• Miroir de Marie

    21.00 

    Enfant, adolescente, jeune femme, tels sont les trois âges de Marie de Bourgogne, archiduchesse d’Autriche, que ce roman met magnifiquement en scène jusqu’à la chasse tragique dont elle mourut à 25 ans, ultime héroïne de cette période sombre et vivante qui annonce le déclin du Moyen Âge. À la mort de son troisième enfant, Marie de Bourgogne commence à écrire l’histoire de sa vie. Elle met à nu les jeux du pouvoir et de la guerre entre Valois de France et de Bourgogne, mais aussi son cœur de jeune princesse lucide, courageuse et fière de son rang, qui veut aimer et être heureuse, mais pas au prix du renoncement. Le roi Louis XI, son parrain et cousin, l’apprendra à ses dépens. Son père Charles tué devant Nancy, Marie de Bourgogne résiste aux entreprises bourguignonnes (Pays-Bas, Belgique et Luxembourg actuels). Enjeu central de tant de projets matrimoniaux et d’alliances politiques depuis l’âge de cinq ans, duchesse régnante à vingt, faisant face aux menaces intérieures et extérieures — la révolution et la guerre —, elle épouse, après bien des vicissitudes, Maximilian d’Autriche de deux ans son cadet. Mariage d’amour et de raison aux répercussions européennes, cette alliance sauvera Marie de la solitude, lui donnera le bonheur et l’aidera dans sa lutte acharnée contre la puissance et la ruse de Louis XI. À eux deux, Marie et Maximilian réussiront quelque temps à forcer le destin et l’apathie de l’Europe…

    Maxime BENOIT-JEANNIN est l’auteur de plusieurs romans, notamment Mademoiselle Bovary (coédition Belfond, 1991), Colonel Lawrence (Coédition Jean-Michel Place, 1992) et Chez les Goncourt (2004). De deux biographies exhaustives : Georgette Leblanc 1869-1941 (1998) ; Eugène Ysaye, le sacre du violon (2001). Et d’un essai sur les rentrées littéraires, La Corruption sentimentale (2002).

    Miroir de Marie, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • D’un Dieu ténébreux

    21.00 

    De l’Inde capiteuse des comptoirs français à l’atelier berlinois du sculpteur favori du IIIe Reich, en passant par un Paris mondain promis aux lâchetés de la collaboration, Roman Vanderloo, jeune homme que sa beauté expose, connaîtra tous les visages de la trahison, tous les corps du désir, avant de trouver, retrouver, celle qui incarnera pour lui le seul amour.

    À l’occasion de la parution — chez Le Cri, éditeur — du premier tome des œuvres d’Yves-William Delzenne, Arnaud de la Croix présenta l’auteur en ces termes : J’ai appris à connaître l’homme, parfois insupportable, souvent délicieux : doux mélange où surnage, curieusement, et dans mon cœur et dans ma tête, la fidélité. Cet entêtement à accomplir, au travers de ses vocations multiples — charmeur, acteur, dandy, diseur, causeur, élégant, séducteur, narcissique en diable, agent d’artistes ou galeriste, généreux toujours —, un travail, l’aptitude à creuser un sillon, l’air de rien, ce qui finalement est tout. C’est cet homme qui donne ici un roman bien dans sa manière et très surprenant.

    D’un Dieu ténébreux, un livre de Yves-William Delzenne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Ainsi fut dissipé le charme nostalgique

    21.00 

    Croyez-vous à ces livres écrits avec un soin quasi suranné qu’adapta si bien à l’écran James Ivory ? Croyez-vous qu’un beau style est éternel et qu’il peut revêtir une belle histoire comme un complet, sorti des mains d’un grand tailleur, habille un bel homme bronzé et sportif ? Croyez-vous à l’émotion d’un geste ? Oui ? Ce livre est pour vous.
    Élégance, style, réserve et sensibilité sont les qualités les plus évidentes de ce texte, chef-d’œuvre d’un auteur reconnu pour son érudition et sa ferveur.
    L’humour ne manque pas au rendez-vous que donne au lecteur un couple d’aristocrates polonais en exil sur la côte Est des États-Unis au début des années cinquante. Rendez-vous nostalgique et mystérieux pourtant, dans la grande tradition des romans anglo-saxons. Mais on pense aussi à Tourgueniev et tel personnage (Karl, le trop proche cousin du couple, par exemple) ouvre des blessures inguérissables autant qu’entretenues. C’est bien là le livre de la fidélité aux « anciens maîtres », dans un large geste de restauration d’une littérature d’artiste à mille lieues du scandale permanent nourri depuis quelques saisons par des éditeurs pressés de vendre.
    La langue d’Yves-William Delzenne est harmonieuse à en oublier ce que son propos a de singulier, voire de provocateur. Ici sont réunis tant de bonheurs d’écriture que seul demeure, lecture achevée, le souvenir d’un paradis pourtant manqué par Cyril, le narrateur d’une histoire irrémédiable.
    Un coucher de soleil sur la mer…

    Yves-William Delzenne, acteur dès l’âge de seize ans, donne quelques années plus tard des récitals « poésie et musique » en compagnie de la pianiste Bernadette Notelet. Devenu galeriste, il est aussi le commissaire de diverses expositions d’Art contemporain. Poète (Le Polonais, Poèmes d’amour persans, Via Venezia, L’immortel bien-aimé), dramaturge (Les Désirables), nouvelliste (La Nostalgie batailleuse) et romancier (La Course des chevaux libres, Un Amour de fin du monde, Le Sourire d’Isabella, L’Orage, Les Tours de Dresde) ; sa personnalité mystérieuse très « fin de siècle », moderne cependant, en rupture souvent, éclaire le paysage littéraire d’un jour singulier.

    Ainsi fut dissipé le charme nostalgique, un livre de Yves-William Delzenne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • À vendre ou à louer

    20.90 

    Qui n’a pas rêvé de posséder les clefs des plus beaux appartements de Paris pour y vivre sans attaches ? Jean-Baptiste, agent immobilier, y retrouve ses conquêtes d’un soir et jouit de cette vie nomade et sans accrocs jusqu’au jour où le destin surgit dans l’une de ses garçonnières, sous les traits d’une inconnue agonisante, qu’il sauve in extremis et qui s’évapore aussitôt.

    À vendre ou à louer, un livre de Valentine de le Court édité aux Éditions Mols

  • Tirs

    20.00 

    Lorsqu’un psychanalyste freudien déprimé voit entrer dans son cabinet la belle Francesca Neumann, championne du monde de tir au pigeon, il est loin de se douter que sa patiente va l’emmener dans un cauchemar qu’il mettra de longues séances à décoder. Au fil de sa cure, il va tenter de comprendre la relation impossible de Francesca avec son soupirant. D’où viennent les morts qui parsèment les rencontres de sa cliente avec Raphael di Portaluppi, un aristocrate vénitien désargenté ? Est-elle une schizophrène intraitable ou, plus simplement une manipulatrice dont il serait la dupe inconsciente ? Quel est le rapport entre le bijoutier de Marrakech, le châtelain du Condroz et le moine de l’abbaye d’Orval ? Quand le psychanalyste comprendra enfin, il sera trop tard : son passé l’aura rattrapé.
    Dans ce suspense-prétexte passionnant, avec une guerre des psy en arrière-fond, l’auteur nous emmène dans un univers impitoyable. Scandé au rythme lancinant du quartette de Schubert La jeune fille et la mort, l’intrigue ne lâche pas le lecteur un seul instant.

    Jean-Louis du Roy, né à Etterbeek (Bruxelles) en 1945 est licencié en sciences politiques et sociales (U. C. L. ) et Maître en management public (Solvay U. L. B. ). Il a occupé des fonctions dirigeantes dans le secteur financier et se consacre aujourd’hui à l’écriture.

    LA PRESSE

    Avec Tirs, son cinquième roman, il confirme son talent d’auteur à suspense qui lui avait valu, lors de la sortie de La Honte de Max Pélissier, les éloges d’une critique unanime :

    Un roman trouble et troublant…( La Libre Belgique)
    Le lecteur ne sera pas déçu…(L’Evénement)
    On y trouve tous les ingrédients qui font les excellents suspenses…(Ciné Télé Revue)
    L’élaboration tragique ne le cède en rien à la qualité de l’écriture… (L’Eventail)
    Un suspense 100% belge. Une réussite !( La Dernière Heure)
    Habilement ficelé… (Le Vif-L’Express)

    Tirs, un livre de Jean-Louis du Roy de Blicquy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Les Parchemins de la Tour

    20.00 

    Autour d’Edmond Beaucarne, le XIXe siècle redevient un style de vie.
    Entraîné très jeune dans le tourbillon de la passion politique qui préparera la révolution et l’indépendance belges, Edmond Beaucarne découvre les hommes et leurs passions dans une confrontation qui attise sa pensée. La sagesse précoce ne le prépare cependant pas aux amours qui l’attendent. Un voyage à l’étranger en chaise de poste, un carnet intime rédigé dans la solitude, l’amitié platonique et les attraits ancillaires, la fonction publique, les amis de la capitale, la famille de nièces et de neveux toujours plus nombreuse… ne sont qu’étapes successives qui échelonnent le flot des jours et les questions qui surgissent.
    Où se situe-t-on dans l’évolution des goûts et des idées lorsque l’action vous sollicite sans jamais vous convaincre ?
    L’homme jeune de 1828, homme mûr en 1848, vieillard enfin lorsqu’il lâchera la plume, va-t-il recréer pour nous une subtilité d’ambiance devenue rare ? Une mentalité oubliée ? Dès sa genèse, le livre est européen. Il concerne le double héritage des Lumières et du passé chrétien. Edmond est de tous les pays — non pas uniquement belge.
    Son témoignage nous restitue notre identité…

    Nicole VERSCHOORE, née à Gand en Belgique, est docteur en philosophie et lettres. Boursière du Fonds national belge de Recherche scientifique et assistante à l’université de Gand, journaliste, elle publie régulièrement dans la Revue générale et la revue électronique www.bon-a-tirer.com. Parlant six langues et amoureuse des grandes capitales européennes, elle se veut citoyenne du monde et passe le meilleur de son temps à revoir et à sauvegarder la vérité du vécu.
    On se souvient de son premier roman, Le Maître du bourg (Gallimard, 1994), qui a bénéficié d’un large succès. De nombreux lecteurs attendaient la parution de ces Parchemins de la tour, qui confirment aujourd’hui le talent et la sensibilité d’un grand auteur.

    Les Parchemins de la Tour, un livre de Nicole Verschoore édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • La Honte de Max Pélissier

    20.00 

    Lorsque Jaube, un SDF, vient squatter Cosy Nook, une villa abandonnée au bord de la mer du nord, il est loin de se douter que les fantômes qui l’habitent vont le transformer en témoin puis, peu à peu, en acteur involontaire d’une tragédie où rien ne lui sera épargné. Malgré lui, il devra partager jusqu’au bout tous les ingrédients du mystère de la famille Pélissier : le testament d’un juif caché pendant la guerre, la recherche d’un Picasso disparu, le deuil impossible d’un enfant noyé, les affres d’une relation aux relents sado-masochistes, et un énorme scandale dans le milieu de l’art. Les souvenirs de Cosy Nook s’entrechoquent avec le présent, jusqu’au dénouement du drame familial.
    Dans ce suspense-prétexte à l’intrigue haletante, l’auteur nous plonge avec humour et cynisme dans les turpitudes de l’univers de l’Art, mais nous en fait aussi découvrir le pouvoir rédempteur.

    Jean-Louis DU ROY, né à Etterbeek (Bruxelles) en 1945 est licencié en sciences politiques et sociales (U.C.L.) et maître en management public (Solvay U.L.B.). Il a occupé des fonctions dirigeantes dans le domaine financier et se consacre aujourd’hui à l’écriture.
    Avec La Honte de Max Pélissier, son quatrième roman, il nous démontre qu’il est passé maître dans l’art du suspense.

    La Honte de Max Pélissier, un livre de Jean-Louis du Roy de Blicquy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • La dame qui fuit Saint-Tropez

    20.00 

    1925, sur la Côte d‘Azur. Tout sourit à Colette, dont la notoriété ne cesse de grandir. Attirée par le Midi, elle achète à Saint-Tropez une maison très simple, qu’elle baptise la Treille Muscate.
    Quelques décennies plus tard, un important homme d’affaires parisien y est assassiné dans des conditions obscures. Delphine Naboulet, admiratrice de Colette et passionnée par son œuvre, part sur les traces de son auteur favori et se retrouve au centre du drame. Sur fond d’immobilier douteux, la nouvelle enquête du Capitaine Ange Mattéi prend une saveur particulière, à l’accent du Midi et aux odeurs d’olive.

    La dame qui fuit Saint-Tropez, un livre de Martine Cadière édité aux Éditions Mols

  • L’été des rats

    20.00 

    Ce livre est un roman policier à suspense, dans la grande tradition du polar d’énigme classique, avec un enquêteur récurrent, un tueur en série, des indices, des alibis, des suspects et un coupable trouvé. Il a été imaginé autour d’un poème attribué à Jacques Prévert.

    L’été des rats, un livre de Martine Cadière édité aux Éditions Mols

  • Je travaille à Paris et dors à Bruxelles

    20.00 

    Vous vous interrogez sur la place du travail dans notre société ? Alors ce roman est pour vous !

    En suivant Justine, vous pénétrez, de l’intérieur, le monde de la consultance : les missions, les clients, les voyages, la compétition, les team buildings, les méthodes de management, le jargon, les fusions, les restructurations… Justine se fait, elle aussi, petit à petit happer par le système. « Travailler plus pour gagner plus ! » disait Sarkozy… Mais est-ce vraiment une fin en soi ?

    Je travaille à Paris et dors à Bruxelles, un livre de Élise Bussière édité aux Éditions Mols

  • Caroline et Monsieur Ingres

    20.00 

    Pour le plus grand plaisir de l’amateur de peinture, spectateur devenu lecteur, l’auteur, par le miracle de son écriture, a fait revivre avec esprit le peintre et son modèle (Caroline Bonaparte) et inventé quantité d’anecdotes savoureuses et de péripéties amusantes. Il le plonge dans le Paris et la Naples de la fin de l’Empire, l’entraîne en compagnie de cette reine peu ordinaire et de ce peintre de génie dans les Champs phlégréens sur les pas de madame de Staël, gravit les pentes du Vésuve et évoque avec une érudition émue Virgile et le monde classique. Mais surtout il décrit avec une rare finesse le caractère d’Ingres et dévoile le processus de création qui se met en route, la relation très particulière qui s’établit entre le peintre et son modèle (que ce soit Caroline ou la belle Dormeuse), le statut propre à l’œuvre d’art qui, comme le fruit d’une gestation nécessaire, croît irrésistiblement et emporte tout. C’est désormais le tableau, l’œuvre naissante, qui prime : le modèle n’existe plus que comme une donnée prosaïque qui permet au peintre de faire apparaître sur sa toile non pas ce qu’il a devant lui mais ce qu’il a en lui, sans qu’il sache encore lui-même ce que sera finalement son tableau mais qui s’impose néanmoins à lui avec une force absolue. (Extrait de la préface. )

    Gaston Compère, né dans le Condroz en 1929, docteur en philosophie et lettres, est un des grands écrivains d’expression française. Il a reçu en 1989 le Grand prix de Littérature de la francophonie. Outre ses romans (notamment chez Belfond), il a publié une biographie très remarquée de Maurice Maeterlinck (La Manufacture, 1989) et de nombreuses pièces de théâtre. Il est aussi poète et traducteur (Le Livre d’Heures de R. M. Rilke, Le Cri, 1989).

    Caroline et Monsieur Ingres, un livre de Gaston Compère édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Le Secret de Paul

    19.90 

    Rares sont les livres sur Jésus et son époque qui ne versent pas dans un sensationnalisme ou dans une savante exégèse impénétrable pour le commun des mortels, sans parler du genre « spiritualité » vague, teintée de développement personnel !
    Le Secret de Paul évite ces écueils par la solidité et la clarté de sa documentation ainsi que par l’audacieuse lucidité de ses hypothèses. Son ouverture vers quelque chose de plus absolu et plus universel accroît singulièrement le plaisir de la lecture. Une révélation à ne pas manquer ! L’anti Da Vinci code !

    Le Secret de Paul, un livre de Eric de Broqueville édité aux Éditions Mols

  • Le jour de l’amélanchier

    19.90 

    Fraîche, généreuse et lumineuse, la floraison de l’amélanchier fait partie de ces éclats printaniers qui ragaillardissent et donnent envie de jardiner. Aux premiers rayons, cet arbuste se couvre d’une neige de fleurs étoilées, blanc pur ou teintées de rose… Cette efflorescence féérique symbolise avec grâce le retour à la vie.

    Le jour de l’amélanchier, un livre de Philippe Marchandise édité aux Éditions Mols

  • Je viendrai ce soir à neuf heures…

    19.90 

    Pourquoi un célèbre auteur parisien disparaît-il sans laisser de traces la veille de recevoir la récompense suprême pour les écrivains ? A-t-il un lien avec cet enseignant français engagé dans l’alphabétisation au Sénégal ? La journaliste lancée à sa recherche arrivera-t-elle à sonder les cœurs et les âmes ?

    Je viendrai ce soir à neuf heures…, un livre de Willy Deweert édité aux Éditions Mols

  • Explosion de particules

    19.90 

    Et si l’on pouvait assister à son propre enterrement ?
    Si tous les gens que l’on a aimés ou détestés au fil de sa vie se trouvaient réunis en un même endroit, sachant pourquoi vous avez disparu, alors que vous-même n’en avez plus le moindre souvenir ?
    Et si toute l’assemblée présente, aristocrates belges en apparence classiques et bien-pensants, étaient en fait bien plus délirants, cyniques et imparfaits les uns que les autres ?
    Comment Juliette, violoniste promise à un bel avenir, a-t-elle pu mourir si tôt ?

    Explosion de particules, un livre de Valentine de le Court édité aux Éditions Mols

  • Ce qui manque à Amédée

    19.50 

    Amédée est né sans cœur.
    Comment vit-on quand on n’a pas de cœur ?

    Un petit bijou d’humour fin et d’émotions fortes.

    Ce qui manque à Amédée, un livre de Michel Goldblat édité aux Éditions Mols