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D’un Dieu ténébreux
De l’Inde capiteuse des comptoirs français à l’atelier berlinois du sculpteur favori du IIIe Reich, en passant par un Paris mondain promis aux lâchetés de la collaboration, Roman Vanderloo, jeune homme que sa beauté expose, connaîtra tous les visages de la trahison, tous les corps du désir, avant de trouver, retrouver, celle qui incarnera pour lui le seul amour.
À l’occasion de la parution — chez Le Cri, éditeur — du premier tome des œuvres d’Yves-William Delzenne, Arnaud de la Croix présenta l’auteur en ces termes : J’ai appris à connaître l’homme, parfois insupportable, souvent délicieux : doux mélange où surnage, curieusement, et dans mon cœur et dans ma tête, la fidélité. Cet entêtement à accomplir, au travers de ses vocations multiples — charmeur, acteur, dandy, diseur, causeur, élégant, séducteur, narcissique en diable, agent d’artistes ou galeriste, généreux toujours —, un travail, l’aptitude à creuser un sillon, l’air de rien, ce qui finalement est tout. C’est cet homme qui donne ici un roman bien dans sa manière et très surprenant.
D’un Dieu ténébreux, un livre de Yves-William Delzenne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Crimes à vendre
“Monsieur le préfet de police, je vous préviens qu’un crime sera commis demain dans le XVIIe arrondissement. Signé : Le Furet.”
Des lettres de ce genre, la police en reçoit des dizaines. Elles échouent dans la corbeille à papiers et on n’en parle plus. À moins que… À moins qu’un assassinat ne soit effectivement commis dans le XVIIe arrondissement… Simple coïncidence ? Peut-être… Pourtant, lorsque le Furet récidive, sa lettre est examinée d’un peu plus près. Cette fois, c’est le XVIe qui est visé. Et cette fois encore, le Furet a vu juste. Trop bien informé pour être honnête, le Furet. Il faut le coincer avant que la population de la capitale ne soit décimée…Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.Crimes à vendre, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Conscience tardive
Conscience tardive, un livre de Kristoffer Berger édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Congo, Le Septième lot
Joris Borluut, architecte de la ville de Bruges à laquelle il veut rendre sa beauté ancienne, est élu carillonneur après un brillant concours. Emporté par le désir, il épouse la sensuelle Barbe, fille de son ami Van Hull, mais, déçu par son caractère violent, il a une liaison avec la sœur de sa femme, la douce et mystique Godelieve. Barbe découvre l’adultère et Godelieve fuit dans un béguinage. Joris va alors se consacrer tout entier à son art. Une querelle éclate entre lui, le défenseur des valeurs esthétiques de Bruges, et le parti de Farazyn, plus pragmatique, qui désire une renaissance économique pour la ville et la création de Bruges-Port-de-Mer. Joris perd sa place d’architecte et, désespéré, …
Georges RODENBACH (1855-1898). Avec Émile Verhaeren, il est l’aîné de la génération symboliste belge. Dans La Jeunesse blanche (1886), il inaugure un phrasé poétique désormais inséparable d’une thématique restreinte : miroirs, canaux, brouillards, villes mortes, béguinages, chevelures. Sa gloire parisienne date de 1892 et de Bruges-la-Morte, bref récit qui tient le milieu entre le roman psychologique, la nouvelle fantastique et le poème en prose. Le Voile est joué avec succès à la Comédie française en 1894. Chroniqueur attitré du Figaro, il devient une figure en vue du Tout-Paris littéraire et mondain.
Congo, Le Septième lot, un livre de Jean-Claude Marlair édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 20. Le Vampire aux yeux rouges
Après un périple en Allemagne à la recherche du Vampire aux yeux rouges, qu’il croyait pourtant avoir arrêté en la personne d’Ebenezer Grump, et un imbroglio de chassés-croisés entre Grump, la maison hantée du notaire assassiné d’Hilderstein et le comte Jean-Népomucène Dragoni, pourtant décédé deux cents ans auparavant, Harry Dickson et son élève Tom Wills rentrent à Londres, et c’est là que se déroulera l’ultime combat avec le Vampire et un des plus cruels meurtrier de tous les temps…
Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 20. Le Vampire aux yeux rouges, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 19. Le Monstre blanc
Le patient d’un asile d’aliénés, persuadé d’avoir rencontré des disparus en enfer, est assassiné. Le Pr Bellin, anthopoligiste de renom, est lui aussi assassiné. L’aventurier-écrivain Jerry Copeland et sa ravissante épouse Turkestane Wanda disparaissent à leur tour. Copeland a toutefois laissé un manuscrit où il retrace l’histoire d’un homme découvrant de l’or, au fond d’un souterrain aux abords de Londres, et qui… affronte un « monstre blanc » !
Pour résoudre l’énigme, Tom Wills, le jeune élève de Dickson, n’hésitera pas à s’offrir en appât à cette créature venue du Turkestan…Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 19. Le Monstre blanc, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Chez les Goncourt
Paris. Vers le milieu du Second Empire. Un soir de novembre. Annabella Cruz, une jeune prostituée voisine d’Edmond et Jules Goncourt, est mystérieusement assassinée sur le palier des deux écrivains.
Ce meurtre, dont on ne connaît pas l’auteur, va entraîner, avec l’intervention du commissaire Fenouil, une cascade d’étranges événements dans l’immeuble du 43, rue Saint-Georges, où résident les deux frères, ce soir où, précisément, ils reçoivent Théophile Gautier, Gustave Flaubert, et quelques commensaux — hommes et femmes — de moindre importance, mais qui constituent un échantillon de choix de la société artistique et littéraire de la seconde moitié du XIXe siècle, sans laquelle la modernité ne serait pas ce qu’elle est aujourd’hui…
Les personnages réels et imaginaires de ce banquet épicurien sont les protagonistes d’une intrigue foisonnante et jubilatoire qui ne cesse de surprendre. Le jeune Léonce Jacquelain, qui vient de commettre un premier roman, La Passagère de La Méduse, « gueulé » par Flaubert à la fin du dîner, un temps soupçonné du meurtre d’Annabella Cruz, est en rivalité avec le grand romancier auprès de l’actrice rabelaisienne Suzanne Lagier, tandis qu’Edmond et Jules, qui inventent pour le débutant le Prix Goncourt, que l’aîné des deux frères ne fondera qu’à la fin du siècle, découvrent la scandaleuse double vie de leur servante dévouée, Rose Malingre… Et ce n’est pas fini… Ah ! il s’en passait de belles, on peut l’avouer maintenant, Chez les Goncourt.Maxime BENOIT-JEANNIN est l’auteur de romans remarqués, dont Miroir de Marie (Le Cri, 2003), de deux biographies de référence et d’un essai sulfureux sur les rentrées littéraires, La Corruption sentimentale (Le Cri, 2002).
Chez les Goncourt, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Caroline et Monsieur Ingres
Pour le plus grand plaisir de l’amateur de peinture, spectateur devenu lecteur, l’auteur, par le miracle de son écriture, a fait revivre avec esprit le peintre et son modèle (Caroline Bonaparte) et inventé quantité d’anecdotes savoureuses et de péripéties amusantes. Il le plonge dans le Paris et la Naples de la fin de l’Empire, l’entraîne en compagnie de cette reine peu ordinaire et de ce peintre de génie dans les Champs phlégréens sur les pas de madame de Staël, gravit les pentes du Vésuve et évoque avec une érudition émue Virgile et le monde classique. Mais surtout il décrit avec une rare finesse le caractère d’Ingres et dévoile le processus de création qui se met en route, la relation très particulière qui s’établit entre le peintre et son modèle (que ce soit Caroline ou la belle Dormeuse), le statut propre à l’œuvre d’art qui, comme le fruit d’une gestation nécessaire, croît irrésistiblement et emporte tout. C’est désormais le tableau, l’œuvre naissante, qui prime : le modèle n’existe plus que comme une donnée prosaïque qui permet au peintre de faire apparaître sur sa toile non pas ce qu’il a devant lui mais ce qu’il a en lui, sans qu’il sache encore lui-même ce que sera finalement son tableau mais qui s’impose néanmoins à lui avec une force absolue. (Extrait de la préface. )
Gaston Compère, né dans le Condroz en 1929, docteur en philosophie et lettres, est un des grands écrivains d’expression française. Il a reçu en 1989 le Grand prix de Littérature de la francophonie. Outre ses romans (notamment chez Belfond), il a publié une biographie très remarquée de Maurice Maeterlinck (La Manufacture, 1989) et de nombreuses pièces de théâtre. Il est aussi poète et traducteur (Le Livre d’Heures de R. M. Rilke, Le Cri, 1989).
Caroline et Monsieur Ingres, un livre de Gaston Compère édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Blouse blanche
Révolte des blouses blanches, grèves, manifestations, mécontentement général dans les hôpitaux…
Comment expliquer la crise du personnel infirmier ?Blouse blanche, un livre de Thérèse Olivier édité aux Éditions Mols
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Autour des trônes que j’ai vus tomber (Louise) & Je devais être impératrice (Stéphanie)
Mémoires des fille du roi Léopold II. À seize ans, Louise ne manquait pas de charme. Léopold II et Marie-Henriette s’accordèrent pour choisir le prince Philippe de Saxe-Cobourg, de la branche autrichienne, comme époux. Philippe de Saxe-Cobourg avait quatorze ans de plus qu’elle, c’était un noceur qui partageait avec le prince héritier, l’archiduc Rodolphe, de multiples aventures galantes. À Vienne, Philippe de Saxe-Cobourg s’efforça de transformer la petite oie blanche qu’il avait épousée en mondaine accomplie… Délaissée, frustrée, la princesse Louise se consolait en flirtant dans le beau monde viennois. Louise tomba amoureuse d’un fringant sous-lieutenant originaire de Croatie, Geza von Mattachich-Keylevich… L’empereur François-Joseph se laissa convaincre de faire conduire Louise dans un établissement pour malades mentaux… La Princesse, toujours étroitement surveillée, était partie faire une cure à Bad-Elster en Bavière. C’est de là que se fit une évasion digne d’un roman feuilleton… Comme sa sœur Louise et son frère Léopold, Stéphanie fut élevée à la dure. Mariée à seize ans (1881) au prince héritier Rodolphe de Habsbourg, elle se sentit très vite écartée de la vie de son mari, voire de celle de la famille impériale. L’archiduc Rodolphe multiplia les liaisons fugitives et les beuveries. Il se dégoûta finalement de lui-même et se tua, avec sa maîtresse, dans le pavillon de chasse du petit village de Mayerling, en Basse-Autriche. Les mémoires de la princesse Stéphanie sont indispensables à qui veut connaître la vie quotidienne à la cour de Bruxelles et à celle de la Hofburg où François-Joseph survécut à tous les événements…
Les auteurs. Aînée des trois filles de Léopold II et de la reine Marie-Henriette, Louise Marie Amélie naquit à Laeken, le 28 février 1858. Deuxième fille de Léopold II et de la reine Marie-Henriette, la princesse Stéphanie naquit à Laeken, le 21 mai 1864.Autour des trônes que j’ai vus tomber (Louise) & Je devais être impératrice (Stéphanie), un livre de Louise de Belgique édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Au bord du Monde
Dans les semaines qui précèdent l’invasion de la Belgique, Joseph et Leni, deux écrivains, trouvent refuge dans un hôtel d’Ostende. Lui est autrichien, elle allemande, ils viennent de Paris et des hôtels de la rive gauche. Lui écrit beaucoup depuis plusieurs années et est alcoolique. Elle a publié un roman à succès dans l’Allemagne des débuts du nazisme et a vingt ans de moins que lui. À Ostende, leur histoire se cristallise et prend les accents d’un film d’avant-guerre avec tous ses excès romanesques. Une sorte d’hyperfilm naturaliste du samedi-soir…
Par ailleurs, le roman est entrecoupé de chapitres d’entretiens entre l’auteure Ursula Baum et un certain Franz, quarante ans après, à l’hôtel des Thermes d’Ostende. On découvre que tous deux se sont connus, mais à des âges différents, au cinéma Éden, à Saint-Dié, une petite ville de l’Est de la France.
Ainsi, comme il y a des romans dans le roman et des films dans le film, Au bord du Monde est un roman dans le film, et un roman du film, tout en étant un film du roman en train de se faire… On y vit, on croit y mourir mais on survit, ailleurs, dans une autre dimension, celle du cinéma comme monde plus réel que la vie et, en somme, plus désirable.
Serait-ce l’ombre alliée à la lumière du cinéma Éden sur l’écran de nos imaginaires ?Maxime Benoît-Jeannin, biographe, essayiste et roman-cier, est également scénariste. Il rend ici hommage au cinéma de sa jeunesse. Parmi ses livres récents, on peut citer Histoire de la Toison d’or (avec Pierre Houart), chronique du fameux ordre de chevalerie, et Mémoires d’un ténor égyptien, roman, tous deux parus aux Éditions Le Cri en 2006.
Au bord du Monde, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Marc Lobet
Après toi le désert
Après toi le désert, un livre de Marc Lobet édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Ainsi fut dissipé le charme nostalgique
Croyez-vous à ces livres écrits avec un soin quasi suranné qu’adapta si bien à l’écran James Ivory ? Croyez-vous qu’un beau style est éternel et qu’il peut revêtir une belle histoire comme un complet, sorti des mains d’un grand tailleur, habille un bel homme bronzé et sportif ? Croyez-vous à l’émotion d’un geste ? Oui ? Ce livre est pour vous.
Élégance, style, réserve et sensibilité sont les qualités les plus évidentes de ce texte, chef-d’œuvre d’un auteur reconnu pour son érudition et sa ferveur.
L’humour ne manque pas au rendez-vous que donne au lecteur un couple d’aristocrates polonais en exil sur la côte Est des États-Unis au début des années cinquante. Rendez-vous nostalgique et mystérieux pourtant, dans la grande tradition des romans anglo-saxons. Mais on pense aussi à Tourgueniev et tel personnage (Karl, le trop proche cousin du couple, par exemple) ouvre des blessures inguérissables autant qu’entretenues. C’est bien là le livre de la fidélité aux « anciens maîtres », dans un large geste de restauration d’une littérature d’artiste à mille lieues du scandale permanent nourri depuis quelques saisons par des éditeurs pressés de vendre.
La langue d’Yves-William Delzenne est harmonieuse à en oublier ce que son propos a de singulier, voire de provocateur. Ici sont réunis tant de bonheurs d’écriture que seul demeure, lecture achevée, le souvenir d’un paradis pourtant manqué par Cyril, le narrateur d’une histoire irrémédiable.
Un coucher de soleil sur la mer…Yves-William Delzenne, acteur dès l’âge de seize ans, donne quelques années plus tard des récitals « poésie et musique » en compagnie de la pianiste Bernadette Notelet. Devenu galeriste, il est aussi le commissaire de diverses expositions d’Art contemporain. Poète (Le Polonais, Poèmes d’amour persans, Via Venezia, L’immortel bien-aimé), dramaturge (Les Désirables), nouvelliste (La Nostalgie batailleuse) et romancier (La Course des chevaux libres, Un Amour de fin du monde, Le Sourire d’Isabella, L’Orage, Les Tours de Dresde) ; sa personnalité mystérieuse très « fin de siècle », moderne cependant, en rupture souvent, éclaire le paysage littéraire d’un jour singulier.
Ainsi fut dissipé le charme nostalgique, un livre de Yves-William Delzenne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 18. Les trois Cercles de l’épouvante
Quelqu’un menace la police de Londres d’exécuter les six hommes en état de léthargie, arrêtés dans divers parcs, si elle ne libère pas Fang-Suh, le tenancier d’une fumerie d’opium. Or, Fang-Suh est exécuté et les six hommes étranglés dans leurs lits. Le surintendant Goodfield est alors victime du même mal étrange que les six hommes et on ne tarde pas à réclamer en outre vingt-mille livres de rançon en échange de sa vie. Harry Dickson et son élève Tom Wills vont se lancer au secours de Goodfield, leur ami de toujours. La fumerie de Fang-Suh leur révélera un dragon, des figurines en cire étrangement ressemblantes aux six victimes des parcs, des « Chevaliers de la Lune », un univers asiatique emprunt d’opium et de science occulte, avant qu’ils ne puissent dénouer l’énigme du mal qui ronge leur ami Goodfield.
Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 18. Les trois Cercles de l’épouvante, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 17. Les Gardiens du gouffre
Avant de mourir, l’explorateur Walter Somerville a demandé à Harry Dickson de protéger sa fille Ethel, lorsque cette dernière appelle le célèbre détective à l’aide.
Dickson et son fidèle Tom Wills vont alors se lancer dans une folle course poursuite jusqu’au Pérou, d’où Somerville aurait ramené une précieuse émeraude : le Soleil vert. Il sera notamment question d’un cambrioleur de génie — le Chat-Tigre —, d’un lac fantôme et de richesses souterraines, avant que nos deux héros ne puissent résoudre l’énigme des « gardiens du gouffre ».Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 17. Les Gardiens du gouffre, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 16. La Résurrection de la Gorgone
Le jeune journaliste Albert Renders meurt les organes broyés. Il avait pourtant échappé au sculpteur fou Mattheus Jarns, qui voulait le fondre dans sa statue Lutte de Centaures.
Harry Dickson se fait passer pour Jonas Flemmington, amateur d’art américain, pour se rendre chez la redoutable mais non moins ravissante artiste Miss Euryale Ellis, qui souhaite lui vendre des œuvres de Jarns. Dès lors vont se bousculer Gorgones de la mythologie grecque — femmes à chevelures de serpents qui transforment les hommes en statues —, drogues à base d’herbes soporifiques, un adapte des sciences occultes, Nathaniel Rock — compagnon de Miss Ellis —, qui terrorisa Londres…
Dickson aura fort à faire pour ne pas finir en statue et pour échapper à ce qui ressemble furieusement à de la magie noire…Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 16. La Résurrection de la Gorgone, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 15. La Rue de la Tête-Perdue
Deux dames sans histoires, Slowby et Wood, paisibles habitantes de Harcester, disparaissent après la visite d’un étrange inconnu. Abe Niggins, l’archiviste du coin, découvre sur la nappe des deux dames un dessin représentant le symbole de l’antique Babylone.
Par ailleurs, dans une cave de faux-monnayeurs dans la rue de Harcester, les faussaires se sont suicidés avant l’arrivée des autorités. On découvre aussi les corps de deux vieilles dames horriblement étranglées. Le symbole de l’antique Babylone se trouve sur un des murs.
Harry Dickson va concentrer ses efforts sur la rue de Harcester, dites de la « tête-perdue » — on peut en effet y voir une statue décapitée —, où il tentera de comprendre et d’enrailler les tenants et aboutissants d’un culte sordide…Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 15. La Rue de la Tête-Perdue, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 14. Le Temple de fer
Des jeunes hommes riches sont enlevés. On soupçonne les adeptes du Temple de fer et un matelot portugais qui, le lendemain de son incarcération, est retrouvé mort. On arrête également six mulâtres dont l’appartenance au Temple semble établie, mais le véhicule qui les transporte se volatilise en cours de route. À la recherche de la vérité sur les origines, la réalité et les desseins du Temple de fer, Harry Dickson va être confronté à un être d’une rare cruauté…
Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 14. Le Temple de fer, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 13. Le Cabinet du Dr Selles
Antime Paradieu meurt terrorisé lors d’une conversation téléphonique. Mr Midgett est retrouvé pratiquement déchiqueté. Ils étaient tous deux patients du Dr Selles, dont la maison recèle passages secrets, fenêtres escamotables, pièces fantômes, cris, magie noire et sang…
Voilà les ingrédients de l’intrigue qu’auront à dénouer le fameux Harry Dickson et son indéfectible élève Tom Wills.Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 13. Le Cabinet du Dr Selles, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 09. La Cité de l’étrange peur
Tout commence à Londres dans le quartier paisible de Ham, dont les habitants semblent étrangement isolés de ceux des quartiers voisins. Toutefois, les amis de Mrs Hasslop, dont l’écrivain public Mr Doove, se réunissent chaque mardi soir chez cette dernière. Or, Mr Doove est en retard à la dernière réunion, il a été témoin du meurtre par balle d’un matelot aux abords du Scotch Saloon, près de Ham. À l’autopsie, on découvre que le matelot aurait été électrocuté.
Sur les lieux, Harry Dickson se souvient aussitôt de quatre crimes similaires perpétrés dix ans auparavant. Molly Vink, à la fois au service de Mrs Hasslop et voleuse notoire, s’est introduite dans Ham pour découvrir son secret et dérober une fortune. Mais, terrorisée, elle doit pourtant fuir lorsqu’elle est confrontée, chez sa patronne, à une effrayante inconnue. Un marchand d’oiseaux, qui erre la nuit une cage sous le bras, semble être à l’origine des électrocutions meurtrières. À la recherche du marchand, Dickson constate que les habitants de Ham ont eux aussi déserté le quartier.
Son enquête et l’historique de Ham mèneront le détective aux origines de l’énigme : dans une île des mers du Sud !Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 09. La Cité de l’étrange peur, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 08. Les Vengeurs du Diable
Minuit ! En prêtant l’oreille, on pourrait entendre le lamento du carillon de Westminster ou la grave sonorité de Big-Ben. Les bruits du dehors sont ouatés par le brouillard. À l’intérieur du British Museum, le silence est complet. Même les gardiens, aux savates doublées de feutre épais, ne font pas plus de bruit que les ombres qu’agitent leurs fanaux de veille.
Pourtant, deux des leurs meurent la nuque brisée par un « grand singe » ! Une hallucinante enquête va conduire le célèbre détective Harry Dickson à affronter le dieu Hanuman et les « Vengeurs du Diable »…Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 08. Les Vengeurs du Diable, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 12. L’Étoile à sept branches
Alors que Timotheus Soames sort de prison, un certain Belkirk le remplace dans sa cellule. On retrouve ce dernier drogué et on soupçonne Soames d’être mystérieusement revenu dans son ancienne cellule afin de récupérer un objet précieux.
Belkirk est à son tour libéré et, alors que Tom Wills — fidèle élève d’Harry Dickson — le filait, il est assassiné d’une décharge électrique dans une ruelle de Covent Garden, serrant contre lui une étoile de métal à sept branches !
On raconte que l’étoile appartenait deux siècles auparavant au capitane Shark, un pirate dont le secret pouvait mettre à mal l’Angleterre. Le pirate confectionna sept étoiles et en confia une à chacun de ses six complices, dont les descendants recherchent aujourd’hui la septième, car elle est l’ultime pièce pour retrouver l’emplacement du secret.
Soames est-il en possession cette ultime clef, et donc du mystère de Shark ou de « l’étoile à sept branches » ?Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 12. L’Étoile à sept branches, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 11. Le Loup-garou
Popp Podgers, riche propriétaire, entretient des rapports houleux avec ses concitoyens, jusqu’à Miss Phara Simpson (fille d’un fermier rebelle) qui refuse obstinément ses avances. Mais les choses n’en restent pas là : Barnett, garde forestier de Podgers, est tué par un loup ; les marins de Podgers refusent de naviguer, toujours par peur d’un loup qui aurait égorgé les six grand béliers reproducteurs, alors que le dernier loup aperçu dans la région remonte à 1846 ; le capitaine Sandbury, au service de Podgers, meurt lui aussi, précipité d’une tour par un grand loup !
Pourtant, Podgers se fiance soudain à l’acariâtre Miss Lippman, directrice de l’école.
Entre le fermier Simpson et sa fille, entre Miss Lippman et Podgers, entre les histoires de loups et de meurtres, le célèbre Harry Dickson aura du fil à retordre.Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 11. Le Loup-garou, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 10. Les Tableaux hantés
Le grand collectionneur Frédéric Mandelme fait appel à Harry Dickson car deux personnages d’une de ses œuvres de l’école lombarde ont été effacés, alors que le tableau se trouvait enfermé dans un lieu sécurisé.
Le célèbre détective découvre rapidement que la peinture est d’une facture plus récente. C’est alors que Warkins, le maître d’hôtel de Mandelme, est assassiné…Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 10. Les Tableaux hantés, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 07. Le singulier M. Hingle
L’Attikos, en provenance du Pirée, remonte la Tamise chargé de fret. Un homme saute à quai. Au coin de Malabar Street, il bouscule intentionnellement un docker ivre, qui est aussitôt happé par un autobus. C’est le début d’une série impressionnante de crimes indescriptibles, tous signés Mr Hingle.
Dickson et le surintendant Goodfield se lancent sur la piste de leur ami enlevé lors d’une soirée offerte en l’honneur de la visite à Londres du prince afghan Am Doullah. Ils sont suivis par deux suspects que Dickson abat froidement sous le regard médusé de Goodfield. Suit alors une course folle à travers un dédale de souterrains sordides où Dickson et Goodfield parviennent à libérer in extremis Tom Wills d’une mort assurée, à la merci du prince et de ses tueurs. Mais quel est le lien entre Am Doullah et Hingle ? L’enquête se transforme en véritable chasse, sinon en carnage, Dickson étant déterminé à éradiquer définitivement le mal.
Il faudra encore une confrontation avec la belle mais non moins redoutable princesse Ludmillah Werenoff, un voyage hallucinant sur une plage entourée de falaises, un albatros happé en plein vol par une araignée géante, un crabe horrible encore plus grand, quatre dacoïts — tueurs indiens fanatiques — et une ultime offensive pour venir à bout de l’énigme de ce singulier Mr Hingle. Mais qui a jamais rencontré le véritable Mr Hingle ? Dickson le révèle alors que nous sommes à bout de souffle.Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 07. Le singulier M. Hingle, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 06. La terrible Nuit du zoo
Comme d’habitude, Bill Wackens effectue sa ronde nocturne dans le pavillon des fauves du zoo de Londres — qu’il a pris soin de fermer à clefs de l’intérieur —. À l’aube, on le retrouve déchiqueté par un monstre. Un étrange vagabond est repéré sur les lieux. Par ailleurs, la dernière acquisition du zoo — un magnifique loup blanc — a elle aussi été abattue d’une balle. Harry Dickson et Tom Wills vont être entraînés dans une enquête hallucinante où le Dr George Huxton disparaît sans laisser de trace, au nez et à la barbe de son assistant Cabuy, et où la fiancée de Huxton, Luciana de Haspa — scientifique à l’origine de l’achat du loup blanc —, prétend vouloir les aider à résoudre l’énigme…
Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 06. La terrible Nuit du zoo, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 05. On a tué M. Parkinson
Joachim Parkinson, propriétaire nanti du show des « phénomènes », souhaitait racheter Heertha — un splendide puma — au directeur du cirque Bidderstone. Mais Parkinson est assassiné d’une flèche d’or à proximité de la cage aux lions.
Lorsque Harry Dickson arrive sur les lieux du crime, il constate que le cadavre a disparu. C’est alors que le dompteur Hardmuth est mortellement blessé par le puma. Il existe forcément des liens entre tous ces événements : de l’intérêt que nourrissait Parkinson pour le félin, aux flèches meurtrières. Harry Dickson opère dès lors une descente vers le monde des forains…Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 05. On a tué M. Parkinson, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Harry Dickson – 04. La Maison du Grand Péril
De nuit, Harry Dickson et son élève Tom Wills font une promenade lorsque leur attention est attirée, dans la vitrine du commerçant Phil Rummy — mort un mois auparavant —, par l’étrange silhouette d’un homme chauve. Ils perquisitionnent les lieux et découvrent une chaise royale ainsi qu’une missive annonçant l’assassinat de Lady Ruth Branican, meurtre que Dickson ne pourra éviter. Terrorisé, le mari de la victime refuse toute collaboration, mais révèle qu’il a rencontré Lady Branican à Téhéran en Perse. Le célèbre Harry Dickson parviendra-t-il à remonter aux sources du mal birman qui hante la « Maison du Grand Péril » ?
Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 04. La Maison du Grand Péril, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jean Ray
Harry Dickson – 03. L’Affaire Bardouillet
Charles Bardouillet, myope et discret jusqu’au jour où on le découvre mort, faisait chanter les riches, dont Hamilton Melton — l’amant de Lady Elisa Ogilvy — qui, lui aussi, vient de passer de vie à trépas, mais en se suicidant, ruiné. Le maître chanteur aurait pu être la victime d’une de ses proies, si Lady Elisa Ogilvy ne prétendait l’avoir vu bien vivant et avoir été, à nouveau, l’objet d’une tentative de chantage de sa part. Par ailleurs, la comédienne Charlotte Hyams a certainement joué un rôle trouble d’intermédiaire entre Bardouillet et Lady Ogilvy : elle fréquentait d’autres victimes de Bardouillet ! Autant d’intrigues que le fameux Harry Dickson aura à débrouiller, sans compter la disparition, depuis quelques jours, du comédien Bell…
Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 03. L’Affaire Bardouillet, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Harry Dickson – 02. Le Lit du diable
En 1858, John Grestock revient en Écosse dans le lugubre manoir familial de triste réputation qu’il a quitté huit ans auparavant. Quelle n’est pas sa surprise lorsqu’il constate que sa chambre est aujourd’hui luxueusement meublée ! Mais il remarque des traces de sang sur le lit, et deux hommes lui proposent une somme considérable pour qu’il ne remette plus jamais les pieds à Grestock Island !
Cette histoire parvient, cinquante ans plus tard, aux oreilles du célèbre Harry Dickson, qui fait aussitôt le lien avec l’affaire sur laquelle il enquête, à savoir l’inscription laissée sur un rocher en Écosse par un géologue assassiné. Juste avant de mourir, la victime a eu le temps d’écrire : « Grestock » !
Sur les lieux, Harry Dickson et son fidèle élève Tom Wills parviendront-ils à démasquer ceux qui, voués à un culte de l’antique Babylone, hantent le « lit du diable » ?Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 02. Le Lit du diable, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Harry Dickson – 01. Cric-Croc, le mort en habit
Cric-Croc, un bandit à tête de mort et en redingote, terrorise Londres. Il vient notamment d’enlever sur scène la ravissante actrice Gladys Faires, alors qu’elle répétait la dernière pièce du populaire dramaturge Périclès Holdon. Pendant ce temps, une bande de truands, versés dans la traite des blanches (de préférence des jolies comédiennes) dans les bas quartiers de Londres, sont éliminés un à un par un justicier fantôme. Le célèbre Harry Dickson pourra-t-il venir en aide à Scotland Yard pour dénouer les liens qui unissent ces deux affaires ?
Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.
Harry Dickson – 01. Cric-Croc, le mort en habit, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)