• Le Ricochet

    Notre rapport à l’autre nous éveille, nous révèle une partie de nous-mêmes.
    Est-ce que quelqu’un viendra nous combler de nos manques ? De notre solitude ? Mieux se connaître, n’est-ce pas un moyen d’acquérir plus de liberté dans notre rapport à la vie ?

    Le Ricochet, un livre de Géraldine de Radiguès édité aux Éditions Mols

    16.90 
  • Le prof d’histoire

    Quelques amis décident d’unir leurs familles pour acheter un hameau en Ardèche, où ils passeront leurs vacances. Marcelin, le prof d’histoire, et Reginald, l’écrivain, ne se doutent pas que cette aventure fera non seulement remonter jusqu’à eux l’histoire sanglante des Huguenots mais remettra profondément en cause une amitié qui semblait inébranlable en révélant leurs personnalités respectives et leurs divergences philosophiques. En dire davantage déflorerait les rebondissements, mises en abîme et chutes qui égrènent ce roman passionnant et haletant.

    Alain Tytgat est né en 1949 au Congo. Juriste de formation, il a fait carrière dans la publicité. Passionné d’histoire, de littérature et de musique, il partage aujourd’hui son temps entre l’écriture et les voyages. Il vit à Gand.

    Le prof d’histoire, un livre de Alain Tytgat édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • Le Prince de la Concorde

    La biographie romancée de Catherine d’Oultremont se déroule dans le respect scrupuleux des grandes étapes de ce que fut la vie de Jean Pic de la Mirandole : sa quête incessante du savoir qui va le conduire dans toutes les grandes universités et les plus célèbres centres d’études d’Italie, où il rencontrera les plus grands maîtres des plus grandes écoles de pensée de l’époque.
    Et il y aura surtout Florence où l’on voit Jean Pic qui, dans toute la gloire de sa jeunesse, déjà précédé d’une éclatante réputation, sera accueilli « en héros » à l’académie florentine. On peut imaginer avec quel émerveillement, avec quelle immense ferveur, le jeune homme, subjugué par l’ambiance capiteuse de l’académie, se laissera graduellement fasciner par la vie intellectuelle qu’il y découvrait et par le platonisme florentin tel que l’enseignait Marsile Ficin. Les circonstances y étaient pour beaucoup. Qu’on y pense : Pic a tout juste vingt ans. Il est accueilli avec empressement à la cour du Magnifique, par ceux-là même en qui il voyait, à juste titre, les plus brillants esprits de son temps. Il côtoie Poliziano le poète, les frères Benivieni dont le mystique Girolamo, Laurent lui-même se lie d’amitié avec lui et lui fait l’insigne honneur de soumettre à son jugement quelques poèmes écrits dans sa jeunesse. Il admire le jeune Michel Ange qui y fait ses premières armes, tandis qu’en philosophie le « Prince des platoniciens » s’empresse et propose protection, aide et assistance au jeune prodige qui s’était confié à lui. Comment supposer que Pic ait pu garder la tête froide face à cette efflorescence intellectuelle, à ce chatoiement d’idées, comment imaginer qu’il puisse ne pas céder à tant de chaleureuses adulations. Et se profile aussi dans l’ombre et faisant contrepoids à tant d’éclats, le sombre et farouche fanatique que deviendra bientôt Jérôme Savonarole…
    C’est ainsi qu’à travers le roman de Catherine d’Oultremont, nous découvrons en autant de vignettes variées et diverses les foyers les plus vivants de la Renaissance italienne du xve siècle, avec en arrière-plan les tensions géopolitiques de cette tumultueuse et brillante Italie. Ce roman devient ainsi une belle et vivante introduction à cette période fascinante que fut la Renaissance, d’où allait sortir notre modernité.
    Extrait de la préface de Louis Valcke (Université de Sherbrooke, Québec)

    Catherine d’Oultremont, née en 1955, passe son enfance et sa jeunesse en Catalogne avant de s’établir en Belgique. Elle vivra toutefois plusieurs années en Italie, où s’affirmera sa passion pour la Renaissance italienne. De formation artistique, autodidacte en matière de philosophie, Catherine d’Oultremont apporte sa contribution à des revues d’études traditionnelles et philosophiques. Le Prince de la Concorde est son premier roman. Mais quel roman !

    Le Prince de la Concorde, un livre de Catherine d’Oultremont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    24.90 
  • Le Mont Blandin

    Après Les Parchemins de la tour (Le Cri, 2004) et le XIXe siècle, Le Mont Blandin revoit, au début du xxe siècle, le caractère d’hommes et de femmes poussés par la passion politique, l’amour de la vie et du travail, le devoir social, l’éducation des jeunes et la préparation de l’avenir. Attributs d’une mentalité profondément ancrée dans la conscience qui marquait la première moitié du xxe siècle et qui, comme la naïveté perdue de l’enfance qui les observe, seront emportés, dès les années cinquante, par l’omniprésence des médias dans l’intimité.
    Des retrouvailles avant l’intrusion des idées reçues incontrôlables.
    L’auteur. Nicole Verschoore, née à Gand en Belgique, est docteur en philosophie et lettres. Boursière du Fonds national belge de Recherche scientifique et assistante à l’université de Gand, journaliste, elle publie régulièrement dans la Revue générale et la revue électronique www. bon-a-tirer. com. Parlant six langues et amoureuse des grandes capitales européennes, elle se veut citoyenne du monde et passe le meilleur de son temps à revoir et à sauvegarder la vérité du vécu.
    Le Mont Blandin est le second volet d’une trilogie, entamée avec Les Parchemins de la tour.

    Nicole Verschoore, née à Gand en Belgique, est docteur en philosophie et lettres, boursière du Fonds national belge de Recherche scientifique, assistante à l’université de Gand. Journaliste, elle publie régulièrement dans la Revue générale et la revue électronique www. bon-a-tirer. com. Parlant six langues et amoureuse des grandes capitales européennes, elle se veut citoyenne du monde et passe le meilleur de son temps à revoir et à sauvegarder la vérité du vécu.
    Elle a publié aux éditions Le Cri les deux premiers volets d’une trilogie : Les Parchemins de la tour (2004) et Le Mont Blandin (2005).

    Le Mont Blandin, un livre de Nicole Verschoore édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • Le manuscrit de Sainte-Catherine

    Coédité avec Desclée de Brouwer, ce nouveau thriller mystique, d’un maître du genre, entraîne le lecteur au bout de ses questionnements sur la nature, le monde et l’Homme.

    Où médias, Eglise et mafia s’entrechoquent…

    Willy Deweert est l’auteur du best-seller Les Allumettes de la sacristie paru chez DDB en 1998, réédité au Seuil en 2000.

    Le manuscrit de Sainte-Catherine, un livre de Willy Deweert édité aux Éditions Mols

    23.00 
  • Le Maître de Waha

    « N’est-ce pas à force d’être froissés que nous deviendrons plus souples ? »

    Depuis son laboratoire d’images, d’émotions et de symboles, Luc Templier nous donne de vivre ce récit à l’écriture précise, dans un environnement absolument authentique, qui exalte l’art et où se joue l’alchimie des sentiments qui animent et torturent ses héros.

    Le Maître de Waha, un livre de Luc Templier édité aux Éditions Mols

    23.00 
  • Le maître de la vigne

    Ce roman étrange à plus d’un titre pose deux questions fondamentales : le mal peut-il servir le bien, un fil rouge relie-t-il les événements successifs de l’existence de chaque être humain lui conférant son unicité et son sens ?

    Dans ce nouveau thriller mystique, dont il est l’inventeur, Willy Deweert nous entraîne aux frontières de l’indicible, là où la contemplation prend le relais de la parole.

    Le maître de la vigne, un livre de Willy Deweert édité aux Éditions Mols

    21.50 
  • Le jour de l’amélanchier

    Fraîche, généreuse et lumineuse, la floraison de l’amélanchier fait partie de ces éclats printaniers qui ragaillardissent et donnent envie de jardiner. Aux premiers rayons, cet arbuste se couvre d’une neige de fleurs étoilées, blanc pur ou teintées de rose… Cette efflorescence féérique symbolise avec grâce le retour à la vie.

    Le jour de l’amélanchier, un livre de Philippe Marchandise édité aux Éditions Mols

    19.90 
  • Le funambule libéré

    Nathan connait deux existences : celle dont il n’a aucun souvenir et pour laquelle il s’avère être une source d’inspirations, de sagesse et celle où il souffre avec de nombreuses colères et de deuils à vivre.
    Comment va-t-il cohabiter avec ses douleurs, ses peines qui le rongent et en même temps l’image sublimée, les attentes que les autres ont de lui ?
    Comment apprivoiser ces deux parts de lui-même : l’ombre et la lumière qui paraissent si opposés et qui pourtant, ensemble, le rendent plus complet, plus cohérent, plus avisé ?

    Le funambule libéré, un livre de Géraldine de Radiguès édité aux Éditions Mols

    18.00 
  • Le Carillonneur

    Le Carillonneur, un livre de Georges Rodenbach édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    8.68 
  • La rencontre de monsieur Swahan

    Je suis Judith : une femme active, en recherche d’équilibre, qui a construit sa vie pas à pas. Mon existence me satisfait pleinement car elle évolue dans une certaine structure logique qui m’apaise, m’équilibre entre famille, travail et amis. J’en suis fière.
    Puis vient ce voyage qui ébranle des certitudes, quelques-unes de mes croyances et m’ouvre à d’autres réalités.
    Qui suis-je face à l’inconnu ?
    Est-ce que ma vie peut être menée avec plus d’insouciance ?
    Comment lâcher prise ?
    Y a-t-il un sens à parcourir notre chemin ici-bas ?

    La rencontre de monsieur Swahan, un livre de Géraldine de Radiguès édité aux Éditions Mols

    17.90 
  • La Morte survit au 13

    Bien sûr, depuis l’événement, les clients – pardon, les hôtes – se pressent en foule au “Grand 13”. Pourtant, Mme Adèle, son énergique tenancière, ne sait trop si elle doit s’en féliciter.
    Certes, le tiroir-caisse tinte agréablement à ses oreilles, mais un assassinat dans une maison qui prétend à la respectabilité, cela fait mauvais effet. Et puis, le zèle des filles s’en trouve brutalement refroidi. Câliner des messieurs portés sur la bagatelle, d’accord : elles peuvent bien les laisser attenter à une vertu qui n’est plus qu’un lointain souvenir.
    Mais de là à les laisser attenter à leur vie…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    La Morte survit au 13, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • La Légende du roi Crapaud

    « Et il vit que, depuis le début, tout bégayait, en effet : le rêve hâtif d’Agabal Megakan, devenu Alexandre Agabal ; la longue marche des Crapauds, affamés, sans halte, contre le jour et la nuit ; et, surtout, toute cette démangeaison soudaine des chairs, aux pieds d’un Arbre torsadé en son milieu de trois ventres ; et cette eau d’immortalité refusée par Alexandre le Grand et qu’Agabal Alexandre croyait avoir bu, à travers les mots bégayants d’une Cigogne à demi folle. (…) Agabal Alexandre, à son tour, redevint Roi et, à côté de son frère Kanaan le pensif, médita le commencement, bientôt, de sa guerre et de sa victoire. Il écouta la nuit. (…) Des tintements de métal, clairs, ting, ting, ting, résonnaient dans les ténèbres : Koroman Gbete, le forgeron divin, dans sa forge en forme de cratère, ciselait le rire de son Roi. Le rêve d’Agabal Alexandre ne bégayait pas. Car, façonnée dans l’obscurité entre l’enclume et le marteau, surgissait enfin sa légende, la légende du Roi Crapaud, sous la forme d’une armure ovoïde comme l’œuf du Monde ! »

    Grâce à un récit magistral, l’auteur nous entraîne dans un monde merveilleux où la langue rivalise de virtuosité avec l’imagination. Et si, un jour, Hommes et Crapauds s’associaient dans un même vrombissement d’amour pour lever, de leurs voix déchirées, un déluge broyeur de démons, comme fut broyée, jadis, l’Atlantide ? Une voix étrange venue d’Afrique et qui, dans un murmure épique, une communion de sens, nous rappelle que le fantastique du Nord n’est pas si loin…

    Vincent Lombume Kalimasi est né à Léopoldville le 3 janvier 1947. Après des études en journalisme, sociologie et philosophie, il devient agent d’entreprise pour le compte de la Cadeza, de la Sozacom et de la Gécamines, puis directeur technique pour l’Agence congolaise de Presse (ACP) et, enfin, pour un temps, membre du cabinet du Ministre de l’information et de la culture. Depuis, il consacre son temps à l’écriture. Il vit à Kinshasa.

    La Légende du roi Crapaud, un livre de Vincent Lombume Kalimasi édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    16.00 
  • La Honte de Max Pélissier

    Lorsque Jaube, un SDF, vient squatter Cosy Nook, une villa abandonnée au bord de la mer du nord, il est loin de se douter que les fantômes qui l’habitent vont le transformer en témoin puis, peu à peu, en acteur involontaire d’une tragédie où rien ne lui sera épargné. Malgré lui, il devra partager jusqu’au bout tous les ingrédients du mystère de la famille Pélissier : le testament d’un juif caché pendant la guerre, la recherche d’un Picasso disparu, le deuil impossible d’un enfant noyé, les affres d’une relation aux relents sado-masochistes, et un énorme scandale dans le milieu de l’art. Les souvenirs de Cosy Nook s’entrechoquent avec le présent, jusqu’au dénouement du drame familial.
    Dans ce suspense-prétexte à l’intrigue haletante, l’auteur nous plonge avec humour et cynisme dans les turpitudes de l’univers de l’Art, mais nous en fait aussi découvrir le pouvoir rédempteur.

    Jean-Louis DU ROY, né à Etterbeek (Bruxelles) en 1945 est licencié en sciences politiques et sociales (U.C.L.) et maître en management public (Solvay U.L.B.). Il a occupé des fonctions dirigeantes dans le domaine financier et se consacre aujourd’hui à l’écriture.
    Avec La Honte de Max Pélissier, son quatrième roman, il nous démontre qu’il est passé maître dans l’art du suspense.

    La Honte de Max Pélissier, un livre de Jean-Louis du Roy de Blicquy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    20.00 
  • La Famille Kaekebroeck

    Voici des « mœurs bruxelloises » mises en scène au travers des rapports entre les familles Kaekebroeck, Mosselman, Rampelbergh, Posenaer et autres habitants du « bas de la ville », héros pittoresques, croqués avec une grande dextérité. On ne peut s’empêcher de penser à Pagnol et à sa trilogie marseillaise. Des pages sobres et vraies, imprégnées d’une tendre bonhomie, vivantes et saines. Un récit attachant, de la couleur, une observation juste et pleine de bienveillance. Quant aux dialogues, dont l’auteur a compris l’importance, ils sont comme pris sur le vif tant ils sont naturels.
    Nul n’a mieux saisi que l’auteur de La Famille Kaekebroeck le jargon bruxellois émaillé de flandricismes, de belgicismes et de tropes hardis ou délicieux auxquels les lecteurs qui le peuvent ajoutent l’inimitable accent local. L’auteur parvient même à faire alterner, sans heurts et sans maladresses, l’atticisme de sa langue, fine et châtiée, avec le rude et burlesque baragouin de ses héros.
    C’est de ce contraste continuel que naît un charme irrésistible…

    Léopold COUROUBLE (1861-1937) fut Docteur en droit. Il séjourna au Congo de 1900 à 1903, séjour dont il s’inspira pour ses récits de voyages, notamment Profils blancs et Frimousses noires (1901). Ses textes « folklo-riques » ne doivent pas nous faire oublier, entre autres : Mes Pandectes (1900), En plein soleil (1900), Images d’outre-mer (1902) et, surtout, Les Contes et récits d’un Bruxellois (1907).

    La Famille Kaekebroeck, un livre de Léopold Courouble édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • La faim des magiciens

    Une ville de vingt mille habitants se construit en pleine forêt amazonienne. Des généticiens mettent au point des projets pour améliorer le sort de l’humanité, cette humanité confrontée aux problèmes de la violence et de la surpopulation. Quelle est la relation entre cette cité énigmatique et les développements de la génétique ?

    Site de l’auteur

    La faim des magiciens, un livre de Raphaël Jacquerye édité aux Éditions Mols

    21.50 
  • La dame qui fuit Saint-Tropez

    1925, sur la Côte d‘Azur. Tout sourit à Colette, dont la notoriété ne cesse de grandir. Attirée par le Midi, elle achète à Saint-Tropez une maison très simple, qu’elle baptise la Treille Muscate.
    Quelques décennies plus tard, un important homme d’affaires parisien y est assassiné dans des conditions obscures. Delphine Naboulet, admiratrice de Colette et passionnée par son œuvre, part sur les traces de son auteur favori et se retrouve au centre du drame. Sur fond d’immobilier douteux, la nouvelle enquête du Capitaine Ange Mattéi prend une saveur particulière, à l’accent du Midi et aux odeurs d’olive.

    La dame qui fuit Saint-Tropez, un livre de Martine Cadière édité aux Éditions Mols

    20.00 
  • L’Œil de l’iguanodon

    Une nouvelle aventure de Bob Morane et Miss Ylang-Ylang. Henri VERNES nous entraîne cette fois dans une folle équipée à travers la capitale de l’Europe. On se laissera envoûter par le parfum de la sensuelle Eurasienne Miss Ylang-Ylang — qui aidera Bob Morane à sauver la ravissante Nathalie des griffes de l’« Homme aux Dents d’Or », à la solde du milliardaire et collectionneur de Las Végas, Howard Heyst. H.H. parviendra-t-il à « se faire » la peau de l’iguanodon récemment découverte près de Bernissart en Belgique, transportée pour expertise au Muséum des Sciences naturelles ? À travers une aventure haletante et fantastique, qui nous fait voir Bruxelles autrement, Henri VERNES nous prouve plus que jamais qu’il est un des « iguanodons » du suspens.

    L’Œil de l’iguanodon, un livre de Henri Vernes édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.59 
  • L’Exil du Centaure

    L’Exil du Centaure est l’histoire déchirante d’une jeune femme à travers ses fantasmes, à travers son passé. Une histoire d’amour aussi, où s’exacerbent romantisme, violence et passion. Ce roman poignant qui, à sa sortie en 1982, bénéficia des faveurs du public et obtint le Prix du roman de la Ville de Bruxelles, méritait d’être enfin réédité.
    Thilde BARBONI est l’auteur de sept romans publiés en Belgique, en Suisse et à Paris. Trois de ses romans ont été traduits et publiés en allemand et en coréen. Traductrice et psychologue de formation, elle enseigne l’italien (littérature, histoire, traduction) à Mons (École d’interprètes Internationaux), et anime à Bruxelles des ateliers de psychologie de la traduction (Centre Européen de traduction littéraire). Elle est aussi critique littéraire.

    L’Exil du Centaure, un livre de Thilde Barboni édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    6.20 
  • L’or des saints

    Quelques jeunes gens parcourent l’Europe à la recherche d’un maître orfèvre. Une jeune abbesse intelligente et mystique conçoit une châsse qui exprime avec force la place de la femme dans un monde qui la méprise et l’exploite.

    L’or des saints, un livre de Bernard Wuillaume édité aux Éditions Mols

    23.00 
  • L’été des rats

    Ce livre est un roman policier à suspense, dans la grande tradition du polar d’énigme classique, avec un enquêteur récurrent, un tueur en série, des indices, des alibis, des suspects et un coupable trouvé. Il a été imaginé autour d’un poème attribué à Jacques Prévert.

    L’été des rats, un livre de Martine Cadière édité aux Éditions Mols

    20.00 
  • Je viendrai ce soir à neuf heures…

    Pourquoi un célèbre auteur parisien disparaît-il sans laisser de traces la veille de recevoir la récompense suprême pour les écrivains ? A-t-il un lien avec cet enseignant français engagé dans l’alphabétisation au Sénégal ? La journaliste lancée à sa recherche arrivera-t-elle à sonder les cœurs et les âmes ?

    Je viendrai ce soir à neuf heures…, un livre de Willy Deweert édité aux Éditions Mols

    19.90 
  • Je travaille à Paris et dors à Bruxelles

    Vous vous interrogez sur la place du travail dans notre société ? Alors ce roman est pour vous !

    En suivant Justine, vous pénétrez, de l’intérieur, le monde de la consultance : les missions, les clients, les voyages, la compétition, les team buildings, les méthodes de management, le jargon, les fusions, les restructurations… Justine se fait, elle aussi, petit à petit happer par le système. « Travailler plus pour gagner plus ! » disait Sarkozy… Mais est-ce vraiment une fin en soi ?

    Je travaille à Paris et dors à Bruxelles, un livre de Élise Bussière édité aux Éditions Mols

    20.00 
  • Haute Tension

    “Madame Mortimer, vous jurez de dire toute la vérité, rien que la vérité…”
    À l’époque, Rita a juré que son mari avait été abattu par un cambrioleur quelques minutes après leur retour imprévu à la villa… Il y a sept ans de cela.
    Aujourd’hui, un inconnu s’est introduit dans la chambre de Rita. Blême, les yeux creux, les mains dans les poches de son trench-coat fatigué, le feutre mou rabattu sur le front, il n’a guère bonne allure…
    Et il prétend qu’à cause d’elle, il a passé sept années en prison, alors qu’il était innocent !

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Haute Tension, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • Explosion de particules

    Et si l’on pouvait assister à son propre enterrement ?
    Si tous les gens que l’on a aimés ou détestés au fil de sa vie se trouvaient réunis en un même endroit, sachant pourquoi vous avez disparu, alors que vous-même n’en avez plus le moindre souvenir ?
    Et si toute l’assemblée présente, aristocrates belges en apparence classiques et bien-pensants, étaient en fait bien plus délirants, cyniques et imparfaits les uns que les autres ?
    Comment Juliette, violoniste promise à un bel avenir, a-t-elle pu mourir si tôt ?

    Explosion de particules, un livre de Valentine de le Court édité aux Éditions Mols

    19.90 
  • En Plein Soleil

    Léopold Courouble (Bruxelles 1861-1937), à Bruxelles, rue des Chartreux, dans la belle demeure familiale, surmontée d’un double pignon à redans, qu’il a décrite dans La Maison espagnole (1904). Âgé à peine de sept ans, Léopold a été mis en pension à Vanves. Pensionnaire quelque temps au Lycée Louis-le-Grand, il revient adolescent de Paris en 1877, pour achever ses humanités à l’Athénée de Bruxelles. S’il lui plaira, dans le cycle des Kaekebrœck (qui fera des émules, parmi lesquels les auteurs fameux du Mariage de Mlle Beulemans) et quelques autres ouvrages, de peindre avec un réalisme tout imprégné de sympathie les Bruxellois bruxellisants du bas de la ville, il lui déplaisait que son entreprise amenât les esprits simplistes à voir en lui un bon Brusseleer.
    Inscrit à l’Université libre de Bruxelles, il en sort en 1884 avec le diplôme de docteur en droit. Ce qu’il a appelé discrètement la fortune changeante le réduit tout soudain à la pauvreté. Que faire? Le métier d’avocat s’offre à lui. Il plaide quelque peu, mais il eut vite fait, dira George Garnir, de prendre en grippe la robe et le rabat du stagiaire. Il s’embarque alors comme simple matelot sur un navire qui part pour l’Amérique, une aventure sans lendemain qu’il racontera dans Atlantique Idylle (1895), et qui, souvenir durable, lui fournira le sujet et le cadre de son dernier roman, À bord du Jacques Van Artevelde.
    Il s’oriente vers le journalisme. Les chroniques judiciaires, signées Maître Chamaillac, qu’il donne à La Réforme, mettent en lumière son talent de narrateur ; il en publiera un choix dans Mes Pandectes (1904). Voilà qu’on lui propose, en 1889, un poste de magistrat au Congo. Il l’accepte, et il apporte à ses fonctions un zèle méritoire. Mais des ennuis de santé interrompent sa carrière africaine. Bien que brève, elle hante sa mémoire : En plein soleil (1900), Profils blancs et frimousses noires (1901), Images d’outre-mer (1903).
    Les premiers de ces textes sont enfin réédités.

    En Plein Soleil, un livre de Léopold Courouble édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    16.00 
  • Dix-huit Fantômes

    Dans le collège pour jeunes filles de Mèrémont, une des pensionnaires, Vissia, est retrouvée, pieds et poings liés, étranglée avec ses propres cheveux. Aucune des dix-huit autres occupantes du dortoir n’a rien vu ni entendu.
    La direction du collège demande à Désiré Marco de trouver le coupable, à charge pour lui de démontrer qu’il vient de l’extérieur, le personnel étant au-dessus de tout soupçon. Marco découvrira que l’établissement cache des mœurs étranges. Ainsi, Vissia était une séductrice patentée. Les mœurs des autres jeunes filles étaient tout aussi dissolues, et les membres de l’établissement cachaient tous un secret plus ou moins lourd…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Dix-huit Fantômes, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • Davies, la mort qui tue

    Davies a une double vie : détective privé le jour, agent de la sureté de l’État la nuit. Davies a un don : le don de se placer au centre des situations les plus rocambolesques.
    Engagé par le notaire Gentil — qui n’a de gentil que son nom — pour retrouver l’assassin de son client décédé, Davies doit combattre des terroristes internationaux tout en poursuivant des agents secrets qui en savent beaucoup trop… Une seule certitude : si Davies ne sauve pas la capitale de l’Europe de la menace terroriste, personne ne pourra le faire !
    Au cours de cette aventure, nous faisons la connaissance de personnages pas très nets issus de la CIA, du Hamas et/ou du Mossad, le tout agrémenté d’une dose d’amour, d’humour noir, et d’une intrigue non conventionnelle.
    Davies est parmi nous. Prenez garde en traversant !

    Fabrice Gardin associe dans son travail quotidien au Théâtre des Galeries la communication à sa passion du théâtre et de l’écriture. Il est l’auteur de Les Inconsolables (lecture-spectacle en mai 2004 au Théâtre du Parc), Destin (Théâtre du Méridien, octobre 2005, éditions Le Cri), Anna, Une rencontre comme une autre (La Samaritaine, avril 2007, éditions Le Cri), L’Hôtel idéal, Compartiment non-fumeurs et Une vie d’infortune (L’Arrière-Scène, octobre 2008). Il a adapté Candide de Voltaire (Compagnie des Galeries, été 2002) et L’assassin habite au 21 de S. -A. Steeman (Théâtre des Galeries, octobre/novembre 2008).

    Christian Lutz est né à Léopoldville en 1954. Après un passage par les multiples réseaux du livre — de la librairie à la distribution en passant par l’imprimerie —, il fonde les éditions Le Cri en 1981. Il a été administrateur de la Foire internationale du Livre de Bruxelles de 1984 à 1992. Outre un roman écrit avec Fabrice Gardin, il est aussi l’auteur d’un roman historique, Marie ou la Renaissance (avec Arnaud de la Croix, Legrain, Bruxelles — rééd. Le Cri, Bruxelles, 2002) et d’une adaptation de Dracula de Bram Stoker (avec Denis Leddet).

    Ensemble, ils ont publié Peut-être rencontrerons-nous des pintades en route (roman, Le Cri, 2006).

    Davies, la mort qui tue, un livre de Fabrice Gardin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    17.00 
  • D’un Sang bleu assez froid

    Un homme d’affaires, à qui tout semble réussir, navigue entre son épouse aristocrate, une amie de jeunesse, quelques aventures, et ses ambitions professionnelles. Lorsqu’il rencontre Laura, il est loin de se douter que sa vie va être littéralement mise en pièces… À travers ce roman haletant, l’auteur décrit avec humour et cynisme l’environnement d’un héros de notre temps, victime inconsciente des leurres de notre société « moderne », du monde sans pitié des affaires et des champs de courses.

    Jean-Louis DU ROY, né à Etterbeek (Bruxelles) en 1945 est licencié en sciences politiques et sociales (U.C.L.) et maître en management public (Solvay U.L.B.). Il a occupé des fonctions dirigeantes dans le domaine financier et se consacre aujourd’hui à l’écriture.

    D’un Sang bleu assez froid, un livre de Jean-Louis du Roy de Blicquy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    7.41 
  • D’un Dieu ténébreux

    De l’Inde capiteuse des comptoirs français à l’atelier berlinois du sculpteur favori du IIIe Reich, en passant par un Paris mondain promis aux lâchetés de la collaboration, Roman Vanderloo, jeune homme que sa beauté expose, connaîtra tous les visages de la trahison, tous les corps du désir, avant de trouver, retrouver, celle qui incarnera pour lui le seul amour.

    À l’occasion de la parution — chez Le Cri, éditeur — du premier tome des œuvres d’Yves-William Delzenne, Arnaud de la Croix présenta l’auteur en ces termes : J’ai appris à connaître l’homme, parfois insupportable, souvent délicieux : doux mélange où surnage, curieusement, et dans mon cœur et dans ma tête, la fidélité. Cet entêtement à accomplir, au travers de ses vocations multiples — charmeur, acteur, dandy, diseur, causeur, élégant, séducteur, narcissique en diable, agent d’artistes ou galeriste, généreux toujours —, un travail, l’aptitude à creuser un sillon, l’air de rien, ce qui finalement est tout. C’est cet homme qui donne ici un roman bien dans sa manière et très surprenant.

    D’un Dieu ténébreux, un livre de Yves-William Delzenne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    21.00 
  • Crimes à vendre

    “Monsieur le préfet de police, je vous préviens qu’un crime sera commis demain dans le XVIIe arrondissement. Signé : Le Furet.”
    Des lettres de ce genre, la police en reçoit des dizaines. Elles échouent dans la corbeille à papiers et on n’en parle plus. À moins que… À moins qu’un assassinat ne soit effectivement commis dans le XVIIe arrondissement… Simple coïncidence ? Peut-être… Pourtant, lorsque le Furet récidive, sa lettre est examinée d’un peu plus près. Cette fois, c’est le XVIe qui est visé. Et cette fois encore, le Furet a vu juste. Trop bien informé pour être honnête, le Furet. Il faut le coincer avant que la population de la capitale ne soit décimée…

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Crimes à vendre, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • Conscience tardive

    Conscience tardive, un livre de Kristoffer Berger édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    12.00