• Indisponible

    Œuvre théâtrale complète

    LE MOT MAGIQUE / L’AGENDA ORANGE / TETE DE TRUC / REINCARNE-TOI POLYCARPE ! / CYCLOCHOC / YALTA / ENTRECHATS / FOLLIES PARADE / LE MOUROIR DES ALOUETTES / L’IMBECILE / LA PIAULE / L’AVARE II / AH ! QUEL BEAU COUPLE ! / CRIME MAGISTRAL ou l’homme descend du songe / LE DEMON DE MINUIT ex fou d’amour / L’OBSEDE ou la solitude du pénis / LE BIGAME / LE NAIN DE PATMOS / L’IMPOSTEUR / LE VIOL D’UNE PETITE CERISE NOIRE ou d’une griotte / JESSE ET JESSICA / L’EPRISE / LE MONSTRE QUE JE SUIS.

    Pascal Vrebos est né à Bruxelles en 1952. Traduit et représenté comme auteur dramatique dans de nombreux pays à travers le monde, il enseigne aussi la sémiologie, la stylistique et l’analyse textuelle au Conservatoire Royal de Bruxelles et à l’Institut Cooremans.
    Homme de radio et de télévision (à la RTBF, puis à RTL/TVi et Bel RTL), il est, outre ses pièces de théâtre, l’auteur de multiples publications dont, notamment, Le Gorbatchoc (Le Cri, 1989), Ultimes Entretiens avec Henry Miller (Le Cri, 1991), Apocalypses (Le Cri, 2002)
    Il a reçu de nombreux prix parmi lesquels le Prix de la Société des Auteurs et Compositeurs dramatiques, pour l’ensemble de son œuvre, et le « Best ou California » pour Tête de Truc.
    Il a acquis la notoriété scientifique et professionnelle en 1994 par un arrêté du Gouvernement. En décembre 1999, le Sénat le nomme membre du Conseil Supérieur de la Justice.

    Œuvre théâtrale complète, un livre de Pascal Vrebos édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    30.00 
  • Œuvre poétique complète

    Œuvres poétiques: Missembourg / Les Arbres et le vent / Antoinette / Almanach Perpétuel des Jeux d’enfants / « Brabançonnes » à travers les arbres. (Préface de Liliane Wouters)

    Marie GEVERS (Edegem, 1883-1975) compte parmi les plus grands écrivains belges de langue française. Elle fut membre de l’Académie de langue et de littérature françaises (1938). D’abord poète, elle publia Missembourg, Les Arbres et le vent (prix Eugène Schmits 1924). Ses autres livres, récits et romans, chantent la sauvage beauté de la Campine anversoise, la « primitivité épique » des gens qui y vivent ou la somptuosité des saisons qui se posent sur les choses. Elle se révèle aussi fine psychologue dans Madame Orpha, ou la sérénade de mai (prix du Roman populiste 1934), Paix sur les champs, La Ligne de vie. Parmi ses autres livres : Plaisir des parallèles (Le Cri, 2002), La Comtesse des digues, Guldentop, Le Voyage de frère Jean, La Grande Marée, Plaisir des météores, L’Oreille volée, Château de l’Ouest, L’Herbier légen-daire, Vie et mort d’un étang (autobiographique).

    Œuvre poétique complète, un livre de Marie Gevers édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    20.00 
  • Œuvre complète

    Prose: La Course des chevaux libres • Un Amour de fin du monde • Le Sourire d’Isabella • L’Orage • Les Tours de Dresde • Les Dés de pierre • La Nostalgie batailleuse • Portrait de jeune fille mille neuf cent douze • Rencontres avec le Prince • Nedefna, Nedefni. Poésie: Ce Tango qui cette nuit-là ressemblait à du Brahms • Le Polonais • Poèmes d’amour persans • Via Venezia • Scènes de la vie d’autrefois • Trois poèmes inédits • L’Immortel bien-aimé • La Comptabilité des dieux. Théâtre: L’Aurore mandarine • Les Désirables. (Préface d’Arnaud de la Croix)

    Acteur à seize ans, il donne quelques années plus tard des récitals «poésie et musique» en compagnie de la pianiste Bernadette Notelet. Il est poète, dramaturge, nouvelliste et romancier raffiné. Sa personnalité mystérieuse très «fin de siècle», moderne cependant, en rupture souvent, éclaire son paysage littéraire.

    Œuvre complète, un livre de Yves-William Delzenne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    30.00 
  • Indisponible

    Œuvre complète

    Œuvre complète, un livre de Max Elskamp édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    30.00 
  • Nuit et Brouillard

    «(…) Ce livre doit être chaudement recommandé à tous ceux qui, au-delà de l’odyssée d’un prisonnier magistralement écrite, cherchent également à comprendre ce qu’il advenait des prisonniers disparus en Allemagne au cours de la Seconde Guerre mondiale…» (Björn Egge, le quotidien Arbeiderbladet). Au cours de la Seconde Guerre mondiale, de trop nombreux hommes ont été arbitrairement internés dans le camp de concentration de Natzweiler-Struthof en application du décret « Nuit et Brouillard ». Exception faite des Juifs, aucun prisonnier n’a été traité de façon aussi brutale que ces prisonniers « Nuit et Brouillard ». Un travail inhumain était censé les faire disparaître et personne ne devait connaître leur sort. L’auteur, qui a lui-même été prisonnier NN, allie témoignages et documents, détails et approche d’ensemble pour décrire à la fois l’existence de tous les prisonniers et celle de chacun d’entre eux… (Traduit du norvégien par Elisabeth et Christine Eydoux.)

    Christian Ottosen est né à Solund en 1921, dans l’ouest de la Norvège. De 1940 à 1942, il travaille pour le mouvement de résistance Theta, à Bergen. Arrêté par la Gestapo en 1942, il devient prisonnier NN et, jusqu’à la fin de la guerre, est interné dans différents camps de concentration d’Allemagne : Sachsenhausen, Natzweiler-Struthof, Dachau, Ottobrunn, Dautmergen, Vaihingen et Neuengamme. Après la libération, en 1945, il achève ses études et occupe ensuite divers postes clefs, qui vont de celui de président du Conseil national de la jeunesse et du Conseil national d’attribution des bourses à ceux de la direction du Comité de la formation supérieure nommé par les pouvoirs publics « comité Ottosen » et de la présidence du conseil d’administration de l’Office de la radio et télévision nationales…

    Nuit et Brouillard, un livre de Kristian Ottosen édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    23.00 
  • Nouvelle histoire du Congo

    À quelques mois de la commémoration du cinquantenaire de l’indépendance du Congo (2010), à trois ans des troisièmes (1960, 2006) ou des quatrièmes (1960, 1964, 2006) — c’est selon — élections libres et démocratiques de ce pays depuis 1960, tous les Congolais ont un besoin impérieux de bien voir le chemin parcouru, les embûches rencontrées, surmontées, évitées ou, au contraire, subies, de mesurer les volontés réaffirmées et les tentatives mises en œuvre dans la voie de l’émancipation ou de la soumission, pour s’engager avec détermination, imagination et audace, sur la route d’un avenir ouvert à toutes les opportunités.
    L’histoire, en tant que connaissance produite selon des règles et des procédures strictes par des professionnels, ne ressemble aucunement à un parcours automobile, dans lequel le conducteur aurait les yeux rivés sur le rétroviseur. C’est au contraire un parcours dense et riche, où l’on regarde devant soi plutôt que derrière soi, où les bifurcations négligées hier laissent toujours entrouvertes les portes suggérant les possibilités infinies de demain.
    À ce titre, l’histoire ne se donne donc pas comme une contemplation du passé. Elle est, au contraire, une science enracinée dans le présent et dans les effets qu’elle est capable de produire, tournée vers l’action, une action déterminée, courageuse, inventive et lucide, celle-là même dont le Congo d’aujourd’hui a besoin.

    Isidore Ndaywel, président de la Société des historiens congolais, est professeur ordinaire au département des sciences historiques de l’université de Kinshasa, membre correspondant de l’Académie royale des sciences d’outre-mer à Bruxelles et chercheur au centre des mondes africains de l’université Paris I – la Sorbonne à Paris. Il est, sans conteste, une référence incontournable en matière d’Histoire du Congo.

    Nouvelle histoire du Congo, un livre de Isidore Ndaywel édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    35.00 
  • Nietzsche-à-Nice

    Une fiction poétique légère et grave à la fois, mettant en présence le philosophe de l’Eternel retour, le plus “européen” des hivernants niçois du XIXème, et les protagonistes de la laborieuse négociation du traité de Nice en décembre 2000, préparant la “grande Europe” du XXIème siècle.

    Nietzsche-à-Nice, un livre de Renaud Denuit édité aux Éditions Mols

    17.00 
  • Ne trouves-tu pas que le temps change ?

    Les nouvelles de Daniel Simon sont comme des prises de température régulières du monde, des façons de se remettre sur pied alors que le ciel emporte le temps au-dessus de nos têtes. Nous restons parfois dans cette immobilité qui fait de notre fin une provisoire éternité : nous regardons la lumière tomber en nous et nous en diffusons, le temps d’une vie, quelques rayonnements.
    Un jour, le temps change, le monde bascule dans un ordre où nous n’avons plus toute notre place. Nous nous battons un court instant pour dilater ce temps, puis c’est fini…

    Daniel Simon, né en 1952 à Charleroi, est licencié en études théÉtrales. Il collabore régulièrement à plusieurs projets culturels au Portugal, Maroc, RDCongo, Roumanie, Tunisie… Depuis trente-cinq ans il anime des ateliers d’écriture. Il a notamment publié des poèmes (dont Épiphanies, Orange bleue éditions ; D’un pas léger, éditions Le Taillis Pré ; Dans le Parc, MEO, etc.), une vingtaine de pièces représentées ou publiées (Lansman), des nouvelles (L’échelle de Richer, éd. Luce Wilquin, 2006), des articles, des essais (Je vous écoute, Couleur livres, 2009 ; La Troisième séance, Couleur livres 2010). Il réalise par ailleurs des vidéos de création, dirige la revue Récits de Vie et la collection JE aux éditions Couleur livres.

    Ne trouves-tu pas que le temps change ?, un livre de Daniel Simon édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • Ne laissons pas mourir l’Église.

    De plus en plus de catholiques ont « mal à leur Église ». Cela signifie qu’ils la reconnaissent, qu’ils la respectent, qu’ils lui veulent du bien, qu’ils comptent sur elle et donc qu’ils l’aiment. Mais cela dit aussi qu’ils n’y trouvent pas ce qu’ils estimeraient devoir y trouver, pour les aider à réassumer la Parole de Dieu en Jésus Christ. Nier ce fait ou se borner à condamner l’insoumission, c’est fuir la réalité. Ce serait aussi abandonner la mission de l’Église qui est de proclamer la Bonne Nouvelle et « de toutes les nations faire des disciples ».

    Ne laissons pas mourir l’Église., un livre de Paul Löwenthal édité aux Éditions Mols

    22.00 
  • Napoléon aura-t-il lieu ?

    Point de vue de l’auteur

    Durant trente mois essentiels à l’Histoire, ceux qui vont de mai 1798 (le départ pour l’Égypte) à décembre 1800 (l’attentat de la rue Saint-Nicaise), Bonaparte, que rien ne destinait à l’aventure prodigieuse, fut servi par une chance absolument invraisemblable, une chance qui n’arrive d’habitude qu’une ou deux fois dans une vie quand chez lui elle se répète à six (!) reprises. Tout autre aurait pu y voir un signe de la Providence, du genre : “ Va ! L’avenir t’appartient. ”

    Je [l’auteur] vais plus loin : selon les lois mathématiques des probabilités, cette aventure n’aurait jamais dû avoir lieu.

    Napoléon aura-t-il lieu ?, un livre de Jean-Luc Ancely édité aux Éditions Mols

    22.90 
  • Naïm Khader

    À quand remonte le conflit israélo-palestinien ? 3500 ans avant Jésus-Christ en terre de Canaan ? 1896 avec la création du mouvement sioniste ? 1948 lors de la création de l’État d’Israël ? Quels sont les enjeux religieux, politiques, économiques, géographiques, culturels de ce conflit ? À travers cette biographie, passionnante et accessible à tous, d’un homme remarquable, proche de Yasser Arafat, pionnier de l’OLP dont il fut le représentant en Belgique pendant une dizaine d’années, l’auteur nous fait pénétrer dans le quotidien de Naïm Khader, assassiné à Bruxelles le 1er juin 1981 pour avoir voulu défendre les droits des Palestiniens, pour avoir cherché une réconciliation entre ceux-ci et les Israéliens, pour avoir aussi affiché des valeurs éthiques et humanistes tels que la liberté, la justice, le respect de l’autre, la paix. L’originalité de cette biographie — complétée par des annexes, des cartes et des notes précises — consiste à expliquer au lecteur, à travers la chronique d’une époque fondamentale, les questions essentielles qui se posent, aujourd’hui plus que jamais, aux Palestiniens et donc, aussi, aux Israéliens, aux Arabes et à l’Occident.

    Robert VERDUSSEN est journaliste. Pour le quotidien La Libre Belgique, il a suivi les événements du Moyen-Orient, depuis la guerre des Six jours en 1967 jusqu’aux accords d’Oslo et leurs suites dans les années ’90. Il en a rencontré quelques-uns des principaux acteurs, Yasser Arafat, Shimon Pérès, Anouar el Sadate, le roi Hussein. Comme tous les journalistes qui, à Bruxelles, couvraient à l’époque l’actualité de cette région du monde, il a été en rapport régulier avec Naïm Khader.

    Naïm Khader, un livre de Robert Verdussen édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    21.07 
  • N’êtes-vous pas patineuse ?

    N’êtes-vous pas patineuse ?, un livre de Charles Van Lerberghe édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    9.50 
  • Monseigneur Léonard

    D’une lecture facile, ces entretiens permettent d’entrer dans la vie quotidienne et les préoccupations d’un prélat de l’Eglise. Ils contribuent à démystifier un univers que certains pourraient être tentés de qualifier de trouble.

    Monseigneur Léonard, un livre de Louis Mathoux édité aux Éditions Mols

    23.00 
  • Indisponible

    Mokolo mwa Congo, Uta ebandeli kino lelo[CR]Version Lingala

    Tangwa ya boyekoli bolingo bwa ekolo eye ekomaki makasi eleko ya bokundoli mibu ntuku itano ya lipanda lya RDC, elingisaki bobimi bwa mokuse mwa mokolo mwa Congo moye.
    Esalemi kobanda Mokolo mwa sika mwa Congo, buku eye etali lisusu mobimba mwa mokolo mwa Congo uta libandeli kino na mikolo mya lelo, ezali bongo esalele ebongi kozala na maboko mpo na kosalisa mpe kobakisa sango. Ya solo, komilengele mpo ya kotonga ekolo kitoko koleka ya kala, lolenge loyembo la ekolo lozali kotinda, ekotinda koyeba malamu mokolo mwa ekolo.
    Mpe mpo ya moto oyo azali kotonga makambo ma Congo na libanda, buku eye ekosunga ye koyeba ndelo na yango na ntango mpe na etando, mpo ya koyeba mposa na botalaka maluli ma mokolo na mokolo.
    Mwango moye mokokaki kokokisama te soki mozwaki lisungi lya AECID te (Agencia Espa ola de Cooperaciùn International para el Desariollo) mpe malendisi ma Félix Costades Artiela, Ntoma wa Esipanye na Kisasa mpe wa mosalisi wa ye Angela Maria Rivera Yepes.

    Mokolo mwa Congo, Uta ebandeli kino lelo[CR]Version Lingala, un livre de Isidore Ndaywel édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    10.00 
  • Miroir de Marie

    Enfant, adolescente, jeune femme, tels sont les trois âges de Marie de Bourgogne, archiduchesse d’Autriche, que ce roman met magnifiquement en scène jusqu’à la chasse tragique dont elle mourut à 25 ans, ultime héroïne de cette période sombre et vivante qui annonce le déclin du Moyen Âge. À la mort de son troisième enfant, Marie de Bourgogne commence à écrire l’histoire de sa vie. Elle met à nu les jeux du pouvoir et de la guerre entre Valois de France et de Bourgogne, mais aussi son cœur de jeune princesse lucide, courageuse et fière de son rang, qui veut aimer et être heureuse, mais pas au prix du renoncement. Le roi Louis XI, son parrain et cousin, l’apprendra à ses dépens. Son père Charles tué devant Nancy, Marie de Bourgogne résiste aux entreprises bourguignonnes (Pays-Bas, Belgique et Luxembourg actuels). Enjeu central de tant de projets matrimoniaux et d’alliances politiques depuis l’âge de cinq ans, duchesse régnante à vingt, faisant face aux menaces intérieures et extérieures — la révolution et la guerre —, elle épouse, après bien des vicissitudes, Maximilian d’Autriche de deux ans son cadet. Mariage d’amour et de raison aux répercussions européennes, cette alliance sauvera Marie de la solitude, lui donnera le bonheur et l’aidera dans sa lutte acharnée contre la puissance et la ruse de Louis XI. À eux deux, Marie et Maximilian réussiront quelque temps à forcer le destin et l’apathie de l’Europe…

    Maxime BENOIT-JEANNIN est l’auteur de plusieurs romans, notamment Mademoiselle Bovary (coédition Belfond, 1991), Colonel Lawrence (Coédition Jean-Michel Place, 1992) et Chez les Goncourt (2004). De deux biographies exhaustives : Georgette Leblanc 1869-1941 (1998) ; Eugène Ysaye, le sacre du violon (2001). Et d’un essai sur les rentrées littéraires, La Corruption sentimentale (2002).

    Miroir de Marie, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    21.00 
  • Mémoires d’un ténor égyptien

    Pour son retour au roman pur, Maxime Benoît-Jeannin, dissident oulipien, en hommage à Georges Perec, a organisé les noces de l’imagination et de l’humour. Faisant donner au roman ses ultimes ressources, il le lance comme un gaz hilarant sur la morne fiction contemporaine.
    Entre la mer du Nord et le Rhin, poussant une pointe vers le Sud, s’étend la Banane Bleue, une ville repoussante et damnée.
    Au-dessus vole parfois SuperRoman, qui se cache sous l’identité d’un journaliste du quotidien L’Éternité.
    Les personnages sont au-delà de la vie et de la mort. Ils agissent, dialoguent, vont et viennent, sans qu’il y aille de leur responsabilité.
    Une lectrice très charnelle a confié à Salomon d’Urtald, alias Stephen Mallarmus, une improbable mission. La suivre, afin de la protéger d’un motocycliste-fantôme. Ce qui le mènera loin. Jusqu’au cœur du roman, aussi irradiant que le réacteur d’une centrale nucléaire, là où vit le maître du second degré…
    Ainsi tout s’enchaîne jusqu’à la fin, malgré les diversions du commissaire Beauvais et les tentatives de JBM, alias SuperRoman, qui ne cesse d’évoquer ses missions passées à Oulan-Bator dans l’espoir de brouiller les pistes.
    Les personnages échangent leur identité. Et Stephen Mallarmus, décidément le plus fort, surgit de la mer toujours recommencée…

    Maxime Benoît-Jeannin est l’auteur de plusieurs romans, dont Mademoiselle Bovary (coédition Le Cri-Belfond, 1991), Colonel Lawrence (Coédition Le Cri-Jean-Michel Place, 1992) et Chez les Goncourt (Le Cri, 2004). De deux biographies exhaustives : Georgette Leblanc 1869-1941 (Le Cri, 1998) ; Eugène Ysaye, le sacre du violon (Le Cri, 2001) ; d’un essai sur les rentrées littéraires, La Corruption sentimentale (Le Cri, 2002). Et d’une Histoire de la Toison d’or (en collaboration avec Pierre Houart, Le Cri, 2006). Il vient de cosigner avec Pierre Houart, Histoire de la Toison d’or, chronique de l’ordre chevaleresque européen (Le Cri, 2006).

    Mémoires d’un ténor égyptien, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • Mémoire de la Grande grève (hiver 1960-61 en Belgique)

    Plus de 50 ans se sont passés depuis la «grève du siècle» qui a profondément marqué Belges et étrangers lors de ce rude hiver 1960-61. Un moment majeur qui continue de nous interpeller aujourd’hui, particulièrement en ces temps de crise. Dans cet ouvrage collectif, des chercheurs et des acteurs sociaux, belges et français, dressent un panorama large et critique de cet événement politique et social d’une ampleur inédite. Avec à la clé des questions passionnantes: la révolution sociale était-elle en marche? L’heure du printemps wallon allait-elle sonner avec cette grève? Que reste-t-il de cet événement dans la mémoire collective alors que la Belgique est à nouveau à un tournant important de son histoire? Au travers de la mémoire de cette grève de l’hiver 60-61 retracée par une trentaine d’auteur(e)s, des pans entiers et inédits de la Belgique contemporaine sont éclairés à destination d’un large public, désireux de découvrir et de mieux comprendre les ressorts profonds et les faces cachées de notre histoire commune.

    Les directeurs de cet ouvrage : Luc Courtois, historien et professeur à l’UCL; Bernard Francq, sociologue et professeur émérite à l’UCL; Pierre Tilly, historien et professeur invité à l’UCL.
    Les auteurs: Mateo Alaluf, Samia Beziou, Francine Bolle, Marie Paule Conan, Paul Delforge, Julien Dohet, Frank Georgi, José Gotovitch, Rik Hemmerijckx, Peter Heyrman, Godfried Kwanten, Catherine Lanneau, Nicolas Latteur, René Leboutte, Michaël Lebrun, Benoît Lechat, Michel Pigenet, Jean Puissant, Philippe Raxhon, Anne Roekens, Vincent Vagman, Paul Wynants.
    Avec les témoignages de Georges Dobbeleer, Jacques Hoyaux et Louis Van Geyt.

    Mémoire de la Grande grève (hiver 1960-61 en Belgique), un livre de Pierre Tilly édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    22.00 
  • Marguerite d’York

    Marguerite d’York, un livre de Luc Hommel édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    24.00 
  • Manuel et anthologie de littérature belge à l’usage des classes terminales de l’enseignement secondaire

    Enseigner la littérature belge de langue française dans l’enseignement secondaire est un objectif commun aux programmes de tous les réseaux. Mais pourquoi ? Et comment ? Telles sont les questions auxquelles répond ce manuel novateur destiné aux enseignants et aux élèves.
    Les auteurs n’ont pas voulu écrire une nouvelle histoire de cette littérature, ni composer un recueil de morceaux choisis. Ils proposent des séquences et des « situations-problèmes » concrètes permettant aux élèves de s’approprier du savoir littéraire. Ils rassemblent à cette fin des textes connus et moins connus, des références, des suggestions, bref un matériau volontairement diversifié décliné en de multiples séquences d’apprentissage. Chaque extrait peut, à son tour, susciter des travaux personnels, tant en compréhension qu’en production, et faire l’objet de comptes rendus, de débats, ou être le point de départ d’une recherche personnelle ou en groupe.

    Françoise Chatelain est licenciée en philologie romane (ULB) et prépare une thèse sur l’enseignement de la littérature française en Belgique francophone. Elle est professeur de français dans l’enseignement secondaire depuis trente ans. Elle a publié Durendal, une revue catholique au tournant du siècle (Bruxelles, ARLLF, 1983), collaboré au Dictionnaire des œuvres. Lettres françaises de Belgique (Bruxelles, De Boeck, 1988 et suiv. ) et à l’Anthologie du roman historique en Belgique francophone (Bruxelles, Le Cri, 2008).

    Paul Aron est directeur de recherches au FNRS et professeur à l’Université libre de Bruxelles. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur l’histoire de la littérature belge et collaborateur de la revue Textyles. Parmi ses publications dans le domaine belge, on citera : La mémoire en jeu. Une histoire du théâtre de langue française en Belgique (Bruxelles, La Lettre volée-Théâtre National de la Communauté française de Belgique, 1995) ; La littérature prolétarienne en Belgique francophone depuis 1900 (Bruxelles, Labor, 2006) ; Vérités et mensonges de la collaboration. Trois écrivains racontent « leur » guerre (Raymond De Becker, Félicien Marceau, Robert Poulet) (avec Cécile Vanderpelen-Diagre – Bruxelles, Labor, 2006). Il a dirigé avec José Gotovitch le récent Dictionnaire de la Seconde Guerre mondiale en Belgique (Bruxelles, André Versaille éditeur, 2008).

    Manuel et anthologie de littérature belge à l’usage des classes terminales de l’enseignement secondaire, un livre de Paul Aron édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    20.00 
  • Indisponible

    MANIEMA, espace et vies

    En raison de sa position géographique, le Maniema a depuis longtemps constitué un carrefour ouvrant la voie à la fois vers les Kasaï à l’ouest, le Katanga au sud et la Province-Orientale au nord. Plusieurs courants migratoires ou guerriers ont transité par le Maniema avant de poursuivre vers l’est, le nord ou le sud. Les traitants arabo-swahilis venus de l’est ont investi d’abord le Maniema avant de conquérir la Province-Orientale et les Kasaï. Au début de la colonisation belge, le voyageur Stanley et bien d’autres, comme Cameron, Foa, Von Gotzen… ont dû transiter par le Maniema pour accéder à d’autres régions du Congo. Il en va de même avec les rébellions postcoloniales : celle des Simba de 1964 a conquis le Maniema avant de se répandre au nord et à l’ouest. Quant à l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL) qui conduisit L. D. Kabila au pouvoir en 1997, elle a utilisé le même couloir pour accéder au Kasaï.
    Créée en 1962, la province du Maniema perd ce statut en 1966 et voit ses sept territoires administratifs répartis entre les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, à cause des conflits qui la dominent, de son rôle dans la rébellion des Simba, mais aussi de son faible poids économique et démographique. À la suite de la nouvelle organisation administrative de 1967, le Maniema est rétabli comme l’un des trois districts de la province du Kivu recréée dans sa configuration du 30 juin 1960. Et en 1988, encore sous le régime Mobutu, le Maniema redevient une province, statut qu’il conserve jusqu’à ce jour.
    En plus de l’évolution sociopolitique et administrative, cette monographie sur le Maniema consacre de longues pages aux aspects physiques (géologie, flore, faune…), à l’économie, à la santé et à l’éducation dans la province.

    MANIEMA, espace et vies, un livre de Jean Omasombo Tshonda édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    29.00 
  • Mal de mère

    1975. Miami. Elizabeth Jones disparaît de façon inexpliquée. Elle laisse derrière elle une petite fille d’un an, Iliana, et un mari que l’on ne tarde pas à soupçonner de meurtre. Vingt ans plus tard, Iliana reçoit une série de lettres de sa mère. Cette dernière ne s’était jamais résolue à les envoyer. À travers cette correspondance, la jeune femme découvre les raisons de la disparition de sa mère.

    Mal de mère est le récit en miroir d’une mère et d’une fille face au dévoilement du secret de l’une et de l’obligation pour l’autre de réinventer, à partir de là, sa propre histoire. Elles vont se réapproprier leurs destins respectifs, hors des préjugés, des normes et de la fatalité qui emprisonnent la femme devenue mère.

    Mal de mère, un livre de Élise Bussière édité aux Éditions Mols

    15.90 
  • Making of, la réalisation de 21 albums légendaires

    Les albums qui bercent notre imaginaire et constituent l’histoire du rock ont véhiculé, lors de leurs réalisations, des informations où il est parfois difficile de faire la part entre le vrai et le faux. Marc Ysaye reprend systématiquement les faits et, pour notre plus grand plaisir, fait revivre les intrigues et les légendes nées de l’alchimie entre les musiciens et leurs talents…
    On lit ces Making of avec délectation, on retourne vers les albums, on découvre ou on se souvient…

    Marc Ysaye est animateur à la RTBF depuis 1982. Il a fait toutes ses classes à Radio 21 où il a produit une série impressionnante d’émissions et de séquences. Le 3 janvier 1988 il crée la première de son émission du dimanche matin Les Classiques de Marc Ysaye. Le succès sera immédiat. Il sera responsable des émissions du week-end jusqu’en 1994 puis s’occupera de dynamiser les petits matins jusqu’en 1999. En 2000 il est désigné chef d’Antenne de Radio 21 puis en devient le Directeur en 2001. Depuis 2003 Marc Ysaye est le Directeur de Classic 21 qu’il a fondée. Il est également le batteur du groupe belge Machiavel avec qui il a enregistré une bonne quinzaine d’albums depuis 1976. Il a créé en 2005 en collaboration avec Laurent Rieppi l’émission Making Of qui a été un succès instantané. Aujourd’hui ce sont plus de trois cent émissions qui ont été enregistrées, et le Making Of est l’émission la plus « podcastée » des Radios de la RTBF.

    Making of, la réalisation de 21 albums légendaires, un livre de Marc Ysaye édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    16.00 
  • Maeva, une belle étoile filante

    Il y a des livres qu’on écrit parce que le cœur déborde et qu’il ne peut plus contenir ce qui l’a ébranlé.
    Ces livres, généralement, commencent par la fin, tragique, insoutenable et insupportable. Ils montrent ensuite, au fil des pages, comment, en dépit de tout, au-delà du gouffre, le cours de l’existence a trouvé la force de se poursuivre alors qu’il a semblé se fracasser contre le pire des drames humains, celui que l’on connaît quand l’enfant à qui on a donné la vie a choisi, parce qu’il était confronté à un trop-plein de douleur, de se donner la mort.

    Maeva, une belle étoile filante, un livre de Maria Isabel Villalobos-Lora édité aux Éditions Mols

    22.50 
  • Maeterlinck, l’arpenteur de l’invisible

    Maeterlinck, l’arpenteur de l’invisible, un livre de Paul Gorceix édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    28.00 
  • Maeterlinck en partie double

    L’audace de l’entreprise, entretenue par une hostilité déclarée à l’encontre de l’hégémonie des règles et des codes qui régissaient encore le théâtre français à la fin du XIXe siècle, nous incite à rompre avec l’image de Maeterlinck, grand bourgeois modéré, timide et volontiers sur la réserve. En fait, l’auteur du texte de Pelléas et Mélisande se révèle comme un rebelle, qui sait qu’il faut casser pour faire du neuf. (Paul Gorceix)

    Flamand, écrivant en français. Homme de science et poète. Fuyant le théâtre, auteur dramatique célèbre. Goûtant peu la musique, lui devant une grande partie de sa gloire. Aimé par Paris, n’y vivant guère. Accueilli royalement aux États-Unis, ne s’y plaisant pas. Célèbre en Belgique ; dès l’âge mûr, n’y mettant plus les pieds. S’évanouissant comme une jeune fille, boxant avec Carpentier. Mystique, moquant les mystiques. Penseur, doutant de la pensée. Cherchant la science, rejeté par elle. Aimant les pauvres, ayant des palais. Tel est cet homme, qui craint la mort dès l’enfance, qui ne fait que parler d’elle, et qui passe quatre-vingt-sept années à l’attendre. (Roger Bodart)

    Maeterlinck en partie double, un livre de Paul Gorceix édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    12.00 
  • Madame la mort

    Drôle de réveillon.
    Noël se fête en famille, d’accord, mais là, Pèlerin exagère. Faire entonner, entre deux toasts au caviar, “Minuit Chrétiens” par le chœur de ses maîtresses réunies – enfin, de ses “cousines”, comme il dit – c’est un peu… risqué. D’autant que les charmantes créatures sont flanquées d’époux dont la complaisance finira bien par atteindre son point de rupture. Si ce n’est déjà fait.
    À quel mari outragé appartient donc ce cadavre qui traîne, dans sa robe bleu pastel, sur la terrasse ?

    Stanislas-André Steeman (Liège 1908 – Menton 1970) n’a que quinze ans lorsqu’il publie ses premiers textes dans la Revue Sincère. Un ans plus tard, il entre comme journaliste au quotidien La Nation belge. Après avoir écrit à quatre mains avec un collègue, il publie Péril en 1929, son premier livre en solo. La notoriété suit rapidement. En effet, Six hommes morts remporte le Grand prix du roman d’aventure en 1931. C’est dans ces années aussi qu’apparaît son héros favori, Wenceslas Vorobeïtchik (dit M. Wens). L’Assasin habite au 21 (1939) et Légitime Défense (1942) (sous le titre Quai des orfèvres) sont portés à l’écran par Henri-Georges Clouzot. Pas moins de treize films seront ainsi tirés de ses romans policiers, et son œuvre traduite dans de nombreuses langues à travers le monde. Steeman est sans conteste, avec Agatha Christie et Georges Simenon, un des maîtres du genre. Il se distingue notamment par son humour, sa précision narrative et la finesse de ses analyses psychologiques.
    À l’occasion des 100 ans de la naissance de Steeman, les éditions Le Cri publient, durant 2008, neuf chefs-d’œuvre du maître du polar.

    Madame la mort, un livre de Stanislas-André Steeman édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.00 
  • Lointains Secrets

    En maître de l’illusion, l’auteur fait apparaître autant de personnages que de reflets : l’Enfant et Vivian, Lou et Yvo, Emily et Sandrine, diverses statures d’ambassadeurs en Inde, in fine la figure mythique d’un passager du temps à Venise, comme s’il nouait devant nous le nœud même d’un mystère qui est la vie, tout en nous disant, sourire en coin : « Essayez donc de trouver le truc… »
    Le roman Lointains secrets est suivi d’une nouvelle intitulée Les beaux enfants.

    « L’originalité de Delzenne a quelque chose de rafraîchissant, quels que soient les thèmes qu’il aborde, et même s’ils sont graves. Faut-il l’attribuer à son anti-conformisme de nature, sa passion de la beauté, le raffinement de sa culture, le ciselage de son écriture ? À tout cela ensemble, sans doute… » (Jacques Franck)

    « Delzenne, très dandy comme les personnages d’acteurs, de peintres, de musiciens qui émaillent ses romans. Variations sur toutes les gammes de l’amour. » (Gaël)

    « Morand doit disputer sa main à Beau Brummel et Yves-William Delzenne se contente de demeurer en suspension dans ce monde où il incarne une espèce nouvelle. » (Le Vif l’Express)

    Lointains Secrets, un livre de Yves-William Delzenne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    16.00 
  • Littérature et société en Belgique francophone (1944-1960)

    Après la Seconde Guerre mondiale, la vie littéraire belge connaît une phase d’effervescence remarquable. De nombreuses revues littéraires émergent, l’esthétique néoclassique gagne les différents genres littéraires, de jeunes dramaturges s’illustrent en Belgique et à l’étranger, plusieurs écrivains remportent des prix prestigieux en France, les poètes sont plus actifs que jamais… De leur côté, les pouvoirs publics mettent sur pied un système de subventionnement des arts et des lettres, qui repose notamment sur la création du Théâtre national et du Fonds national de la littérature.
    Malgré cette vitalité, la période reste méconnue. Dans cet ouvrage, qui est le premier sur le sujet, Bibiane Fréché étudie les écrivains et leurs œuvres, mais aussi les relations que les auteurs entretiennent avec les institutions littéraires, les pouvoirs publics et avec la société en général. Se dessinent alors des réseaux interpersonnels passionnants, qui donnent toute leur dimension aux choix littéraires de l’époque.

    Docteur en Philosophie et Lettres de l’Université libre de Bruxelles, Bibiane Fréché est chargée de recherches du FNRS. Elle s’intéresse à la littérature belge, ainsi qu’aux relations entre les mondes littéraires francophone et anglo-saxon. Elle a enseigné à l’Université Castilla-La Mancha en Espagne, ainsi qu’à l’Université d’Oxford.

    Littérature et société en Belgique francophone (1944-1960), un livre de Bibiane Fréché édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    23.00 
  • Lettres de sagesse et d’amour

    Dans ces Lettres de sagesse et d’amour, Daniel Maurin nous fait partager son expérience spirituelle depuis son enfance chrétienne et son itinéraire oriental jusqu’à son retour au Christianisme, avec une vision élargie. Il raconte sa découverte de l’Oraison du Cœur et de la médecine de Sainte Hildegarde.

    Lettres de sagesse et d’amour, un livre de Daniel Maurin édité aux Éditions Mols

    22.00 
  • Lettres à mon voisin serbe

    Le peuple albanais est de trois religions – musulmane, catholique et orthodoxe. Il a donné au monde, et à la chrétienté en particulier, deux Papes et Mère Teresa, Prix Nobel de la Paix.

    Mais depuis des décennies, la propagande serbe a donné des Albanais l’image d’un peuple homogène musulman.

    Dans Lettres à mon voisin serbe, ces mythes et mensonges serbes sont démontés les uns après les autres par Gani Azemi, écrivain, diplomate, ardent défenseur de la cause kosovare depuis mai 1968, en Kosova d’abord et auprès des instances européennes et internationales ensuite.

    Lettres à mon voisin serbe, un livre de Gani Azemi édité aux Éditions Mols

    15.00 
  • Lettres à Jacques Ferrand 1946 – 1994

    Édition présentée, établie et annotée par Francis Willems. Dans ces lettres à Jacques Ferrand, Paul Willems évoque tour à tour, et avec autant de bonheur, les réalités quotidiennes les plus banales et ses moments privilégiés de méditation et d’inspiration. L’écrivain s’y révèle sous un jour particulier, qui n’est pas celui que son œuvre théâtrale nous a appris à connaître. On y retrouve un Paul plus authentique, plus simple, tel qu’il était tous les jours. Chaque lettre est un poème, parfois une fantaisie picturale, un billet où le rire le dispute à l’esprit d’observation, où la nature joue un grand rôle.
    Ce que nous retrouvons dans ces émouvantes lettres à un Ami : l’authentique respiration d’amitié qui animait Paul Willems, et qu’il parvenait si bien à partager. (F. W. )

    Paul Willems (Anvers, 1912-1997), écrivain et fils de l’écrivain Marie Gevers, a été élevé dans le domaine enchanté de Missembourg, non loin d’Anvers, dont l’univers n’a cessé de l’imprégner. Conseiller au palais des Beaux-Arts de Bruxelles (dont il fut jusqu’en 1982 le directeur-général), son activité d’organisateur culturel sera considérable, puisqu’il sera à la fois à l’origine des Jeunesses musicales, du volet culturel de l’Expo 58 ou du Festival Europalia. Il a débuté en littérature comme romancier, et l’on constate dès ses premiers livres, Tout est réel ici, L’Herbe qui tremble, Blessures, une capacité rare à débusquer, derrière les faits les plus apparement anodins, des développements insoupçonnés. Il se révéla par ailleurs un dramaturge d’une grande originalité, que la comparaison avec Maeterlinck ou l’évidente filiation avec le romantisme allemand ne suffit pas à résumer. Fréquemment joué dans les pays germaniques, il obtint en 1966 le prix Marzotto, la plus haute distinction internationale qui puisse échoir à un auteur dramatique. Il succéda à sa mère à l’Académie royale en 1977 et a été couronné en 1980 du prix quinquennal de Littérature française de Belgique.

    Lettres à Jacques Ferrand 1946 – 1994, un livre de Paul Willems édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    9.50 
  • Lettre d’amour de l’au-delà aux êtres humains

    « Ce livre est un message d’amour.
    Message d’amour qui vous vient de l’au-delà pour vous réconcilier avec la vie.
    Message d’amour qui vous vient de l’au-delà car nous souhaitons de tout cœur répondre à votre appel, à vos questions, à votre quête.
    Message d’amour car nous avons tant à partager.

    La terre n’est pas séparée de l’au-delà.
    Elle est simplement une autre réalité de la vie.
    De la même vie.

    Car la vie ne s’arrête jamais,
    Elle change simplement de forme. »

    « Tout est lié.
    Depuis les premières pages de ce livre, jusqu’à celle-ci, cela a été un incessant ballet pour vous détacher de votre mental et vous rapprocher de votre âme.
    Pour vous permettre, petit à petit, d’intégrer cette dimension universelle à laquelle vous appartenez.
    Vous n’appartenez pas à telle ou telle race.
    Vous n’appartenez pas à tel ou tel peuple, ou pays.
    Vous n’appartenez pas à telle ou telle famille.
    Vous appartenez à la Vie.
    Vous êtes la Vie.

    Sortez de vos clichés.
    Sortez de vos parenthèses.
    Et rentrez dans votre liberté. »

    Lettre d’amour de l’au-delà aux êtres humains, un livre de Marie-Pascale Coenraets édité aux Éditions Mols

    18.90 
  • Lettre à un jeune fumeur

    Ce petit livre traite d’un sujet grave car la cigarette est la plus grande tueuse de notre temps et concerne près d’un tiers de la population mondiale.

    Qui n’a perdu un être cher ou proche à cause d’elle ?

    Lettre à un jeune fumeur, un livre de Henri-Géry Hers édité aux Éditions Mols

    5.00 
  • Lettre à mes grands petits-enfants

    Quel est ce désir qui nous invite à l’amour ? Désir sexuel, désir d’enfant, identité sexuelle, voici une approche nouvelle et respectueuse de ces moments souvent délicats et parfois difficiles de l’éveil du désir.

    Lettre à mes grands petits-enfants, un livre de Marie-Thérèse Fourez édité aux Éditions Mols

    22.00 
  • Les vraies raisons pour lesquelles les églises se vident

    Beaucoup d’hommes d’Église les cherchent, ces vraies raisons, mais ils s’obstinent à les chercher là où elles ne sont pas.
    L’Église ne maîtriserait pas assez les moyens de communication modernes, elle devrait davantage soigner son image, les messes ne sont pas encore assez conviviales, les prêtres pas encore assez familiers, l’Église pas encore assez à la page…
    Ils font fausse route.

    Les vraies raisons pour lesquelles les églises se vident, un livre de Christophe Buffin de Chosal édité aux Éditions Mols

    17.00 
  • Les Turbulences de la Belle Époque

    NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE III
    1878-1905

    Dans ce livre, Gita Deneckere esquisse un portrait du contexte socioéconomique de la période, en accordant une attention particulière à la dualité entre riches et pauvres, entre la face brillante de la Belle Époque et la dure réalité du monde ouvrier. Les développements artistiques et culturels de la période traduisent aussi une tension entre haut et bas, élitiste et populaire, bourgeoisie et peuple, nouveau et ancien. Cette relation tendue fera office de fil rouge tout au long du récit. Elle aborde les grands conflits : la guerre scolaire et la lutte sociale, en partie assujettie à un combat pour l’égalité politique. Les années 1878-1905 sont, par excellence, une période où la « rue » a joué un rôle crucial dans la prise de décision politique. La démocratisation du système électoral s’y est en effet opérée sous la pression des manifestations populaires et des grèves générales. Les différentes étapes de cette lutte sont décrites en détail, afin de bien faire apparaître la complexité des conflits et de donner au lecteur une image vivante de la dynamique qui caractérise cette période charnière.
    La seconde partie du livre traite de la structuration de ces changements. L’État bourgeois réagit à la démocratisation des institutions par un éventail de stratégies censées accompagner l’intégration politique de la classe ouvrière (entre autres).
    Grâce à la position de force des catholiques, le système de liberté subsidiée en usage dans l’enseignement fut transposé au secteur social, donnant lieu à la pilarisation progressive de la société belge. Au cours de la période étudiée, toutes sortes d’initiatives et d’organisations virent le jour, tant du côté socialiste que du côté catholique, donnant forme à la vie des membres « du berceau jusqu’à la tombe », tant dans ses aspects moraux que dans ses aspects matériels. Il fut très difficile pour d’autres forces émancipatrices, comme le mouvement des femmes et le mouvement flamand, de surmonter les lignes de rupture et de mettre en avant leurs exigences spécifiques de manière indépendante.
    À l’approche de la Première Guerre mondiale, nous voyons les antagonismes linguistiques s’aggraver au moment même où le nationalisme belge connaît un net réveil…

    Gita Deneckere est professeur à l’Université de Gand où elle enseigne l’histoire contemporaine. Ses recherches actuelles portent sur l’histoire du pouvoir et de l’émancipation.

    Les Turbulences de la Belle Époque, un livre de Gita Deneckere édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • Les tribulations de l’âme

    À l’instar des pèlerins suivant à genoux le labyrinthe, véritable dédale mystique, inscrit sur le dallage de certaines cathédrales, l’âme du défunt, équipée d’un viatique, de cartes et de guides, entame un long voyage sur les chemins qui mènent à l’au-delà.

    L’y attendent de redoutables épreuves, telles que la pesée sur une balance, la traversée d’un pont surplombant les eaux infernales, la lecture de sa propre vie dans un livre ou encore la vision de sa conscience dans un miroir, autant d’épreuves dont dépend son sort.

    Les tribulations de l’âme, un livre de Xavier De Schutter édité aux Éditions Mols

    21.90 
  • Les Stoclet. Microcosme d’ambitions et de passions

    Le « palais » Stoclet, inscrit depuis 2009 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, est la matérialisation d’un rêve, celui d’Adolphe Stoclet et de Suzanne Stevens.
    Fruit d’une passion, cette maison et les exceptionnelles collections qu’elle abrita (le volume contient notamment le répertoire des tableaux anciens de la collection), n’ont pu voir le jour que grâce à la réalisation des ambitions de deux générations d’hommes entreprenants qui bâtirent puis consolidèrent la grande fortune dont bénéficia le commanditaire du « Stocleon ».
    L’histoire de la maison et de la famille aux ramifications européennes qui l’habita se révèle être, au-delà du véritable mythe qu’est devenu le « palais » et des enjeux que représente son avenir, une saga menant de Vienne à Saint-Pétersbourg en passant notamment par Paris, Milan et les Indes Néerlandaises.
    Moments de la petite et de la grande histoire se mêlent durant près de deux siècles, faisant de celle d’un microcosme familial dont la discrétion fut proverbiale, une saga où se succèdent, en s’entremêlant souvent, les coups de génie des uns et les maladresses des autres dans un contexte où la passion, sous une forme ou sous une autre, est régulièrement au rendez-vous.
    En cette année du centenaire du « palais » Stoclet conçu comme « œuvre d’art totale », il importait non seulement d’en inscrire la réalisation dans la longue durée mais aussi de s’intéresser à celles et ceux dont il a été le dénominateur commun au fil du temps.
    Grâce à des sources nombreuses collectées dans plusieurs pays européens ainsi qu’aux Etats-Unis, ce livre constitue aussi une contribution à la meilleure connaissance de certaines facettes de l’histoire économique, sociale et culturelle de la période contemporaine.

    Michel Dumoulin est professeur ordinaire à l’Université catholique de Louvain, membre de l’Académie royale de Belgique et président honoraire de l’Institut Historique Belge de Rome. Ses publications portent notamment sur l’histoire de la construction européenne, celle des relations de l’Europe avec l’Outre-Mer et celles des milieux et réseaux dans le cadre des relations internationales.
    Pierre-Olivier Laloux, licencié en philologie germanique de l’Université catholique de Louvain y est doctorant sur le thème « Bruxelles-Vienne aux XIXe et XXe siècles : univers croisés ».

    Les Stoclet. Microcosme d’ambitions et de passions, un livre de Michel Dumoulin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    30.00 
  • Les secrets d’une maison royale

    Au cours des années, les spectres de la calomnie et du scandale se sont attachés à mes pas avec une insistance impitoyable. Il m’est pénible de constater que, jusqu’à aujourd’hui encore, mon nom est invariablement associé au drame de Meyerling survenu en 1889. (…) C’est dans ce but que je raconte à présent l’histoire de ma vie, une vie bizarrement colorée et marquée par de grands et brusques changements. Ma jeunesse, mon intimité avec ma tante l’impératrice Élisabeth, le mariage qu’on m’imposa, les chagrins qui fondirent sur moi par la suite, tout ceci est contenu dans cette histoire que j’ai reconstituée à l’aide de mes journaux intimes et des documents laissés par mes parents. Il paraîtra tout naturel que les personnages illustres dont les destinées suivirent les miennes de si près jouent un rôle de premier plan dans ces mémoires.

    Les secrets d’une maison royale, un livre de Comtesse Larisch Wallersee-Wittelsbach édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    21.07 
  • Les Querelles linguistiques en Belgique, le point de vue historique

    Notre intention n’est nullement, à travers ce récit purement historique, de présenter la Belgique comme un cas unique. Au contraire, en analysant à la fois le processus et sa spécificité, et en les plaçant dans un cadre général, nous voulons démontrer que la Belgique constitue un cas particulièrement intéressant. Notre thèse est que la Belgique est sans doute l’un des laboratoires les plus remarquables où les stratégies linguistiques les plus diverses des XIXe et XXe siècles ont donné naissance à des compromis linguistico-politiques qui se sont ensuite traduits dans la pratique. La reconstruction historique de cette évolution est éclairante à maints égards pour quiconque est impliqué directement ou indirectement dans la politique linguistique belge ; elle présente aussi un intérêt certain pour ceux qui souhaitent placer la problématique dans une perspective comparative. Les problèmes linguistiques qui se posent actuellement au niveau européen confèrent indubitablement une certaine valeur d’actualité au présent ouvrage.

    Els Witte est professeure émérite et ancienne rectrice de la VUB. Elle est l’auteure de nombreux ouvrages de référence sur la politique belge aux XIXe et XXe siècles. Elle préside actuellement le Vlaams Instituut voor Geschiedenis.
    Harry Van Velthoven est professeur émérite de la Hogeschool Gent. Il a publié sur le Mouvement wallon et le Mouvement flamand, la problématique bruxelloise, le libéralisme et les mouvements sociaux.

    Les Querelles linguistiques en Belgique, le point de vue historique, un livre de Els Witte édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    22.00 
  • Les Parchemins de la Tour

    Autour d’Edmond Beaucarne, le XIXe siècle redevient un style de vie.
    Entraîné très jeune dans le tourbillon de la passion politique qui préparera la révolution et l’indépendance belges, Edmond Beaucarne découvre les hommes et leurs passions dans une confrontation qui attise sa pensée. La sagesse précoce ne le prépare cependant pas aux amours qui l’attendent. Un voyage à l’étranger en chaise de poste, un carnet intime rédigé dans la solitude, l’amitié platonique et les attraits ancillaires, la fonction publique, les amis de la capitale, la famille de nièces et de neveux toujours plus nombreuse… ne sont qu’étapes successives qui échelonnent le flot des jours et les questions qui surgissent.
    Où se situe-t-on dans l’évolution des goûts et des idées lorsque l’action vous sollicite sans jamais vous convaincre ?
    L’homme jeune de 1828, homme mûr en 1848, vieillard enfin lorsqu’il lâchera la plume, va-t-il recréer pour nous une subtilité d’ambiance devenue rare ? Une mentalité oubliée ? Dès sa genèse, le livre est européen. Il concerne le double héritage des Lumières et du passé chrétien. Edmond est de tous les pays — non pas uniquement belge.
    Son témoignage nous restitue notre identité…

    Nicole VERSCHOORE, née à Gand en Belgique, est docteur en philosophie et lettres. Boursière du Fonds national belge de Recherche scientifique et assistante à l’université de Gand, journaliste, elle publie régulièrement dans la Revue générale et la revue électronique www.bon-a-tirer.com. Parlant six langues et amoureuse des grandes capitales européennes, elle se veut citoyenne du monde et passe le meilleur de son temps à revoir et à sauvegarder la vérité du vécu.
    On se souvient de son premier roman, Le Maître du bourg (Gallimard, 1994), qui a bénéficié d’un large succès. De nombreux lecteurs attendaient la parution de ces Parchemins de la tour, qui confirment aujourd’hui le talent et la sensibilité d’un grand auteur.

    Les Parchemins de la Tour, un livre de Nicole Verschoore édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    20.00 
  • Les mots et les choses de l’entreprise – Nouvelle édition

    Il y a des livres de management qui aident les dirigeants à penser à leur stratégie, à leurs clients, ou encore à leurs processus de fabrication. Ce livre-ci veut les aider dans une démarche plus fondamentale encore, car il les fait penser à la manière dont ils pensent.

    Dans son style clair et rigoureux, Luc de Brabandere répond en effet à des questions essentielles telles que : qu’est-ce que percevoir ? Qu’est-ce qu’un concept ? Qu’est-ce qu’un modèle ? Qu’est-ce que la créativité ? À l’aide de repères philosophiques appropriés, l’auteur décrypte les principaux mécanismes de la pensée et montre comment s’articulent la production et l’utilisation des modèles mentaux. En revenant à l’essentiel, ce livre aide le dirigeant à penser mieux, car une approche philosophique peut grandement contribuer à l’originalité, la clarté et la robustesse des modèles qu’il utilise.

    Les mots et les choses de l’entreprise – Nouvelle édition, un livre de Luc de Brabandere édité aux Éditions Mols

    18.50 
  • Les mondes du sacré

    Le récit d’une passion. Les mondes du sacré a connu un grand succès – 6 tirages – 1 réédition.

    Une clef essentielle pour comprendre la grande mutation que vit aujourd’hui une humanité habitée depuis l’origine par une pathétique quête de sens.
    Associant aux événements politiques le “souffle” des religions, l’auteur éclaire, d’une lumière lucide, nouvelle et redoutablement actuelle, le conflit israélo-arabe, la guerre Iran-Irak et celles du Golfe, le piège afghan, l’intégrisme, le fanatisme, le terrorisme…

    Nous avons décidé cette fois de procéder à une refonte complète afin de tenir compte des événements politiques et religieux les plus récents et enrichir encore des pans entiers du livre, tels que les sources des religions abrahamiques, la théorie de St Thomas d’Aquin et l’apport de la raison dans la démarche de la foi, l’anglicanisme et le protestantisme dans son ensemble, les origines des écoles bouddhistes, les phases mystiques de l’Orient, une présentation plus nuancée du chiisme, la maçonnerie déiste ou maçonneries anglaise et américaine, etc., etc.

    Les mondes du sacré, un livre de Jacques Rifflet édité aux Éditions Mols

    40.00 
  • Les Jésuites dans la ville

    Les Collèges Jésuites et la société belge du XIXe siècle.
    Ce livre tente de cerner la place des écoles jésuites dans la société belge du xixe s. Et force est de constater que certains clichés ne résistent pas à l’analyse. Le xixe s. est l’époque d’une lutte acharnée entre cléricaux et anticléricaux mais les libéraux d’Alost appellent les Pères pour qu’ils reprennent le collège communal de leur ville. Les jésuites visent l’élite de la société mais un tiers des élèves sont issus de milieux modestes. L’école traditionnelle éliminerait les enfants du peuple mais la recherche montre que ceux-ci sont toujours présents en rhétorique. Les jésuites sont les champions des humanités classiques mais, dès le milieu du xixe s., l’ensemble de leurs classes primaires et commerciales dépassent les effectifs des classes latines. D’autres problèmes sont abordés et amènent bien des nuances par rapport aux idées reçues : « Question flamande », opposition entre classicisme et romantisme, question des « classiques païens »…
    En outre, les collèges ne sont pas que des écoles, on ne peut les évoquer sans tenir compte de la multitude d’activités qui gravitaient autour d’eux : œuvres sociales, congrégations mariales, sociétés académiques, engagements politiques et journalistiques qui ouvraient aux élèves une foule de perspectives d’avenir qui allaient bien au-delà d’une position que l’on suppose, à tort, obligatoirement conservatrice et ultramontaine. Les jésuites, leurs élèves et leurs Anciens seront impliqués dans les collèges et en dehors des écoles dans les controverses qui opposeront le monde catholique belge à ses adversaires mais qui diviseront aussi le camp catholique…
    Au sein de ce travail, plusieurs comparaisons avec d’autres époques, d’autres réseaux d’enseignement ou avec la situation française ont été menées. Elles ont permis de dégager les particularités tout à fait remarquables des collèges des jésuites belges du xixe s.

    Xavier Dusausoit (né à Uccle en 1962) a soutenu une thèse de doctorat (UCL) consacrée aux collèges des jésuites belges au xixe s. Il a en outre collaboré à de nombreux ouvrages historiques (La Libération de Nivelles et ses conséquences (1944-1945), 400 ans de présence jésuite à Bruxelles et Dictionnaire historique de Bruxelles (en préparation).

    Les Jésuites dans la ville, un livre de Xavier Dusausoit édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    30.00 
  • Les Fruits de la solitude. Quatre saisons à Port-Royal

    En cette année 1655, Robert Arnauld d’Andilly cultive des pêches pour la table royale et enseigne la poésie latine aux élèves des Petites Écoles, dont fait partie le poète Jean Racine. Sa fille Élisabeth, promise à la vie religieuse par les ultimes volontés de sa mère, lui donne du souci en refusant de suivre un destin tout tracé.
    Patriarche de la famille Arnauld bien connue à l’époque, familier de princes, ancien courtisan ayant fréquenté les salons libertins, Robert Arnauld d’Andilly s’est retiré à Port-Royal parmi les « Solitaires » pour mieux mourir au monde. La grande abbaye cistercienne, sur laquelle plane l’ombre de saint Augustin et de Jansenius, sera pour lui le cadre d’une vie champêtre, où il pourra donner libre cours à sa passion des jardins tout en s’adonnant à l’écriture et à la méditation. Malheureusement, la haine des jésuites à l’encontre des jansénistes vient troubler la paix du lieu : son rayonnement intellectuel fait de l’ombre au Roi Soleil.
    Malgré son vœu de solitude, Robert d’Andilly reçoit de nombreuses visites dans sa tour d’ivoire. On verra ainsi défiler une série de visiteurs : Blaise Pascal, familier et défenseur de Port-Royal ; la Grande Mademoiselle, cousine du roi Louis XIV ; Madame de Sablé et sa troublante amie la comtesse de Saint-Maur ; Monsieur de Sainte-Colombe ; Pierre Arnauld, disciple de Paracelse ; un gentilhomme hollandais nommé Spinoza, fabricant de lentilles à Amsterdam… Une galerie de personnages avec lesquels Robert Arnauld d’Andilly entretiendra des conversations, parfois secrètes, dont certaines iront jusqu’à le déstabiliser dans ses convictions religieuses et dans ses principes moraux.

    Catherine d’Oultremont est née en Catalogne. Elle vit aujourd’hui en Belgique, où elle se consacre à l’écriture et à la peinture.
    Les Fruits de la solitude est son troisième roman, après Le Prince de la Concorde (Le Cri, 2006) et Le Souffle des ancêtres (Le Cri, 2008).

    Les Fruits de la solitude. Quatre saisons à Port-Royal, un livre de Catherine d’Oultremont édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • Les fils du sénateur

    Récit traduit de l’allemand par Alain Préaux
    Cette nouvelle de Theodor Storm fut conçue entre fin 1879 et juin 1880. Elle parut en octobre 1880 dans la Deutsche Rundschau, c’est-à-dire en feuilleton ou prépublication, comme il en allait souvent à l’époque pour ce genre littéraire très prisé. Elle s’inscrit dans la longue lignée des Chroniknovellen (ou « Nouvelles historiques ») que Storm avait initiée dès 1875/76 avec Aquis submersus. Son motif principal est celui de la rivalité fraternelle, un motif privilégié dans la littérature allemande de Goethe à Grillparzer en passant entre autres par Klinger, Leisewitz et Schiller. Storm lui-même y reviendra dans l’un de ses chefs-d’œuvre, Zur Chronik von Grieshuus (1884). Dans Die Söhne des Senators, la tension monte graduellement entre les frères. Elle est rendue d’une façon magistrale qui n’exclut nullement un humour temporisateur, présent tout au long de la nouvelle.

    Né le 14 septembre 1817 à Husum, petite ville du Slesvig, alors danois, Hans Theodor Storm était le fils aîné de l’avocat Johan Casimir Storm et de Lucie Woldsen. Son père, jugeant que le niveau des études secondaires à Husum n’était pas suffisant, l’envoya terminer son parcours scolaire au célèbre Katarineum de Lübeck (que devraient fréquenter également, mais quelques décennies plus tard, les frères Heinrich et Thomas Mann). Grâce à son ami Ferdinand Röse, il s’initia à la littérature allemande moderne et se montra surtout impressionné par les Lieder de Heinrich Heine, les œuvres de Joseph von Eichendorff et le Faust de Goethe.

    Les fils du sénateur, un livre de Theodor Storm édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    10.00 
  • Les feuilles bleues

    L’Orbieu se traverse à gué, ensuite, c’est la montée difficile par un sentier large qui permet le passage des forestiers et de leur matériel. Une sorte de montée aux cieux en beauté graduelle : les Corbières, cela se distille, les splendeurs ne vous sont pas assénées comme à la Côte d’Azur où, les constructions mises à part, on ne peut que s’extasier. Une forêt de chênes verts ébréchée en dissimule une autre, unie et drue, nourrie d’humus, les samares, akènes volants qui, dirait-on, savent où se déposer, forêt comme hissée vers des sommets, lesquels, quand il a neigé, sont blanchis pour toujours. Ce blanc et ce vert nous escortent sans que jamais la pierre ne les déshonore ou ne les détrône, hormis quelque château-fort, délité comme il se doit, mémoire des hommes, rappel de la peur des uns pour les autres et de leur vigilance forcenée… On marchait d’un bon pas ; chemin faisant, je me suis bien gardée de signaler à Charles l’appellation de la moindre brindille : il préfère ne pas savoir, il me traite de pédante dès que je cite ; alors, l’arbuste mahonia, l’herbe rue, la lentisque, le cade pointu, le négunda — qui croît au bord de l’Orbieu — ou le genêt à deux faces, bouche cousue, ma fille, le grand homme apprécie le mystère, bien que ses reportages, il les truffait de précisions fatigantes. Oui mais c’était de l’exotisme. Nécessaire à la compréhension de millions de téléspectateurs. Tandis que moi, je compte pour du beurre ! Quand on grimpe, comme nous le faisons, on la boucle ! …

    Marie NICOLAÏ est choisie toute jeune par Yves Allégret pour jouer dans Félicie Nanteuil aux côtés de Micheline Presle et de Louis Jourdan. Romancière, adaptatrice, essayiste, elle a mené par ailleurs une activité soutenue auprès des Femmes Chefs d’Entreprises ; dans le domaine de l’audio-visuel avec Femmes dans le monde, dont elle est titulaire, et au cœur du Groupe du roman. Elle est aujourd’hui vice-présidente de l’Association des écrivains belges de langue française, membre administrateur de la Société royale protectrice de l’enfance, membre du comité de l’International P.E.N., sociétaire de la Société des gens de lettres (Bruxelles, Paris).

    Les feuilles bleues, un livre de Marie Nicolaï édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    28.00 
  • Les eaux de mon puits

    A la recherche d’une vraie liberté pour elle-même et pour tous, une femme, Ivone Gebara, se penche à la margelle de son puits pour en écouter les eaux profondes.
    L’auteur cherche et raconte ses expériences de liberté au travers des faits et histoires de sa propre vie : son enfance, sa relation à son père, à sa mère, à la famille, et plus tard aux membres de son entourage, ses années d’étude et d’enseignement.

    Les eaux de mon puits, un livre de Ivone Gebara édité aux Éditions Mols

    22.00