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de Léon Saur
Le sabre, la machette et le goupillon
Auteur traditionnel de textes qui « font avancer la conscience humaine », l’Eglise catholique romaine continue néanmoins de se compromettre régulièrement dans la compagnie de personnages et de régimes qui n’ont rien ni d’évangélique, ni même d’humaniste.
Comment cela est-il possible ? C’est à cette question qu’entreprend de répondre Léon Saur.Le sabre, la machette et le goupillon, un livre de Léon Saur édité aux Éditions Mols
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Le Prestige du passé
Il n’y a pas beaucoup de sages aujourd’hui ; peu d’hommes réussissent à garder leur sang-froid au milieu des appels multiples de la mode, ou des modes, et des opinions du monde, et à rester fidèles à ce qu’ils croient juste ; moins encore défendent vigoureu-sement leurs convictions, en toute probité, tout en demeurant à l’écoute des autres, en s’efforçant de les comprendre et en s’ouvrant aux différences comme à des richesses particuliè-rement précieuses. Albert DASNOY était un de ces sages. Il nous livre ici ses réflexions sur l’attrait des modèles anciens. Il creuse le sujet au prix d’infinies lectures pour découvrir ce qui, en fin de compte, explique Le lecteur découvre les démarches aberrantes qui ont poussé les hommes à mépriser leurs propres travaux pour se tourner vers un passé qui ne les valait pas. À travers des pages d’une grande acuité, se pose aussi la question de l’art et du sacré.
Albert DASNOY (1901-1992), correspondant de la Classe des Beaux-Arts (1967), membre en 1969, était peintre, critique d’art, conteur, philosophe. Il poursuivit, à travers tous ses travaux, le sens fondamental des démarches humaines et de la vie elle-même. Sous l’humus des idées reçues, il fut sans cesse à la recherche de la source profonde de ce qui apparaît au jour. Les éditions Le Cri ont entamé la réédition de son œuvre en 2000 par la publication de ses essais Le Prestige du passé et Les Dieux et les hommes.
Le Prestige du passé, un livre de Albert Dasnoy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Jules Gheude
Le petit guide de l’après-Belgique
Depuis trois ans, la Belgique connaît une crise existentielle, due à la poussée de plus en plus forte du nationalisme flamand.
Plusieurs ténors politiques francophones déclarent aujourd’hui qu’il convient de se préparer à la disparition de l’État belge.
Le petit guide de l’après-Belgique, un livre de Jules Gheude édité aux Éditions Mols
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de Rik Coolsaet
Le mythe Al-Qaida
Le terrorisme est aujourd’hui le sujet de notre actualité brûlante, de nos réflexions élargies, de nos tentatives de prospectives.
Le mythe Al-Qaida, un livre de Rik Coolsaet édité aux Éditions Mols
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Le Miracle belge de 1848
Dans l’histoire de l’Europe occidentale, l’année 1848 figure une date-charnière. Brutal aboutissement d’une fermentation des esprits dont les origines remontent au dernier quart du XVIIIe siècle, elle marque également le départ d’un vaste mouvement social dont les effets se prolongent jusqu’à nos jours.
La Belgique indépendante n’avait alors que dix-huit ans à peine. Certains la crurent menacée dans sa neuve existence, mais c’est le contraire qui se produisit.
Alors qu’en France, la proclamation de la Seconde République était rapidement suivie d’une guerre civile parmi les plus horribles qui ait jamais ensanglanté Paris et que se profilait la menace d’un nouvel empire napoléonien, alors que les révolutions de Vienne et de Berlin évoluaient en duperie, seule au milieu de la tourmente « quarante-huitarde », la Belgique échappa à la fois aux tueries fratricides et à la revanche de la dictature ou de l’autarcie.
Confiante en ses institutions librement choisies, elle étonna le monde entier par son sang-froid. Serrés autour de leur Roi — à qui fut même proposé le trône de chef de l’empire allemand en gestation à Francfort —, les Belges fournirent la preuve éclatante de leur profond sentiment national.
S’appuyant principalement sur des sources d’archives, l’ouvrage de Georges-Henri DUMONT analyse avec rigueur et raconte avec vivacité la passionnante histoire du miracle belge de 1848 dans toute son ampleur : diplomatique, militaire, politique et sociale.Georges-Henri DUMONT est agrégé en histoire (Université de Louvain), ancien conservateur aux musées royaux d’Art et d’Histoire, professeur honoraire à l’Institut catholique des hautes études commerciales, il a dirigé le cabinet de plusieurs ministres de la Culture française en Belgique. Ancien membre du Conseil Exécutif de l’UNESCO, il préside au sein de cette organisation, le comité international pour l’édition de la monumentale Histoire du développement scientifique et culturel de l’humanité. Il est membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises. Parmi ses nombreux ouvrages, on notera son Histoire de Bruxelles, des origines à nos jours (Le Cri), et son Histoire de la Belgique (Le Cri). Son essai sur Léopold II (Fayard, 1990) a reçu le grand prix de la biographie de l’Académie française.
Le Miracle belge de 1848, un livre de Georges-Henri Dumont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Le harcèlement intime
L’amour et l’amitié ne devraient évidemment, en principe, pas entretenir de rapport avec le harcèlement et les comportements d’agressivité qu’il suppose. Mais voilà, chez l’être humain, tout est décidément bien complexe et lorsque les jeux de l’amour se mêlent à des jeux de pouvoir, un noble sentiment peut très bien s’emmêler d’intentions diaboliques.
Le harcèlement intime, un livre de Bruno Humbeeck édité aux Éditions Mols
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Le Green Deal
Nous sommes arrivés au carrefour de toutes les crises : financière, bien entendu, mais aussi énergétique, sociale et environnementale. Leur source est double : la dictature du court-terme et l’exploitation effrénée de l’homme et de la nature.
Ce ne sont pas les dysfonctionnements du système qui sont intenables, mais son fonctionnement même.
Nous ne pouvons dès lors nous contenter d’un ravalement de façade.
Une régulation plus stricte de la finance ne suffira pas. Le dérèglement climatique pourrait très bien amener demain un emballement plus fort, plus rapide et plus violent encore que celui rencontré sur les places boursières.
Et que dire alors des inégalités sociales toujours plus criantes : entre personnes, territoires et générations. Le compromis historique entre capital et travail doit désormais s’ouvrir à une troisième composante : la nature. L’environnement devient alors un puissant facteur de relocalisation de l’emploi.
A crise systémique, réponse systémique.
Le Green Deal est une rupture et une invitation. Une rupture avec le sacro-saint « toujours plus » : plus riche, plus grand, plus vite. Mais également une invitation à rechercher désormais un « toujours mieux ». Il s’agit de remettre la question du sens de l’activité humaine au centre du jeu et, sur cette base, de construire une alternative politique pour une autre société.Jean-Marc Nollet est actuellement Député fédéral, Chef du groupe Ecolo-Groen à la Chambre des représentants.
Entre 1999 et 2004, il fut Ministre de l’Enfance de la Communauté française de Belgique.Le Green Deal, un livre de Jean-Marc Nollet édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Le dieu Blanc est mort à Diên Biên Phu.
Comme dans Waterloo. La marche à l’abîme (publié aux éditions Le Cri / Mols), l’auteur, utilisant la même méthode d’analyse dans la narration et le caractère psychologique des personnages, s’efforce de nous expliquer comment la glorieuse armée française, moderne, mécanisée à l’européenne, alla se perdre au bout du monde dans un lieu inconnu : Diên Biên Phu.
Le dieu Blanc est mort à Diên Biên Phu., un livre de Jean-Luc Ancely édité aux Éditions Mols
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Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles)
Que peuvent nous apprendre les prédictions de l’Almanach de Mathieu Laensbergh en matière d’éveil aux idées des Lumières, au XVIIIe siècle ? Quel changement de mentalité à l’égard des pratiques magico-religieuses laissent entrevoir les commentaires du livret de pèlerinage à Saint-Hubert en Ardenne ? Comment les mémoires rédigés à l’occasion de procès opposant des communautés rurales aux autorités manifestent-ils le progrès du rationalisme critique, à travers un lexique où le bourgeois sensible côtoie l’aristocrate éclairé ? C’est à de telles questions que tâche de répondre le présent ouvrage, à partir d’une documentation associant littérature « populaire », journaux, catalogues de libraires, chansons, etc. La communication orale y trouve une place importante, notamment quand elle se fait dialectale. La diffusion de valeurs et d’interrogations communes s’opère aussi par le théâtre, où drames sérieux, vaudevilles et opéras-comiques – nous sommes au pays de Grétry – composent un véritable « paysage culturel ».
Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles), un livre de Daniel Droixhe édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles) – ePub
Que peuvent nous apprendre les prédictions de l’Almanach de Mathieu Laensbergh en matière d’éveil aux idées des Lumières, au XVIIIe siècle ? Quel changement de mentalité à l’égard des pratiques magico-religieuses laissent entrevoir les commentaires du livret de pèlerinage à Saint-Hubert en Ardenne ? Comment les mémoires rédigés à l’occasion de procès opposant des communautés rurales aux autorités manifestent-ils le progrès du rationalisme critique, à travers un lexique où le bourgeois sensible côtoie l’aristocrate éclairé ? C’est à de telles questions que tâche de répondre le présent ouvrage, à partir d’une documentation associant littérature « populaire », journaux, catalogues de libraires, chansons, etc. La communication orale y trouve une place importante, notamment quand elle se fait dialectale. La diffusion de valeurs et d’interrogations communes s’opère aussi par le théâtre, où drames sérieux, vaudevilles et opéras-comiques – nous sommes au pays de Grétry – composent un véritable « paysage culturel ».
Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles) – ePub, un livre de Daniel Droixhe édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Le cri des oiseaux dans la tempête
L’euthanasie active, qu’on pratique déjà aux Pays-Bas, est-elle le signe d’une fin de civilisation ?
Le cri des oiseaux dans la tempête, un livre de Thérèse Olivier édité aux Éditions Mols
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Le Credo est-il encore crédible ?
,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;Que ressent le chrétien, désireux de vivre sa foi comme une méditation d’amour envers Dieu, lorsqu’il se voit tenu de la proclamer par le Credo tel qu’il est rédigé encore aujourd’hui ?
L’auteur se propose ici de s’attacher à la démarche de celui qui est invité à le réciter et qui se voit confronté à la difficulté de conjuguer sa foi profonde, le contexte socioculturel et scientifique dans lequel il la vit et la manière dont l’Église lui demande de l’exprimer.
Le Credo est-il encore crédible ?, un livre de Vincent Hanssens édité aux Éditions Mols
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Le choix du baptême expliqué à mes enfants
Le choix du baptême pour ses propres enfants nécessite de nos jours de plus en plus qu’il soit argumenté et expliqué, dans le contexte actuel – celui notamment des extrémismes et aussi des troubles que traverse l’Église.
La dimension universelle du baptême est soulignée : dimension du sens, invitation au dépassement de soi, antidote au terre-à-terre et à la tyrannie de l’ego.Le choix du baptême expliqué à mes enfants, un livre de Christophe Schaeffer édité aux Éditions Mols
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de Jules Gheude
Le choix de la Wallonie
Jules Gheude suit depuis plus de trente ans l’évolution du problème communautaire belge. On lui doit plusieurs essais et articles de presse.
Dans son dernier ouvrage L’incurable mal belge, sous le scalpel de François Perin, paru juste avant les élections législatives du 10 juin 2007, il explique que l’Etat belge, miné par le nationalisme flamand, ne peut plus être sauvé.
Il importe donc, pour lui, de préparer les esprits wallons à l’inéluctable.Le choix de la Wallonie, un livre de Jules Gheude édité aux Éditions Mols
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Le Cadenas
C’est une évidence que le pays va mal. C’est grave et rien ne semble pouvoir modifier cet état de chose. Les Belges sont, pour la plupart, apathiques ou dégoutés. De toute manière, ils ne comprennent plus grand-chose, voire rien, à la politique. Ils ne sont pas loin d’assister à un match dont ils ne connaîtraient plus les règles.
Les discours des politiciens s’éloignent de la réalité vécue et de la vérité. Ils sont devenus des étrangers pour leurs électeurs. La confiance dans leurs capacités s’évanouit.
Alors, sans doute, ce petit livre est fait pour vous aider à comprendre pourquoi tant de choses fonctionnent mal en Belgique, pourquoi les problèmes sont beaucoup plus importants que ce que vous en disent la TV ou la presse.Le Cadenas, un livre de Pierre Zurstrassen édité aux Éditions Mols
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de Jules Gheude
La Wallonie, demain
Essayiste politique, Jules Gheude s’intéresse à l’évolution institutionnelle de la Belgique depuis près de cinquante ans.
De 1974 à 1976, il fut collaborateur du ministre de la Réforme des Institutions François Perin, dont il rédigea ensuite la biographie.
Il nous livre ici les informations nécessaires pour comprendre l’enjeu majeur des élections législatives et régionales du 26 mai 2019 et des pourparlers qui s’ensuivront.La Wallonie, demain, un livre de Jules Gheude édité aux Éditions Mols
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La vague et la falaise
Deux chemins qui n’étaient pas forcément destinés à se croiser : Marie-Jeanne Lemal, personne handicapée I.M.C. (infirme moteur cérébral) et Christophe Schaeffer, philosophe.
Dans une société qui valorise démesurément la volonté, l’hyperactivité et l’idée de choix, n’y aurait-il pas une passivité positive, un art de subir pour réaliser tous les possibles et les potentiels de l’existence ? Mais tout le témoignage de vie de Marie-Jeanne Lemal s’illustre par une formidable résistance à l’encontre de cette passivité, elle qui, par dessus tout, tient à son autonomie chèrement acquise au fil du temps.
La vague et la falaise, un livre de Christophe Schaeffer édité aux Éditions Mols
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de Collectif,
La société civile bruxelloise se mobilise. États Généraux de Bruxelles (version francophone)
« Il faut faire bouger les lignes », disait François Mitterrand. Telle était bien l’ambition des Etats généraux de Bruxelles : dresser un état des lieux scientifique de la situation de notre Ville-Région, autour de seize thématiques-clés ; présenter ces résultats aux citoyens lors de grandes conférences-débats ; recueillir leurs réactions et propositions ; formuler des conclusions et les adresser au monde politique, afin d’influencer l’avenir de tous les Bruxellois de souche ou d’adoption.
Mais qui donc a instigué cette mobilisation citoyenne ? La Plateforme de la société civile, qui rassemble de manière totalement inédite, par-delà les barrières habituelles et notamment linguistiques, des associations bruxelloises (Aula Magna, bruXsel forum*, Manifesto), des syndicats (CSC et FGTB Bruxelles), le patronat (Brussels Enterprises, Commerce , Industry), le secteur culturel (Réseau des Arts à Bruxelles , Brussels Kunstenoverleg) et celui de l’environnement (Inter-Environnement Bruxelles et BRAL).
Rapidement, la Plateforme s’est dotée d’un Comité scientifique (ULB, VUB, Facultés universitaires Saint-Louis, et la revue électronique Brussels Studies) et a invité des centaines d’associations de tous secteurs à participer à sa démarche.
Mobilité • Sécurité • Population • Développement durable • Enseignement • Logement • Economie • Culture • Jeunesses • Zone métropolitaine • Qualité de vie • Pôle de connaissance • Internationalisation •
Institutions • Inégalités sociales • Finances publiques : seize études de fond et non partisanes ont ainsi été conduites par une centaine de chercheurs.
Vous trouverez leur texte intégral ici, complété par les propositions des deux mille participants aux seize conférences-débats qui s’en sont ensuivi, et par les conclusions présentées à plus de sept cent personnes, dont une large représentation du monde politique, le 25 avril 2009.
La dynamique des Etats généraux représente une lame de fond : ils ont déjà porté certains fruits, et continueront d’en porter tout au long des années à venir. Puisse ce livre y contribuer !
The English versions of introductions to, and conclusions from the Citizens’ Forum of Brussels, also appear in this book.La société civile bruxelloise se mobilise. États Généraux de Bruxelles (version francophone), un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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La raison et le coeur
Paul-Henry Gendebien annonce depuis longtemps la montée en puissance du séparatisme flamand. Il avait prévu les dysfonctionnements et le chaos dans lequel s’abîme la Belgique. Aujourd’hui, la crise politique permanente lui donne raison. Puisque la Flandre n’aime plus la Belgique, il propose aux Wallons et aux Bruxellois de se construire un nouvel avenir durable.
La raison et le coeur, un livre de Paul-Henry Gendebien édité aux Éditions Mols
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La Patrie crie vengeance !
Novembre 1918 représente une date-clé pour la Belgique. La joie de la population est mêlée de tristesse et de haine : le cauchemar de la Grande Guerre est fini, l’occupant quitte le territoire et l’heure des règlements de compte sonne enfin.
Comment les diverses composantes de la société belge ont-elles vécu la fin de cette Grande Guerre, quelle(s) images(s) ont-elles gardé de la répression des inciviques et quelle influence ces images exerceront-elles sur la répression suivante ? À travers la presse et les archives judiciaires, ce livre interroge, dans une première partie, l’ampleur des violences populaires au lendemain de l’Armistice ; quelles furent les personnes visées par ces violences et comment les comprendre ? Une deuxième partie brosse un tableau général de la répression judiciaire en Belgique. Cette répression fut-elle planifiée ? Quels ont été les groupes sociaux les plus sévèrement épurés ? Y a-t-il eu des différences géographiques, linguistiques, politiques dans l’épuration ? Comment s’acheva la répression ? Comment la justice et son action furent-elles perçues ? Une troisième partie met à jour les imaginaires à l’œuvre tout au long de la répression. Au nom de quoi, les opinions publiques réclament-elles vengeance ? Quelle vision ont-elles de la justice et des traîtres ? Comment se représentent-elles la Patrie et la guerre qui vient de s’achever ? Dans la dernière partie, une plongée au cœur de procès particuliers permet d’approcher au plus près des parcours individuels, la complexité des sentiments et des images suscités par l’occupation et la répression des inciviques.La Patrie crie vengeance !, un livre de Xavier Rousseaux édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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La Passion de Churchill – ePub
– Churchill’s Grand Alliance ou La Passion de Churchill, troisième volet d’une trilogie de l’historien britannique John Charmley, publié en 1995, décrit la fondation (1941) des “relations spéciales” (special relationships) entre les USA et le Royaume-Uni et leur développement jusqu’au tournant décisif de 1956 (crise de Suez).
– Cette analyse historique se révèle d’une actualité évidente parce qu’on découvre que la crise actuelle des special relationships est toute entière contenue dans ce fondement de 1941 et dans le développement jusqu’en 1956.
– Le travail de Charmley est minutieux, avec une base documentaire impressionnante (60 pages de notes qui ne contiennent que des références) ; cela n’empêche pas des portraits psychologiques très nuancés et des hypothèses historiques audacieuses.
– Si Charmley est manifestement un nationaliste britannique, on ne distingue nulle part dans son propos le parti-pris ou la déformation.
– Excellent outil, ce livre a aussi la vertu de susciter les propres réflexions du lecteur.
La Passion de Churchill – ePub, un livre de John Charmley édité aux Éditions Mols
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de Pierre Dessy
La nudité de Dieu
Le regard de l’adolescent cherche l’authenticité et n’hésite pas à déshabiller l’autre pour le découvrir dans sa nudité. Quand il s’agit de Dieu, la démarche peut paraître d’une audace excessive voire crime de lèse-majesté.
La nudité de Dieu, un livre de Pierre Dessy édité aux Éditions Mols
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La narration de soi pour grandir
Ma vie aurait sans doute changé du tout au tout si un jour, ou plutôt une nuit, presque un matin, j’avais osé parler… Raconter… Mais je me suis tu. Je n’ai rien dit. J’ai laissé le silence s’interpréter… Et elle est partie… Sans comprendre… Ma vie s’en est trouvée désertée.
La narration de soi pour grandir, un livre de Bruno Humbeeck édité aux Éditions Mols
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La monnaie et les banques, de la Mésopotamie à Manhattan
La monnaie et les banques, de la Mésopotamie à Manhattan, un livre de Vincent Lannoye édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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La légende des signes
Le zodiaque : un échiquier de vie. À travers La légende des signes, le lecteur rencontrera un jeu de miroirs qui l’invitera à reconnaître les scénarios qui lui ressemblent. Chaque légende est individuelle. Ainsi, chaque lecteur puisera dans sa propre histoire les éléments (souvenirs et expériences) dont il a besoin pour découvrir ce qu’ils évoquent pour lui. Le résultat reflètera finalement sa personnalité.
Ce livre nous invite à découvrir notre propre subjectivité en usant d’une langue essentiellement métaphorique, allusive, évocatrice, en deux mots : légendaire ou « poétique ». Il s’agit de s’arrêter un moment au bord de la route pour se tourner vers ce miroir qui « emprunte » au langage universel et séculaire de l’astrologie ses figures et ses caractères.
Le ciel n’est donc ici qu’un à-propos, un langage original. Comme si, à travers leurs récits mythiques, les héros illustraient notre propre histoire. Comme si, en participant à leur drame et en prêtant notre voix intime aux personnages imaginaires, nous nous mettions en scène, devenant ainsi le spectateur de ce qui se trame en nous.
La légende des signes se situe à l’opposé d’une certaine astrologie abusant le public à des fins prédictives et divinatoires. Jacques Vanaise nous propose plutôt une sorte d’anthropologie de l’imaginaire, propice à rassembler les différents personnages qui s’animent en chaque légende sur un échiquier de vie.Jacques Vanaise, né en 1946, étudie l’astrologie depuis plus de trente ans. Conférencier, il est par ailleurs l’auteur de nombreux ouvrages sur le sujet (dont L’Homme-Univers, Le Cri, 1993). Artisan du symbole, philosophe et poète, il s’est aussi formé à la Gestalt, à l’Analyse transactionnelle et à la Programmation neurolinguistique.
La légende des signes, un livre de Jacques Vanaise édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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La Grâce de l’Histoire – Tome II
La crise qui gronde aujourd’hui et embrase le monde a son origine dans la nuit des temps de notre civilisation. Dans le premier volume de La Grâce de l’Histoire, Philippe Grasset s’est intéressé à ses causes immédiates en en traçant le cercle le plus visible. Ici, il propose d’élargir le cercle de la réflexion sur l’Histoire et son sens pour explorer effectivement les sources les plus puissantes de la catastrophe.
La Grâce de l’Histoire – Tome II, un livre de Philippe Grasset édité aux Éditions Mols
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La Grâce de l’Histoire – Tome I
Ce livre tente d’aller aux racines de la grande crise que notre civilisation connaît actuellement. Il analyse la séquence historique conduisant à cette crise, à partir de la rupture de la fin du XVIIIe siècle, marquée par trois événements fondamentaux : la Révolution américaniste ou guerre d’Indépendance, la Révolution française et la révolution du choix de la thermodynamique engendrant le développement industriel et technologique.
La Grâce de l’Histoire – Tome I, un livre de Philippe Grasset édité aux Éditions Mols
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La Démocratie rêvée, bridée et bafouée (1918-1939)
NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE V
1918-1939 Ce volume consacré à la période d’entre-deux-guerres, traite de la démocratisation rapide de la politique belge après la Première Guerre mondiale, de la crise parlementaire des années trente, conséquence d’une tentation autoritaire présente dans toute l’Europe, de la dépression économique et de l’intégration problématique des travailleurs dans le système politique. L’auteur s’intéresse également à la nouvelle culture politique qui se met en place après la guerre, aux changements affectant le paysage des partis, aux relations entre mondes politique et financier, à l’impact de la politique étrangère et militaire et, enfin, au rôle de la monarchie.
Il est difficile de jeter sur cette période un regard impartial. Le souvenir laissé par l’interbellum en général et ses dix dernières années en particulier est sombre. En 1918, beaucoup voulaient en revenir à la Belle Époque, mais en 1945, personne ne souhaite retourner aux années trente. Dans la mémoire collective, l’interbellum représente une période de crise. Cette impression tient en grande partie à l’association presque automatique des années trente au fascisme et à l’issue funeste de cette décennie. Elle ne correspond toutefois pas complètement à la réalité : un large éventail de jeunes, et pas seulement des fascistes, veulent introduire une « nouvelle ère » et poursuivront après la guerre sur cet élan rénovateur. Si l’on regarde l’histoire de façon pragmatique, on doit constater que beaucoup de réformes de la période de la Libération trouvent leur origine dans le creuset et le laboratoire de pensée des années trente.Emmanuel Gerard, historien et politologue belge, est professeur à la K.U.Leuven et ancien doyen de la Faculté des sciences sociales.
La Démocratie rêvée, bridée et bafouée (1918-1939), un livre de Emmanuel Gerard édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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La culture wallonne
La culture wallonne est trop souvent sous-estimée quand elle n’est pas confondue avec celle de ses voisins, en raison surtout d’une émergence politique très récente de sa région.
Cette circonstance a favorisé des appropriations abusives de la part de la France et de la Flandre tout au long de son histoire. Dès lors, une sérieuse mise au point s’imposait.
La culture wallonne, un livre de Michel De Coster édité aux Éditions Mols
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La Couronne et la Rose. Baudouin et le monde socialiste
1950 : la question royale se referme et Baudouin monte sur le trône. Jeune et malhabile, il se trouve propulsé sur le devant de la scène et confronté à de nombreux défis.
Les socialistes observent les événements. S’ils se sont farouchement opposés à Léopold III, ils se disent aussi prêts à accepter son fils. Mais ils n’accepteront pas tout. Les premiers pas du jeune Roi sont suivis de très près et ses maladresses sévèrement condamnées…
Les relations entre le chef de l’État et les socialistes sont marquées par de vives polémiques et d’acerbes critiques. Certains leaders du Parti à la Rose se passeraient d’ailleurs volontiers de monarchie. Mais d’autres s’entendent plutôt bien avec Baudouin. Ne voit-t-on pas régulièrement Achille Van Acker, le Premier ministre socialiste, prendre le thé à Laeken ? Et ne raconte-t-on pas, en 1961, que le Souverain se réjouit du retour de Paul-Henri Spaak aux Affaires étrangères ?
Tandis que la Couronne perd de son éclat au fil des années, le règne des partis tend à s’imposer. Mais Baudouin ne perd pas le désir de jouer un rôle en vue sur la scène politique. Certains l’accusent même de favoriser l’accession des socialistes au pouvoir. Baudouin et les socialistes seraient-ils devenus alliés ?
Du Bureau du Parti Socialiste aux couloirs du Parlement, en passant par les coulisses de Laeken, le lecteur part à la rencontre de ceux qui font l’histoire. Une histoire politique, sociale, économique. Une histoire d’hommes.
Au-delà des relations entre Baudouin et le monde socialiste, Vincent Delcorps nous fait découvrir une période charnière de l’histoire de Belgique. S’appuyant sur de nombreuses sources inédites, il nous permet de revisiter des événements aussi différents et majeurs que la question scolaire, l’indépendance du Congo ou la première réforme de l’État.Vincent Delcorps est né en 1986 à Bruxelles. Il étudie l’Histoire aux Facultés Universitaires Saint-Louis et à l’Université catholique de Louvain où il obtient son Master et son agrégation. Passionné par le xxe siècle, il se spécialise dans la politique intérieure belge et l’histoire de la monarchie. Il réalise actuellement un Master en Journalisme à l’École de Journalisme de Louvain.
La Couronne et la Rose. Baudouin et le monde socialiste, un livre de Vincent Delcorps édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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La Corruption sentimentale
La Corruption sentimentale analyse avec minutie le système des « rentrées littéraires » dans tous ses apects et carbonise ses vedettes. L’auteur le fait avec rage, mais équité, savoir et savoir-faire. Encore un pamphlet ! dira-t-on. Quand les choses sont arrivées à un certain point, on n’a plus d’autre choix que de « gueuler », mais avec des arguments et de l’humour. D’autant que la fin n’est pas inéluctable. Que l’on soit écrivain, libraire ou simple lecteur, on est forcé d’admettre que le phénomène de la rentrée littéraire à la française, propre à notre culture, s’est encore accentué depuis 1998. Inflation des titres, tirages moyens plus faibles, lancements fracassants : fin août-début septembre, c’est la déferlante. Libraires, critiques et lecteurs sont submergés. Rentrée 2001 : 575 romans ! La littérature de création y trouve-t-elle son compte ? Certainement pas. De septembre à novembre, les libraires ne savent plus où mettre cette abondante production romanesque d’une saison ; les critiques, débordés, n’ont plus le temps de lire, tandis que les lecteurs, harcelés, doivent impérativement jeter leur dévolu sur une dizaine de titres qu’on les presse d’acquérir, au détriment de leur libre choix. La foire d’empoigne culmine avec la remise du Goncourt et de ses acolytes. Trois mois ont passé pendant lesquels des romans novateurs, des essais importants, des ouvrages de recherche ont été ignorés. De pseudos romans d’avant-garde ont été lancés avec fracas, signes de stratégies plus ou moins secrètes. La guerre du faux fait rage. Chaque année, la répétition insensée de la comédie mobilise toute la chaîne du livre pendant des mois. Le marché, artificiellement dopé, stagne le reste du temps. Des solutions existent pourtant. Ce livre en propose. Lisez ! La Corruption sentimentale analyse avec minutie le système des « rentrées littéraires » dans tous ses apects et carbonise ses vedettes. L’auteur le fait avec rage, mais équité, savoir et savoir-faire. Encore un pamphlet ! dira-t-on. Quand les choses sont arrivées à un certain point, on n’a plus d’autre choix que de « gueuler », mais avec des arguments et de l’humour. D’autant que la fin n’est pas inéluctable. Des solutions existent pourtant. Ce livre en propose. Lisez !
Maxime BENOIT-JEANNIN est l’auteur de plusieurs romans, notamment Mademoiselle Bovary (coédition Belfond, 1991), Colonel Lawrence (Coédition Jean-Michel Place, 1992) et Chez les Goncourt (2004). De deux biographies exhaustives : Georgette Leblanc 1869-1941 (1998) ; Eugène Ysaye, le sacre du violon (2001). Et d’un essai sur les rentrées littéraires, La Corruption sentimentale (2002).
La Corruption sentimentale, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Els Witte
La Construction de la Belgique (1828-1847)
NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE I
1828-1847Dans cet ouvrage, Els Witte nous présente une vision neuve de la révo-lution belge et de la période post-révolutionnaire. Sur la base de travaux historico-sociologiques menés à l’étranger, d’études récentes et de nouvelles sources d’archives, elle démontre qu’en 1830, un groupe assez limité d’intellectuels d’opposition, issus de la classe moyenne et de la petite bourgeoisie, exploite habilement la révolte sociale et les faiblesses du gouvernement en place pour s’empa-rer du pouvoir. Sous la pression de la France, principalement, les puis-sances européennes donnent leur feu vert aux révolutionnaires belges qui entreprennent la construction de la nouvelle nation. L’auteur analyse ce processus en profondeur : comment les protagonistes de la révolution conquièrent le soutien des conservateurs et de l’Église et mettent sur pied une monarchie constitutionnelle libérale, dominée par la religion catholique ; comment ils éliminent impitoyablement leurs adver-saires démocrates et orangistes ; comment ils s’efforcent, avec succès, de rendre le nouvel État viable, financièrement et économiquement ; comment, enfin, ils donnent forme à la nation belge par le biais de la langue française et des arts, ou encore de commémorations, de fêtes et de symboles.
Els Witte est professeur à la Vrije Universiteit Brussel, où elle enseigne notamment l’histoire politique de la Belgique. Elle est aussi l’auteur de nom-breux ouvrages et travaux sur les aspects politiques de la Belgique des XIXe et XXe siècles. Elle est membre de l’Académie royale depuis 1988 et a exercé la fonction de recteur de la VUB jusqu’en 2000.
La Construction de la Belgique (1828-1847), un livre de Els Witte édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)