• L’Union fait-elle toujours la force ? (1950-1970)

    18.00 

    NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE VII
    1950 – 1970

    Voici un livre essentiel pour comprendre non seulement la situation dans laquelle se trouve la Belgique aujourd’hui, mais aussi le rôle que cette dernière a joué au niveau de la construction européenne et au niveau international.
    Au niveau national, dès les années 1950, le mouvement flamand, qui était pour une bonne part décapité au lendemain de la guerre des suites de la répression de la collaboration, reprend vigueur, notamment au moment de l’Expo ’58, puis à la faveur des marches sur Bruxelles, dans la foulée de la question linguistique. Dans le même temps, la flamandisation des élites politiques connaît un sérieux coup d’accélérateur. « L’affaire de Louvain » de 1968 conduit à la plus longue crise gouvernementale connue par le pays jusque-là, crée un traumatisme du côté francophone et engendre un bouleversement de l’échiquier politique, avec entre autres conséquences la disparition progressive des partis nationaux. De plus, dès 1960, le déséquilibre économique s’accentue à l’intérieur du pays suite à la fermeture des charbonnages et à la crise structurelle qui s’en suit en Wallonie, alors que la Flandre connaît une plus grande croissance économique. La conjonction des deux fédéralismes, flamand et wallon, va faire sauter le caractère unitaire du pays, dès la première réforme de l’État de 1970, mais qui ne permettra de freiner la construction d’un nationalisme flamand, certes sous-produit du nationalisme belge, mais qui appelle une demande toujours plus pressante d’autonomie, désormais d’ordre à la fois culturel et économique…

    Vincent Dujardin est chercheur qualifié du FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain (UCL). Il a notamment publié une biographie de Pierre Harmel (Le Cri, 2004), qui fut un véritable best-seller.

    Michel Dumoulin est professeur ordinaire à l’UCL et membre de l’Académie royale de Belgique. Éminent historien, il est l’auteur de nombreuses publications.

    L’Union fait-elle toujours la force ? (1950-1970), un livre de Vincent Dujardin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • L’Entrée dans le XXe siècle (1905-1918)

    18.00 

    NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE IV
    1905-1918

    Du 75e anniversaire de son indépendance en 1905 à novembre 1918, la Belgique a vécu une période d’une rare intensité en termes de bouleversements qui l’affectèrent profondément.
    Alors que l’Europe s’attend, au moment de l’invasion allemande de 1914, à une résistance de principe, la surprise est au rendez-vous : la Belgique résiste.
    Dans la foulée, la guerre sert en quelque sorte de révélateur et d’accélérateur aux incubations de la Belle Époque dans les domaines où règnent traditionnellement les tensions : socio-économique, idéologique et communautaire, sans oublier les relations entre l’exécutif et le législatif…

    Michel Dumoulin est professeur ordinaire à l’UCL et membre de l’Académie royale de Belgique. Il est l’auteur de nombreuses publications portant sur l’histoire de la construction européenne, celle des entreprises et celle des relations de la Belgique avec les mondes contemporains.

    L’Entrée dans le XXe siècle (1905-1918), un livre de Michel Dumoulin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Juliette de Robersart

    9.50 

    Juliette de Robersart, un livre de Roland Mortier édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Jeanne d’Arc en garde à vue

    12.89 

    Mise en examen de Jeanne d’Arc, sainte diabolique suspecte de jouer double jeu à force d’être toujours prise entre deux feux, tiraillée entre camps rivaux ou confrères ennemis — Bourgogne et Orléans, France-Angleterre, Voltaire corrigé par Schiller, Michelet par Dupanloup, Péguy contre Jaurès — ou tout dernièrement, la mission Rivette ayant échoué à la soustraire aux pattes douteuses de ses porte-étendard, transmuée en Madonne des sans-papiers à l’Odéon par une table de philosophes œuvrant au noir. Spécialistes et critiques font ici échange de vues pour prononcer d’un commun accord la mise en examen de l’histoire par la littérature, des sciences par les arts. (Textes réunis par Dominique GOY-BLANQUET)

    Jeanne d’Arc en garde à vue, un livre de Dominique Goy-Blanquet édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Jean-Charles Snoy (1907-1991)

    30.00 

    Représentant la Belgique, aux côtés de Paul-Henri Spaak, à la signature des traités de Rome le 25 mars 1957, Jean-Charles Snoy et d’Oppuers (1907-1991) est surtout connu pour son rôle dans la construction européenne. Mais ceci est réducteur. Considéré à juste titre comme un homme d’Etat, respecté en Belgique et fort écouté à l’étranger, il est animé par la conviction qu’« il vaut mieux servir la chose publique que des intérêts privés ». Enraciné dans une tradition de rigueur intellectuelle et morale complétée par de très brillantes études, il connaît, en dépit de circonstances difficiles, une fulgurante carrière. Secrétaire général du ministère des Affaires économiques à 32 ans, artisan infatigable de la préparation de l’après-guerre puis de la reconstruction de la Belgique, il l’est aussi de celle de l’Europe. Profondément attaché à la nature dont il se fait tour à tour le défenseur et le promoteur, Snoy, « l’homme qui aimait planter des arbres », est un acteur et un témoin de premier plan de l’histoire nationale et européenne du xxe siècle. Homme de caractère, il n’aurait pas déparé la galerie de ceux dressés par La Bruyère. Ou pour le dire avec Philippe de Schoutheeete qui signe la préface, Snoy illustre admirablement la formule d’Héraclite : « Le caractère de l’homme est sa destinée ». Grâce à de nombreuses archives belges, américaines, françaises anglaises, néerlandaises et luxembourgeoises, ce livre jette, à travers la vie d’un « grand commis de l’Etat », un nouvel éclairage sur quatre décennies d’histoire de Belgique ainsi que sur l’apport belge au processus d’intégration européenne.

    Vincent Dujardin est chercheur qualifié du FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain. Il est aussi professeur invité à l’Université Jagellone de Cracovie et aux FUCAM. Ses recherches portent sur l’histoire politique de la Belgique, de la construction européenne, des relations internationales et du Congo.
    Michel Dumoulin est professeur ordinaire à l’Université catholique de Louvain et membre de l’Académie royale de Belgique. Ses publications portent notamment sur l’histoire de la construction européenne, celle des relations de l’Europe avec l’Outre-Mer et celle des milieux et réseaux dans le cadre des relations internationales.

    Jean-Charles Snoy (1907-1991), un livre de Vincent Dujardin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Hubert Pierlot (1883-1963)

    24.00 

    Dans la mémoire collective, Hubert Pierlot est le Premier ministre qui a rompu avec le roi Léopold III en mai 1940. Le chef de Gouvernement qui, avec plusieurs de ses Ministres (Albert De Vleeschauwer, Camille Gutt et Paul-Henri Spaak), a décidé de poursuivre la lutte contre l’Allemagne nazie, en Grande-Bretagne aux côtés des Alliés.
    La présente biographie – qui se base sur une impressionnante quantité d’archives et de papiers personnels inédits – raconte bien davantage.
    Elle brosse le portrait du Pierlot privé : le temps de la formation, les voyages de jeunesse (au Canada). Mais aussi l’époque décisive de l’engagement volontaire, au nom du devoir et pendant 52 mois, sur le Front de l’Yser lors de la Première Guerre mondiale.
    Avec l’entrée dans la vie publique, voici ensuite évoquées plus de 30 années de politique belge et, plus encore, internationale avec l’installation du Cabinet Pierlot à Londres de 1940 à 1944.
    L’ouvrage propose également une relecture sans faux-semblant de la Question royale dans laquelle, dès 1939…, Pierlot joue un rôle de premier plan. Car cet austère catholique à la foi de charbonnier, ce monarchiste convaincu, cet avocat dédié à l’exaltation du « sentiment national », va privilégier la légalité constitutionnelle (la Loi) à la politique personnelle du roi Léopold III. Au risque de faire mentir les paroles de l’hymne national (« Le Roi, la Loi, la Liberté »)…
    Enfin, au nom de la « Vérité qui a ses droits », il prendra publiquement position sur cette terrible Question. Il en a payé le prix. Malgré ses états de service, Pierlot achèvera sa vie en proscrit parmi sa famille politique, dans l’isolement, soutenu seulement par une phalange d’amis fidèles.

    Pierre Van den Dungen est chercheur en Histoire, maître de conférences (ULB) et professeur (à La Cambre-Ensav). Spécialiste de la presse quotidienne (Milieux de presse et journalistes en Belgique (1828-1914), Bruxelles, Académie royale de Belgique, 2005, Presse, nations et mondialisation au xixe siècle, M.-E. Thérenty, A. Vaillant (dir.), Paris, Nouveau Monde), il a également publié un ouvrage sur les débuts de la télévision en Belgique (De la Scène à la lucarne. Pionniers de la télévision en Belgique francophone. Conversations avec Henri Billen, Bruxelles, Le Cri, 2008).

    Hubert Pierlot (1883-1963), un livre de Pierre Van Den Dungen édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Hjalmar Schacht

    21.07 

    Schacht Horace Greeley Hjalmar (22.1.1877 • 4.VI.1970). Financier et homme politique allemand. Fils d’un riche négociant, il reçut une éducation assez cosmopolite. Après avoir passé une partie de son enfance en Amérique, Schacht fit ses études dans les universités allemandes et à Paris. Entré dans la carrière bancaire, il fut au service de la Dresdner Bank (1903/16), puis prit la direction de la Banque de Darmstadt. Il fit la connaissance de Hitler et, bien que dépourvu de sympathies pour le national-socialisme, il fut impressionné par les succès électoraux de celui-ci et apporta à Hitler l’appui de certains milieux industriels et financiers. Peu après l’arrivée de Hitler au pouvoir, il accepta de reprendre la présidence de la Reichsbank (mars 1933) et devint ministre de l’Économie (juill. 1934/nov. 1937). Cependant son opposition à Goering, chargé du plan de quatre ans, et ses tentatives pour obtenir une réduction des dépenses d’armement le rendirent bientôt suspect au régime. Il fut arrêté et envoyé au camp de Dachau. Traduit devant le tribunal de Nuremberg, il fut acquitté en 1946 et, après 1950, fut appelé comme conseiller financier par les gouvernements de Syrie, d’Indonésie, d’Iran, d’Égypte, etc.

    Fonctionnaire des Nations Unies, André WILMOTS dirigea début 1981, à la requête de la République Populaire de Chine, la mission d’évaluation des désastres naturels dans les provinces d’Hubei et de Hebei et de coordination de la coopération multilatérale. Il a publié en France Le Marché de l’or (1985), Le défi français (1991), Le Royaume démuni (1993), Crises et turbulences du commerce international (1995)

    Hjalmar Schacht, un livre de André Wilmots édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Historia fupi ya Congo, Tangu mwanzo mpaka leo – Version Swahili

    10.00 

    Kampeni ya mafunzo ya uraia iliyofikia wakati wake mkubwa siku ya kusherehekea kumbukumbu ya myaka makumi matano ya uhuru wa Jamuhuri ya kidemokrasia ya Congo ilikuwa kwetu kishawishi cha kuandika kitabu hiki kuhusu Historia fupi ya Congo.
    Ukitegemea maandishi ya Historia ya sasa ya Congo, utungo huu ambao, kwa mara nyingine tena, unahusika na uchambuzi, kwa jumla, wa historia ya Congo tangu mwanzo mpaka leo, unatumainia kuwa chombo rahisi kwa kupata kitakachosaidia fahamu yetu na kukamilisha maelezo zaidi kuhusu nchi hii. Hakika, kuchukua msukumo mzuri zaidi juu ya kujenga nchi bora kuliko mwanzo, ginsi inavyotakiwa na wimbo wa taifa, ni jambo linalotegemea kwanza, kuwa, kila mara, na habari za sasa juu ya historia ya taifa letu.
    Na kwa mtu anayejishurlisha na mambo ya nchi ya Congo, akiwa nje ya nchi hii, kitabu hiki kitaweza kumsaidia sana ili ajitilie vitambulisho katika nyakati na mahali, kuelewa wakati wa sasa kwa kutokea asili yake na vilevile kujenga matumaini yake kufwatana na yale yanayotakiwa kila mara na watu.

    Historia fupi ya Congo, Tangu mwanzo mpaka leo – Version Swahili, un livre de Isidore Ndaywel édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Histoire du Congo, des origines à nos jours

    15.00 

    Élaborer l’histoire du Congo implique de la situer dans la longue durée et d’analyser les éléments de sa permanence qui justifient sa spécificité d’hier et d’aujourd’hui et donnent un sens à son devenir. Aussi convient-il d’étudier l’évolution de son espace, la mobilité de sa population et la construction progressive de son identité. En effet, issue des temps immémoriaux, cette épopée s’est élaborée peu à peu au cours des millénaires à partir de données écologiques et technologiques, fondements d’une certaine vision du monde et de traditions ancestrales. Cet « héritage des temps longs » rejoindra alors celui des « temps courts » pour former, étape par étape, le visage identitaire du Congo actuel. Nous verrons donc comment, à partir d’un espace déterminé, les hommes se sont approprié la terre et comment, façonnés par cet environnement, ils l’ont à leur tour modulé pour en faire leur territoire… (Elikia M’Bokolo)

    Isidore Ndaywel, président de la Société des historiens congolais, est professeur ordinaire au département des sciences historiques de l’université de Kinshasa, membre correspondant de l’Académie royale des sciences d’outre-mer à Bruxelles et chercheur au centre des mondes africains de l’université Paris I – la Sorbonne à Paris. Il est, sans conteste, une référence incontournable en matière d’Histoire du Congo.

    Histoire du Congo, des origines à nos jours, un livre de Isidore Ndaywel édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Histoire de la Belgique (des origines à 1830)

    26.00 

    L’État belge n’existe que depuis 1830, mais un État ne surgit pas du néant grâce à une révolution aisément victorieuse. À travers les siècles, la Belgique a connu des avatars multiples, des phases de rayonnement et des heures d’effacement, c’est-à-dire une évolution qui explique la réalité d’aujourd’hui.
    Qu’il analyse les convergences culturelles autour de l’Escaut et de la Meuse, qu’il évoque le rôle de Charlemagne, de Louis de Male, de Philippe le Bon, celui de Charles Quint, de Joseph II ou de Napoléon, Georges-Henri DUMONT réussit à dégager l’essentiel de l’accessoire et à faire revivre avec intensité le jeu des forces en présence. Son don exceptionnel de synthèse a été célébré par une critique unanime.

    Georges-Henri DUMONT est agrégé en histoire (Université de Louvain), ancien conservateur aux musées royaux d’Art et d’Histoire, professeur honoraire à l’Institut catholique des hautes études commerciales, il a dirigé le cabinet de plusieurs ministres de la Culture française en Belgique. Ancien membre du Conseil exécutif de l’UNESCO, il préside au sein de cette organisation, le comité international pour l’édition de la monumentale Histoire du développement scientifique et culturel de l’humanité. Il est membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises. Parmi ses nombreux ouvrages, on notera sa Chronologie de la Belgique 1830 à nos jours (Le Cri), et son Histoire de Bruxelles (Le Cri). Son essai sur Léopold II (Fayard, 1990) a reçu le grand prix de la biographie de l’Académie française.

    Histoire de la Belgique (des origines à 1830), un livre de Georges-Henri Dumont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Histoire de Bruxelles

    28.00 

    Mille ans séparent Bruxelles, capitale européenne, du petit portus sur les rives de la Senne. Mille ans de gloires et d’épreuves, à partir d’une ville enclose dans ses deux murailles successives, qui s’est étendue au territoire des dix-huit communes voisines pour constituer une agglomération, puis une Région à part entière, entité de la Belgique fédérale.
    Les constantes politiques, économiques, sociales et culturelles qui marquent, au cours des siècles, l’histoire de Bruxelles-Capitale forment la trame d’un biographie passionnante d’un bout à l’autre. Que celle-ci n’ait qu’un seul auteur, faisant miel de travaux des spécialistes des différentes époques et des savantes contributions d’ouvrages collectifs, donne au récit et aux analyses une saisissante cohérence.

    Georges-Henri DUMONT est agrégé en histoire (Université de Louvain), ancien conservateur aux musées royaux d’Art et d’Histoire, professeur honoraire à l’Institut catholique des hautes études commerciales, il a dirigé le cabinet de plusieurs ministres de la Culture française en Belgique. Ancien membre du Conseil exécutif de l’UNESCO, il préside, au sein de cette organisation, le comité international pour l’édition de la monumentale Histoire du développement scientifique et culturel de l’humanité. Il est membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises. Parmi ses nombreux ouvrages, on notera sa Chronologie de la Belgique, de 1830 à nos jours (Le Cri), et son Histoire de la Belgique (Le Cri). Son essai sur Léopold II (Fayard, 1990) a reçu le grand prix de la biographie de l’Académie française.

    Histoire de Bruxelles, un livre de Georges-Henri Dumont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Het Brussels maatschappelijk middenveld laat zijn stem horen[CR]Staten-Generaal van Brussel (nederlandse versie)

    12.00 

    « Il faut faire bouger les lignes », zei François Mitterrand. Dat was precies de ambitie van de Staten-Generaal van Brussel : op wetenschappelijke wijze de balans opmaken van de situatie van ons Stadsgewest aan de hand van zestien sleutelthema’s, die bevindingen voorstellen aan de burgers tijdens groots opgezette discussieavonden, hun reacties en voorstellen verzamelen, conclusies formuleren en die doorspelen aan de politici, om de toekomst van alle echte of ‘geadopteerde’ Brusselaars te beïnvloeden.
    Maar wie heeft de burgers doen warmlopen voor dat grootschalige project ? Het Platform van de civiele maatschappij, dat op nog nooit geziene wijze, over de gebruikelijke barrières – waaronder de taalgrenzen – heen, Brusselse verenigingen (Aula Magna, bruXsel forum*, Manifesto), vakbonden (ABVV Brussel en ACV), de werkgevers (Brussels Enterprises, Commerce , Industry), de culturele sector (Brussels Kunstenoverleg , Réseau des Arts à Bruxelles ) en de milieusector (BRAL en Inter-Environnement Bruxelles) samenbrengt.
    Het Platform richtte al snel een wetenschappelijk comité op (ULB, VUB, Facultés universitaires Saint-Louis en het elektronisch tijdschrift Brussels Studies) en nodigde honderden verenigingen uit alle sectoren uit om samen zijn ambitie waar te maken.
    Mobiliteit • Veiligheid • Bevolking • Duurzame ontwikkeling • Onderwijs • Huisvesting • Economie • Cultuur • Jeugd • Stadsgewest • Levenskwaliteit • Kennisstad • Internationalisering • Instellingen • Sociale ongelijkheden • Overheidsfinanciën : zestien diepgravende en objectieve studies werden uitgevoerd door een honderdtal onderzoekers.
    U vindt hier de integrale tekst van die studies, aangevuld met de voorstellen die naar voren werden gebracht tijdens de zestien discussieavonden die door tweeduizend deelnemers werden bijgewoond, en met de conclusies die op 25 april 2009 werden voorgesteld aan meer dan zevenhonderd mensen, onder wie een groot aantal politici.
    De dynamiek van de Staten-Generaal is als een vloedgolf : de eerste resultaten zijn er al en in de komende jaren zullen er nog geboekt worden. Moge dit boek daartoe bijdragen !
    The English versions of introductions to, and conclusions from the Citizens’ Forum of Brussels, also appear in this book.

    Het Brussels maatschappelijk middenveld laat zijn stem horen[CR]Staten-Generaal van Brussel (nederlandse versie), un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Henry Bauchau dans la tourmente du XXe siècle

    19.00 

    Né en 1913, Henry Bauchau a traversé le siècle. Il ne publie son premier recueil poétique qu’en 1958. Pourtant, il y a un poète qui s’ignore dans le chroniqueur d’avant-guerre, dans le combattant de 1940, dans le citoyen engagé dans l’action sociale sous l’Occupation ; il y a un être d’action dissimulé dans l’écrivain. Ce sont ces deux pans de la vie de Bauchau qui sont abordés dans ce travail, fruit des efforts conjugués de deux historiens et d’une spécialiste de la littérature contemporaine. Le travail des premiers, – bâti sur la base d’archives pour une bonne part inédites –, trouve son prolongement naturel dans l’analyse de la seconde : aucun des deux objets, historique et imaginaire, n’est indépendant, et leur corrélation permet d’éclairer un parcours certes singulier, mais inscrit dans une dynamique générationnelle.

    Geneviève Duchenne est professeur invitée aux Facultés universitaires Saint-Louis de Bruxelles et chercheur qualifiée de l’Université catholique de Louvain.
    Vincent Dujardin est chercheur qualifié du FRS/FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain.
    Myriam Watthee-Delmotte est maître de recherches du FRS/FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain où elle dirige le Centre de Recherche sur l’Imaginaire. Elle est également responsable de la gestion Fonds Henry Bauchau de l’UCL ( http://bauchau.fltr.ucl.ac.be).

    Henry Bauchau dans la tourmente du XXe siècle, un livre de Geneviève Duchenne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Heinrich Heine

    25.00 

    Heinrich Heine, écrivain juif d’origine allemande et de passion française, incarne nombre de contradictions de son époque, exacerbées par sa propre appartenance à deux mondes complémentaires dans leur antagonisme : le germanique et le latin. Selon son ami Théophile Gautier, « jamais nature ne fut composée d’éléments plus divers que celle de Henri Heine ; il était à la fois gai et triste, sceptique et croyant, tendre et cruel, sentimental et persifleur, classique et romantique, Allemand et Français, délicat et cynique, enthousiaste et plein de sang-froid, tout, excepté ennuyeux ; c’était vraiment l’Euphorion, enfant de Faust et de la belle Hélène. » De la bouche de ce sagittaire, né à Düsseldorf, le 13 décembre 1797, et décédé à Paris, le 17 février 1856, jaillissaient en sifflant des flèches sarcastiques qui ne manquaient jamais leur but. Mais il fut aussi ce grand poète dont Schubert, Schumann, Mendelssohn, Brahms et beaucoup d’autres mirent en musique d’innombrables Lieder.

    Alain PREAUX, Docteur en philosophie et lettres (Université Libre de Bruxelles), est l’auteur de nombreux articles sur les xviiie et xixe siècles allemands (entre autres Friedrich Schiller, Jean Paul, E.T.A. Hoffmann, Achim von Arnim, Friedrich Hölderlin et Heinrich Heine). Il enseigne à l’École supérieure de traducteurs et interprètes de la Ville de Bruxelles, ainsi qu’à l’Université Libre de Bruxelles. Il a publié trois ouvrages relatifs à Friedrich Hölderlin, tous parus aux éditions Le Cri : Poèmes de l’autre vie (1993), Prose de l’autre vie (1996) et L’énigme Hölderlin (1996).

    Heinrich Heine, un livre de Alain Préaux édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Georgette Leblanc, Maurice Maeterlinck

    26.00 

    Des conversations avec Stanislavski inspirent à Georgette Leblanc les représentations de La Tragédie de Macbeth et de Pelléas et Mélisande à l’abbaye de Saint-Wandrille, sa résidence d’été. Femme d’énergie, elle sert le théâtre de Maeterlinck avec un dévouement absolu à Paris et dans les grandes capitales européennes.
    Leur dialogue amoureux et intellectuel continue, exigeant et rude, jusqu’à la rupture en 1918. Le Prix Nobel lui avait écrit : « Même si tu n’avais pas été femme, tu aurais été le seul être que j’eusse aimé complètement. » Il lui reconnaît un don d’écrivain-né. « Mon cher Maurice, (…), lui répond-elle, “Tu me diras” toujours mieux et plus exactement que moi-même ! Et qu’importe que cela vienne de toi ou de moi… pourvu que la beauté naisse ! … » Elle se révolte cependant contre l’absorption totale de sa pensée et de sa personnalité. Trop tard…

    Maxime Benoît-Jeannin est, entre autres, le biographe de Georgette Leblanc (1869-1941) (Le Cri, 1998) et d’Eugène Ysaye (Le Cri, 2001), il est aussi le romancier de Mademoiselle Bovary (LeCri, 1991) et d’Au bord du monde, un film d’avant-guerre au cinéma Eden (Le Cri, 2009).

    Georgette Leblanc, Maurice Maeterlinck, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Georgette Leblanc

    24.29 

    Georgette Leblanc. « Sœur du créateur d’Arsène Lupin, cantatrice, actrice, égérie lesbienne… […] la meilleure chose à faire est de consulter l’impressionnante monographie […] : dix ans de travail et 600 pages serrées pour cette «amante de la vie». » (Benoît Duteurtre, Marianne)

    Maxime BENOIT-JEANNIN est l’auteur de plusieurs romans, notamment Mademoiselle Bovary (coédition Belfond, 1991), Colonel Lawrence (Coédition Jean-Michel Place, 1992) et Chez les Goncourt (2004). De deux biographies exhaustives : Georgette Leblanc 1869-1941 (1998) ; Eugène Ysaye, le sacre du violon (2001). Et d’un essai sur les rentrées littéraires, La Corruption sentimentale (2002).

    Georgette Leblanc, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)