• Peut-être rencontrerons-nous des pintades en route

    19.00 

    Marx Callebaut et Friedrich Engels se rencontrent alors qu’une bombe explose dans les Galeries du Roi et de la Reine à Bruxelles. Nos deux compères vont alors, à la suite de rebondissements en cascades et de concours de circonstances ahurissants, être à l’origine d’une insurrection que les autorités du petit royaume ne parviendront pas à contrôler. Suit alors une folle course poursuite au Congo, aux États-Unis et en Espagne…
    Cher lecteur, vous ne trouverez rien de semblable sur les tablettes des libraires. N’hésitez pas à lire ce roman, vous ne le regretterez pas.
    Vous aimez l’humour, l’aventure, la dérision, l’exotisme, les intrigues, les didascalies, les rebondissements, les folles poursuites, quelques notes en bas de page, les magnets, les Premiers ministres et les autres, les hiboux philosophes, l’amitié, les situations pittoresques, la politique, la passion et l’amour, vous avez de 6 à 106 ans… Alors, ce livre est pour vous !

    Fabrice Gardin est né à Charleroi en 1970, licencié agrégé en journalisme et communication, et détenteur d’un troisième cycle en études du spectacle vivant. Il associe dans son travail quotidien au Théâtre des Galeries la communication à sa passion pour l’écriture. Pour le théâtre, il a adapté Candide de Voltaire et Le tour du monde en 80 jours de Jules Verne. Il est l’auteur de pièces de théâtre, dont Destin (Le Cri, 2005), Anna Star et Les Inconsolables.

    Christian Lutz est né à Léopoldville en 1954. Après un passage par les multiples réseaux du livre — de la librairie à la distribution en passant par l’imprimerie —, il fonde les éditions Le Cri en 1981. Il a été administrateur de Foire Internationale du Livre de Bruxelles de 1984 à 1992. Il est l’auteur d’un roman historique, Marie ou la Renaissance (avec Arnaud de la Croix, Legrain, Bruxelles — rééd. Le Cri, Bruxelles, 2002) et d’une adaptation de Dracula de Bram Stoker (avec Denis Leddet).

    Peut-être rencontrerons-nous des pintades en route, un livre de Fabrice Gardin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Nietzsche-à-Nice

    17.00 

    Une fiction poétique légère et grave à la fois, mettant en présence le philosophe de l’Eternel retour, le plus “européen” des hivernants niçois du XIXème, et les protagonistes de la laborieuse négociation du traité de Nice en décembre 2000, préparant la “grande Europe” du XXIème siècle.

    Nietzsche-à-Nice, un livre de Renaud Denuit édité aux Éditions Mols

  • Miroir de Marie

    21.00 

    Enfant, adolescente, jeune femme, tels sont les trois âges de Marie de Bourgogne, archiduchesse d’Autriche, que ce roman met magnifiquement en scène jusqu’à la chasse tragique dont elle mourut à 25 ans, ultime héroïne de cette période sombre et vivante qui annonce le déclin du Moyen Âge. À la mort de son troisième enfant, Marie de Bourgogne commence à écrire l’histoire de sa vie. Elle met à nu les jeux du pouvoir et de la guerre entre Valois de France et de Bourgogne, mais aussi son cœur de jeune princesse lucide, courageuse et fière de son rang, qui veut aimer et être heureuse, mais pas au prix du renoncement. Le roi Louis XI, son parrain et cousin, l’apprendra à ses dépens. Son père Charles tué devant Nancy, Marie de Bourgogne résiste aux entreprises bourguignonnes (Pays-Bas, Belgique et Luxembourg actuels). Enjeu central de tant de projets matrimoniaux et d’alliances politiques depuis l’âge de cinq ans, duchesse régnante à vingt, faisant face aux menaces intérieures et extérieures — la révolution et la guerre —, elle épouse, après bien des vicissitudes, Maximilian d’Autriche de deux ans son cadet. Mariage d’amour et de raison aux répercussions européennes, cette alliance sauvera Marie de la solitude, lui donnera le bonheur et l’aidera dans sa lutte acharnée contre la puissance et la ruse de Louis XI. À eux deux, Marie et Maximilian réussiront quelque temps à forcer le destin et l’apathie de l’Europe…

    Maxime BENOIT-JEANNIN est l’auteur de plusieurs romans, notamment Mademoiselle Bovary (coédition Belfond, 1991), Colonel Lawrence (Coédition Jean-Michel Place, 1992) et Chez les Goncourt (2004). De deux biographies exhaustives : Georgette Leblanc 1869-1941 (1998) ; Eugène Ysaye, le sacre du violon (2001). Et d’un essai sur les rentrées littéraires, La Corruption sentimentale (2002).

    Miroir de Marie, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Mémoires d’un ténor égyptien

    18.00 

    Pour son retour au roman pur, Maxime Benoît-Jeannin, dissident oulipien, en hommage à Georges Perec, a organisé les noces de l’imagination et de l’humour. Faisant donner au roman ses ultimes ressources, il le lance comme un gaz hilarant sur la morne fiction contemporaine.
    Entre la mer du Nord et le Rhin, poussant une pointe vers le Sud, s’étend la Banane Bleue, une ville repoussante et damnée.
    Au-dessus vole parfois SuperRoman, qui se cache sous l’identité d’un journaliste du quotidien L’Éternité.
    Les personnages sont au-delà de la vie et de la mort. Ils agissent, dialoguent, vont et viennent, sans qu’il y aille de leur responsabilité.
    Une lectrice très charnelle a confié à Salomon d’Urtald, alias Stephen Mallarmus, une improbable mission. La suivre, afin de la protéger d’un motocycliste-fantôme. Ce qui le mènera loin. Jusqu’au cœur du roman, aussi irradiant que le réacteur d’une centrale nucléaire, là où vit le maître du second degré…
    Ainsi tout s’enchaîne jusqu’à la fin, malgré les diversions du commissaire Beauvais et les tentatives de JBM, alias SuperRoman, qui ne cesse d’évoquer ses missions passées à Oulan-Bator dans l’espoir de brouiller les pistes.
    Les personnages échangent leur identité. Et Stephen Mallarmus, décidément le plus fort, surgit de la mer toujours recommencée…

    Maxime Benoît-Jeannin est l’auteur de plusieurs romans, dont Mademoiselle Bovary (coédition Le Cri-Belfond, 1991), Colonel Lawrence (Coédition Le Cri-Jean-Michel Place, 1992) et Chez les Goncourt (Le Cri, 2004). De deux biographies exhaustives : Georgette Leblanc 1869-1941 (Le Cri, 1998) ; Eugène Ysaye, le sacre du violon (Le Cri, 2001) ; d’un essai sur les rentrées littéraires, La Corruption sentimentale (Le Cri, 2002). Et d’une Histoire de la Toison d’or (en collaboration avec Pierre Houart, Le Cri, 2006). Il vient de cosigner avec Pierre Houart, Histoire de la Toison d’or, chronique de l’ordre chevaleresque européen (Le Cri, 2006).

    Mémoires d’un ténor égyptien, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Mal de mère

    15.90 

    1975. Miami. Elizabeth Jones disparaît de façon inexpliquée. Elle laisse derrière elle une petite fille d’un an, Iliana, et un mari que l’on ne tarde pas à soupçonner de meurtre. Vingt ans plus tard, Iliana reçoit une série de lettres de sa mère. Cette dernière ne s’était jamais résolue à les envoyer. À travers cette correspondance, la jeune femme découvre les raisons de la disparition de sa mère.

    Mal de mère est le récit en miroir d’une mère et d’une fille face au dévoilement du secret de l’une et de l’obligation pour l’autre de réinventer, à partir de là, sa propre histoire. Elles vont se réapproprier leurs destins respectifs, hors des préjugés, des normes et de la fatalité qui emprisonnent la femme devenue mère.

    Mal de mère, un livre de Élise Bussière édité aux Éditions Mols

  • Madame la mort

    15.00 

    Drôle de réveillon.
    Noël se fête en famille, d’accord, mais là, Pèlerin exagère. Faire entonner, entre deux toasts au caviar, “Minuit Chrétiens” par le chœur de ses maîtresses réunies – enfin, de ses “cousines”, comme il dit – c’est un peu… risqué. D’autant que les charmantes créatures sont flanquées d’époux dont la complaisance finira bien par atteindre son point de rupture. Si ce n’est déjà fait.
    À quel mari outragé appartient donc ce cadavre qui traîne, dans sa robe bleu pastel, sur la terrasse ?

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Madame la mort, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Lointains Secrets

    16.00 

    En maître de l’illusion, l’auteur fait apparaître autant de personnages que de reflets : l’Enfant et Vivian, Lou et Yvo, Emily et Sandrine, diverses statures d’ambassadeurs en Inde, in fine la figure mythique d’un passager du temps à Venise, comme s’il nouait devant nous le nœud même d’un mystère qui est la vie, tout en nous disant, sourire en coin : « Essayez donc de trouver le truc… »
    Le roman Lointains secrets est suivi d’une nouvelle intitulée Les beaux enfants.

    « L’originalité de Delzenne a quelque chose de rafraîchissant, quels que soient les thèmes qu’il aborde, et même s’ils sont graves. Faut-il l’attribuer à son anti-conformisme de nature, sa passion de la beauté, le raffinement de sa culture, le ciselage de son écriture ? À tout cela ensemble, sans doute… » (Jacques Franck)

    « Delzenne, très dandy comme les personnages d’acteurs, de peintres, de musiciens qui émaillent ses romans. Variations sur toutes les gammes de l’amour. » (Gaël)

    « Morand doit disputer sa main à Beau Brummel et Yves-William Delzenne se contente de demeurer en suspension dans ce monde où il incarne une espèce nouvelle. » (Le Vif l’Express)

    Lointains Secrets, un livre de Yves-William Delzenne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Les Parchemins de la Tour

    20.00 

    Autour d’Edmond Beaucarne, le XIXe siècle redevient un style de vie.
    Entraîné très jeune dans le tourbillon de la passion politique qui préparera la révolution et l’indépendance belges, Edmond Beaucarne découvre les hommes et leurs passions dans une confrontation qui attise sa pensée. La sagesse précoce ne le prépare cependant pas aux amours qui l’attendent. Un voyage à l’étranger en chaise de poste, un carnet intime rédigé dans la solitude, l’amitié platonique et les attraits ancillaires, la fonction publique, les amis de la capitale, la famille de nièces et de neveux toujours plus nombreuse… ne sont qu’étapes successives qui échelonnent le flot des jours et les questions qui surgissent.
    Où se situe-t-on dans l’évolution des goûts et des idées lorsque l’action vous sollicite sans jamais vous convaincre ?
    L’homme jeune de 1828, homme mûr en 1848, vieillard enfin lorsqu’il lâchera la plume, va-t-il recréer pour nous une subtilité d’ambiance devenue rare ? Une mentalité oubliée ? Dès sa genèse, le livre est européen. Il concerne le double héritage des Lumières et du passé chrétien. Edmond est de tous les pays — non pas uniquement belge.
    Son témoignage nous restitue notre identité…

    Nicole VERSCHOORE, née à Gand en Belgique, est docteur en philosophie et lettres. Boursière du Fonds national belge de Recherche scientifique et assistante à l’université de Gand, journaliste, elle publie régulièrement dans la Revue générale et la revue électronique www.bon-a-tirer.com. Parlant six langues et amoureuse des grandes capitales européennes, elle se veut citoyenne du monde et passe le meilleur de son temps à revoir et à sauvegarder la vérité du vécu.
    On se souvient de son premier roman, Le Maître du bourg (Gallimard, 1994), qui a bénéficié d’un large succès. De nombreux lecteurs attendaient la parution de ces Parchemins de la tour, qui confirment aujourd’hui le talent et la sensibilité d’un grand auteur.

    Les Parchemins de la Tour, un livre de Nicole Verschoore édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Les Grenouilles

    25.00 

    Après 1984 de George Orwell ou Le meilleur des Mondes d’Aldous Huxley – auxquels on ne peut s’empêcher de penser –, Raymond Duesberg nous livre ces Grenouilles, véritable poème visionnaire de la cruauté, de l’érotisme… Mais c’est surtout, dans sa cohérence implacable, le monde de demain : Lémuria, une ville où semblent s’être réfugié les ultimes survivants de l’humanité, qui y vivent tapis dans des « cros », marqués en leur chair de maladies incurables, définis par des tâches grotesques et dérisoires, asservis à un régime dictatorial, à une religion sans amour, habités, cependant, par quelque obscure nostalgie…
    Dans notre littérature trop quiète, Raymond Duesberg introduit cette violence précise et folle qui fut celle d’un autre visionnaire, cinq cents ans plus tôt, son compatriote Jérôme Bosch. Son écriture unique, surgissement magnifique et insolite, profuse, cocasse, révèle un de ces écrivains de la race des grands visionnaires.
    Lors de sa publication en 1962, ce roman provoqua un véritable séïsme littéraire et une critique unanime, il fut un best-seller commercial. Nous nous devions de rééditer ce chef-d’œuvre, dont le propos est plus que jamais d’actualité.

    Raymond Duesberg, industriel retiré des affaires, vit à Bruxelles. Il est l’auteur d’un seul livre, mais quel livre !

    Les Grenouilles, un livre de Raymond Duesberg édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Les Fruits de la solitude. Quatre saisons à Port-Royal

    18.00 

    En cette année 1655, Robert Arnauld d’Andilly cultive des pêches pour la table royale et enseigne la poésie latine aux élèves des Petites Écoles, dont fait partie le poète Jean Racine. Sa fille Élisabeth, promise à la vie religieuse par les ultimes volontés de sa mère, lui donne du souci en refusant de suivre un destin tout tracé.
    Patriarche de la famille Arnauld bien connue à l’époque, familier de princes, ancien courtisan ayant fréquenté les salons libertins, Robert Arnauld d’Andilly s’est retiré à Port-Royal parmi les « Solitaires » pour mieux mourir au monde. La grande abbaye cistercienne, sur laquelle plane l’ombre de saint Augustin et de Jansenius, sera pour lui le cadre d’une vie champêtre, où il pourra donner libre cours à sa passion des jardins tout en s’adonnant à l’écriture et à la méditation. Malheureusement, la haine des jésuites à l’encontre des jansénistes vient troubler la paix du lieu : son rayonnement intellectuel fait de l’ombre au Roi Soleil.
    Malgré son vœu de solitude, Robert d’Andilly reçoit de nombreuses visites dans sa tour d’ivoire. On verra ainsi défiler une série de visiteurs : Blaise Pascal, familier et défenseur de Port-Royal ; la Grande Mademoiselle, cousine du roi Louis XIV ; Madame de Sablé et sa troublante amie la comtesse de Saint-Maur ; Monsieur de Sainte-Colombe ; Pierre Arnauld, disciple de Paracelse ; un gentilhomme hollandais nommé Spinoza, fabricant de lentilles à Amsterdam… Une galerie de personnages avec lesquels Robert Arnauld d’Andilly entretiendra des conversations, parfois secrètes, dont certaines iront jusqu’à le déstabiliser dans ses convictions religieuses et dans ses principes moraux.

    Catherine d’Oultremont est née en Catalogne. Elle vit aujourd’hui en Belgique, où elle se consacre à l’écriture et à la peinture.
    Les Fruits de la solitude est son troisième roman, après Le Prince de la Concorde (Le Cri, 2006) et Le Souffle des ancêtres (Le Cri, 2008).

    Les Fruits de la solitude. Quatre saisons à Port-Royal, un livre de Catherine d’Oultremont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Les feuilles bleues

    28.00 

    L’Orbieu se traverse à gué, ensuite, c’est la montée difficile par un sentier large qui permet le passage des forestiers et de leur matériel. Une sorte de montée aux cieux en beauté graduelle : les Corbières, cela se distille, les splendeurs ne vous sont pas assénées comme à la Côte d’Azur où, les constructions mises à part, on ne peut que s’extasier. Une forêt de chênes verts ébréchée en dissimule une autre, unie et drue, nourrie d’humus, les samares, akènes volants qui, dirait-on, savent où se déposer, forêt comme hissée vers des sommets, lesquels, quand il a neigé, sont blanchis pour toujours. Ce blanc et ce vert nous escortent sans que jamais la pierre ne les déshonore ou ne les détrône, hormis quelque château-fort, délité comme il se doit, mémoire des hommes, rappel de la peur des uns pour les autres et de leur vigilance forcenée… On marchait d’un bon pas ; chemin faisant, je me suis bien gardée de signaler à Charles l’appellation de la moindre brindille : il préfère ne pas savoir, il me traite de pédante dès que je cite ; alors, l’arbuste mahonia, l’herbe rue, la lentisque, le cade pointu, le négunda — qui croît au bord de l’Orbieu — ou le genêt à deux faces, bouche cousue, ma fille, le grand homme apprécie le mystère, bien que ses reportages, il les truffait de précisions fatigantes. Oui mais c’était de l’exotisme. Nécessaire à la compréhension de millions de téléspectateurs. Tandis que moi, je compte pour du beurre ! Quand on grimpe, comme nous le faisons, on la boucle ! …

    Marie NICOLAÏ est choisie toute jeune par Yves Allégret pour jouer dans Félicie Nanteuil aux côtés de Micheline Presle et de Louis Jourdan. Romancière, adaptatrice, essayiste, elle a mené par ailleurs une activité soutenue auprès des Femmes Chefs d’Entreprises ; dans le domaine de l’audio-visuel avec Femmes dans le monde, dont elle est titulaire, et au cœur du Groupe du roman. Elle est aujourd’hui vice-présidente de l’Association des écrivains belges de langue française, membre administrateur de la Société royale protectrice de l’enfance, membre du comité de l’International P.E.N., sociétaire de la Société des gens de lettres (Bruxelles, Paris).

    Les feuilles bleues, un livre de Marie Nicolaï édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Légitime Défense (Quai des orfèvres)

    15.00 

    Noël avait beau se raisonner, il ne parvenait pas à faire taire sa jalousie. Il savait bien que Belle aimait se sentir entourée, cajolée, courtisée. Pourtant, le doute le rongeait. D’où venaient ces fleurs ? À qui écrivait-elle ? Pourquoi s’absentait-elle ?
    Noël avait tenu bon jusqu’ici. Mais cette fois, il sentait que c’était sérieux. Belle lui avait menti. Sa vieille mère malade la demandait ? Allons donc ! L’excuse était grossière ! Belle voulait s’échapper pour retrouver l’autre, tout simplement. Noël en tremblait de rage. Et sa décision était prise. Il allait les surprendre… Il allait le tuer…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Légitime Défense (Quai des orfèvres), un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Le soupir de la paruline

    21.90 

    D’une plume fine et érudite, Philippe Marchandise dresse le portrait d’une certaine Amérique et d’une femme aux prises avec ses souvenirs, sur une île de Caroline du Sud aussi enchanteresse que marquée par la Guerre de Sécession. Peut-on aimer deux fois ? est une des grandes questions qui parcourt ce roman à la fois intimiste et social.

    Le soupir de la paruline, un livre de Philippe Marchandise édité aux Éditions Mols

  • Le Souffle des Ancêtres

    24.00 

    Hélène Albi, romancière, est en quête d’un personnage qui lui apparaît en rêve. Elle décide d’en faire le héros de son prochain roman, qu’elle écrira dès son retour de Casamance.
    C’est précisément lors de ce voyage qu’elle fait une rencontre aussi étonnante que décisive.
    Puis ce sera l’Afrique avec les silences de la savane, le vent qui se fait poète et le murmure des arbres – pour ne pas effrayer les esprits qui, dans leurs feuillages, tiennent conseil. Autant de signes pour celui qui sait écouter.
    Mais quel rôle l’aventure romanesque d’Hélène jouera-t-elle précisément dans la transmission de l’expérience de vie d’un vieil homme à son petit fils ?
    Au-delà des mers et de la mort, le roman de Catherine d’Oultremont est une histoire de la « transmission », de la sagesse à travers le temps, du Souffle des ancêtres…

    Catherine d’Oultremont, née en 1955, passe son enfance et sa jeunesse en Catalogne avant de s’établir en Belgique. Elle vit toutefois plusieurs années en Italie, où s’affirme sa passion pour la Renaissance italienne, et séjourne à de nombreuses reprises en Afrique. De formation artistique, elle apporte sa contribution à des revues d’études traditionnelles et philosophiques.
    Le Souffle des ancêtres est son second roman, après Le Prince de la Concorde (2006), qui a passionné ses lecteurs.

    Le Souffle des Ancêtres, un livre de Catherine d’Oultremont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Le Secret de Paul

    19.90 

    Rares sont les livres sur Jésus et son époque qui ne versent pas dans un sensationnalisme ou dans une savante exégèse impénétrable pour le commun des mortels, sans parler du genre « spiritualité » vague, teintée de développement personnel !
    Le Secret de Paul évite ces écueils par la solidité et la clarté de sa documentation ainsi que par l’audacieuse lucidité de ses hypothèses. Son ouverture vers quelque chose de plus absolu et plus universel accroît singulièrement le plaisir de la lecture. Une révélation à ne pas manquer ! L’anti Da Vinci code !

    Le Secret de Paul, un livre de Eric de Broqueville édité aux Éditions Mols

  • Le Rôle divin de l’eau

    17.00 

    Cette année encore Julien avait pris la route du sud pour rejoindre son oncle Maurice, maire de Sursenet, petit village perdu dans le Haut Vaucluse.
    Le maire l’attendait de pied ferme, bien décidé cette fois à dévoiler à son neveu le mystère qui entourait la source qui sourdait dans la propriété familiale et abreuvait largement tout le village.
    Un début d’été prometteur si ce n’était l’intérêt pressant d’une multinationale des eaux aux ambitions douteuses.
    L’enjeu était de taille car ce que la source avait révélé au maire dépassait l’entendement.
    David contre Goliath !
    Mais quel secret cachait donc Maurice ? Quel rôle jouait Emeline, l’amie d’enfance de Julien ? Quel pouvoir méconnu détenait l’eau ; l’eau la survie de l’humanité ?

    Alain TYTGAT est né en 1949 au Congo. Juriste de formation, il a fait carrière dans la publicité. Passionné d’histoire, de littérature et de musique, il partage aujourd’hui son temps entre l’écriture et les voyages. Il a publié deux romans aux éditions Le Cri : Le Prof d’histoire (2005) et Les Liaisons infinies (2008).

    Le Rôle divin de l’eau, un livre de Alain Tytgat édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)