• Balades dans le jardin de grands philosophes

    22.00 

    Les auteurs :
    Luc de Brabandere
    Stanislas Deprez

    Dans un style clair et didactique, Stanislas Deprez et Luc de Brabandere présentent dans ce livre les philosophes majeurs de l’Occident : Platon, Aristote, Thomas d’Aquin, Descartes, Kant, Marx, Nietzsche, Wittgenstein… (4 pages par philosophe).

    Balades dans le jardin de grands philosophes, un livre de Luc de Brabandere édité aux Éditions Mols

  • Autour des trônes que j’ai vus tomber (Louise) & Je devais être impératrice (Stéphanie)

    29.75 

    Mémoires des fille du roi Léopold II. À seize ans, Louise ne manquait pas de charme. Léopold II et Marie-Henriette s’accordèrent pour choisir le prince Philippe de Saxe-Cobourg, de la branche autrichienne, comme époux. Philippe de Saxe-Cobourg avait quatorze ans de plus qu’elle, c’était un noceur qui partageait avec le prince héritier, l’archiduc Rodolphe, de multiples aventures galantes. À Vienne, Philippe de Saxe-Cobourg s’efforça de transformer la petite oie blanche qu’il avait épousée en mondaine accomplie… Délaissée, frustrée, la princesse Louise se consolait en flirtant dans le beau monde viennois. Louise tomba amoureuse d’un fringant sous-lieutenant originaire de Croatie, Geza von Mattachich-Keylevich… L’empereur François-Joseph se laissa convaincre de faire conduire Louise dans un établissement pour malades mentaux… La Princesse, toujours étroitement surveillée, était partie faire une cure à Bad-Elster en Bavière. C’est de là que se fit une évasion digne d’un roman feuilleton… Comme sa sœur Louise et son frère Léopold, Stéphanie fut élevée à la dure. Mariée à seize ans (1881) au prince héritier Rodolphe de Habsbourg, elle se sentit très vite écartée de la vie de son mari, voire de celle de la famille impériale. L’archiduc Rodolphe multiplia les liaisons fugitives et les beuveries. Il se dégoûta finalement de lui-même et se tua, avec sa maîtresse, dans le pavillon de chasse du petit village de Mayerling, en Basse-Autriche. Les mémoires de la princesse Stéphanie sont indispensables à qui veut connaître la vie quotidienne à la cour de Bruxelles et à celle de la Hofburg où François-Joseph survécut à tous les événements…
    Les auteurs. Aînée des trois filles de Léopold II et de la reine Marie-Henriette, Louise Marie Amélie naquit à Laeken, le 28 février 1858. Deuxième fille de Léopold II et de la reine Marie-Henriette, la princesse Stéphanie naquit à Laeken, le 21 mai 1864.

    Autour des trônes que j’ai vus tomber (Louise) & Je devais être impératrice (Stéphanie), un livre de Louise de Belgique édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Au bord du Monde

    17.00 

    Dans les semaines qui précèdent l’invasion de la Belgique, Joseph et Leni, deux écrivains, trouvent refuge dans un hôtel d’Ostende. Lui est autrichien, elle allemande, ils viennent de Paris et des hôtels de la rive gauche. Lui écrit beaucoup depuis plusieurs années et est alcoolique. Elle a publié un roman à succès dans l’Allemagne des débuts du nazisme et a vingt ans de moins que lui. À Ostende, leur histoire se cristallise et prend les accents d’un film d’avant-guerre avec tous ses excès romanesques. Une sorte d’hyperfilm naturaliste du samedi-soir…
    Par ailleurs, le roman est entrecoupé de chapitres d’entretiens entre l’auteure Ursula Baum et un certain Franz, quarante ans après, à l’hôtel des Thermes d’Ostende. On découvre que tous deux se sont connus, mais à des âges différents, au cinéma Éden, à Saint-Dié, une petite ville de l’Est de la France.
    Ainsi, comme il y a des romans dans le roman et des films dans le film, Au bord du Monde est un roman dans le film, et un roman du film, tout en étant un film du roman en train de se faire… On y vit, on croit y mourir mais on survit, ailleurs, dans une autre dimension, celle du cinéma comme monde plus réel que la vie et, en somme, plus désirable.
    Serait-ce l’ombre alliée à la lumière du cinéma Éden sur l’écran de nos imaginaires ?

    Maxime Benoît-Jeannin, biographe, essayiste et roman-cier, est également scénariste. Il rend ici hommage au cinéma de sa jeunesse. Parmi ses livres récents, on peut citer Histoire de la Toison d’or (avec Pierre Houart), chronique du fameux ordre de chevalerie, et Mémoires d’un ténor égyptien, roman, tous deux parus aux Éditions Le Cri en 2006.

    Au bord du Monde, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Après toi le désert

    10.00 

    Après toi le désert, un livre de Marc Lobet édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Apparitions mariales : mythe ou réalité ?

    19.80 

    Au terme d’une enquête approfondie sur les principaux lieux d’apparitions mariales, l’auteur nous entraîne partout là où une certaine Visiteuse céleste se serait manifestée aux hommes. Depuis les plus connus tels que Lourdes, Fatima, Beauraing, Banneux ou Notre-Dame de Guadalupe (Mexique), jusqu’aux plus mystérieux comme San Damiano (Italie), Kibeho (Rwanda) ou encore Medjugorje (Bosnie).

    Apparitions mariales : mythe ou réalité ?, un livre de Louis Mathoux édité aux Éditions Mols

  • André Vésale (1514-1564)

    21.07 

    La Renaissance de la médecine. Il n’existait, jusqu’à la parution de ce livre, aucune biographie détaillée sur Vésale. La plume alerte de Robert DELAVAULT fait que ce livre, d’une si grande richesse scientifique, se lit avec le plaisir que l’on prendrait à la lecture d’un roman historique.

    Robert DELAVAULT est historien de la Renaissance.

    André Vésale (1514-1564), un livre de Robert Delavault édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • André Renard

    38.00 

    André Renard, un livre de Pierre Tilly édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • André Oleffe

    28.00 

    André Oleffe (1914-1975) est un personnage peu commun dans le paysage politique belge. Directeur général et président de la Commission bancaire, au cœur des hautes sphères économiques et financières, il sera président du Mouvement ouvrier chrétien pendant plus de vingt ans avant d’occuper une fonction ministérielle à la fin de sa vie. Président du Conseil d’administration de l’UCL, il est l’un des pères fondateurs de Louvain-la-Neuve et de la Clinique Saint-Pierre d’Ottignies.
    Personnage brillant, éclectique, homme de pouvoir et d’une grande influence, expert, il a joué, sans être sous les feux des projecteurs, un rôle de premier plan dans les grands dossiers qui ont traversé la Belgique de 1950 à 1975. Il faut citer la question scolaire, le contentieux belgo-congolais, la réforme fiscale, l’affaire de Louvain, le dossier énergétique, le fédéralisme.
    Depuis sa mort en 1975, le contexte politique, économique et social a certes connu des mutations profondes ; son œuvre et son action, qui s’inscrivent dans une période fort importante de l’histoire de la Belgique, ne manque pourtant pas de nous interpeller sur des enjeux fondamentaux de la société belge d’aujourd’hui. On pense à l’énergie, le contrôle du marché des capitaux, la fiscalité, un système de santé de qualité, le dialogue communautaire, la démocratie économique et sociale et le développement de la Wallonie.
    Cette biographie, richement illustrée et basée sur des archives inédites, nous livre le portrait d’un chrétien engagé dans son temps, visionnaire, bâtisseur. Jovial et ferme dans ses principes, charismatique et technocrate à ses heures, dirigeant et militant de terrain, il a consacré sa vie à défendre la cause de l’État, de l’Église et des travailleurs.

    Pierre Tilly est chercheur qualifié à l’UCL et professeur à la Haute École Libre du Hainaut Occidental. Auteur d’une biographie d’André Renard (Le Cri, 2005), il a publié de nombreux articles scientifiques consacrés à l’histoire de la Belgique et de la construction européenne.

    André Oleffe, un livre de Pierre Tilly édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Almanach des Fruits offerts aux signes du zodiaque

    12.00 

    Si peu de notions d’astronomie que l’on ait, on sait parfaitement que ni le dessin stellaire, ni la dénomination des signes du Zodiaque ne répondent à la réalité (…). Néanmoins, nous gardons les anciens noms qui s’associent aux légendes, aux rêves, aux croyances ancestrales. De même nous disons encore septembre, octobre, novembre, décembre, bien que ces mois ne soient plus les 7e, 8e, 9e, 10e mois de l’année, depuis que Charles IX (…) a modifié le calendrier en fixant le départ de l’année au premier janvier, et non plus à Pâques. Nous savons que le muguet n’a rien à voir avec le bonheur humain, mais personne ne songe à combattre, personne ne tente de détruire cette fiction amicale, personne non plus n’empêche le gui, suspendu au plafond de Noël, de permettre un baiser. (…) Ainsi, jetés dans l’univers stellaire, sont mis à portée de nos regards, les mythologies antiques de Grèce ou de Rome, mêlées au monde arabe, auquel beaucoup d’étoiles doivent leurs noms. Le Bouvier nous est offert par la Bible. Le Zodiaque fut précisé 3 000 ans avant notre ère, et il continue à nous donner une nourriture onirique de haute qualité. (…) Que le lecteur ne cherche donc que le seul plaisir du rêve et de la fantaisie dans cet « Almanach perpétuel » (…)

    Marie Gevers (Edegem, 1883-1975) compte parmi les plus grands écrivains belges de langue française. Elle fut membre de l’Académie de langue et de littérature françaises (1938). D’abord poète, elle publia Missembourg, Les Arbres et le vent (prix Eugène Schmits 1924). Ses autres livres, récits et romans, chantent la sauvage beauté de la Campine anversoise, la « primitivité épique » des gens qui y vivent ou la somptuosité des saisons qui se posent sur les choses. Elle se révèle aussi fine psychologue dans Madame Orpha, ou la sérénade de mai (prix du Roman populiste 1934), Paix sur les champs, La Ligne de vie. Parmi ses autres livres : Plaisir des parallèles (Le Cri, 2002), La Comtesse des digues, Guldentop, Le Voyage de frère Jean, La Grande Marée, Plaisir des météores, L’Oreille volée, Château de l’Ouest, L’Herbier légen-daire, Vie et mort d’un étang (autobiographique).

    Almanach des Fruits offerts aux signes du zodiaque, un livre de Marie Gevers édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Alexandre Farnèse

    23.00 

    Alexandre Farnèse fut l’un des plus grands condottieri du xvie siècle. Il était le fils d’Ottavio Farnèse, duc de Parme, arrière-petit-fils de Paul III, et de Marguerite, fille de Charles Quint d’Espagne, dite « Madama ». Dans la seconde moitié du xvie siècle, marquée par les luttes entre la Réforme protestante et la Contre-Réforme catholique, aux Pays-Bas, en France et en Allemagne, Alexandre Farnèse met son génie militaire au service de son oncle, Philippe II d’Espagne, en combattant victorieusement dans les Flandres, aux Pays-Bas et en France. Devenu célèbre pour la reconquête d’Anvers, le désastre de l’« Invincible Armada » l’empêchera de débarquer en Angleterre. En France où Philippe II l’avait envoyé, il libéra Paris en 1590 du siège des huguenots d’Henri de Navarre. Celui que les Anglo-Hollandais avaient surnommé « le Parme », était très connu en Hollande. Adversaire craint mais respecté, il fut admiré pour ses talents diplomatiques par Guillaume d’Orange et la reine Elisabeth d’Angleterre. La biographie d’Antonello PIETROMARCHI, basée sur les œuvres historiques et biographiques les plus récentes traitant de la lutte pour la prédominance dans l’Europe du xvie siècle, est de lecture aisée et passionnante et fait également la part belle aux personnages moins connus ou secondaires.

    Antonello PIETROMARCHI a commencé sa carrière diplomatique en 1955. Il a été Premier Secrétaire à Washington, ministre conseiller au Caire, ambassadeur au Maroc et en Hollande. C’est là qu’il a entamé ses recherches sur d’Alexandre Farnèse, héros italien aux dons moraux, militaires et diplomatiques certains. Depuis 1995, Antonello PIETROMARCHI a dirigé le « Département des Italiens dans le monde » à la présidence du Conseil. Il a notamment publié Luciano Bonaparte, il fratello nemico di Napoleone (Mondadori, 1994) qui a reçu le Prix Castiglioncello et qui est publié en français par la Librairie Académique Perrin, et Un Occhio di riguardo : la vita del Conte Primoli (Firenze, 1985) paru en français sous le titre Un Romain chez les Bonaparte.

    Alexandre Farnèse, un livre de Antonello Pietromarchi édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Albert II

    11.03 

    Destin peu ordinaire que celui d’Albert II. “Premier voyageur de commerce” de belgique pendant plusieurs années, il monte sur le trône à un âge où la majorité des hommes songent à la retraite. Et c’est pour succéder à son frère aîné, Baudouin, un roi emblématique, quasi béatifié par un pays qui vient de se transformer en état fédéral. La mission s’annonce dificile.

    Pol van den Driessche en est le coauteur.

    Albert II, un livre de Luc Neuckermans édité aux Éditions Mols

  • Ainsi sont-ils

    20.90 

    L’homme, ce grand mystère… Au fil de ces contes et nouvelles, l’auteur parcourt la grande aventure, parfois tragique, parfois drôle, sur 2000 ans, de Judas à nos jours et tente d’embrasser le paradoxe humain avec ses forces et ses faiblesses, ses moments de gloire et ses lâches renoncements.
    « Ainsi sont-ils ? – Ainsi sommes-nous, pour le meilleur et pour le pire. »

    Ainsi sont-ils, un livre de Jean-Luc Ancely édité aux Éditions Mols

  • Ainsi fut dissipé le charme nostalgique

    21.00 

    Croyez-vous à ces livres écrits avec un soin quasi suranné qu’adapta si bien à l’écran James Ivory ? Croyez-vous qu’un beau style est éternel et qu’il peut revêtir une belle histoire comme un complet, sorti des mains d’un grand tailleur, habille un bel homme bronzé et sportif ? Croyez-vous à l’émotion d’un geste ? Oui ? Ce livre est pour vous.
    Élégance, style, réserve et sensibilité sont les qualités les plus évidentes de ce texte, chef-d’œuvre d’un auteur reconnu pour son érudition et sa ferveur.
    L’humour ne manque pas au rendez-vous que donne au lecteur un couple d’aristocrates polonais en exil sur la côte Est des États-Unis au début des années cinquante. Rendez-vous nostalgique et mystérieux pourtant, dans la grande tradition des romans anglo-saxons. Mais on pense aussi à Tourgueniev et tel personnage (Karl, le trop proche cousin du couple, par exemple) ouvre des blessures inguérissables autant qu’entretenues. C’est bien là le livre de la fidélité aux « anciens maîtres », dans un large geste de restauration d’une littérature d’artiste à mille lieues du scandale permanent nourri depuis quelques saisons par des éditeurs pressés de vendre.
    La langue d’Yves-William Delzenne est harmonieuse à en oublier ce que son propos a de singulier, voire de provocateur. Ici sont réunis tant de bonheurs d’écriture que seul demeure, lecture achevée, le souvenir d’un paradis pourtant manqué par Cyril, le narrateur d’une histoire irrémédiable.
    Un coucher de soleil sur la mer…

    Yves-William Delzenne, acteur dès l’âge de seize ans, donne quelques années plus tard des récitals « poésie et musique » en compagnie de la pianiste Bernadette Notelet. Devenu galeriste, il est aussi le commissaire de diverses expositions d’Art contemporain. Poète (Le Polonais, Poèmes d’amour persans, Via Venezia, L’immortel bien-aimé), dramaturge (Les Désirables), nouvelliste (La Nostalgie batailleuse) et romancier (La Course des chevaux libres, Un Amour de fin du monde, Le Sourire d’Isabella, L’Orage, Les Tours de Dresde) ; sa personnalité mystérieuse très « fin de siècle », moderne cependant, en rupture souvent, éclaire le paysage littéraire d’un jour singulier.

    Ainsi fut dissipé le charme nostalgique, un livre de Yves-William Delzenne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Aimer durablement n’est pas plus naturel à l’Homme que la rose au jardin

    20.00 

    Cet ouvrage ne donnera ni recettes ni mode d’emploi, mais proposera d’éviter quelques pièges. Il tentera de démonter certaines fausses évidences qui mènent trop de couples de bonne volonté au naufrage. Il posera la question de la fidélité et de l’érotisme au long cours. Il pourra suggérer de s’étonner, se séduire, se rechoisir, sans cacher que souvent le sentiment et l’amour durable ne sont pas plus naturels à l’homme et à la femme que la rose au jardin…

    Aimer durablement n’est pas plus naturel à l’Homme que la rose au jardin, un livre de Armand Lequeux édité aux Éditions Mols

  • Ado ! As-tu confiance en toi ?

    12.00 

    Co-édité avec Nanook Learning Center (paru en néerlandais chez Lannoo en 2005, 3e réimpression), voici au éditions Le Cri un guide pédagogique de survie unique pour les jeunes en pleine adolescence.
    Marijke Bisschop propose aux jeunes, à leurs parents et leurs éducateurs, des stratégies pratiques pour acquérir davantage confiance en soi.
    Pour avoir travaillé avec des milliers de jeunes dans les écoles, dans les mouvements de jeunesse et au sein de ses consultations privées, elle a ici utilisé leurs questionnements et tiré profit de nombreuses expériences vécues. Certaines anecdotes du livre sont ainsi inspirées de la vie de ces jeunes.
    Deux personnages ludiques accompagnent le lecteur pour illustrer les analyses de Marijke Bisschop : POSI, qui symbolise la confiance en soi. Il soutient, motive et encourage. Par contraste, NEGA, une petite voix énervante et lassante, tente de déstabiliser. Il est imprévisible et jaloux.
    Pour Marijke Bisschop, Marc Wasterlain, que tout le monde connaît pour ses bandes dessinées, a tenu à rehausser l’ouvrage en l’illustrant, notamment des personnages de Posi et Nega.
    Voici donc un ouvrage à la fois didactique et ludique, par une des grandes spécialistes en la matière, destiné à l’épanouissement des jeunes comme des moins jeunes.

    Marijke Bisschop a étudié la pédagogie à l’Université Libre d’Amsterdam aux Pays-Bas. Elle fait ensuite une spécialisation post-doctorale en thérapie comportementale au Great Ormond Street Hospital de Londres et à l’Université Catholique de Leuven en Belgique. Elle a travaillé vingt ans au département psychiatrique pour enfants à l’hopital universitaire Gasthuisberg à Leuven et quelques années à Montréal au Canada. Elle a une expérience approfondie du travail avec les enfants et les jeunes adolescents, tant en Belgique qu’aux Pays-Bas ou au Canada. Marijke Bisschop est membre agréée et superviseur au V. V. G. T. (Association flamande pour la thérapie comportementale). Elle est actuellement consultante en éducation et thérapeute comportemental. Elle anime des ateliers, donne des conférences dans les écoles pour les adolescents et leurs parents.
    Elle est l’auteur d’une série d’articles scientifiques et nombreux livres sur les problèmes de la psychologie infantile.
    Marijke Bisschop est mariée, a trois enfants et vit à Bruxelles.

    Ado ! As-tu confiance en toi ?, un livre de Marijke Bisschop édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • ADN Politique

    20.00 

    ADN Politique se veut une proposition concrète de mise en place et d’exécution du nouveau mouvement Les Engagés en proposant une vision claire et construite.

    Livre de référence sur les grandes questions de société actuelles, il fait écho au livre intitulé Van Hol naar Vol de Sammy Mahdi, Secrétaire d’État aux Réfugiés et à la Migration et candidat déclaré,#769; à la présidence du CD,V, paru en octobre 2021.

    ADN Politique, un livre de Marc-Antoine Mathijsen édité aux Éditions Mols

  • À vendre ou à louer

    20.90 

    Qui n’a pas rêvé de posséder les clefs des plus beaux appartements de Paris pour y vivre sans attaches ? Jean-Baptiste, agent immobilier, y retrouve ses conquêtes d’un soir et jouit de cette vie nomade et sans accrocs jusqu’au jour où le destin surgit dans l’une de ses garçonnières, sous les traits d’une inconnue agonisante, qu’il sauve in extremis et qui s’évapore aussitôt.

    À vendre ou à louer, un livre de Valentine de le Court édité aux Éditions Mols

  • À l’attention de Sa Majesté le Roi

    29.00 

    À l’attention de Sa Majesté le Roi constitue la ‘radioscopie’ de la monarchie la plus complète à ce jour. Ce livre détaille le rôle, la fonction, les pouvoirs et la valeur symbolique du Roi en Belgique.
    Il a bénéficié d’une présentation en séance académique à la Chambre des représentants à l’invitation de son Président, M. Herman De Croo, et en présence du Vicomte Etienne Davignon, Ministre d’Etat.

    Les auteurs :
    Robert SENELLE, professeur émérite de l’Université de Gand, auteur de nombreux ouvrages, un des précepteurs du prince Philippe;
    Emile CLEMENT, licencié en Sciences politiques et sociales (KUL);
    Edgard Van de VELDE, chargé de cours à l’Europese Hogeschool EHSAL à Bruxelles.

    À l’attention de Sa Majesté le Roi, un livre de Robert Senelle édité aux Éditions Mols

  • À contretemps

    22.50 

    Familles recomposées, homoparentalité, mort dans la dignité : la parole est au politiquement correct. Né en 1980, au pays de l’American way of life, le politiquement correct n’a pas tardé à franchir l’Atlantique. Son discours, qui se réclame de la démocratie, est, en réalité, l’arme principale d’une pensée dominante, voire unique. Arme redoutable : la parole, notait déjà Talleyrand, a été donnée à l’homme pour déguiser sa pensée. Sous prétexte de promouvoir le « vivre ensemble », la société, qui prône le libre arbitre individuel, devient en réalité liberticide. Pis encore, de contrainte sociétale, le politiquement correct se mue parfois, sournoisement, en contrainte légale : toute opinion politiquement incorrecte est alors bâillonnée par un pouvoir civil « démocratique ».

    À contretemps, un livre de Mutien-Omer Houziaux édité aux Éditions Mols

  • Harry Dickson – 18. Les trois Cercles de l’épouvante

    6.50 

    Quelqu’un menace la police de Londres d’exécuter les six hommes en état de léthargie, arrêtés dans divers parcs, si elle ne libère pas Fang-Suh, le tenancier d’une fumerie d’opium. Or, Fang-Suh est exécuté et les six hommes étranglés dans leurs lits. Le surintendant Goodfield est alors victime du même mal étrange que les six hommes et on ne tarde pas à réclamer en outre vingt-mille livres de rançon en échange de sa vie. Harry Dickson et son élève Tom Wills vont se lancer au secours de Goodfield, leur ami de toujours. La fumerie de Fang-Suh leur révélera un dragon, des figurines en cire étrangement ressemblantes aux six victimes des parcs, des « Chevaliers de la Lune », un univers asiatique emprunt d’opium et de science occulte, avant qu’ils ne puissent dénouer l’énigme du mal qui ronge leur ami Goodfield.

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 18. Les trois Cercles de l’épouvante, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 17. Les Gardiens du gouffre

    6.50 

    Avant de mourir, l’explorateur Walter Somerville a demandé à Harry Dickson de protéger sa fille Ethel, lorsque cette dernière appelle le célèbre détective à l’aide.
    Dickson et son fidèle Tom Wills vont alors se lancer dans une folle course poursuite jusqu’au Pérou, d’où Somerville aurait ramené une précieuse émeraude : le Soleil vert. Il sera notamment question d’un cambrioleur de génie — le Chat-Tigre —, d’un lac fantôme et de richesses souterraines, avant que nos deux héros ne puissent résoudre l’énigme des « gardiens du gouffre ».

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 17. Les Gardiens du gouffre, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 16. La Résurrection de la Gorgone

    6.50 

    Le jeune journaliste Albert Renders meurt les organes broyés. Il avait pourtant échappé au sculpteur fou Mattheus Jarns, qui voulait le fondre dans sa statue Lutte de Centaures.
    Harry Dickson se fait passer pour Jonas Flemmington, amateur d’art américain, pour se rendre chez la redoutable mais non moins ravissante artiste Miss Euryale Ellis, qui souhaite lui vendre des œuvres de Jarns. Dès lors vont se bousculer Gorgones de la mythologie grecque — femmes à chevelures de serpents qui transforment les hommes en statues —, drogues à base d’herbes soporifiques, un adapte des sciences occultes, Nathaniel Rock — compagnon de Miss Ellis —, qui terrorisa Londres…
    Dickson aura fort à faire pour ne pas finir en statue et pour échapper à ce qui ressemble furieusement à de la magie noire…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 16. La Résurrection de la Gorgone, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • 30 témoins morts

    20.00 

    Trente témoins qui auraient pu parler au procès Dutroux ne sont plus de ce monde…

    30 témoins morts, un livre de Douglas De Coninck édité aux Éditions Mols

  • Harry Dickson – 15. La Rue de la Tête-Perdue

    6.50 

    Deux dames sans histoires, Slowby et Wood, paisibles habitantes de Harcester, disparaissent après la visite d’un étrange inconnu. Abe Niggins, l’archiviste du coin, découvre sur la nappe des deux dames un dessin représentant le symbole de l’antique Babylone.
    Par ailleurs, dans une cave de faux-monnayeurs dans la rue de Harcester, les faussaires se sont suicidés avant l’arrivée des autorités. On découvre aussi les corps de deux vieilles dames horriblement étranglées. Le symbole de l’antique Babylone se trouve sur un des murs.
    Harry Dickson va concentrer ses efforts sur la rue de Harcester, dites de la « tête-perdue » — on peut en effet y voir une statue décapitée —, où il tentera de comprendre et d’enrailler les tenants et aboutissants d’un culte sordide…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 15. La Rue de la Tête-Perdue, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 14. Le Temple de fer

    6.50 

    Des jeunes hommes riches sont enlevés. On soupçonne les adeptes du Temple de fer et un matelot portugais qui, le lendemain de son incarcération, est retrouvé mort. On arrête également six mulâtres dont l’appartenance au Temple semble établie, mais le véhicule qui les transporte se volatilise en cours de route. À la recherche de la vérité sur les origines, la réalité et les desseins du Temple de fer, Harry Dickson va être confronté à un être d’une rare cruauté…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 14. Le Temple de fer, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 13. Le Cabinet du Dr Selles

    6.50 

    Antime Paradieu meurt terrorisé lors d’une conversation téléphonique. Mr Midgett est retrouvé pratiquement déchiqueté. Ils étaient tous deux patients du Dr Selles, dont la maison recèle passages secrets, fenêtres escamotables, pièces fantômes, cris, magie noire et sang…
    Voilà les ingrédients de l’intrigue qu’auront à dénouer le fameux Harry Dickson et son indéfectible élève Tom Wills.

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 13. Le Cabinet du Dr Selles, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 09. La Cité de l’étrange peur

    6.50 

    Tout commence à Londres dans le quartier paisible de Ham, dont les habitants semblent étrangement isolés de ceux des quartiers voisins. Toutefois, les amis de Mrs Hasslop, dont l’écrivain public Mr Doove, se réunissent chaque mardi soir chez cette dernière. Or, Mr Doove est en retard à la dernière réunion, il a été témoin du meurtre par balle d’un matelot aux abords du Scotch Saloon, près de Ham. À l’autopsie, on découvre que le matelot aurait été électrocuté.
    Sur les lieux, Harry Dickson se souvient aussitôt de quatre crimes similaires perpétrés dix ans auparavant. Molly Vink, à la fois au service de Mrs Hasslop et voleuse notoire, s’est introduite dans Ham pour découvrir son secret et dérober une fortune. Mais, terrorisée, elle doit pourtant fuir lorsqu’elle est confrontée, chez sa patronne, à une effrayante inconnue. Un marchand d’oiseaux, qui erre la nuit une cage sous le bras, semble être à l’origine des électrocutions meurtrières. À la recherche du marchand, Dickson constate que les habitants de Ham ont eux aussi déserté le quartier.
    Son enquête et l’historique de Ham mèneront le détective aux origines de l’énigme : dans une île des mers du Sud !

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 09. La Cité de l’étrange peur, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 08. Les Vengeurs du Diable

    6.50 

    Minuit ! En prêtant l’oreille, on pourrait entendre le lamento du carillon de Westminster ou la grave sonorité de Big-Ben. Les bruits du dehors sont ouatés par le brouillard. À l’intérieur du British Museum, le silence est complet. Même les gardiens, aux savates doublées de feutre épais, ne font pas plus de bruit que les ombres qu’agitent leurs fanaux de veille.
    Pourtant, deux des leurs meurent la nuque brisée par un « grand singe » ! Une hallucinante enquête va conduire le célèbre détective Harry Dickson à affronter le dieu Hanuman et les « Vengeurs du Diable »…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 08. Les Vengeurs du Diable, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 12. L’Étoile à sept branches

    6.50 

    Alors que Timotheus Soames sort de prison, un certain Belkirk le remplace dans sa cellule. On retrouve ce dernier drogué et on soupçonne Soames d’être mystérieusement revenu dans son ancienne cellule afin de récupérer un objet précieux.
    Belkirk est à son tour libéré et, alors que Tom Wills — fidèle élève d’Harry Dickson — le filait, il est assassiné d’une décharge électrique dans une ruelle de Covent Garden, serrant contre lui une étoile de métal à sept branches !
    On raconte que l’étoile appartenait deux siècles auparavant au capitane Shark, un pirate dont le secret pouvait mettre à mal l’Angleterre. Le pirate confectionna sept étoiles et en confia une à chacun de ses six complices, dont les descendants recherchent aujourd’hui la septième, car elle est l’ultime pièce pour retrouver l’emplacement du secret.
    Soames est-il en possession cette ultime clef, et donc du mystère de Shark ou de « l’étoile à sept branches » ?

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 12. L’Étoile à sept branches, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 11. Le Loup-garou

    6.50 

    Popp Podgers, riche propriétaire, entretient des rapports houleux avec ses concitoyens, jusqu’à Miss Phara Simpson (fille d’un fermier rebelle) qui refuse obstinément ses avances. Mais les choses n’en restent pas là : Barnett, garde forestier de Podgers, est tué par un loup ; les marins de Podgers refusent de naviguer, toujours par peur d’un loup qui aurait égorgé les six grand béliers reproducteurs, alors que le dernier loup aperçu dans la région remonte à 1846 ; le capitaine Sandbury, au service de Podgers, meurt lui aussi, précipité d’une tour par un grand loup !
    Pourtant, Podgers se fiance soudain à l’acariâtre Miss Lippman, directrice de l’école.
    Entre le fermier Simpson et sa fille, entre Miss Lippman et Podgers, entre les histoires de loups et de meurtres, le célèbre Harry Dickson aura du fil à retordre.

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 11. Le Loup-garou, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 10. Les Tableaux hantés

    6.50 

    Le grand collectionneur Frédéric Mandelme fait appel à Harry Dickson car deux personnages d’une de ses œuvres de l’école lombarde ont été effacés, alors que le tableau se trouvait enfermé dans un lieu sécurisé.
    Le célèbre détective découvre rapidement que la peinture est d’une facture plus récente. C’est alors que Warkins, le maître d’hôtel de Mandelme, est assassiné…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 10. Les Tableaux hantés, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 07. Le singulier M. Hingle

    6.50 

    L’Attikos, en provenance du Pirée, remonte la Tamise chargé de fret. Un homme saute à quai. Au coin de Malabar Street, il bouscule intentionnellement un docker ivre, qui est aussitôt happé par un autobus. C’est le début d’une série impressionnante de crimes indescriptibles, tous signés Mr Hingle.
    Dickson et le surintendant Goodfield se lancent sur la piste de leur ami enlevé lors d’une soirée offerte en l’honneur de la visite à Londres du prince afghan Am Doullah. Ils sont suivis par deux suspects que Dickson abat froidement sous le regard médusé de Goodfield. Suit alors une course folle à travers un dédale de souterrains sordides où Dickson et Goodfield parviennent à libérer in extremis Tom Wills d’une mort assurée, à la merci du prince et de ses tueurs. Mais quel est le lien entre Am Doullah et Hingle ? L’enquête se transforme en véritable chasse, sinon en carnage, Dickson étant déterminé à éradiquer définitivement le mal.
    Il faudra encore une confrontation avec la belle mais non moins redoutable princesse Ludmillah Werenoff, un voyage hallucinant sur une plage entourée de falaises, un albatros happé en plein vol par une araignée géante, un crabe horrible encore plus grand, quatre dacoïts — tueurs indiens fanatiques — et une ultime offensive pour venir à bout de l’énigme de ce singulier Mr Hingle. Mais qui a jamais rencontré le véritable Mr Hingle ? Dickson le révèle alors que nous sommes à bout de souffle.

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 07. Le singulier M. Hingle, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 06. La terrible Nuit du zoo

    6.50 

    Comme d’habitude, Bill Wackens effectue sa ronde nocturne dans le pavillon des fauves du zoo de Londres — qu’il a pris soin de fermer à clefs de l’intérieur —. À l’aube, on le retrouve déchiqueté par un monstre. Un étrange vagabond est repéré sur les lieux. Par ailleurs, la dernière acquisition du zoo — un magnifique loup blanc — a elle aussi été abattue d’une balle. Harry Dickson et Tom Wills vont être entraînés dans une enquête hallucinante où le Dr George Huxton disparaît sans laisser de trace, au nez et à la barbe de son assistant Cabuy, et où la fiancée de Huxton, Luciana de Haspa — scientifique à l’origine de l’achat du loup blanc —, prétend vouloir les aider à résoudre l’énigme…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 06. La terrible Nuit du zoo, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 05. On a tué M. Parkinson

    6.50 

    Joachim Parkinson, propriétaire nanti du show des « phénomènes », souhaitait racheter Heertha — un splendide puma — au directeur du cirque Bidderstone. Mais Parkinson est assassiné d’une flèche d’or à proximité de la cage aux lions.
    Lorsque Harry Dickson arrive sur les lieux du crime, il constate que le cadavre a disparu. C’est alors que le dompteur Hardmuth est mortellement blessé par le puma. Il existe forcément des liens entre tous ces événements : de l’intérêt que nourrissait Parkinson pour le félin, aux flèches meurtrières. Harry Dickson opère dès lors une descente vers le monde des forains…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 05. On a tué M. Parkinson, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 04. La Maison du Grand Péril

    6.50 

    De nuit, Harry Dickson et son élève Tom Wills font une promenade lorsque leur attention est attirée, dans la vitrine du commerçant Phil Rummy — mort un mois auparavant —, par l’étrange silhouette d’un homme chauve. Ils perquisitionnent les lieux et découvrent une chaise royale ainsi qu’une missive annonçant l’assassinat de Lady Ruth Branican, meurtre que Dickson ne pourra éviter. Terrorisé, le mari de la victime refuse toute collaboration, mais révèle qu’il a rencontré Lady Branican à Téhéran en Perse. Le célèbre Harry Dickson parviendra-t-il à remonter aux sources du mal birman qui hante la « Maison du Grand Péril » ?

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 04. La Maison du Grand Péril, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 03. L’Affaire Bardouillet

    6.50 

    Charles Bardouillet, myope et discret jusqu’au jour où on le découvre mort, faisait chanter les riches, dont Hamilton Melton — l’amant de Lady Elisa Ogilvy — qui, lui aussi, vient de passer de vie à trépas, mais en se suicidant, ruiné. Le maître chanteur aurait pu être la victime d’une de ses proies, si Lady Elisa Ogilvy ne prétendait l’avoir vu bien vivant et avoir été, à nouveau, l’objet d’une tentative de chantage de sa part. Par ailleurs, la comédienne Charlotte Hyams a certainement joué un rôle trouble d’intermédiaire entre Bardouillet et Lady Ogilvy : elle fréquentait d’autres victimes de Bardouillet ! Autant d’intrigues que le fameux Harry Dickson aura à débrouiller, sans compter la disparition, depuis quelques jours, du comédien Bell…

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 03. L’Affaire Bardouillet, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 02. Le Lit du diable

    6.50 

    En 1858, John Grestock revient en Écosse dans le lugubre manoir familial de triste réputation qu’il a quitté huit ans auparavant. Quelle n’est pas sa surprise lorsqu’il constate que sa chambre est aujourd’hui luxueusement meublée ! Mais il remarque des traces de sang sur le lit, et deux hommes lui proposent une somme considérable pour qu’il ne remette plus jamais les pieds à Grestock Island !
    Cette histoire parvient, cinquante ans plus tard, aux oreilles du célèbre Harry Dickson, qui fait aussitôt le lien avec l’affaire sur laquelle il enquête, à savoir l’inscription laissée sur un rocher en Écosse par un géologue assassiné. Juste avant de mourir, la victime a eu le temps d’écrire : « Grestock » !
    Sur les lieux, Harry Dickson et son fidèle élève Tom Wills parviendront-ils à démasquer ceux qui, voués à un culte de l’antique Babylone, hantent le « lit du diable » ?

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 02. Le Lit du diable, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • 111 Films

    23.00 

    Grâce à Jacques De Decker, que je ne puis assez remercier des découvertes que ce travail m’a permis de faire, et en tenant compte des limites matérielles qui s’imposaient, j’ai extrait du demi-millier de livraisons de Spécial les 111 comptes rendus cinématographiques du présent ouvrage.
    Très professionnel, Vaes se soumettait à la discipline de ne traiter que brièvement d’un chef-d’œuvre (Andrej Rublëv, Délivrance, Family Life) quand l’actualité politique et sociale requérait un maximum de place ; en ces années-là, l’horreur s’arrêtait au Viêt-nam, commençait au Chili, mais l’attention du Rédacteur en chef était surtout braquée sur la politique zaïroise… Le critique s’imposait aussi une séparation stricte entre la création littéraire et le second — ou premier — métier, qu’il voulut ensuite oublier. (…)
    L’humour corrosif, noir parfois, joue de trouvailles langagières qui ne permettent jamais au lecteur de ronronner dans son fauteuil…
    (Extrait de la préface d’André Sempoux)

    111 Films, un livre de Guy Vaes édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Harry Dickson – 01. Cric-Croc, le mort en habit

    6.50 

    Cric-Croc, un bandit à tête de mort et en redingote, terrorise Londres. Il vient notamment d’enlever sur scène la ravissante actrice Gladys Faires, alors qu’elle répétait la dernière pièce du populaire dramaturge Périclès Holdon. Pendant ce temps, une bande de truands, versés dans la traite des blanches (de préférence des jolies comédiennes) dans les bas quartiers de Londres, sont éliminés un à un par un justicier fantôme. Le célèbre Harry Dickson pourra-t-il venir en aide à Scotland Yard pour dénouer les liens qui unissent ces deux affaires ?

    Jean Ray, pseudonyme de Raymond Jean Marie De Kremer (Gand, 1887-1964), tissa sa légende personnelle d’« écumeur de mers », de « flibustier d’un autre âge », de « trafiquant à l’époque de la prohibition ». Romancier, il signa Malpertuis. Il fut l’auteur d’un grand nombre de contes qui l’ont conduit à la notoriété lors de la publication des Contes du whisky en 1925. Parmi son œuvre : La Cité de l’indicible peur, Les Derniers Contes de Canterbury, Le Livre des fantômes, Les Contes noirs du golf. Ses livres ont été traduits en anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, japonais, etc. Son œuvre a fasciné de nombreux cinéastes et a été adaptée à l’écran par Harry Kümel (Malpertuis) et Jean-Pierre Mocky (La Grande frousse). Ami de Michel de Ghelderode, cette figure hors du commun — il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages écrits en néerlandais sous le pseudonyme de John Flanders — tend peu à peu à se confondre avec sa légende. Jean Ray n’en demeure pas moins le maître incontesté du fantastique policier. Voici enfin rééditées ses plus belles aventures de Harry Dickson.

    Harry Dickson – 01. Cric-Croc, le mort en habit, un livre de Jean Ray édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • No thumb

    Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles) – ePub

    15.99 

    Que peuvent nous apprendre les prédictions de l’Almanach de Mathieu Laensbergh en matière d’éveil aux idées des Lumières, au XVIIIe siècle ? Quel changement de mentalité à l’égard des pratiques magico-religieuses laissent entrevoir les commentaires du livret de pèlerinage à Saint-Hubert en Ardenne ? Comment les mémoires rédigés à l’occasion de procès opposant des communautés rurales aux autorités manifestent-ils le progrès du rationalisme critique, à travers un lexique où le bourgeois sensible côtoie l’aristocrate éclairé ? C’est à de telles questions que tâche de répondre le présent ouvrage, à partir d’une documentation associant littérature « populaire », journaux, catalogues de libraires, chansons, etc. La communication orale y trouve une place importante, notamment quand elle se fait dialectale. La diffusion de valeurs et d’interrogations communes s’opère aussi par le théâtre, où drames sérieux, vaudevilles et opéras-comiques – nous sommes au pays de Grétry – composent un véritable « paysage culturel ».