles, en les présentant avec humour à nos « cadets », comme nous appelait mon maître Robert Debré. (Jean DAUSSET, Prix Nobel)
Dreux de NETTANCOURT est Cytogénéticien. Né en 1933, ce français du Maroc a passé, grâce à une bourse Fulbrigth pour les États Unis et, plus tard, une bourse du Conseil Canadien de la Recherche, plusieurs années en Amérique du Nord. Il obtient sa maîtrise de science à l’Université du Kentucky et son doctorat en génétique à l’Université McGill. En 1965, il intègre l’EURATOM et la Direction Générale « Recherche » de la Commission des Communautés Européennes où il est successivement responsable, aux Pays Bas et en Italie, de recherches transnationales dans le domaine de la radiogénétique et de la mutagenèse. Il est chargé, en 1980, de la conception et de la gestion des trois premiers programmes communautaires de biotechnologie. De 1991 à 1996, il dirige le programme européen Capital Humain. Depuis 1996, il est Professeur Émerite de l’Université Catholique de Louvain.
Tant qu’il y aura des Atomes, un livre de Dreux de Nettancourt édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Jeanne d’Arc en garde à vue
Mise en examen de Jeanne d’Arc, sainte diabolique suspecte de jouer double jeu à force d’être toujours prise entre deux feux, tiraillée entre camps rivaux ou confrères ennemis — Bourgogne et Orléans, France-Angleterre, Voltaire corrigé par Schiller, Michelet par Dupanloup, Péguy contre Jaurès — ou tout dernièrement, la mission Rivette ayant échoué à la soustraire aux pattes douteuses de ses porte-étendard, transmuée en Madonne des sans-papiers à l’Odéon par une table de philosophes œuvrant au noir. Spécialistes et critiques font ici échange de vues pour prononcer d’un commun accord la mise en examen de l’histoire par la littérature, des sciences par les arts. (Textes réunis par Dominique GOY-BLANQUET)
Jeanne d’Arc en garde à vue, un livre de Dominique Goy-Blanquet édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Histoire du Congo, des origines à nos jours
Élaborer l’histoire du Congo implique de la situer dans la longue durée et d’analyser les éléments de sa permanence qui justifient sa spécificité d’hier et d’aujourd’hui et donnent un sens à son devenir. Aussi convient-il d’étudier l’évolution de son espace, la mobilité de sa population et la construction progressive de son identité. En effet, issue des temps immémoriaux, cette épopée s’est élaborée peu à peu au cours des millénaires à partir de données écologiques et technologiques, fondements d’une certaine vision du monde et de traditions ancestrales. Cet « héritage des temps longs » rejoindra alors celui des « temps courts » pour former, étape par étape, le visage identitaire du Congo actuel. Nous verrons donc comment, à partir d’un espace déterminé, les hommes se sont approprié la terre et comment, façonnés par cet environnement, ils l’ont à leur tour modulé pour en faire leur territoire… (Elikia M’Bokolo)
Isidore Ndaywel, président de la Société des historiens congolais, est professeur ordinaire au département des sciences historiques de l’université de Kinshasa, membre correspondant de l’Académie royale des sciences d’outre-mer à Bruxelles et chercheur au centre des mondes africains de l’université Paris I – la Sorbonne à Paris. Il est, sans conteste, une référence incontournable en matière d’Histoire du Congo.
Histoire du Congo, des origines à nos jours, un livre de Isidore Ndaywel édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles) – ePub
Que peuvent nous apprendre les prédictions de l’Almanach de Mathieu Laensbergh en matière d’éveil aux idées des Lumières, au XVIIIe siècle ? Quel changement de mentalité à l’égard des pratiques magico-religieuses laissent entrevoir les commentaires du livret de pèlerinage à Saint-Hubert en Ardenne ? Comment les mémoires rédigés à l’occasion de procès opposant des communautés rurales aux autorités manifestent-ils le progrès du rationalisme critique, à travers un lexique où le bourgeois sensible côtoie l’aristocrate éclairé ? C’est à de telles questions que tâche de répondre le présent ouvrage, à partir d’une documentation associant littérature « populaire », journaux, catalogues de libraires, chansons, etc. La communication orale y trouve une place importante, notamment quand elle se fait dialectale. La diffusion de valeurs et d’interrogations communes s’opère aussi par le théâtre, où drames sérieux, vaudevilles et opéras-comiques – nous sommes au pays de Grétry – composent un véritable « paysage culturel ».
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Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles) – ePub
Que peuvent nous apprendre les prédictions de l’Almanach de Mathieu Laensbergh en matière d’éveil aux idées des Lumières, au XVIIIe siècle ? Quel changement de mentalité à l’égard des pratiques magico-religieuses laissent entrevoir les commentaires du livret de pèlerinage à Saint-Hubert en Ardenne ? Comment les mémoires rédigés à l’occasion de procès opposant des communautés rurales aux autorités manifestent-ils le progrès du rationalisme critique, à travers un lexique où le bourgeois sensible côtoie l’aristocrate éclairé ? C’est à de telles questions que tâche de répondre le présent ouvrage, à partir d’une documentation associant littérature « populaire », journaux, catalogues de libraires, chansons, etc. La communication orale y trouve une place importante, notamment quand elle se fait dialectale. La diffusion de valeurs et d’interrogations communes s’opère aussi par le théâtre, où drames sérieux, vaudevilles et opéras-comiques – nous sommes au pays de Grétry – composent un véritable « paysage culturel ».
Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles) – ePub, un livre de Daniel Droixhe édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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L’Audience de Don Juan d’Autriche
Cet essai porte sur le séjour de Don Juan d’Autriche, demi-frère de Philippe II, dans les Flandres (de 1576 à 1578) à l’époque de la guerre. Sur le plan historique, ce livre est le résultat d’une recherche approfondie et rigoureuse. Mais, au-delà des faits livrés par l’histoire et relatés dans l’essai, il s’agit avant tout de se poser la question : pourquoi le personnage solaire, héroïque, que représente Don Juan d’Autriche, amiral de la flotte, vainqueur de Lépante, célèbre dans toute l’Europe pour ses exploits sur les mers, finit-il par se résoudre à cette mission de Gouverneur des Flandres qu’il avait d’abord refusée et qui ne lui convient pas, où sa situation ne cesse de se dégrader ? Pour tenter de répondre à cette énigme historique et individuelle, le récit nous entraîne, pas à pas, comme une enquête, au plus profond des motivations de Don Juan. Un cheminement original qui réserve au lecteur quelque surprise.
L’Audience de Don Juan d’Autriche, un livre de Frédéric Wauters édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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L’Entrée dans le XXe siècle (1905-1918)
NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE IV
1905-1918Du 75e anniversaire de son indépendance en 1905 à novembre 1918, la Belgique a vécu une période d’une rare intensité en termes de bouleversements qui l’affectèrent profondément.
Alors que l’Europe s’attend, au moment de l’invasion allemande de 1914, à une résistance de principe, la surprise est au rendez-vous : la Belgique résiste.
Dans la foulée, la guerre sert en quelque sorte de révélateur et d’accélérateur aux incubations de la Belle Époque dans les domaines où règnent traditionnellement les tensions : socio-économique, idéologique et communautaire, sans oublier les relations entre l’exécutif et le législatif…Michel Dumoulin est professeur ordinaire à l’UCL et membre de l’Académie royale de Belgique. Il est l’auteur de nombreuses publications portant sur l’histoire de la construction européenne, celle des entreprises et celle des relations de la Belgique avec les mondes contemporains.
L’Entrée dans le XXe siècle (1905-1918), un livre de Michel Dumoulin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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L’Union fait-elle toujours la force ? (1950-1970)
NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE VII
1950 – 1970Voici un livre essentiel pour comprendre non seulement la situation dans laquelle se trouve la Belgique aujourd’hui, mais aussi le rôle que cette dernière a joué au niveau de la construction européenne et au niveau international.
Au niveau national, dès les années 1950, le mouvement flamand, qui était pour une bonne part décapité au lendemain de la guerre des suites de la répression de la collaboration, reprend vigueur, notamment au moment de l’Expo ’58, puis à la faveur des marches sur Bruxelles, dans la foulée de la question linguistique. Dans le même temps, la flamandisation des élites politiques connaît un sérieux coup d’accélérateur. « L’affaire de Louvain » de 1968 conduit à la plus longue crise gouvernementale connue par le pays jusque-là, crée un traumatisme du côté francophone et engendre un bouleversement de l’échiquier politique, avec entre autres conséquences la disparition progressive des partis nationaux. De plus, dès 1960, le déséquilibre économique s’accentue à l’intérieur du pays suite à la fermeture des charbonnages et à la crise structurelle qui s’en suit en Wallonie, alors que la Flandre connaît une plus grande croissance économique. La conjonction des deux fédéralismes, flamand et wallon, va faire sauter le caractère unitaire du pays, dès la première réforme de l’État de 1970, mais qui ne permettra de freiner la construction d’un nationalisme flamand, certes sous-produit du nationalisme belge, mais qui appelle une demande toujours plus pressante d’autonomie, désormais d’ordre à la fois culturel et économique…Vincent Dujardin est chercheur qualifié du FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain (UCL). Il a notamment publié une biographie de Pierre Harmel (Le Cri, 2004), qui fut un véritable best-seller.
Michel Dumoulin est professeur ordinaire à l’UCL et membre de l’Académie royale de Belgique. Éminent historien, il est l’auteur de nombreuses publications.
L’Union fait-elle toujours la force ? (1950-1970), un livre de Vincent Dujardin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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L’Expo 58, un tournant dans l’histoire de Bruxelles
Le cinquantenaire de l’Expo 58 a été célébré avec faste. Expositions, dossiers spéciaux dans la presse, émissions télévisées permettant à un public varié d’exposer ses souvenirs… tout a été mis en œuvre pour rappeler l’importance et le succès de l’événement. A contre-courant de ces commémorations convenues, l’objectif de cet ouvrage est d’examiner l’impact de l’Exposition sur la ville qui l’accueillit : Bruxelles.
Profitant du recul qui permet au chercheur de jeter un regard rétrospectif dépassant le simple témoignage, l’émotion ou le ressenti personnel,
il propose un décryptage de l’événement d’un point de vue bruxellois. Il montre que l’Expo célébrée en 1958 par de nombreux habitants de la capitale, eut en définitive un impact bien plus considérable sur leur vie quotidienne qu’ils avaient pu l’imaginer à l’époque.
Ce livre a donc pour ambition non seulement de recontextualiser l’évènement mais aussi de s’interroger sur le chemin parcouru depuis lors en matière de politiques urbaines, qu’il s’agisse d’urbanisme, de mobilité, de logement, d’internationalisation ou de marketing. Derrière l’analyse de l’impact de l’Exposition sur la ville, il pose la question du lien entre développement urbain et évènements internationaux. Nourri par des études approfondies et des mises en perspective sur la longue durée de sociologues, politologues, architectes, géographes et historiens, il ouvre les portes d’une réflexion globale tant sur le passé que sur le devenir de la Région bruxelloise, dans une période où, plus que jamais, elle est l’enjeu de désirs contradictoires.Chloé Deligne est historienne, chercheuse qualifiée FNRS à l’Université Libre de Bruxelles et codirectrice du CIRHIBRU.
Serge Jaumain est professeur d’Histoire à l’Université Libre de Bruxelles et codirecteur du CIRHIBRU.L’Expo 58, un tournant dans l’histoire de Bruxelles, un livre de Chloé Deligne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Éliane Gubin
La Belgique libérale et bourgeoise (1846-1878)
NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE II
1846-1878La période 1846-1878 constitue un moment clé de la Belgique fraîchement indépendante…
Terre d’industrie, héritage de la période française et hollandaise, le pays s’est structuré en s’appuyant sur la classe montante – la bourgeoisie – et sur l’essor industriel de la Wallonie. La noblesse belge témoigne d’une belle capacité d’adaptation qui se traduit par ses alliances matrimoniales avec la bourgeoisie industrielle et ses participations financières dans les sociétés par actions. Elle confirme aussi sa vitalité politique par son emprise sur le Sénat et, en partie, sur la Chambre des représentants.
Quinze ans après la proclamation de son indépendance, le courant libéral se constitue en une organisation politique disposant d’un programme d’action précis. Cette fondation d’un parti moderne rompt avec un système politique – l’unionisme – qui a permis à la Belgique de se doter d’institutions politiques et judiciaires stables, d’assurer une paix intérieure et d’écarter les menaces extérieures. Un nouveau paradigme vient dicter sa loi : celui d’une politique de partis, d’affrontements d’idées et d’actions…
Les années 1850 inaugurent une ère de prospérité, mais aussi d’ouverture des frontières, des marchés qui entraîne, par le jeu de la concurrence, l’approfondissement des inégalités sociales. La Belgique se transforme peu à peu de pays agricole en pays industriel, mais l’évolution ne touche que quelques régions – le sillon industriel wallon, Gand et Anvers. L’urbanisation progresse et Bruxelles, Anvers, Gand, Liège participent de cette croissance urbaine, mais entre le Nord et le Sud du pays, les différences se creusent…
Ces années sont des années capitales. La lumière crue du conflit politique entre catholiques et libéraux, qui paraît majeur, cache d’autres réalités qu’il convient de faire surgir car elles annoncent les grands problèmes de l’avant-guerre : les questions électorale, féminine, flamande et sociale…Éliane Gubin est professeure à l’Université libre de Bruxelles où elle enseigne l’histoire de la Belgique contemporaine et l’histoire des femmes ; elle est spécialisée en histoire sociale et en histoire politique du xixe siècle et de la première moitié du xxe siècle.
Jean-Pierre Nandrin est professeur aux Facultés universitaires Saint-Louis. Il y enseigne l’histoire contemporaine, en particulier l’histoire du droit et des institutions, la théorie de l’histoire et l’histoire des droits de l’homme. Ses recherches portent sur l’histoire politique de la Belgique contemporaine, l’histoire du droit social, l’histoire de la justice et l’histoire des femmes.La Belgique libérale et bourgeoise (1846-1878), un livre de Éliane Gubin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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La Belgique sans roi (1940-1950)
NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE VI
1940-1950De 1940 à 1950, la Belgique est un pays sans roi régnant. À la fin de mai 1940, Léopold III choisit le statut de prisonnier de guerre. Il n’exerce plus les compétences qui incombent au chef de l’État.
Le pays est dirigé pendant quatre ans par des militaires allemands et cogéré par les secrétaires généraux, restés en poste sur les ordres du gouvernement Pierlot.
En 1944, le roi est déporté en Allemagne. Comme il se trouve dans l’impossibilité de régner lors de la libération du territoire, les Chambres réunies confèrent au prince Charles, son frère, le titre de régent. Aussitôt après la libération de Léopold III, en mai 1945, un conflit éclate entre celui-ci et la délégation gouvernementale, conflit qui aboutit à la question royale.
Dans l’intervalle, après quatre ans d’inégalités et de privation de liberté, la Belgique vit un réveil démocratique dont l’apogée consiste à accorder le droit de vote aux femmes. Sur le plan socioéconomique, la libération du territoire inaugure pour la Belgique une ère de prospérité. Portée par la paix sociale et un assainissement monétaire efficace, l’industrie fait des miracles.
Au-delà, avant même le début de la guerre froide, la Belgique rompt avec sa politique de neutralité et entre dans l’ère des Alliances. Certains hommes politiques belges, accomplissent aussi un travail de pionnier dans le processus d’intégration européenne qui s’amorce et constituera dans la seconde moitié du XXe siècle l’un des grands axes de la politique étrangère de leur pays.Vincent Dujardin est chercheur qualifié du FNRS et professeur d’histoire à l’Université catholique de Louvain. Il est aussi professeur invité à l’Université Jagelone de Cracovie et aux FUCAM. Ses recherches portent sur l’histoire de la Belgique, sur celle de la construction européenne, du Congo et des relations internationales.
Mark Van den Wijngaert, professeur émérite d’histoire contemporaine à la KUBrussel, est l’auteur d’ouvrages portant sur l’occupation allemande, l’histoire politique de la Belgique, la monarchie belge, la Guerre froide et les relations internationales depuis 1950.La Belgique sans roi (1940-1950), un livre de Vincent Dujardin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Els Witte
La Construction de la Belgique (1828-1847)
NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE I
1828-1847Dans cet ouvrage, Els Witte nous présente une vision neuve de la révo-lution belge et de la période post-révolutionnaire. Sur la base de travaux historico-sociologiques menés à l’étranger, d’études récentes et de nouvelles sources d’archives, elle démontre qu’en 1830, un groupe assez limité d’intellectuels d’opposition, issus de la classe moyenne et de la petite bourgeoisie, exploite habilement la révolte sociale et les faiblesses du gouvernement en place pour s’empa-rer du pouvoir. Sous la pression de la France, principalement, les puis-sances européennes donnent leur feu vert aux révolutionnaires belges qui entreprennent la construction de la nouvelle nation. L’auteur analyse ce processus en profondeur : comment les protagonistes de la révolution conquièrent le soutien des conservateurs et de l’Église et mettent sur pied une monarchie constitutionnelle libérale, dominée par la religion catholique ; comment ils éliminent impitoyablement leurs adver-saires démocrates et orangistes ; comment ils s’efforcent, avec succès, de rendre le nouvel État viable, financièrement et économiquement ; comment, enfin, ils donnent forme à la nation belge par le biais de la langue française et des arts, ou encore de commémorations, de fêtes et de symboles.
Els Witte est professeur à la Vrije Universiteit Brussel, où elle enseigne notamment l’histoire politique de la Belgique. Elle est aussi l’auteur de nom-breux ouvrages et travaux sur les aspects politiques de la Belgique des XIXe et XXe siècles. Elle est membre de l’Académie royale depuis 1988 et a exercé la fonction de recteur de la VUB jusqu’en 2000.
La Construction de la Belgique (1828-1847), un livre de Els Witte édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Les Belges du Wisconsin
L’odyssée des émigrants belges au Wisconsin au milieu du XIXe siècle
« Les hautes forêts qui couvrent le pays ont un aspect qui, de prime abord, peut en faire considérer le défrichement comme impossible, tant les arbres y sont épais et gigantesques (…) se croisant en tous sens et formant des masses presque impénétrables. » Tel est le décor qui attend les quelques milliers d’émigrants belges qui, entre 1853 et 1856, fuient la misère des campagnes brabançonnes et hesbignonnes, et tentent l’aventure américaine dans le nord-est du Wisconsin. Après l’enfer de l’entrepont et les pièges des « trafiquants de passagers », ceux qui s’astreignent au défrichement ne sont pas au bout de leurs peines. Ils connaîtront un des pires incendies de forêt de l’histoire des Etats-Unis, et certains d’entre eux seront entraînés dans la guerre de Sécession. Mais à force de courage et de persévérance, et parfois avec l’aide des « sôvadjes » (sauvages, comme ils appellent les Indiens), ils parviendront au bien-être qu’ils ne pouvaient atteindre en Belgique. Aujourd’hui, leurs descendants constituent la plus grande communauté d’origine belge aux USA. Ils préservent un héritage fait de détails architecturaux, de recettes de cuisine et de quelques mots de patois wallon.Journaliste de formation, Daniel Dellisse travaille actuellement dans la presse syndicale après avoir collaboré pendant onze ans au journal « Le Soir ». Son intérêt pour l’histoire de l’émigration l’a conduit aux Etats-Unis à quatre reprises, au Wisconsin mais aussi à New York et dans la région des Grands Lacs.
Les Belges du Wisconsin, un livre de Daniel Dellisse édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Les Turbulences de la Belle Époque
NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE III
1878-1905Dans ce livre, Gita Deneckere esquisse un portrait du contexte socioéconomique de la période, en accordant une attention particulière à la dualité entre riches et pauvres, entre la face brillante de la Belle Époque et la dure réalité du monde ouvrier. Les développements artistiques et culturels de la période traduisent aussi une tension entre haut et bas, élitiste et populaire, bourgeoisie et peuple, nouveau et ancien. Cette relation tendue fera office de fil rouge tout au long du récit. Elle aborde les grands conflits : la guerre scolaire et la lutte sociale, en partie assujettie à un combat pour l’égalité politique. Les années 1878-1905 sont, par excellence, une période où la « rue » a joué un rôle crucial dans la prise de décision politique. La démocratisation du système électoral s’y est en effet opérée sous la pression des manifestations populaires et des grèves générales. Les différentes étapes de cette lutte sont décrites en détail, afin de bien faire apparaître la complexité des conflits et de donner au lecteur une image vivante de la dynamique qui caractérise cette période charnière.
La seconde partie du livre traite de la structuration de ces changements. L’État bourgeois réagit à la démocratisation des institutions par un éventail de stratégies censées accompagner l’intégration politique de la classe ouvrière (entre autres).
Grâce à la position de force des catholiques, le système de liberté subsidiée en usage dans l’enseignement fut transposé au secteur social, donnant lieu à la pilarisation progressive de la société belge. Au cours de la période étudiée, toutes sortes d’initiatives et d’organisations virent le jour, tant du côté socialiste que du côté catholique, donnant forme à la vie des membres « du berceau jusqu’à la tombe », tant dans ses aspects moraux que dans ses aspects matériels. Il fut très difficile pour d’autres forces émancipatrices, comme le mouvement des femmes et le mouvement flamand, de surmonter les lignes de rupture et de mettre en avant leurs exigences spécifiques de manière indépendante.
À l’approche de la Première Guerre mondiale, nous voyons les antagonismes linguistiques s’aggraver au moment même où le nationalisme belge connaît un net réveil…Gita Deneckere est professeur à l’Université de Gand où elle enseigne l’histoire contemporaine. Ses recherches actuelles portent sur l’histoire du pouvoir et de l’émancipation.
Les Turbulences de la Belle Époque, un livre de Gita Deneckere édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Alain Genot
Qui meurt perd !
De l’Amérique latine en Asie, en passant par l’Afrique et Saint-Pétersbourg, la France et la Belgique, voyez comme tous les hommes se ressemblent et sont pourtant différents ! Mêmes folies, mêmes limites, avec toutefois une palette infinie de nuances dans les couleurs de la condition humaine.
Ces vingt-quatre nouvelles mettent en scène des person-nages dynamiques, dérisoires, cyniques, ambitieux, optimistes, désespérés, qui sont autant de cris pour s’en sortir, se distraire, échapper au quotidien…Alain GENOT (Charleroi, 1951) a fait ses études en Angleterre, avant de passer sa vie dans neuf pays différents. Ancien avocat international à Paris, conseiller ministériel à Bruxelles, maître de conférences invité et diplomate en Inde, Irlande, Éthiopie, Djibouti et Pérou, il vit et écrit aujourd’hui en Axarquie, dans les monts de Malaga. Il signe avec Qui meurt perd ! son premier recueil de nouvelles, inspiré par ses nombreux voyages et expériences humaines.
Qui meurt perd !, un livre de Alain Genot édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Charlotte de Bourbon
Le roman d’une nonne rebelle. La vie mouvementée de Charlotte de Bourbon, princesse de sang royal, s’inscrit dans le contexte historique des affrontements politico-religieux qui ensanglantèrent la France et les Pays-Bas au XVIe siècle. (Préface de Georges-Henri Dumont)
Charlotte de Bourbon, un livre de Viviane Dumont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Henry Bauchau dans la tourmente du XXe siècle
Né en 1913, Henry Bauchau a traversé le siècle. Il ne publie son premier recueil poétique qu’en 1958. Pourtant, il y a un poète qui s’ignore dans le chroniqueur d’avant-guerre, dans le combattant de 1940, dans le citoyen engagé dans l’action sociale sous l’Occupation ; il y a un être d’action dissimulé dans l’écrivain. Ce sont ces deux pans de la vie de Bauchau qui sont abordés dans ce travail, fruit des efforts conjugués de deux historiens et d’une spécialiste de la littérature contemporaine. Le travail des premiers, – bâti sur la base d’archives pour une bonne part inédites –, trouve son prolongement naturel dans l’analyse de la seconde : aucun des deux objets, historique et imaginaire, n’est indépendant, et leur corrélation permet d’éclairer un parcours certes singulier, mais inscrit dans une dynamique générationnelle.
Geneviève Duchenne est professeur invitée aux Facultés universitaires Saint-Louis de Bruxelles et chercheur qualifiée de l’Université catholique de Louvain.
Vincent Dujardin est chercheur qualifié du FRS/FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain.
Myriam Watthee-Delmotte est maître de recherches du FRS/FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain où elle dirige le Centre de Recherche sur l’Imaginaire. Elle est également responsable de la gestion Fonds Henry Bauchau de l’UCL ( http://bauchau.fltr.ucl.ac.be).Henry Bauchau dans la tourmente du XXe siècle, un livre de Geneviève Duchenne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Secret d’État
LE LIVRE NOIR DES BELGES ZAIRIANISÉS 1973-2007
•Une saisie de onze tableaux au musée d’art Ancien de Bruxelles pour une valeur de 500 millions FB.
•Deux ministres des Affaires étrangères qui concluent un accord secret.
•Des avoirs de la Sabena qui sont récupérés à Kinshasa sans laisser de trace.
•Une valise pleine de billets pour récompenser un Premier ministre.
•L’entrée de la Belgique dans la zone euro perturbée.
•Un arrêt de la Cour de cassation dont le gouvernement ne tient pas compte.
•Des procès qui s’éternisent…
•Le point commun de tous ces événements : Un secret d’État jalousement gardé.
•Documents et preuves à l’appui…Belgique – République Démocratique du Congo. Mars 2007. Les deux États reprennent leur coopération structurelle, interrompue depuis juillet 1990 par Mobutu. L’histoire se répète-t-elle ? Voici environ trente ans, les deux pays renouaient leurs liens de coopération, suspendus par le président zaïrois à la faveur d’une crise diplomatique. L’un des épisodes de cette période troublée commence le 30 novembre 1973. Ce vendredi-là, le général annonce un vaste programme de nationalisation d’entreprises appartenant à des ressortissants étrangers. Les victimes de la « zaïrianisation » sont-elles indemnisées de manière équitable ? Non. Elles réclament réparation. Aujourd’hui encore, trente-quatre ans après les faits, le dossier suit son cours. Quelque 150 affaires restent en souffrance devant les tribunaux belges. Que s’est-il passé ? Comment expliquer une telle situation, à la limite du concevable ? Les auteurs ont mené l’enquête. Au point de faire des découvertes… hallucinantes !
CE LIVRE N’EST PAS UNE FICTION !
Vincent Delannoy (né à Kinshasa en 1972), licencié en Histoire (Katholieke Universiteit Leuven) et en Philologie romane (Université Catholique de Louvain), travaille pour la presse économique et d’entreprise. Dès son plus jeune âge, il s’est passionné, pour son pays natal. Depuis 2006, il se consacre au journalisme d’investigation.
Olivier Willocx (né à Ixelles en 1966), licencié en Sciences économiques (Université Libre de Bruxelles), titulaire d’une maîtrise en Droit européen (Universiteit van Amsterdam), est administrateur-délégué de la Chambre de Commerce de Bruxelles et de l’Union des Entreprises de Bruxelles. À la suite de nombreux voyages en Afrique, il suit de près le dossier des Belges zaïrianisés.
Secret d’État, un livre de Vincent Delannoy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Vers la deuxième indépendance du Congo
Si la guerre se termine, le Congo, après avoir connu des élections démocratiques, récupérera enfin toute sa souveraineté. Il pourra alors, peut-être, proclamer véritablement son indépendance. La deuxième… Avec ou sans la Belgique ?
Ce livre décrit le pari qu’a représenté la transition vers la démocratie, finalement réussi grâce à l’appui international, à la détermination des acteurs politiques congolais mais, surtout, grâce à la volonté d’une population désireuse de décider de son destin, de reconstruire son État, de confirmer son sentiment national.
Ce livre retrace aussi le parcours de Joseph Kabila, depuis son arrivée au pouvoir dans des circonstances dramatiques jusqu’à sa victoire électorale. Il relate les tentatives d’émancipation économique et les obstacles qui se sont multipliés, parmi lesquels la relance de la guerre au Kivu par le général rebelle Laurent Nkunda.
Lorsqu’il s’agit du Congo, le pessimisme coïncide souvent avec le bon sens, en apparence en tous cas. Ce livre-ci tranche par rapport à ce conformisme de la raison, il se conclut sur une note prudemment optimiste, à l’heure où le Rwanda et le Congo ont décidé d’unir leurs efforts pour régler la question des combattants hutus rwandais réfugiés au Congo, prétexte à quinze années de guerre, de pillages, de martyre aussi pour les femmes du Kivu…
Les perspectives qui se dessinent en Afrique centrale ne laissent personne indifférent. Après avoir sillonné le Congo dans tous les sens depuis des années, Colette Braeckman nous dresse son bilan de manière passionnante et magistrale.Colette Braeckman est journaliste, chargée de l’actualité africaine au journal Le Soir où elle s’intéresse tout particulièrement à l’Afrique centrale. Outre ses articles quotidiens, elle publie aussi dans Le Monde diplomatique et de nombreuses revues, elle est l’auteur de livres incontournables.
Vers la deuxième indépendance du Congo, un livre de Colette Braeckman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Le destin tragique des Habsbourg
L’étonnante fortune des Habsbourg atteignit son point culminant au XVIe siècle. Avec l’Empereur Charles Quint et le roi Philippe II, son fils, l’autorité de cette dynastie s’étendit, en Europe et dans le Nouveau Monde, sur des territoires si vastes que le soleil ne s’y couchait jamais.
Mais les anglais croyaient à la jalousie des dieux qui s’irritaient des prospérités trop éclatantes. À la gloire universelle de Charles Quint, s’oppose le triste destin de ses sœurs Éléonore et, surtout, Ysabeau d’Autriche. Le puissant monarque Philippe II fut accusé du plus odieux des crimes, par suite du sort réservé à son fils don Carlos. La légende a déformé la vie et la mort de Don Carlos, et l’existence d’Ysabeau d’Autriche a sombré dans l’oubli. À la lumière impartiale de l’histoire, Ghislaine De Boom fait revivre ces deux tragiques destins, si étroitement mêmes aux grands événements politiques et religieux du XVIe siècle.Ghislaine De Boom fut docteur en philosophie et lettres de l’université libre de Bruxelles. Elle fut la première femme lauréate du Concours universitaire. Elle s’attacha à approfondir l’étude du destin des princesses de la famille de Habsbourg.
Le destin tragique des Habsbourg, un livre de Ghislaine De Boom édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Marie Gevers
Œuvre poétique complète
Œuvres poétiques: Missembourg / Les Arbres et le vent / Antoinette / Almanach Perpétuel des Jeux d’enfants / « Brabançonnes » à travers les arbres. (Préface de Liliane Wouters)
Marie GEVERS (Edegem, 1883-1975) compte parmi les plus grands écrivains belges de langue française. Elle fut membre de l’Académie de langue et de littérature françaises (1938). D’abord poète, elle publia Missembourg, Les Arbres et le vent (prix Eugène Schmits 1924). Ses autres livres, récits et romans, chantent la sauvage beauté de la Campine anversoise, la « primitivité épique » des gens qui y vivent ou la somptuosité des saisons qui se posent sur les choses. Elle se révèle aussi fine psychologue dans Madame Orpha, ou la sérénade de mai (prix du Roman populiste 1934), Paix sur les champs, La Ligne de vie. Parmi ses autres livres : Plaisir des parallèles (Le Cri, 2002), La Comtesse des digues, Guldentop, Le Voyage de frère Jean, La Grande Marée, Plaisir des météores, L’Oreille volée, Château de l’Ouest, L’Herbier légen-daire, Vie et mort d’un étang (autobiographique).
Œuvre poétique complète, un livre de Marie Gevers édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Marie Gevers
Plaisir des Parallèles
Marie GEVERS nous invite à franchir l’équateur, à remonter de parallèle en parallèle au pays des « vertes collines ». Nous longeons cette crête qui sépare le bassin du Congo et celui du Nil, nous traversons des forêts de bambous, nous descendons des fleuves encombrés de jacinthes… En route, nous apprenons les secrets de la cuisine indigène, rencontrons des noms aux résonances déjà entendues : Kiwu, Katanga, Bohr, Kagera ; écoutons de vieilles légendes, des poèmes, des anecdotes ; ce n’est pas le lion, mais une loutre que nous chassons. Et en pleine forêt vierge, avec une jeune mariée, nous passons une nuit de Noël inoubliable. C’est en poète et à cœur ouvert que Marie GEVERS voyage dans ces hauts lieux de l’Afrique où il arrive que l’homme s’efface pour que les bêtes vivent, c’est en écrivain sûr de ses moyens qu’elle décrit ce qu’elle voit. Pas d’exotisme voulu, pas d’ethnologie savante, mais tous les prestiges de l’invitation au voyage réalisés avec un bonheur incomparable.
Marie GEVERS (Edegem, 1883-1975) compte parmi les plus grands écrivains belges de langue française. Elle fut membre de l’Académie de langue et de littérature françaises (1938). D’abord poète, elle publia Missembourg, Les Arbres et le vent (prix Eugène Schmits 1924). Ses autres livres, récits et romans, chantent la sauvage beauté de la Campine anversoise, la « primitivité épique » des gens qui y vivent ou la somptuosité des saisons qui se posent sur les choses. Elle se révèle aussi fine psychologue dans Madame Orpha, ou la sérénade de mai (prix du Roman populiste 1934), Paix sur les champs, La Ligne de vie. Parmi ses autres livres : Plaisir des parallèles (Le Cri, 2002), La Comtesse des digues, Guldentop, Le Voyage de frère Jean, La Grande Marée, Plaisir des météores, L’Oreille volée, Château de l’Ouest, L’Herbier légen-daire, Vie et mort d’un étang (autobiographique).
Plaisir des Parallèles, un livre de Marie Gevers édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Des Belges aventureux
Mon ambition est d’offrir au lecteur une invitation au voyage en compagnie de quelques Belges qui n’étaient pas casaniers, qui, partis suivant l’ordre d’un prince ou de leur propre mouvement, avaient en commun le désir de se libérer des contraintes du quotidien, de mieux connaître des civilisations qui déconcertaient ou menaçaient les Occidentaux, d’affronter tous les risques, y compris ceux de l’esclavage, de découvrir et explorer des régions encore inconnues de notre planète bleue.
La Belgique indépendante n’avait que seize ans lorsque le baron Jules de Saint-Genois publia, dans une collection populaire de l’éditeur Jamar, deux petits volumes intitulés Les Voyageurs belges. Bien que non avouée, l’intention de l’auteur était évidemment patriotique. Il s’agissait de mettre en évidence des navigateurs, diplomates, missionnaires ou pèlerins ayant laissé la relation de leurs découvertes, le récit de leurs aventures, la description des pays qu’ils avaient parcourus et des mœurs des peuples rencontrés.Georges-Henri Dumont est agrégé d’histoire (Université de Louvain), ancien conservateur aux Musées royaux d’Art et d’Histoire, professeur honoraire à l’Institut catholique des hautes études commerciales, il a dirigé le cabinet de plusieurs ministres de la Culture françaises en Belgique. Ancien membre du Conseil exécutif de l’UNESCO, il préside au sein de cette organisation le comité international pour l’édition de la monumentale Histoire du développement scientifique et culturel de l’humanité. Il est membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises.
Des Belges aventureux, un livre de Georges-Henri Dumont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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La Couronne et la Rose. Baudouin et le monde socialiste
1950 : la question royale se referme et Baudouin monte sur le trône. Jeune et malhabile, il se trouve propulsé sur le devant de la scène et confronté à de nombreux défis.
Les socialistes observent les événements. S’ils se sont farouchement opposés à Léopold III, ils se disent aussi prêts à accepter son fils. Mais ils n’accepteront pas tout. Les premiers pas du jeune Roi sont suivis de très près et ses maladresses sévèrement condamnées…
Les relations entre le chef de l’État et les socialistes sont marquées par de vives polémiques et d’acerbes critiques. Certains leaders du Parti à la Rose se passeraient d’ailleurs volontiers de monarchie. Mais d’autres s’entendent plutôt bien avec Baudouin. Ne voit-t-on pas régulièrement Achille Van Acker, le Premier ministre socialiste, prendre le thé à Laeken ? Et ne raconte-t-on pas, en 1961, que le Souverain se réjouit du retour de Paul-Henri Spaak aux Affaires étrangères ?
Tandis que la Couronne perd de son éclat au fil des années, le règne des partis tend à s’imposer. Mais Baudouin ne perd pas le désir de jouer un rôle en vue sur la scène politique. Certains l’accusent même de favoriser l’accession des socialistes au pouvoir. Baudouin et les socialistes seraient-ils devenus alliés ?
Du Bureau du Parti Socialiste aux couloirs du Parlement, en passant par les coulisses de Laeken, le lecteur part à la rencontre de ceux qui font l’histoire. Une histoire politique, sociale, économique. Une histoire d’hommes.
Au-delà des relations entre Baudouin et le monde socialiste, Vincent Delcorps nous fait découvrir une période charnière de l’histoire de Belgique. S’appuyant sur de nombreuses sources inédites, il nous permet de revisiter des événements aussi différents et majeurs que la question scolaire, l’indépendance du Congo ou la première réforme de l’État.Vincent Delcorps est né en 1986 à Bruxelles. Il étudie l’Histoire aux Facultés Universitaires Saint-Louis et à l’Université catholique de Louvain où il obtient son Master et son agrégation. Passionné par le xxe siècle, il se spécialise dans la politique intérieure belge et l’histoire de la monarchie. Il réalise actuellement un Master en Journalisme à l’École de Journalisme de Louvain.
La Couronne et la Rose. Baudouin et le monde socialiste, un livre de Vincent Delcorps édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)