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  • Les cent jours de l’Ambassadeur. Ou pourquoi la Belgique a gagné la Seconde Guerre mondiale

    22.50 

    À Bruxelles, l’expression « on s’en f*** comme de l’an 40 » conjure, ironiquement, la pire des défaites, celle de la CA-PI-TU-LA-TION !
    Mais chose tue, il y en eut deux. La première, connue et bruyamment dénoncée en France, le 28 mai. La seconde, insidieuse, soigneusement cachée à ses débuts, le 18 juin.
    Quand tout semblait perdu et même, aux yeux du monde, l’honneur, l’ambassadeur Émile de Cartier de Marchienne entamait, à Londres, la reconstruction d’une politique, d’une armée, d’un gouvernement.
    Comment ce diplomate, vieux de la vieille du Protocole, prisonnier d’une fonction qui devait interdire toute initiative, en est-il arrivé à ce résultat ? Cinq ans plus tard, son pays était, militairement et économiquement, dans le camp des vainqueurs. Au côté de quatre grandes Puissances – Grande-Bretagne, États-Unis, France et Union soviétique –, la Belgique occupait un secteur du défunt Troisième Reich.
    L’Ambassadeur est un des grands oubliés de la Seconde Guerre mondiale. Souvent critiqué sans pouvoir se défendre, il n’a pas tout fait, loin de là, et jamais tout seul, mais il a été à l’origine de tout.
    C’est ici le récit d’une vérité qui dérange encore ; de ces jours fondateurs, de juin à octobre 1940, peuplés de fantômes que l’Histoire et, trop souvent, les politiques ont voulu gommer de leur mémoire.

    PATRICE-EMMANUEL SCHMITZ est un passionné de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. La publication de plusieurs articles consacrés à la renaissance d’une armée belge à Tenby en 1940, ses participations aux sites du CegeSoma (BELGIUM WWII) et du tenbymemorialcommittee.be l’ont amené à s’intéresser à Émile de Cartier de Marchienne qui joua un rôle de tout premier plan dans la renaissance politique, diplomatique et militaire de la Belgique au sein de l’Europe démocratique en exil, rassemblée à Londres en 1940.

    À l’heure où, 80 ans plus tard, avec l’invasion de l’Ukraine, la guerre est à nouveau à nos portes, certaines pages de ce livre sonneront comme des avertissements.

    Les cent jours de l’Ambassadeur. Ou pourquoi la Belgique a gagné la Seconde Guerre mondiale, un livre de Patrice-EmmanuelSchmitz édité aux Éditions Mols

  • Le Congo belge en tant qu’État développementiste. Réexamen du colonialisme

    29.00 

    Une “colonie modèle”
    Contrairement à l’État indépendant du Congo (EIC) sous Léopold II (1885-1908) et l’État postcolonial depuis juillet 1960, le Congo belge (1908-1959) était connu comme une “colonie modèle” et un “paradis” pour les investissements directs étrangers grâce à sa stabilité politique et ses ressources naturelles fabuleuses. En bref, le Congo belge était un État providence semblable au même système qui se développait en Belgique.

    Devenu un “enfer sur terre”
    Soixante ans après l’indépendance, cette “Europe Noire” n’existe plus, alors qu’elle possédait en 1960 les meilleures conditions socio-économiques qui soient, bien plus favorables pour soutenir son développement que tous les autres pays africains. Les Congolais appellent aujourd’hui leur pays un “enfer sur terre” et étiquettent leurs dirigeants politiques comme “des démons, des sorciers”.
    Comment peut-on expliquer ce changement de statut du Congo, passant d’un “paradis” pour les investissements directs étrangers à son état actuel d'”enfer sur terre”
    et si défavorable pour ces mêmes investissements ?

    Un État “développementiste”
    L’objectif principal du livre (titre d’origine : The Belgian Congo as a developmental State : Revisiting Colonialism) est de répondre à ces deux questions en se basant sur la notion ou plutôt sur le paradigme d’État “développementiste”. Parmi ses nombreuses caractéristiques, cet État possédait une forte assise en matière d’infrastructures et un certain degré d’autonomie politique capables de lui permettre de mettre en place des politiques économiques de développement. En se basant sur l’idée que le Congo belge était un État “développementiste”, ce livre s’oppose ainsi à l’hypothèse selon laquelle la colonisation est la cause directe et principale de la mauvaise performance économique des dirigeants africains.

    Pas de glorification du colonialisme
    Malgré le système colonial d’exploitation économique basé sur les inégalités socio-économiques, la Belgique avait économiquement développé le Congo en un court laps de temps. Il ne glorifie ni le colonialisme ni les atrocités commises au Congo belge, mais souligne le fait que le développement économique du Congo belge fut possible grâce aux investissements massifs dans des biens publics tels que la stabilité politique, les infrastructures, la santé publique et l’éducation.

    “Le Congo n’a besoin que de quelques bons citoyens dotés d’une certaine fierté nationale pour se développer. La Belgique l’a fait.”

    Emizet François KISANGANI est professeur à l’Université de Kansas City, Kansas (USA).

    Le Congo belge en tant qu’État développementiste. Réexamen du colonialisme, un livre de Emizet FrançoisKisangani édité aux Éditions Mols

  • L’année du Roi. 1848. Léopold 1er, l’apogée d’un règne

    21.50 

    1848. La révolution, en février, chasse Louis-Philippe de son trône. Dans la foulée, les autres monarchies européennes vacillent. C’est le “printemps des peuples” qui s’étend de l’Allemagne à l’Italie, en passant par
    l’empire des Habsbourg. Celui qui menait la diplomatie européenne au nom des monarchies et du conservatisme, Metternich, est chassé et condamné à s’exiler honteusement. Au milieu de la tourmente, la Belgique, indépendante depuis seulement dix-huit ans, donne l’exemple étonnant d’un pays en paix, jouissant des libertés aqu’une constitution libérale lui procure et mettant en œuvre des réformes sociales inédites. Un pays où bals et réceptions à la Cour de Bruxelles sont l’exception brillante en Europe. Un homme personnifie cet État et le défend avec sagesse et ténacité : le roi Léopold Ier, qui usera de toute son influence et de son volumineux carnet d’adresses pour maintenir la Belgique dans la voie de la prospérité et lui éviter l’annexion par la France comme l’auraient souhaité plusieurs figures marquantes de la IIe République. Au milieu du long règne de Léopold de Saxe-Cobourg-Gotha, roi des Belges, 1848 est sans conteste “l’année du Roi”.

    L’année du Roi. 1848. Léopold 1er, l’apogée d’un règne, un livre de François Roelants du Vivier édité aux Éditions Mols

  • 30 témoins morts

    22.00 

    Trente témoins qui auraient pu parler au procès Dutroux ne sont plus de ce monde…

    30 témoins morts, un livre de Douglas De Coninck édité aux Éditions Mols

  • Dieu existe-t-il ? Très probable

    24.00 

    La Foi, ses raisons, ses bienfaits

    En fonction de tous les éléments dont nous disposons, est-il plus vraisemblable de considérer que Dieu existe ou qu’Il n’existe pas ?
    Au départ d’un certain nombre de faits apparemment miraculeux et soumis à des professeurs d’université, l’auteur s’intéresse dans un premier temps à cinq miracles eucharistiques : à chaque fois, la chair, en laquelle s’est transformée l’hostie lors de la consécration, s’est révélée être un morceau du tissu musculaire du myocarde et des globules blancs, qui normalement disparaissent peu après le décès, sont encore en vie plusieurs années après le « miracle ». Ce passage de l’inerte au vivant interpelle au plus haut point le scientifique et le philosophe.

    L’auteur poursuit avec plusieurs découvertes récentes sur le fonctionnement de l’Univers ayant provoqué chez de nombreux scientifiques un cheminement spirituel les conduisant vers Dieu.
    Ce Dieu qui s’apparenterait au grand horloger de Voltaire est pourtant encore bien distinct du Dieu des chrétiens, un Dieu proche et bienveillant, d’amour et de pardon avec lequel nous pouvons converser comme un enfant avec son père, et auquel l’auteur s’intéresse dans un troisième et dernier temps. Car à quoi nous servirait-il d’identifier un Dieu qui aurait créé l’Univers, s’Il ne pouvait pas nous aider dans la vie à affronter les épreuves et à nous fournir repères et boussole ?

    En conclusion de sa démarche, l’auteur se dit TROP RATIONNEL POUR ÊTRE NON-CROYANT.

    Juriste, économiste, Philippe DEMBOUR n’a cessé de s’intéresser aux questions éthiques et morales auxquelles il s’est retrouvé confronté au cours de ses fonctions exercées dans la banque, comme professeur ou dans les associations philanthropiques dont il s’est occupé. En particulier, après l’agression de trois de ses cinq enfants en quelques semaines, il a
    multiplié les conférences sur l’éducation parentale dans les quartiers défavorisés et mis sur pied des initiatives d’écoles de devoirs et de parrainage de jeune. Il est l’auteur de Parents responsables ! (Mols) et de chroniques autour de thèmes sociétaux (La Libre Belgique).

    Dieu existe-t-il ? Très probable, un livre de PhilippeDembour édité aux Éditions Mols

  • Wallonie française !

    27.90 

    Ouvrage préfacé par Pierre-Yves DERMAGNE, vice-Premier ministre de Belgique

    Cet essai engagé et polyphonique présente la Wallonie à une France censée n’en rien savoir et donne de ce territoire belge de culture française une image nuancée et libérée des poncifs. Sans prétendre être une référence scientifique, Wallonie française ! tente d’être honnête et d’éviter les contre-vérités partisanes.
    Dominée par les nationalistes flamands, la Belgique se meurt. Par amour et pour leur survie, des Wallons se tournent vers la France : ce sont les réunionistes.
    L’auteur a deux langues natales : le wallon et le français. Il assiste à l’agonie du wallon, évincé par le français. Il craint que, face à l’anglais, le français ne subisse le même sort et lance un cri d’alarme pour la défense de la Francophonie, de son identité culturelle et de ses valeurs menacées par l’impérialisme anglo-saxon.
    Le lecteur est invité à ne pas se prendre la tête. Souvent, il sourira, car Louis Nisse aime mêler petite histoire personnelle et grande Histoire.

    Wallonie française !, un livre de Louis Nisse édité aux Éditions Mols

  • Ils vont beaucoup t’aimer

    22.90 

    Fin des années trente, les bruits de bottes se font entendre. Dans le petit village de Saint-Cassien, Victor et Mariette unissent leurs destinées.
    1940, l’armée allemande envahit la Belgique. Victor est fait prisonnier et envoyé́ dans un camp. Il restera en Allemagne jusqu’à la fin du conflit.
    Comment se retrouver après cinq ans ? Se reconnaît-on alors que l’autre a tellement changé au fil des évènements ? Un enfant va naître, une fille, elle est différente, très différente.
    Sur fond de grande Histoire et d’une nature très présente, c’est la vie tout simplement, celle de trois êtres humains qui demandent à être heureux. Peuvent-ils l’être ensemble ?

    Ils vont beaucoup t’aimer est le premier roman de MICHEL VISART.
    Jusqu’il y a peu journaliste à la RTBF, citoyen engagé dans le monde associatif, MICHEL VISART propose ici une œuvre de fiction qui s’inspire en toute liberté de la vie de personnes dont il a eu la chance de croiser le chemin.

    Ils vont beaucoup t’aimer, un livre de Michel Visart édité aux Éditions Mols

  • Tout autour de nous

    29.90 

    Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le quotidien belge Les Sports compte, parmi ses grandes plumes, un passionné de mécanique et de sports moteurs.
    Jacques Ickx, journaliste freelance de ce journal très pointu, rédige, entre 1948 et 1951, un billet quasi quotidien consacré au sport et aux sportifs, mais aussi à d’autres sujets, sous un titre générique « Tout autour de nous »

    Tout autour de nous, un livre de Jacques Ickx édité aux Éditions Mols

  • Polo le Lapin se bouche les oreilles !

    12.50 

    Livre à raconter sur la thématique de l’aliénation parentale.
    Des questions sont posées à l’enfant pour l’aider à réfléchir et à se sortir de l’enfer causé par la séparation de ses parents dont il n’est en rien responsable.

    Polo le Lapin se bouche les oreilles !, un livre de Bruno Humbeeck édité aux Éditions Mols

  • L’estime de soi pour aider à grandir

    20.00 

    Les enseignants, les psychologues, les travailleurs sociaux ou les parents se trouvent de nos jours confrontés à un singulier défi : restaurer, stimuler ou maintenir l’estime de soi de leur élève, de leur patient ou de leur enfant… sans pouvoir identifier clairement l’objet de leur préoccupation. Nous proposons précisément dans cet ouvrage de définir concrètement ce que sous-entend le concept d’estime de soi en permettant aux parents, aux professionnels engagés dans une mission pédagogique ou sociale d’acquérir une connaissance plus précise des mécanismes qui la fondent. Il s’agira notamment à travers le cheminement que propose ce livre de comprendre l’ensemble des processus par lesquels l’enfant, l’adolescent ou l’adulte apprennent à se connaître, se construisent une image plus ou moins positive d’eux-mêmes et parviennent à s’aimer.

    L’estime de soi pour aider à grandir, un livre de Bruno Humbeeck édité aux Éditions Mols

  • Euthanasie, l’envers du décor

    23.00 

    Huit soignants belges – professeurs d’université, médecins, infirmiers et éthiciens reconnus et expérimentés en accompagnement palliatif – tentent ensemble de dire leurs questions autour de la fin de vie, des soins palliatifs et de la pratique de l’euthanasie. Deux femmes médecins, française et israélienne, se sont jointes à eux. Les regards croisés de ces praticiens de la santé font la richesse et l’originalité de cet ouvrage.

    Euthanasie, l’envers du décor, un livre de Timothy Devos édité aux Éditions Mols

  • Valmy

    23.90 

    L’homme, Louis XVI, qui accède au pouvoir en mai 1774, jeune, inexpérimenté, plein de bonne volonté, bon époux et bientôt bon père, est conscient de ses limites. Il sait qu’il lui faut réformer ce vieux pays glorieux dont il est le nouveau roi, la France.

    En suivant son parcours, de 1774 jusqu’à la proclamation de la République, en passant par sa déchéance en août 1792, l’auteur tente, sans dogmatisme, d’y voir plus clair, de débroussailler notre vision parfois trop schématique de ce que furent ces évènements souvent dramatiques, toujours instructifs, mais définitivement enseignée depuis Michelet.

    Valmy, un livre de Jean-Luc Ancely édité aux Éditions Mols

  • Un Pays convoité

    24.00 

    Jean-Baptiste naît au Luxembourg en 1805. Juriste, polyglotte, Membre du Congrès de 1830, suite à la Révolution belge contre le Royaume des Pays-Bas, il rédige pour partie la Constitution du nouvel État.

    Il gagnera la confiance du Roi Léopold Ier (et de Léopold II ensuite). Une véritable amitié les liera.
    Premier ministre de 1841 à 1845.
    Ambassadeur de Belgique à Berlin, où il décédera en 1881, il contribuera à rééquilibrer le rapport de forces entre les grandes puissances européennes dans leurs relations vis-à-vis de la Belgique.
    Il contribuera également au maintien des bonnes relations existant à l’époque entre la Belgique et la Prusse, qui ont permis à la Belgique d’échapper à la Guerre de 1870.
    Il sera l’artisan du mariage du Comte de Flandres, frère puîné de Léopold II avec une princesse Hohenzollern.
    Grand voyageur : Égypte, Grèce…

    Un Pays convoité, un livre de François Roelants du Vivier édité aux Éditions Mols

  • Maeva, une belle étoile filante

    22.50 

    Il y a des livres qu’on écrit parce que le cœur déborde et qu’il ne peut plus contenir ce qui l’a ébranlé.
    Ces livres, généralement, commencent par la fin, tragique, insoutenable et insupportable. Ils montrent ensuite, au fil des pages, comment, en dépit de tout, au-delà du gouffre, le cours de l’existence a trouvé la force de se poursuivre alors qu’il a semblé se fracasser contre le pire des drames humains, celui que l’on connaît quand l’enfant à qui on a donné la vie a choisi, parce qu’il était confronté à un trop-plein de douleur, de se donner la mort.

    Maeva, une belle étoile filante, un livre de Maria Isabel Villalobos-Lora édité aux Éditions Mols

  • Lettre d’amour de l’au-delà aux êtres humains

    18.90 

    « Ce livre est un message d’amour.
    Message d’amour qui vous vient de l’au-delà pour vous réconcilier avec la vie.
    Message d’amour qui vous vient de l’au-delà car nous souhaitons de tout cœur répondre à votre appel, à vos questions, à votre quête.
    Message d’amour car nous avons tant à partager.

    La terre n’est pas séparée de l’au-delà.
    Elle est simplement une autre réalité de la vie.
    De la même vie.

    Car la vie ne s’arrête jamais,
    Elle change simplement de forme. »

    « Tout est lié.
    Depuis les premières pages de ce livre, jusqu’à celle-ci, cela a été un incessant ballet pour vous détacher de votre mental et vous rapprocher de votre âme.
    Pour vous permettre, petit à petit, d’intégrer cette dimension universelle à laquelle vous appartenez.
    Vous n’appartenez pas à telle ou telle race.
    Vous n’appartenez pas à tel ou tel peuple, ou pays.
    Vous n’appartenez pas à telle ou telle famille.
    Vous appartenez à la Vie.
    Vous êtes la Vie.

    Sortez de vos clichés.
    Sortez de vos parenthèses.
    Et rentrez dans votre liberté. »

    Lettre d’amour de l’au-delà aux êtres humains, un livre de Marie-Pascale Coenraets édité aux Éditions Mols

  • Le dieu Blanc est mort à Diên Biên Phu.

    24.50 

    Comme dans Waterloo. La marche à l’abîme (publié aux éditions Le Cri / Mols), l’auteur, utilisant la même méthode d’analyse dans la narration et le caractère psychologique des personnages, s’efforce de nous expliquer comment la glorieuse armée française, moderne, mécanisée à l’européenne, alla se perdre au bout du monde dans un lieu inconnu : Diên Biên Phu.

    Le dieu Blanc est mort à Diên Biên Phu., un livre de Jean-Luc Ancely édité aux Éditions Mols