• À contretemps

    22.50 

    Familles recomposées, homoparentalité, mort dans la dignité : la parole est au politiquement correct. Né en 1980, au pays de l’American way of life, le politiquement correct n’a pas tardé à franchir l’Atlantique. Son discours, qui se réclame de la démocratie, est, en réalité, l’arme principale d’une pensée dominante, voire unique. Arme redoutable : la parole, notait déjà Talleyrand, a été donnée à l’homme pour déguiser sa pensée. Sous prétexte de promouvoir le « vivre ensemble », la société, qui prône le libre arbitre individuel, devient en réalité liberticide. Pis encore, de contrainte sociétale, le politiquement correct se mue parfois, sournoisement, en contrainte légale : toute opinion politiquement incorrecte est alors bâillonnée par un pouvoir civil « démocratique ».

    À contretemps, un livre de Mutien-Omer Houziaux édité aux Éditions Mols

  • Ne laissons pas mourir l’Église.

    22.00 

    De plus en plus de catholiques ont « mal à leur Église ». Cela signifie qu’ils la reconnaissent, qu’ils la respectent, qu’ils lui veulent du bien, qu’ils comptent sur elle et donc qu’ils l’aiment. Mais cela dit aussi qu’ils n’y trouvent pas ce qu’ils estimeraient devoir y trouver, pour les aider à réassumer la Parole de Dieu en Jésus Christ. Nier ce fait ou se borner à condamner l’insoumission, c’est fuir la réalité. Ce serait aussi abandonner la mission de l’Église qui est de proclamer la Bonne Nouvelle et « de toutes les nations faire des disciples ».

    Ne laissons pas mourir l’Église., un livre de Paul Löwenthal édité aux Éditions Mols

  • Mémoire de la Grande grève (hiver 1960-61 en Belgique)

    22.00 

    Plus de 50 ans se sont passés depuis la «grève du siècle» qui a profondément marqué Belges et étrangers lors de ce rude hiver 1960-61. Un moment majeur qui continue de nous interpeller aujourd’hui, particulièrement en ces temps de crise. Dans cet ouvrage collectif, des chercheurs et des acteurs sociaux, belges et français, dressent un panorama large et critique de cet événement politique et social d’une ampleur inédite. Avec à la clé des questions passionnantes: la révolution sociale était-elle en marche? L’heure du printemps wallon allait-elle sonner avec cette grève? Que reste-t-il de cet événement dans la mémoire collective alors que la Belgique est à nouveau à un tournant important de son histoire? Au travers de la mémoire de cette grève de l’hiver 60-61 retracée par une trentaine d’auteur(e)s, des pans entiers et inédits de la Belgique contemporaine sont éclairés à destination d’un large public, désireux de découvrir et de mieux comprendre les ressorts profonds et les faces cachées de notre histoire commune.

    Les directeurs de cet ouvrage : Luc Courtois, historien et professeur à l’UCL; Bernard Francq, sociologue et professeur émérite à l’UCL; Pierre Tilly, historien et professeur invité à l’UCL.
    Les auteurs: Mateo Alaluf, Samia Beziou, Francine Bolle, Marie Paule Conan, Paul Delforge, Julien Dohet, Frank Georgi, José Gotovitch, Rik Hemmerijckx, Peter Heyrman, Godfried Kwanten, Catherine Lanneau, Nicolas Latteur, René Leboutte, Michaël Lebrun, Benoît Lechat, Michel Pigenet, Jean Puissant, Philippe Raxhon, Anne Roekens, Vincent Vagman, Paul Wynants.
    Avec les témoignages de Georges Dobbeleer, Jacques Hoyaux et Louis Van Geyt.

    Mémoire de la Grande grève (hiver 1960-61 en Belgique), un livre de Pierre Tilly édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Lettres de sagesse et d’amour

    22.00 

    Dans ces Lettres de sagesse et d’amour, Daniel Maurin nous fait partager son expérience spirituelle depuis son enfance chrétienne et son itinéraire oriental jusqu’à son retour au Christianisme, avec une vision élargie. Il raconte sa découverte de l’Oraison du Cœur et de la médecine de Sainte Hildegarde.

    Lettres de sagesse et d’amour, un livre de Daniel Maurin édité aux Éditions Mols

  • Lettre à mes grands petits-enfants

    22.00 

    Quel est ce désir qui nous invite à l’amour ? Désir sexuel, désir d’enfant, identité sexuelle, voici une approche nouvelle et respectueuse de ces moments souvent délicats et parfois difficiles de l’éveil du désir.

    Lettre à mes grands petits-enfants, un livre de Marie-Thérèse Fourez édité aux Éditions Mols

  • Les Querelles linguistiques en Belgique, le point de vue historique

    22.00 

    Notre intention n’est nullement, à travers ce récit purement historique, de présenter la Belgique comme un cas unique. Au contraire, en analysant à la fois le processus et sa spécificité, et en les plaçant dans un cadre général, nous voulons démontrer que la Belgique constitue un cas particulièrement intéressant. Notre thèse est que la Belgique est sans doute l’un des laboratoires les plus remarquables où les stratégies linguistiques les plus diverses des XIXe et XXe siècles ont donné naissance à des compromis linguistico-politiques qui se sont ensuite traduits dans la pratique. La reconstruction historique de cette évolution est éclairante à maints égards pour quiconque est impliqué directement ou indirectement dans la politique linguistique belge ; elle présente aussi un intérêt certain pour ceux qui souhaitent placer la problématique dans une perspective comparative. Les problèmes linguistiques qui se posent actuellement au niveau européen confèrent indubitablement une certaine valeur d’actualité au présent ouvrage.

    Els Witte est professeure émérite et ancienne rectrice de la VUB. Elle est l’auteure de nombreux ouvrages de référence sur la politique belge aux XIXe et XXe siècles. Elle préside actuellement le Vlaams Instituut voor Geschiedenis.
    Harry Van Velthoven est professeur émérite de la Hogeschool Gent. Il a publié sur le Mouvement wallon et le Mouvement flamand, la problématique bruxelloise, le libéralisme et les mouvements sociaux.

    Les Querelles linguistiques en Belgique, le point de vue historique, un livre de Els Witte édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Les eaux de mon puits

    22.00 

    A la recherche d’une vraie liberté pour elle-même et pour tous, une femme, Ivone Gebara, se penche à la margelle de son puits pour en écouter les eaux profondes.
    L’auteur cherche et raconte ses expériences de liberté au travers des faits et histoires de sa propre vie : son enfance, sa relation à son père, à sa mère, à la famille, et plus tard aux membres de son entourage, ses années d’étude et d’enseignement.

    Les eaux de mon puits, un livre de Ivone Gebara édité aux Éditions Mols

  • Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles)

    22.00 

    Que peuvent nous apprendre les prédictions de l’Almanach de Mathieu Laensbergh en matière d’éveil aux idées des Lumières, au XVIIIe siècle ? Quel changement de mentalité à l’égard des pratiques magico-religieuses laissent entrevoir les commentaires du livret de pèlerinage à Saint-Hubert en Ardenne ? Comment les mémoires rédigés à l’occasion de procès opposant des communautés rurales aux autorités manifestent-ils le progrès du rationalisme critique, à travers un lexique où le bourgeois sensible côtoie l’aristocrate éclairé ? C’est à de telles questions que tâche de répondre le présent ouvrage, à partir d’une documentation associant littérature « populaire », journaux, catalogues de libraires, chansons, etc. La communication orale y trouve une place importante, notamment quand elle se fait dialectale. La diffusion de valeurs et d’interrogations communes s’opère aussi par le théâtre, où drames sérieux, vaudevilles et opéras-comiques – nous sommes au pays de Grétry – composent un véritable « paysage culturel ».

    Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles), un livre de Daniel Droixhe édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • La nudité de Dieu

    22.00 

    Le regard de l’adolescent cherche l’authenticité et n’hésite pas à déshabiller l’autre pour le découvrir dans sa nudité. Quand il s’agit de Dieu, la démarche peut paraître d’une audace excessive voire crime de lèse-majesté.

    La nudité de Dieu, un livre de Pierre Dessy édité aux Éditions Mols

  • La légende des signes

    22.00 

    Le zodiaque : un échiquier de vie. À travers La légende des signes, le lecteur rencontrera un jeu de miroirs qui l’invitera à reconnaître les scénarios qui lui ressemblent. Chaque légende est individuelle. Ainsi, chaque lecteur puisera dans sa propre histoire les éléments (souvenirs et expériences) dont il a besoin pour découvrir ce qu’ils évoquent pour lui. Le résultat reflètera finalement sa personnalité.
    Ce livre nous invite à découvrir notre propre subjectivité en usant d’une langue essentiellement métaphorique, allusive, évocatrice, en deux mots : légendaire ou « poétique ». Il s’agit de s’arrêter un moment au bord de la route pour se tourner vers ce miroir qui « emprunte » au langage universel et séculaire de l’astrologie ses figures et ses caractères.
    Le ciel n’est donc ici qu’un à-propos, un langage original. Comme si, à travers leurs récits mythiques, les héros illustraient notre propre histoire. Comme si, en participant à leur drame et en prêtant notre voix intime aux personnages imaginaires, nous nous mettions en scène, devenant ainsi le spectateur de ce qui se trame en nous.
    La légende des signes se situe à l’opposé d’une certaine astrologie abusant le public à des fins prédictives et divinatoires. Jacques Vanaise nous propose plutôt une sorte d’anthropologie de l’imaginaire, propice à rassembler les différents personnages qui s’animent en chaque légende sur un échiquier de vie.

    Jacques Vanaise, né en 1946, étudie l’astrologie depuis plus de trente ans. Conférencier, il est par ailleurs l’auteur de nombreux ouvrages sur le sujet (dont L’Homme-Univers, Le Cri, 1993). Artisan du symbole, philosophe et poète, il s’est aussi formé à la Gestalt, à l’Analyse transactionnelle et à la Programmation neurolinguistique.

    La légende des signes, un livre de Jacques Vanaise édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • La Démocratie rêvée, bridée et bafouée (1918-1939)

    22.00 

    NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE V
    1918-1939 Ce volume consacré à la période d’entre-deux-guerres, traite de la démocratisation rapide de la politique belge après la Première Guerre mondiale, de la crise parlementaire des années trente, conséquence d’une tentation autoritaire présente dans toute l’Europe, de la dépression économique et de l’intégration problématique des travailleurs dans le système politique. L’auteur s’intéresse également à la nouvelle culture politique qui se met en place après la guerre, aux changements affectant le paysage des partis, aux relations entre mondes politique et financier, à l’impact de la politique étrangère et militaire et, enfin, au rôle de la monarchie.
    Il est difficile de jeter sur cette période un regard impartial. Le souvenir laissé par l’interbellum en général et ses dix dernières années en particulier est sombre. En 1918, beaucoup voulaient en revenir à la Belle Époque, mais en 1945, personne ne souhaite retourner aux années trente. Dans la mémoire collective, l’interbellum représente une période de crise. Cette impression tient en grande partie à l’association presque automatique des années trente au fascisme et à l’issue funeste de cette décennie. Elle ne correspond toutefois pas complètement à la réalité : un large éventail de jeunes, et pas seulement des fascistes, veulent introduire une « nouvelle ère » et poursuivront après la guerre sur cet élan rénovateur. Si l’on regarde l’histoire de façon pragmatique, on doit constater que beaucoup de réformes de la période de la Libération trouvent leur origine dans le creuset et le laboratoire de pensée des années trente.

    Emmanuel Gerard, historien et politologue belge, est professeur à la K.U.Leuven et ancien doyen de la Faculté des sciences sociales.

    La Démocratie rêvée, bridée et bafouée (1918-1939), un livre de Emmanuel Gerard édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

  • Dieu impur

    22.00 

    L’auteur, André Van Muysewinkel, enlève aux seuls théologiens le droit d’interpréter les textes bibliques.
    Le fil rouge qu’il poursuit est la notion de pureté.

    Dieu impur, un livre de André Van Muysewinkel édité aux Éditions Mols

  • Balades dans le jardin de grands philosophes

    22.00 

    Les auteurs :
    Luc de Brabandere
    Stanislas Deprez

    Dans un style clair et didactique, Stanislas Deprez et Luc de Brabandere présentent dans ce livre les philosophes majeurs de l’Occident : Platon, Aristote, Thomas d’Aquin, Descartes, Kant, Marx, Nietzsche, Wittgenstein… (4 pages par philosophe).

    Balades dans le jardin de grands philosophes, un livre de Luc de Brabandere édité aux Éditions Mols

  • Les tribulations de l’âme

    21.90 

    À l’instar des pèlerins suivant à genoux le labyrinthe, véritable dédale mystique, inscrit sur le dallage de certaines cathédrales, l’âme du défunt, équipée d’un viatique, de cartes et de guides, entame un long voyage sur les chemins qui mènent à l’au-delà.

    L’y attendent de redoutables épreuves, telles que la pesée sur une balance, la traversée d’un pont surplombant les eaux infernales, la lecture de sa propre vie dans un livre ou encore la vision de sa conscience dans un miroir, autant d’épreuves dont dépend son sort.

    Les tribulations de l’âme, un livre de Xavier De Schutter édité aux Éditions Mols

  • L’année du Roi. 1848. Léopold 1er, l’apogée d’un règne

    21.50 

    1848. La révolution, en février, chasse Louis-Philippe de son trône. Dans la foulée, les autres monarchies européennes vacillent. C’est le “printemps des peuples” qui s’étend de l’Allemagne à l’Italie, en passant par
    l’empire des Habsbourg. Celui qui menait la diplomatie européenne au nom des monarchies et du conservatisme, Metternich, est chassé et condamné à s’exiler honteusement. Au milieu de la tourmente, la Belgique, indépendante depuis seulement dix-huit ans, donne l’exemple étonnant d’un pays en paix, jouissant des libertés aqu’une constitution libérale lui procure et mettant en œuvre des réformes sociales inédites. Un pays où bals et réceptions à la Cour de Bruxelles sont l’exception brillante en Europe. Un homme personnifie cet État et le défend avec sagesse et ténacité : le roi Léopold Ier, qui usera de toute son influence et de son volumineux carnet d’adresses pour maintenir la Belgique dans la voie de la prospérité et lui éviter l’annexion par la France comme l’auraient souhaité plusieurs figures marquantes de la IIe République. Au milieu du long règne de Léopold de Saxe-Cobourg-Gotha, roi des Belges, 1848 est sans conteste “l’année du Roi”.

    L’année du Roi. 1848. Léopold 1er, l’apogée d’un règne, un livre de François Roelants du Vivier édité aux Éditions Mols

  • La Belgique et ses démons

    21.50 

    L’histoire de Belgique, dont l’indépendance ne remonte qu’à 1830, est orchestrée autour de grands événements antérieurs à sa naissance progressivement transformés en mythes dont l’influence est d’autant plus grande que leur interprétation relève de l’imaginaire. Le rêve lotharingien, la grande Bourgogne, à un degré moindre l’orangisme et, plus que tout, le nationalisme flamand et la bataille des Éperons d’or constituent ainsi les alluvions des siècles, des passions et des déchirements que l’unité de la Belgique et la monarchie ne suffisent plus à contenir…

    La Belgique et ses démons, un livre de Luc Beyer de Ryke édité aux Éditions Mols