• Euthanasie, l’envers du décor

    23.00 

    Huit soignants belges – professeurs d’université, médecins, infirmiers et éthiciens reconnus et expérimentés en accompagnement palliatif – tentent ensemble de dire leurs questions autour de la fin de vie, des soins palliatifs et de la pratique de l’euthanasie. Deux femmes médecins, française et israélienne, se sont jointes à eux. Les regards croisés de ces praticiens de la santé font la richesse et l’originalité de cet ouvrage.

    Euthanasie, l’envers du décor, un livre de Timothy Devos édité aux Éditions Mols

  • Eugène Ysaye

    24.29 

    Grand interprète de Bach et de Beethoven, Eugène Ysaye (1858-1931) créa les œuvres les plus représentatives de son temps, imposant au public Franck, Lekeu, d’Indy, Chausson, Fauré, Dukas, Debussy, Elgar et les Russes du groupe des Cinq. Il fut aussi une véritable star, lancée dans de gigantesques tournées. Lui qui avait débuté dans les brasseries joua devant les derniers monarques de l’Europe et porta, comme jadis Liszt, le titre nostalgique de maître de chapelle de la cour. Ses partenaires furent le gotha de la musique internationale : Raoul Pugno, Isaac Albeniz, Rachmaninov, Busoni, d’Albert, les deux Rubinstein — pour ne citer que les plus connus — et sur le tard Cortot, Yves Nat et Clara Haskil. Heifetz et Milstein eurent encore la chance de jouer avec lui. Casals l’accompagna à Vienne dans un concert mémorable… Thibaud aimait à recevoir ses conseils. Par les dizaines d’élèves qu’il forma, sa postérité artistique est encore aujourd’hui fort nombreuse. Ni la maladie ni le déclin de ses moyens artistiques n’assombrirent vraiment ses dernières années qui demeurèrent très créatives, grâce à sa seconde femme, l’Américaine Jeannette Dincin, et à la reine Élisabeth de Belgique avec laquelle il jeta les bases du concours de violon qui devait porter brièvement son nom avant de devenir le Concours international reine Élisabeth. « Il nous manquait un bon ouvrage complet, largement documenté et peu discutable sur Eugène Ysaye. Excellente chose, c’est à un auteur point cantonné dans la seule musicologie que nous le devons. Maxime BENOIT-JEANNIN intéressera le grand public par son portrait exact et chaleureux d’un géant, autant que les spécialistes par l’abondance et le sérieux de son information. (…) ». (Privilège, supplément à L’Echo)

    Maxime BENOIT-JEANNIN est l’auteur de plusieurs romans, notamment Mademoiselle Bovary (coédition Belfond, 1991), Colonel Lawrence (Coédition Jean-Michel Place, 1992) et Chez les Goncourt (2004). De deux biographies exhaustives : Georgette Leblanc 1869-1941 (1998) ; Eugène Ysaye, le sacre du violon (2001). Et d’un essai sur les rentrées littéraires, La Corruption sentimentale (2002).

    Eugène Ysaye, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Et si j’ouvrais la porte de mon sixième sens ?

    18.00 

    Et si c’était vrai, si nous avions bien un sixième sens ?
    Question éternelle.
    Ce livre est une invitation à vous poser dans une bulle hors de toutes croyances, préjugés ou opinions. Un peu comme si vous faisiez l’exercice d’effacer tout ce que l’on vous avait appris et que vous aviez l’audace de dépasser vos frontières.

    Et si j’ouvrais la porte de mon sixième sens ?, un livre de Marie-Pascale Coenraets édité aux Éditions Mols

  • Et la Prusse cessa d’exister

    23.50 

    Citons Henri Heine (poète rhénan, juif et antiprussien) : « Napoléon souffla sur la Prusse et la Prusse cessa d’exister. »

    Ce livre se veut de faire revivre les étranges évènements qui se déroulèrent en Allemagne, puis en Pologne, à compter de l’automne 1806. L’Europe vit sur un mythe : celui de l’invincibilité de l’armée prussienne, celle du Grand Frédéric II. Ce mythe, Napoléon, maniant le plus parfait instrument de guerre dont il disposât jamais, va le briser en quelques jours. Cet effondrement ressemble furieusement à celui de l’armée française de 1940, elle aussi considérée comme la première du monde. Cet effondrement de 1806-1807 fut à l’origine d’une humiliation qui marqua les esprits prussiens au point que la France, jusque-là bien considérée, deviendra « l’ennemi héréditaire » dont parlera encore Hitler cent vingt ans plus tard dans « Mein Kampf ».

    Et la Prusse cessa d’exister, un livre de Jean-Luc Ancely édité aux Éditions Mols

  • En Plein Soleil

    16.00 

    Léopold Courouble (Bruxelles 1861-1937), à Bruxelles, rue des Chartreux, dans la belle demeure familiale, surmontée d’un double pignon à redans, qu’il a décrite dans La Maison espagnole (1904). Âgé à peine de sept ans, Léopold a été mis en pension à Vanves. Pensionnaire quelque temps au Lycée Louis-le-Grand, il revient adolescent de Paris en 1877, pour achever ses humanités à l’Athénée de Bruxelles. S’il lui plaira, dans le cycle des Kaekebrœck (qui fera des émules, parmi lesquels les auteurs fameux du Mariage de Mlle Beulemans) et quelques autres ouvrages, de peindre avec un réalisme tout imprégné de sympathie les Bruxellois bruxellisants du bas de la ville, il lui déplaisait que son entreprise amenât les esprits simplistes à voir en lui un bon Brusseleer.
    Inscrit à l’Université libre de Bruxelles, il en sort en 1884 avec le diplôme de docteur en droit. Ce qu’il a appelé discrètement la fortune changeante le réduit tout soudain à la pauvreté. Que faire? Le métier d’avocat s’offre à lui. Il plaide quelque peu, mais il eut vite fait, dira George Garnir, de prendre en grippe la robe et le rabat du stagiaire. Il s’embarque alors comme simple matelot sur un navire qui part pour l’Amérique, une aventure sans lendemain qu’il racontera dans Atlantique Idylle (1895), et qui, souvenir durable, lui fournira le sujet et le cadre de son dernier roman, À bord du Jacques Van Artevelde.
    Il s’oriente vers le journalisme. Les chroniques judiciaires, signées Maître Chamaillac, qu’il donne à La Réforme, mettent en lumière son talent de narrateur ; il en publiera un choix dans Mes Pandectes (1904). Voilà qu’on lui propose, en 1889, un poste de magistrat au Congo. Il l’accepte, et il apporte à ses fonctions un zèle méritoire. Mais des ennuis de santé interrompent sa carrière africaine. Bien que brève, elle hante sa mémoire : En plein soleil (1900), Profils blancs et frimousses noires (1901), Images d’outre-mer (1903).
    Les premiers de ces textes sont enfin réédités.

    En Plein Soleil, un livre de Léopold Courouble édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Archiduchesse Éléonore, reine de France

    21.07 

    Éléonore d’Autriche, sœur aînée de Charles Quint, reine de Portugal et de France, reste une des princesses méconnues de l’histoire du XVIe siècle. De son vivant, aussi bien qu’après sa mort, cette reine toute dévouée à sa haute mission, ne fut point traitée suivant ses mérites. Bien que Charles Quint lui témoignât la plus vive affection, il la sacrifia, sans scrupules, à ses desseins politiques. Quant à ses époux, le premier, le vieux roi de Portugal, n’eut guère le temps de l’apprécier, et le second, François Ier, ne lui pardonna jamais d’être la rançon des défaites françaises. Aussi put-elle remplir le grand rôle de pacificatrice qu’elle assuma, de tout son cœur, pendant les longues guerres entre Charles Quint et François Ier. Nous avons essayé de montrer, avec quelle persévérance pleine de douceur et d’habileté, elle s’efforça de susciter des entrevues pacifiques où pourrait s’élaborer la réconciliation définitive. Car elle ne se contenta point de figurer dans les articles des traités, elle voulut contribuer activement à l’œuvre auguste de la paix. Comme l’écrivait Brantôme « elle servit d’un sceau très ferme pour asseurer une paix et un repos public… » Cette vie n’en paraît pas moins environnée de toute la gloire des plus brillantes cours de l’époque, et se déroule parmi les splendeurs de la Renaissance dont témoignent les fêtes officielles que nous avons décrites. Faut-il dire que tous les épisodes, même les plus romanesques de cette vie mélancolique et brillante, sont uniquement basés sur des documents authentiques. Ainsi, à la lumière de la vérité historique, nous espérons avoir rendu justice à cette reine aimante.

    Ghislaine DE BOOM était historienne, Conservateur-adjoint du Musée Royal de Belgique.

    Archiduchesse Éléonore, reine de France, un livre de Ghislaine De Boom édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Éduquer les jeunes malgré tout !

    14.00 

    Marijke Bisschop nous engage à faire de nos enfants des êtres indépendants, déterminés, bien dans leur peau et tolérants… de réintroduire l’art de l’éducation simple, du bon sens… de revenir aux basiques : clarté, sécurité, structure, amour… Tout un programme !
    Il est temps, écrit-elle, de remettre le balancier de l’éducation vers davantage d’autorité, un peu moins de « démocratie ».
    Gâter les jeunes, oui, mais à l’excès, non ! Une erreur est de confondre ce que les jeunes désirent et réclament avec leurs besoins réels. Avec ce genre d’amalgame on risque d’en faire des adultes insatisfaits, indécis et dépendants, qui aurons du mal à s’assumer.
    Ainsi, de manière paradoxale pour d’aucuns, on constate que, de nos jours, les jeunes réclament plus d’autorité parentale, de clarté, de limites, de sécurité…
    Ce livre nous aide à comprendre, à faire de nos enfants des êtres plus libres, déterminés et bien dans leur peau… à réinventer l’art de l’éducation, du bon sens… à chercher un équilibre sain entre compréhension et répression… à savoir fixer des limites, dire « non », sans quoi l’enfant ira droit vers la frustration.
    Ce livre regorge en outre de nombreux exemples et conseils inspirés d’expériences vécues.

    Marijke Bisschop a étudié la pédagogie à l’Université Libre d’Amsterdam aux Pays-Bas. Elle fait ensuite une spécialisation post-doctorale en thérapie comportementale au Great Ormond Street Hospital de Londres et à l’Université Catholique de Leuven en Belgique. Elle a travaillé vingt ans au département psychiatrique pour enfants à l’hopital universitaire Gasthuisberg à Leuven et quelques années à Montréal au Canada. Elle a une expérience approfondie du travail avec les enfants et les jeunes adolescents, tant en Belgique qu’aux Pays-Bas ou au Canada. Marijke Bisschop est membre agréée et superviseur au V. V. G. T. (Association flamande pour la thérapie comportementale). Elle est actuellement consultante en éducation et thérapeute comportemental. Elle anime des ateliers, donne des conférences dans les écoles pour les adolescents et leurs parents.
    Elle est l’auteur d’une série d’articles scientifiques et nombreux livres sur les problèmes de la psychologie infantile.
    Marijke Bisschop est mariée, a trois enfants et vit à Bruxelles.

    Éduquer les jeunes malgré tout !, un livre de Marijke Bisschop édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Écologie et économie aujourd’hui

    18.90 

    Le marché aveugle accompagne une croissance infinie du profit, mais la terre n’est-elle pas finie ?
    Faut-il être économiste pour voir que le capitalisme se base sur une idéologie qui profite d’abord au capital ? Et assister à la destruction de la nature et à la mainmise des multinationales sur les destins de nos sociétés ?
    Comment provoquer un changement social comparable à celui rendu nécessaire pour lutter contre le Covid19 ?

    Écologie et économie aujourd’hui, un livre de Jean Cornelis édité aux Éditions Mols

  • Dix-huit Fantômes

    15.00 

    Dans le collège pour jeunes filles de Mèrémont, une des pensionnaires, Vissia, est retrouvée, pieds et poings liés, étranglée avec ses propres cheveux. Aucune des dix-huit autres occupantes du dortoir n’a rien vu ni entendu.
    La direction du collège demande à Désiré Marco de trouver le coupable, à charge pour lui de démontrer qu’il vient de l’extérieur, le personnel étant au-dessus de tout soupçon. Marco découvrira que l’établissement cache des mœurs étranges. Ainsi, Vissia était une séductrice patentée. Les mœurs des autres jeunes filles étaient tout aussi dissolues, et les membres de l’établissement cachaient tous un secret plus ou moins lourd…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Dix-huit Fantômes, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Dieu, les Focolari et moi

    21.50 

    En ce moment, où se discute la cause de béatification et de canonisation de Chiara Lubich, fondatrice du Mouvement des Focolari, il nous a semblé indispensable de faire connaître ce témoignage et les réactions qu’il a suscitées, notamment auprès de certains Jésuites éminents et d’autres théologiens, juges, etc., au sein même de l’Église.

    Dieu, les Focolari et moi, un livre de Renata Patti édité aux Éditions Mols

  • Dieu impur

    22.00 

    L’auteur, André Van Muysewinkel, enlève aux seuls théologiens le droit d’interpréter les textes bibliques.
    Le fil rouge qu’il poursuit est la notion de pureté.

    Dieu impur, un livre de André Van Muysewinkel édité aux Éditions Mols

  • Dictionnaire passionné des racines chrétiennes de l’Europe

    26.00 

    Que ce soit dans les références littéraires, bibliques, médiévales ou classiques, les définitions conciliaires et les controverses théologiques, lors de visites d’églises ou d’abbayes, à la découverte de tableaux ou de chants liturgiques… l’amateur éclairé par le présent dictionnaire trouvera aisément son chemin (le classement alphabétique est facile à manier, à consulter, à retrouver). Comprenant le patrimoine chrétien, il en observera la cohérence. Croyant ou non, il maîtrisera le système de pensée qui a formé la chrétienté puis l’Occident jusqu’à nos jours, y compris dans la critique du dogme.

    Dictionnaire passionné des racines chrétiennes de l’Europe, un livre de François-Xavier Nève de Mévergnies édité aux Éditions Mols

  • Dictionnaire biographique des Africains

    40.00 

    Pendant des siècles, l’histoire de l’Afrique a été « anonyme », écrit le journaliste et écrivain polonais Ryszard Kapuscinski. Malgré la subtilité des intellectuels à vouloir la reléguer aux franges de la civilisation, sa part dans la marche de l’Histoire universelle reste plus que jamais incommensurable.
    Depuis l’Égypte antique jusqu’à la fin du XXe siècle, ses illustres fils et filles se sont taillé la part du lion dans l’évolution du Monde.
    Le début du troisième millénaire est une occasion de jeter un regard rétrospectif sur l’Histoire de l’Afrique à travers la vie et l’œuvre de ses acteurs et ses actrices.
    L’Afrique dont il est question est bien l’Afrique tout entière, du nord au sud, de l’est à l’ouest, sans distinction de race, de couleur, de langue et de religion.
    Tous les pays (petits ou grands) ont donné naissance à d’illustres personnalités, c’est pourquoi ce dictionnaire couvre tous les États africains du XXIe siècle sans préjuger de la valeur desdites personnalités par rapport à la taille de leurs pays. Notre but est de donner à chaque utilisateur, selon son intérêt, des références sur l’homme ou la femme qu’il veut connaître.
    Certains ont fait l’Histoire, d’autres en ont été victimes, plusieurs sont ses créatures.
    Ils sont conquérants, politiciens, écrivains, cinéastes, acteurs, sportifs, musiciens, artistes, religieux, saints, papes ou humbles citoyens, dont les destins se confondent avec celui de leur région, de leur pays et de leur continent.
    Qu’ils méritent le piédestal ou le gibet de l’Histoire, qu’on les adule ou qu’on les abhorre, ils restent, au-delà de toute controverse, les repères incontournables de la mémoire du continent et constituent, à l’instar des monuments et/ou des pyramides, son legs au patrimoine culturel universel.

    Jean I. N. Kanyarwunga est né le 18 août 1953 à Mugwata (Jomba), Nord-Kivu en R. D. du Congo. Il fait ses études secondaires au Petit Séminaire de Buhimba puis au Collège de Jomba et obtient une licence en Histoire à l’Université de Lubumbashi.
    Après avoir été professeur à l’Institut de la Gombe à Kinshasa, il travaille pendant une décennie au Ministère du Plan. En 1987, il obtient un diplôme en Etudes du développement à l’Université de Genève (I. U. E. D). Installé à Genève depuis plus d’un quart de siècle, il travaille dans le secteur privé et s’adonne à la recherche scientifique et à la littérature.
    Il est auteur d’une monographie politique : République démocratique du Congo. Les générations condamnées. Déliquescence d’une société pré-capitaliste et d’un roman de société : L’Envers du parchemin, publiés aux éditions Publibook à Paris en décembre 2006.

    Dictionnaire biographique des Africains, un livre de Jean I. N. Kanyarwunga édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Des Brainois prennent la plume

    18.00 

    Des habitants de Braine se révèlent écrivains à propos de leur commune qu’ils affectionnent :
    Jean Bosse, Emile Boucher, Richard Boulengier, Simone Lejeune, Jacques Mercier, Bernard Snoy, Jo Van Gucht et bien d’autres.

    Des Brainois prennent la plume, un livre de Collectif édité aux Éditions Mols

  • Des Belges aventureux

    21.00 

    Mon ambition est d’offrir au lecteur une invitation au voyage en compagnie de quelques Belges qui n’étaient pas casaniers, qui, partis suivant l’ordre d’un prince ou de leur propre mouvement, avaient en commun le désir de se libérer des contraintes du quotidien, de mieux connaître des civilisations qui déconcertaient ou menaçaient les Occidentaux, d’affronter tous les risques, y compris ceux de l’esclavage, de découvrir et explorer des régions encore inconnues de notre planète bleue.
    La Belgique indépendante n’avait que seize ans lorsque le baron Jules de Saint-Genois publia, dans une collection populaire de l’éditeur Jamar, deux petits volumes intitulés Les Voyageurs belges. Bien que non avouée, l’intention de l’auteur était évidemment patriotique. Il s’agissait de mettre en évidence des navigateurs, diplomates, missionnaires ou pèlerins ayant laissé la relation de leurs découvertes, le récit de leurs aventures, la description des pays qu’ils avaient parcourus et des mœurs des peuples rencontrés.

    Georges-Henri Dumont est agrégé d’histoire (Université de Louvain), ancien conservateur aux Musées royaux d’Art et d’Histoire, professeur honoraire à l’Institut catholique des hautes études commerciales, il a dirigé le cabinet de plusieurs ministres de la Culture françaises en Belgique. Ancien membre du Conseil exécutif de l’UNESCO, il préside au sein de cette organisation le comité international pour l’édition de la monumentale Histoire du développement scientifique et culturel de l’humanité. Il est membre de l’Académie royale de langue et de littérature françaises.

    Des Belges aventureux, un livre de Georges-Henri Dumont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Délices et supplices de l’au-delà

    27.50 

    Un tour d’horizon parmi les grandes religions, polythéistes ou monothéistes, occidentales ou orientales, révèle les divergences et les similitudes des conceptions sur la vie après la vie.

    Débarrassée de son enveloppe charnelle, l’âme entreprend un long et périlleux voyage parsemé d’embûches. Emmenée par des guides psychopompes, elle franchit des ponts étroits et des fleuves, elle escalade des échelles, elle traverse des tunnels… Soumise à de nombreuses épreuves, dont celles de la balance et du miroir, interrogée par des juges implacables, elle parvient enfin à sa destination finale où l’attendent tantôt une pâle survie au royaume des ombres, tantôt les supplices des enfers, tantôt encore les délices du paradis.

    Délices et supplices de l’au-delà, un livre de Xavier De Schutter édité aux Éditions Mols