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Wallonie 2.0. Nous étions une puissance économique, nous pouvons le redevenir !
Pendant 150 ans, la Wallonie fut une région à l’avant-garde du progrès. Technophile, ouverte sur l’international, entreprenante… Ses qualités propres lui ont permis de devenir l’un des espaces les plus prospères de la planète.
Pourquoi, à un moment donné, la Wallonie s’est-elle mise en marche plus rapidement et avec plus de succès que les autres ? Quels ont été les éléments déclencheurs de cette course en tête ? Surtout, la Wallonie peut-elle à nouveau jouer ce rôle de pionnier ?
Le XXIe siècle s’ouvre sur une nouvelle ère économique, basée sur la créativité et les réseaux. Une ère où la performance économique résultera de la force des liens tissés chez soi, mais aussi de l’abondance des connexions nouées avec l’extérieur.
Pour revenir aux avant-postes, la Wallonie ne peut se contenter de faire la même chose que les autres. Elle doit comprendre son nouvel environnement, sortir de ses conformismes et bouger plus vite que ses pairs.
Le moment est idéal. Les nouveaux outils digitaux démultiplient les interactions possibles. Une nouvelle génération a soif d’exprimer ses idées et d’entreprendre…Jean-Yves Huwart est journaliste économique, blogueur et auteur. En 2009, après dix ans d’activité dans divers médias économiques (L’Écho, Trends-Tendances), il fonde le « think tank » www.entrepriseglobale.biz. Objectif : suivre, analyser et expliquer l’impact des changements en cours dans l’économie du XXIe siècle.
En 2007, Jean-Yves Huwart avait publié Le Second déclin de la Wallonie. Il y passait en revue les erreurs et manquements des politiques économiques mises en œuvre en Wallonie depuis le début des années ’80.Wallonie 2.0. Nous étions une puissance économique, nous pouvons le redevenir !, un livre de Jean-Yves Huwart édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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MANIEMA, espace et vies
En raison de sa position géographique, le Maniema a depuis longtemps constitué un carrefour ouvrant la voie à la fois vers les Kasaï à l’ouest, le Katanga au sud et la Province-Orientale au nord. Plusieurs courants migratoires ou guerriers ont transité par le Maniema avant de poursuivre vers l’est, le nord ou le sud. Les traitants arabo-swahilis venus de l’est ont investi d’abord le Maniema avant de conquérir la Province-Orientale et les Kasaï. Au début de la colonisation belge, le voyageur Stanley et bien d’autres, comme Cameron, Foa, Von Gotzen… ont dû transiter par le Maniema pour accéder à d’autres régions du Congo. Il en va de même avec les rébellions postcoloniales : celle des Simba de 1964 a conquis le Maniema avant de se répandre au nord et à l’ouest. Quant à l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL) qui conduisit L. D. Kabila au pouvoir en 1997, elle a utilisé le même couloir pour accéder au Kasaï.
Créée en 1962, la province du Maniema perd ce statut en 1966 et voit ses sept territoires administratifs répartis entre les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, à cause des conflits qui la dominent, de son rôle dans la rébellion des Simba, mais aussi de son faible poids économique et démographique. À la suite de la nouvelle organisation administrative de 1967, le Maniema est rétabli comme l’un des trois districts de la province du Kivu recréée dans sa configuration du 30 juin 1960. Et en 1988, encore sous le régime Mobutu, le Maniema redevient une province, statut qu’il conserve jusqu’à ce jour.
En plus de l’évolution sociopolitique et administrative, cette monographie sur le Maniema consacre de longues pages aux aspects physiques (géologie, flore, faune…), à l’économie, à la santé et à l’éducation dans la province.MANIEMA, espace et vies, un livre de Jean Omasombo Tshonda édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Le Green Deal
Nous sommes arrivés au carrefour de toutes les crises : financière, bien entendu, mais aussi énergétique, sociale et environnementale. Leur source est double : la dictature du court-terme et l’exploitation effrénée de l’homme et de la nature.
Ce ne sont pas les dysfonctionnements du système qui sont intenables, mais son fonctionnement même.
Nous ne pouvons dès lors nous contenter d’un ravalement de façade.
Une régulation plus stricte de la finance ne suffira pas. Le dérèglement climatique pourrait très bien amener demain un emballement plus fort, plus rapide et plus violent encore que celui rencontré sur les places boursières.
Et que dire alors des inégalités sociales toujours plus criantes : entre personnes, territoires et générations. Le compromis historique entre capital et travail doit désormais s’ouvrir à une troisième composante : la nature. L’environnement devient alors un puissant facteur de relocalisation de l’emploi.
A crise systémique, réponse systémique.
Le Green Deal est une rupture et une invitation. Une rupture avec le sacro-saint « toujours plus » : plus riche, plus grand, plus vite. Mais également une invitation à rechercher désormais un « toujours mieux ». Il s’agit de remettre la question du sens de l’activité humaine au centre du jeu et, sur cette base, de construire une alternative politique pour une autre société.Jean-Marc Nollet est actuellement Député fédéral, Chef du groupe Ecolo-Groen à la Chambre des représentants.
Entre 1999 et 2004, il fut Ministre de l’Enfance de la Communauté française de Belgique.Le Green Deal, un livre de Jean-Marc Nollet édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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La Constitution belge, lignes et entrelignes
Toute Constitution digne de ce nom est conçue pour des citoyens libres. C’est à ceux-ci que le présent ouvrage s’adresse. Il entend mettre à leur disposition le texte même de la Constitution belge, dans sa version la plus récente, tout en les éclairant sur le contenu, la portée et les enjeux de chaque article constitutionnel. Les « lignes » et les « entrelignes » de la Constitution, en quelque sorte. Il s’agit, par là, d’entretenir, voire de renforcer, le lien étroit qui doit unir une Constitution à ses destinataires.
Cet ouvrage est une œuvre collective. Il a été réalisé conjointement par tous les membres — professeurs, assistants, chercheurs — du Département de droit public de l’Université Catholique de Louvain. Afin de renforcer la dimension citoyenne de l’ouvrage, le concours d’un certain nombre de personnalités a été sollicité. Elles sont issues de divers domaines de la société civile. Elles ont accepté, à partir d’un ou de plusieurs articles de la Constitution, de livrer un « témoignage », c’est-à-dire de prolonger le commentaire par des impressions, des expériences ou des idées plus personnelles. Ces témoignages montrent que, loin de ne concerner qu’un cercle limité de spécialistes avertis, la Constitution a vocation à interpeller tout citoyen.Marc VERDUSSEN (Bruxelles, 1962) est docteur en droit et licencié en criminologie. Avocat au barreau de Bruxelles pendant douze ans, il est aujourd’hui professeur à l’Université Catholique de Louvain, où il enseigne dans les disciplines du droit constitutionnel, du droit administratif et des droits de l’homme. Récemment, il a effectué un long séjour de recherche à la Law School de l’Université de Berkeley, en Californie. Il est actuellement professeur invité à l’Université d’Ottawa (Canada), à l’Université de Szeged (Hongrie), ainsi qu’à l’Université de Liège. Auteur de nombreux ouvrages et articles scientifiques, il a été désigné, sous la précédente législature, comme expert de la Commission parlementaire de Renouveau politique. Il vient de publier un livre sur la légitimité de la Cour constitutionnelle (Labor).
La Constitution belge, lignes et entrelignes, un livre de Marc Verdussen édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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La Belgique dans tous ses états
La Belgique nous interpelle. Pour certains, ses chances de survie sont limitées. Il n’y a plus aucune affinité entre le Nord et le Sud du pays. Dès lors, pour permettre à chacun de s’épanouir, la séparation s’impose. Pour d’autres, au contraire, il faut rester attaché à la Belgique telle qu’elle a été voulue par les Constituants en 1830, sans exclure cependant certaines adaptations, notamment la nécessité d’une plus grande décentralisation.
Ces conceptions diamétralement opposées ne sont généralement que l’expression de visions irrationnelles ou la traduction de réflexes purement émotifs, que leurs auteurs s’efforcent de justifier en se référant à des données qu’ils qualifient d’objectives, mais qui sont souvent erronées ou tronquées. (…)
L’ouvrage de Sylvain Plasschaert vient donc à son heure. Il constituera une précieuse contribution pour tous ceux qui réfléchissent à l’évolution de la Belgique et qui, dans les prochains mois, se pencheront sur son avenir.
D’abord, parce que l’ouvrage précise, voire rectifie, un certain nombre de données sur lesquelles se fondent les détracteurs de l’État belge. (…)
L’ouvrage du professeur Plasschaert apparaît comme une somme au sens étymologique du terme, c’est-à-dire « une œuvre qui résume toutes les connaissances relatives à un sujet ». Effectivement, sur le passé, le présent et l’avenir de la Belgique, on y trouve des réponses aux questions que l’on peut se poser…
(Extrait de la préface d’Étienne Cerexhe)Sylvain Plasschaert est professeur émérite de l’ Université d’Anvers et de la KULeuven. Son enseignement et ses publications ont été consacrés principalement à des problèmes économiques internationaux, et notamment au développement économique de la Chine. Il s’est également intéressé à l’évolution économique et institutionnelle de la Belgique, qu’il a pu observer, en sa qualité de membre, durant de longues périodes, du Conseil supérieur des finances, du Conseil central de l’économie, et du Conseil économique flamand.
La Belgique dans tous ses états, un livre de Sylvain Plasschaert édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Haut-Uele, trésor touristique
Les images qui viennent à l’esprit lorsque l’on songe au Haut-Uele sont d’abord celles de ses populations renommées, les Mangbetu, les Azande, les Logo, les Budu, les Mayogo — dont la richesse et la diversité des cultures avaient frappé les conquérants, tant Arabes qu’Européens.
La présente monographie a pour ambition, outre de présenter ces peuples, de donner un aperçu général de la situation géographique, du relief, de la géologie, de l’hydrographie, de la faune, de la flore et de la démographie du Haut-Uele, et d’analyser, plus en profondeur, son évolution historique, culturelle, administrative politique, économique et touristique.
Au plan historique, elle montre, notamment, comment le Haut-Uele a été particulièrement sensible aux diverses perturbations qu’a connues le pays après l’indépendance. Elle analyse la rébellion des Simba, d’abord, au milieu des années 1960, et celles de la fin des années 1990 et du début 2000, ensuite, qui furent particulièrement destructrices, rébellions auxquelles s’ajoutèrent l’affaiblissement/désintégration de nombreux pouvoirs locaux et les interventions de dirigeants d’en haut dans les affaires locales.
Elle consacre un important chapitre aux peuples qui composent le Haut-Uele, à leurs langues, à leurs expressions artistiques et musicales et à leur vie religieuse.
Au plan administratif, elle analyse pourquoi, aujourd’hui, la région connaît une organisation comportant plus de chefferies que de secteurs, ces pouvoirs locaux que l’autorité coloniale (re)construisit et/ou reconnut en fonction de critères liés à des enjeux locaux ou à ses intérêts propres.
Elle s’interroge aussi sur les raisons pour lesquelles le Haut-Uele se trouve livré au trafic et à l’occupation armée. Trafic et occupation liés à sa position géopolitique (il se situe aux frontières du Sud-Soudan et de la République centrafricaine, et non loin des frontières ougandaises, dans leurs parties les moins administrées) et favorisés par des espaces peu habités regorgeant de richesses naturelles (dont l’or et l’ivoire), d’une part, et par un pouvoir local tribal émietté de type «ancien», sans grande capacité de résistance aux conquêtes militaires, d’autre part.
Elle décrit l’évolution négative d’une économie basée, d’une part, sur des cultures (le palmier à huile, le coton, l’arachide, l’hévéa, le café Robusta) de plus en plus délaissées et, d’autre part, sur l’exploitation de mines d’or, à Moto, par un Office des mines d’or de Kilo-Moto, qui n’a pas toujours suffisamment mis en valeur les ressources existantes. Elle montre également comment l’économie des «colons» du Haut-Uele en particulier, et de la Province-Orientale en général, a été un élément déterminant, en 1973, dans la décision du régime Mobutu de nationaliser les entreprises ayant appartenu aux étrangers.
Elle aborde, enfin, les cinq grands défis qui se posent au Haut-Uele: les transports, les communications, le tourisme, dont les atouts locaux sont non négligeables, l’enseignement et la santé.Haut-Uele, trésor touristique, un livre de Jean Omasombo Tshonda édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Habiter. Un Art de Vivre
Ce livre constitue une clé, unique, rare, qui nous ouvre la porte d’un monde captivant…
Celui de l’architecture, bien entendu, mais pas n’importe laquelle. Celle d’un homme, d’un créateur, d’un professeur, d’un praticien qui chaque jour la côtoie, l’interroge, l’observe et surtout la crée.
Grégoire Wuillaume nous fait partager cette expérience unique.
Il nous fait pénétrer cet univers fabuleux.
Il parvient, à travers des mots justes, simples, à abolir la distance qui nous sépare d’une discipline pourtant tellement proche.
Il lui restitue sa place première, au cœur de nos vies. Et par un subtil jeu de miroir, nous pénétrons du même coup au creux de la sienne, profondément humaine. Les lettres qu’ils nous proposent sont avant tout le reflet d’une pensée humaniste.
(Anne Norman, écrivain et historienne d’architecture. )Sous une forme poétique, avec son iconographie fournie, ce livre constitue aussi une inspiration riche pour des projets architecturaux et de mobiliers intégrés.
Grégoire Wuillaume est architecte de référence, urbaniste, designer, il est professeur à l’Institut Supérieur d’Architecture Saint-Luc de Bruxelles.
Habiter. Un Art de Vivre, un livre de Grégoire Wuillaume édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Éduquer les jeunes malgré tout !
Marijke Bisschop nous engage à faire de nos enfants des êtres indépendants, déterminés, bien dans leur peau et tolérants… de réintroduire l’art de l’éducation simple, du bon sens… de revenir aux basiques : clarté, sécurité, structure, amour… Tout un programme !
Il est temps, écrit-elle, de remettre le balancier de l’éducation vers davantage d’autorité, un peu moins de « démocratie ».
Gâter les jeunes, oui, mais à l’excès, non ! Une erreur est de confondre ce que les jeunes désirent et réclament avec leurs besoins réels. Avec ce genre d’amalgame on risque d’en faire des adultes insatisfaits, indécis et dépendants, qui aurons du mal à s’assumer.
Ainsi, de manière paradoxale pour d’aucuns, on constate que, de nos jours, les jeunes réclament plus d’autorité parentale, de clarté, de limites, de sécurité…
Ce livre nous aide à comprendre, à faire de nos enfants des êtres plus libres, déterminés et bien dans leur peau… à réinventer l’art de l’éducation, du bon sens… à chercher un équilibre sain entre compréhension et répression… à savoir fixer des limites, dire « non », sans quoi l’enfant ira droit vers la frustration.
Ce livre regorge en outre de nombreux exemples et conseils inspirés d’expériences vécues.Marijke Bisschop a étudié la pédagogie à l’Université Libre d’Amsterdam aux Pays-Bas. Elle fait ensuite une spécialisation post-doctorale en thérapie comportementale au Great Ormond Street Hospital de Londres et à l’Université Catholique de Leuven en Belgique. Elle a travaillé vingt ans au département psychiatrique pour enfants à l’hopital universitaire Gasthuisberg à Leuven et quelques années à Montréal au Canada. Elle a une expérience approfondie du travail avec les enfants et les jeunes adolescents, tant en Belgique qu’aux Pays-Bas ou au Canada. Marijke Bisschop est membre agréée et superviseur au V. V. G. T. (Association flamande pour la thérapie comportementale). Elle est actuellement consultante en éducation et thérapeute comportemental. Elle anime des ateliers, donne des conférences dans les écoles pour les adolescents et leurs parents.
Elle est l’auteur d’une série d’articles scientifiques et nombreux livres sur les problèmes de la psychologie infantile.
Marijke Bisschop est mariée, a trois enfants et vit à Bruxelles.Éduquer les jeunes malgré tout !, un livre de Marijke Bisschop édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Dictionnaire biographique des Africains
Pendant des siècles, l’histoire de l’Afrique a été « anonyme », écrit le journaliste et écrivain polonais Ryszard Kapuscinski. Malgré la subtilité des intellectuels à vouloir la reléguer aux franges de la civilisation, sa part dans la marche de l’Histoire universelle reste plus que jamais incommensurable.
Depuis l’Égypte antique jusqu’à la fin du XXe siècle, ses illustres fils et filles se sont taillé la part du lion dans l’évolution du Monde.
Le début du troisième millénaire est une occasion de jeter un regard rétrospectif sur l’Histoire de l’Afrique à travers la vie et l’œuvre de ses acteurs et ses actrices.
L’Afrique dont il est question est bien l’Afrique tout entière, du nord au sud, de l’est à l’ouest, sans distinction de race, de couleur, de langue et de religion.
Tous les pays (petits ou grands) ont donné naissance à d’illustres personnalités, c’est pourquoi ce dictionnaire couvre tous les États africains du XXIe siècle sans préjuger de la valeur desdites personnalités par rapport à la taille de leurs pays. Notre but est de donner à chaque utilisateur, selon son intérêt, des références sur l’homme ou la femme qu’il veut connaître.
Certains ont fait l’Histoire, d’autres en ont été victimes, plusieurs sont ses créatures.
Ils sont conquérants, politiciens, écrivains, cinéastes, acteurs, sportifs, musiciens, artistes, religieux, saints, papes ou humbles citoyens, dont les destins se confondent avec celui de leur région, de leur pays et de leur continent.
Qu’ils méritent le piédestal ou le gibet de l’Histoire, qu’on les adule ou qu’on les abhorre, ils restent, au-delà de toute controverse, les repères incontournables de la mémoire du continent et constituent, à l’instar des monuments et/ou des pyramides, son legs au patrimoine culturel universel.Jean I. N. Kanyarwunga est né le 18 août 1953 à Mugwata (Jomba), Nord-Kivu en R. D. du Congo. Il fait ses études secondaires au Petit Séminaire de Buhimba puis au Collège de Jomba et obtient une licence en Histoire à l’Université de Lubumbashi.
Après avoir été professeur à l’Institut de la Gombe à Kinshasa, il travaille pendant une décennie au Ministère du Plan. En 1987, il obtient un diplôme en Etudes du développement à l’Université de Genève (I. U. E. D). Installé à Genève depuis plus d’un quart de siècle, il travaille dans le secteur privé et s’adonne à la recherche scientifique et à la littérature.
Il est auteur d’une monographie politique : République démocratique du Congo. Les générations condamnées. Déliquescence d’une société pré-capitaliste et d’un roman de société : L’Envers du parchemin, publiés aux éditions Publibook à Paris en décembre 2006.Dictionnaire biographique des Africains, un livre de Jean I. N. Kanyarwunga édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Cuisiner. Un Art de Vivre
Ce livre a sauvé mes enfants de la malnutrition ! (Une cliente au Salon du livre)
Enfin rééditée, cette somme du bon sens culinaire, avec une abondante iconographie et trois dessin originaux de Thierry Bosquet, ravira les amateurs de beaux livres et de fourneaux.
Des annexes et index pratiques permettent une lecture interactive efficace et complète, afin d’optimiser tout projet culinaire.Sous une forme efficace, avec une iconographie fournie, ce livre constitue une source d’inspiration inépuisable pour ceux qui aiment et/ou doivent cuisiner.
Marie Delcourt fut avant tout une Helléniste de première force, traductrice et biographe des grands classiques, éminent professeur à l’Université de Liège, elle était une chercheuse de haut niveau hantée par le souci de communiquer son savoir.
C’est ainsi qu’excellente cuisinière, elle tint à rédiger ce manuel culinaire à l’usage de ceux qui exerçaient une profession absorbante.
Ce contexte fera de son projet un livre exceptionnel.Cuisiner. Un Art de Vivre, un livre de Marie Delcourt édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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Ado ! As-tu confiance en toi ?
Co-édité avec Nanook Learning Center (paru en néerlandais chez Lannoo en 2005, 3e réimpression), voici au éditions Le Cri un guide pédagogique de survie unique pour les jeunes en pleine adolescence.
Marijke Bisschop propose aux jeunes, à leurs parents et leurs éducateurs, des stratégies pratiques pour acquérir davantage confiance en soi.
Pour avoir travaillé avec des milliers de jeunes dans les écoles, dans les mouvements de jeunesse et au sein de ses consultations privées, elle a ici utilisé leurs questionnements et tiré profit de nombreuses expériences vécues. Certaines anecdotes du livre sont ainsi inspirées de la vie de ces jeunes.
Deux personnages ludiques accompagnent le lecteur pour illustrer les analyses de Marijke Bisschop : POSI, qui symbolise la confiance en soi. Il soutient, motive et encourage. Par contraste, NEGA, une petite voix énervante et lassante, tente de déstabiliser. Il est imprévisible et jaloux.
Pour Marijke Bisschop, Marc Wasterlain, que tout le monde connaît pour ses bandes dessinées, a tenu à rehausser l’ouvrage en l’illustrant, notamment des personnages de Posi et Nega.
Voici donc un ouvrage à la fois didactique et ludique, par une des grandes spécialistes en la matière, destiné à l’épanouissement des jeunes comme des moins jeunes.Marijke Bisschop a étudié la pédagogie à l’Université Libre d’Amsterdam aux Pays-Bas. Elle fait ensuite une spécialisation post-doctorale en thérapie comportementale au Great Ormond Street Hospital de Londres et à l’Université Catholique de Leuven en Belgique. Elle a travaillé vingt ans au département psychiatrique pour enfants à l’hopital universitaire Gasthuisberg à Leuven et quelques années à Montréal au Canada. Elle a une expérience approfondie du travail avec les enfants et les jeunes adolescents, tant en Belgique qu’aux Pays-Bas ou au Canada. Marijke Bisschop est membre agréée et superviseur au V. V. G. T. (Association flamande pour la thérapie comportementale). Elle est actuellement consultante en éducation et thérapeute comportemental. Elle anime des ateliers, donne des conférences dans les écoles pour les adolescents et leurs parents.
Elle est l’auteur d’une série d’articles scientifiques et nombreux livres sur les problèmes de la psychologie infantile.
Marijke Bisschop est mariée, a trois enfants et vit à Bruxelles.Ado ! As-tu confiance en toi ?, un livre de Marijke Bisschop édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)
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de Guy Vaes
111 Films
Grâce à Jacques De Decker, que je ne puis assez remercier des découvertes que ce travail m’a permis de faire, et en tenant compte des limites matérielles qui s’imposaient, j’ai extrait du demi-millier de livraisons de Spécial les 111 comptes rendus cinématographiques du présent ouvrage.
Très professionnel, Vaes se soumettait à la discipline de ne traiter que brièvement d’un chef-d’œuvre (Andrej Rublëv, Délivrance, Family Life) quand l’actualité politique et sociale requérait un maximum de place ; en ces années-là, l’horreur s’arrêtait au Viêt-nam, commençait au Chili, mais l’attention du Rédacteur en chef était surtout braquée sur la politique zaïroise… Le critique s’imposait aussi une séparation stricte entre la création littéraire et le second — ou premier — métier, qu’il voulut ensuite oublier. (…)
L’humour corrosif, noir parfois, joue de trouvailles langagières qui ne permettent jamais au lecteur de ronronner dans son fauteuil…
(Extrait de la préface d’André Sempoux)111 Films, un livre de Guy Vaes édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)