• Mal de mère

    1975. Miami. Elizabeth Jones disparaît de façon inexpliquée. Elle laisse derrière elle une petite fille d’un an, Iliana, et un mari que l’on ne tarde pas à soupçonner de meurtre. Vingt ans plus tard, Iliana reçoit une série de lettres de sa mère. Cette dernière ne s’était jamais résolue à les envoyer. À travers cette correspondance, la jeune femme découvre les raisons de la disparition de sa mère.

    Mal de mère est le récit en miroir d’une mère et d’une fille face au dévoilement du secret de l’une et de l’obligation pour l’autre de réinventer, à partir de là, sa propre histoire. Elles vont se réapproprier leurs destins respectifs, hors des préjugés, des normes et de la fatalité qui emprisonnent la femme devenue mère.

    Mal de mère, un livre de Élise Bussière édité aux Éditions Mols

    15.90 
  • Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles) – ePub

    Que peuvent nous apprendre les prédictions de l’Almanach de Mathieu Laensbergh en matière d’éveil aux idées des Lumières, au XVIIIe siècle ? Quel changement de mentalité à l’égard des pratiques magico-religieuses laissent entrevoir les commentaires du livret de pèlerinage à Saint-Hubert en Ardenne ? Comment les mémoires rédigés à l’occasion de procès opposant des communautés rurales aux autorités manifestent-ils le progrès du rationalisme critique, à travers un lexique où le bourgeois sensible côtoie l’aristocrate éclairé ? C’est à de telles questions que tâche de répondre le présent ouvrage, à partir d’une documentation associant littérature « populaire », journaux, catalogues de libraires, chansons, etc. La communication orale y trouve une place importante, notamment quand elle se fait dialectale. La diffusion de valeurs et d’interrogations communes s’opère aussi par le théâtre, où drames sérieux, vaudevilles et opéras-comiques – nous sommes au pays de Grétry – composent un véritable « paysage culturel ».

    15.99 
  • Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles) – ePub

    Que peuvent nous apprendre les prédictions de l’Almanach de Mathieu Laensbergh en matière d’éveil aux idées des Lumières, au XVIIIe siècle ? Quel changement de mentalité à l’égard des pratiques magico-religieuses laissent entrevoir les commentaires du livret de pèlerinage à Saint-Hubert en Ardenne ? Comment les mémoires rédigés à l’occasion de procès opposant des communautés rurales aux autorités manifestent-ils le progrès du rationalisme critique, à travers un lexique où le bourgeois sensible côtoie l’aristocrate éclairé ? C’est à de telles questions que tâche de répondre le présent ouvrage, à partir d’une documentation associant littérature « populaire », journaux, catalogues de libraires, chansons, etc. La communication orale y trouve une place importante, notamment quand elle se fait dialectale. La diffusion de valeurs et d’interrogations communes s’opère aussi par le théâtre, où drames sérieux, vaudevilles et opéras-comiques – nous sommes au pays de Grétry – composent un véritable « paysage culturel ».

    Le Cri du public. Culture populaire, presse et chanson dialectale au Pays de Liège (XVIIIe et XIXe siècles) – ePub, un livre de Daniel Droixhe édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    15.99 
  • Carrefour Léonard

    Carrefour Léonard a pour toile de fond l’arrêt rendu le 17 novembre 2000 par la Cour de Cassation française connu sous le nom d'((arrêt Perruche)).

    Carrefour Léonard, un livre de Jacques Laffineur édité aux Éditions Mols

    16.00 
  • En Plein Soleil

    Léopold Courouble (Bruxelles 1861-1937), à Bruxelles, rue des Chartreux, dans la belle demeure familiale, surmontée d’un double pignon à redans, qu’il a décrite dans La Maison espagnole (1904). Âgé à peine de sept ans, Léopold a été mis en pension à Vanves. Pensionnaire quelque temps au Lycée Louis-le-Grand, il revient adolescent de Paris en 1877, pour achever ses humanités à l’Athénée de Bruxelles. S’il lui plaira, dans le cycle des Kaekebrœck (qui fera des émules, parmi lesquels les auteurs fameux du Mariage de Mlle Beulemans) et quelques autres ouvrages, de peindre avec un réalisme tout imprégné de sympathie les Bruxellois bruxellisants du bas de la ville, il lui déplaisait que son entreprise amenât les esprits simplistes à voir en lui un bon Brusseleer.
    Inscrit à l’Université libre de Bruxelles, il en sort en 1884 avec le diplôme de docteur en droit. Ce qu’il a appelé discrètement la fortune changeante le réduit tout soudain à la pauvreté. Que faire? Le métier d’avocat s’offre à lui. Il plaide quelque peu, mais il eut vite fait, dira George Garnir, de prendre en grippe la robe et le rabat du stagiaire. Il s’embarque alors comme simple matelot sur un navire qui part pour l’Amérique, une aventure sans lendemain qu’il racontera dans Atlantique Idylle (1895), et qui, souvenir durable, lui fournira le sujet et le cadre de son dernier roman, À bord du Jacques Van Artevelde.
    Il s’oriente vers le journalisme. Les chroniques judiciaires, signées Maître Chamaillac, qu’il donne à La Réforme, mettent en lumière son talent de narrateur ; il en publiera un choix dans Mes Pandectes (1904). Voilà qu’on lui propose, en 1889, un poste de magistrat au Congo. Il l’accepte, et il apporte à ses fonctions un zèle méritoire. Mais des ennuis de santé interrompent sa carrière africaine. Bien que brève, elle hante sa mémoire : En plein soleil (1900), Profils blancs et frimousses noires (1901), Images d’outre-mer (1903).
    Les premiers de ces textes sont enfin réédités.

    En Plein Soleil, un livre de Léopold Courouble édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    16.00 
  • Faut-il sacrifier le Nom-du-Père ?

    L’État peut-il abdiquer sa responsabilité en matière d’attribution du patronyme ? Les dégâts que peut causer une anarchie dans ce domaine ébranlent les fondements de la famille et de la personne humaine, car le choix du patronyme touche à l’identité profonde des individus, donc à leur équilibre personnel et à leur insertion dans l’environnement.

    L’analyse rigoureuse qu’en fait Diane Drory est une contribution importante à ce débat de société qui concerne tous les enfants à venir.

    Faut-il sacrifier le Nom-du-Père ?, un livre de Diane Drory édité aux Éditions Mols

    16.00 
  • La Légende du roi Crapaud

    « Et il vit que, depuis le début, tout bégayait, en effet : le rêve hâtif d’Agabal Megakan, devenu Alexandre Agabal ; la longue marche des Crapauds, affamés, sans halte, contre le jour et la nuit ; et, surtout, toute cette démangeaison soudaine des chairs, aux pieds d’un Arbre torsadé en son milieu de trois ventres ; et cette eau d’immortalité refusée par Alexandre le Grand et qu’Agabal Alexandre croyait avoir bu, à travers les mots bégayants d’une Cigogne à demi folle. (…) Agabal Alexandre, à son tour, redevint Roi et, à côté de son frère Kanaan le pensif, médita le commencement, bientôt, de sa guerre et de sa victoire. Il écouta la nuit. (…) Des tintements de métal, clairs, ting, ting, ting, résonnaient dans les ténèbres : Koroman Gbete, le forgeron divin, dans sa forge en forme de cratère, ciselait le rire de son Roi. Le rêve d’Agabal Alexandre ne bégayait pas. Car, façonnée dans l’obscurité entre l’enclume et le marteau, surgissait enfin sa légende, la légende du Roi Crapaud, sous la forme d’une armure ovoïde comme l’œuf du Monde ! »

    Grâce à un récit magistral, l’auteur nous entraîne dans un monde merveilleux où la langue rivalise de virtuosité avec l’imagination. Et si, un jour, Hommes et Crapauds s’associaient dans un même vrombissement d’amour pour lever, de leurs voix déchirées, un déluge broyeur de démons, comme fut broyée, jadis, l’Atlantide ? Une voix étrange venue d’Afrique et qui, dans un murmure épique, une communion de sens, nous rappelle que le fantastique du Nord n’est pas si loin…

    Vincent Lombume Kalimasi est né à Léopoldville le 3 janvier 1947. Après des études en journalisme, sociologie et philosophie, il devient agent d’entreprise pour le compte de la Cadeza, de la Sozacom et de la Gécamines, puis directeur technique pour l’Agence congolaise de Presse (ACP) et, enfin, pour un temps, membre du cabinet du Ministre de l’information et de la culture. Depuis, il consacre son temps à l’écriture. Il vit à Kinshasa.

    La Légende du roi Crapaud, un livre de Vincent Lombume Kalimasi édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    16.00 
  • Le harcèlement intime

    L’amour et l’amitié ne devraient évidemment, en principe, pas entretenir de rapport avec le harcèlement et les comportements d’agressivité qu’il suppose. Mais voilà, chez l’être humain, tout est décidément bien complexe et lorsque les jeux de l’amour se mêlent à des jeux de pouvoir, un noble sentiment peut très bien s’emmêler d’intentions diaboliques.

    Le harcèlement intime, un livre de Bruno Humbeeck édité aux Éditions Mols

    16.00 
  • Lointains Secrets

    En maître de l’illusion, l’auteur fait apparaître autant de personnages que de reflets : l’Enfant et Vivian, Lou et Yvo, Emily et Sandrine, diverses statures d’ambassadeurs en Inde, in fine la figure mythique d’un passager du temps à Venise, comme s’il nouait devant nous le nœud même d’un mystère qui est la vie, tout en nous disant, sourire en coin : « Essayez donc de trouver le truc… »
    Le roman Lointains secrets est suivi d’une nouvelle intitulée Les beaux enfants.

    « L’originalité de Delzenne a quelque chose de rafraîchissant, quels que soient les thèmes qu’il aborde, et même s’ils sont graves. Faut-il l’attribuer à son anti-conformisme de nature, sa passion de la beauté, le raffinement de sa culture, le ciselage de son écriture ? À tout cela ensemble, sans doute… » (Jacques Franck)

    « Delzenne, très dandy comme les personnages d’acteurs, de peintres, de musiciens qui émaillent ses romans. Variations sur toutes les gammes de l’amour. » (Gaël)

    « Morand doit disputer sa main à Beau Brummel et Yves-William Delzenne se contente de demeurer en suspension dans ce monde où il incarne une espèce nouvelle. » (Le Vif l’Express)

    Lointains Secrets, un livre de Yves-William Delzenne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    16.00 
  • Making of, la réalisation de 21 albums légendaires

    Les albums qui bercent notre imaginaire et constituent l’histoire du rock ont véhiculé, lors de leurs réalisations, des informations où il est parfois difficile de faire la part entre le vrai et le faux. Marc Ysaye reprend systématiquement les faits et, pour notre plus grand plaisir, fait revivre les intrigues et les légendes nées de l’alchimie entre les musiciens et leurs talents…
    On lit ces Making of avec délectation, on retourne vers les albums, on découvre ou on se souvient…

    Marc Ysaye est animateur à la RTBF depuis 1982. Il a fait toutes ses classes à Radio 21 où il a produit une série impressionnante d’émissions et de séquences. Le 3 janvier 1988 il crée la première de son émission du dimanche matin Les Classiques de Marc Ysaye. Le succès sera immédiat. Il sera responsable des émissions du week-end jusqu’en 1994 puis s’occupera de dynamiser les petits matins jusqu’en 1999. En 2000 il est désigné chef d’Antenne de Radio 21 puis en devient le Directeur en 2001. Depuis 2003 Marc Ysaye est le Directeur de Classic 21 qu’il a fondée. Il est également le batteur du groupe belge Machiavel avec qui il a enregistré une bonne quinzaine d’albums depuis 1976. Il a créé en 2005 en collaboration avec Laurent Rieppi l’émission Making Of qui a été un succès instantané. Aujourd’hui ce sont plus de trois cent émissions qui ont été enregistrées, et le Making Of est l’émission la plus « podcastée » des Radios de la RTBF.

    Making of, la réalisation de 21 albums légendaires, un livre de Marc Ysaye édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    16.00 
  • Samantha à Kinshasa

    Il faut lire Marie-Louise Mumbu (alias Bibish pour les Kinois et les proches) comme on fait un voyage inoubliable. Grâce à son humour subtil, son style ciselé et un vocabulaire efficace, Bibish nous prend par la main pour nous entraîner à la suite de son héroïne Samantha, journaliste de profession, à travers les quartiers de Kinshasa.
    C’est alors à une grande leçon de vie, d’humilité, mais aussi de dérision, que nous convie l’auteur, un rendez-vous pour un repas littéraire savoureux. Mais on ne se contente pas de déguster, on se dit surtout qu’après ça, plus rien n’est vraiment grave… ni la montre brisée, ni le temps qui passe…
    Tout le monde devrait lire Bibish.

    Marie-Louise Mumbu (Bibish), née en 1975 à Bukavu (République démocratique du Congo), est journaliste et écrivain.
    Diplômée en 2002 de l’Institut technique des Sciences de l’information et communication à Kinshasa (ISTI), et correspondante d’Africultures (revue culturelle trimestrielle), elle a été administratrice des studios Kabako jusqu’à l’été 2003. Elle a travaillé dans l’administration et la production pour différents artistes et projets culturels à travers le monde, elle a aussi participé à de nombreux ateliers d’écriture (Guy-Junior Régis, Olivier Coyette, Sonia Ristic, Odile Zeller, Jean-Luc Outers, Matthieu Malgrange).
    Elle vit à Kinshasa, où elle est connue sous le nom de Bibish. À travers le récit qu’elle nous offre aujourd’hui, elle nous dévoile toute l’étendue de son talent.

    Samantha à Kinshasa, un livre de Marie-Louise Mumbu édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    16.00 
  • Viva la vida

    Avec une simplicité désarmante, une maman s’adresse à ses filles, Justine (15 ans), Olivia (13 ans) et Louise (11 ans). Elle transmet, elle partage, elle suggère. Elle parle d’authenticité, d’harmonie, de respect, de différence, d’ouverture, de confiance en soi, tous ces ingrédients qui façonnent une personnalité.

    Viva la vida, un livre de Bénédicte Legrand édité aux Éditions Mols

    16.00 
  • L’Audience de Don Juan d’Autriche

    Cet essai porte sur le séjour de Don Juan d’Autriche, demi-frère de Philippe II, dans les Flandres (de 1576 à 1578) à l’époque de la guerre. Sur le plan historique, ce livre est le résultat d’une recherche approfondie et rigoureuse. Mais, au-delà des faits livrés par l’histoire et relatés dans l’essai, il s’agit avant tout de se poser la question : pourquoi le personnage solaire, héroïque, que représente Don Juan d’Autriche, amiral de la flotte, vainqueur de Lépante, célèbre dans toute l’Europe pour ses exploits sur les mers, finit-il par se résoudre à cette mission de Gouverneur des Flandres qu’il avait d’abord refusée et qui ne lui convient pas, où sa situation ne cesse de se dégrader ? Pour tenter de répondre à cette énigme historique et individuelle, le récit nous entraîne, pas à pas, comme une enquête, au plus profond des motivations de Don Juan. Un cheminement original qui réserve au lecteur quelque surprise.

    L’Audience de Don Juan d’Autriche, un livre de Frédéric Wauters édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    16.11 
  • Le show lapin de Garel

    Animatrice de télévision, Sophie Garel est aussi une maîtresse de maison avisée et spirituelle ! Elle aime recevoir en toute décontraction ses amis. A leur intention, elle a mitonné un livre de cent recettes, aussi bonnes que drôles, aussi simples qu’efficaces !
    En trois coups de cuiller à pot, elle donne à ses lectrices des arguments confondants pour passer, entre amis, des soirées sans télévision.

    Le show lapin de Garel, un livre de Sophie Garel édité aux Éditions Mols

    16.11 
  • Le Ricochet

    Notre rapport à l’autre nous éveille, nous révèle une partie de nous-mêmes.
    Est-ce que quelqu’un viendra nous combler de nos manques ? De notre solitude ? Mieux se connaître, n’est-ce pas un moyen d’acquérir plus de liberté dans notre rapport à la vie ?

    Le Ricochet, un livre de Géraldine de Radiguès édité aux Éditions Mols

    16.90 
  • Au bord du Monde

    Dans les semaines qui précèdent l’invasion de la Belgique, Joseph et Leni, deux écrivains, trouvent refuge dans un hôtel d’Ostende. Lui est autrichien, elle allemande, ils viennent de Paris et des hôtels de la rive gauche. Lui écrit beaucoup depuis plusieurs années et est alcoolique. Elle a publié un roman à succès dans l’Allemagne des débuts du nazisme et a vingt ans de moins que lui. À Ostende, leur histoire se cristallise et prend les accents d’un film d’avant-guerre avec tous ses excès romanesques. Une sorte d’hyperfilm naturaliste du samedi-soir…
    Par ailleurs, le roman est entrecoupé de chapitres d’entretiens entre l’auteure Ursula Baum et un certain Franz, quarante ans après, à l’hôtel des Thermes d’Ostende. On découvre que tous deux se sont connus, mais à des âges différents, au cinéma Éden, à Saint-Dié, une petite ville de l’Est de la France.
    Ainsi, comme il y a des romans dans le roman et des films dans le film, Au bord du Monde est un roman dans le film, et un roman du film, tout en étant un film du roman en train de se faire… On y vit, on croit y mourir mais on survit, ailleurs, dans une autre dimension, celle du cinéma comme monde plus réel que la vie et, en somme, plus désirable.
    Serait-ce l’ombre alliée à la lumière du cinéma Éden sur l’écran de nos imaginaires ?

    Maxime Benoît-Jeannin, biographe, essayiste et roman-cier, est également scénariste. Il rend ici hommage au cinéma de sa jeunesse. Parmi ses livres récents, on peut citer Histoire de la Toison d’or (avec Pierre Houart), chronique du fameux ordre de chevalerie, et Mémoires d’un ténor égyptien, roman, tous deux parus aux Éditions Le Cri en 2006.

    Au bord du Monde, un livre de Maxime Benoît-Jeannin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    17.00 
  • Davies, la mort qui tue

    Davies a une double vie : détective privé le jour, agent de la sureté de l’État la nuit. Davies a un don : le don de se placer au centre des situations les plus rocambolesques.
    Engagé par le notaire Gentil — qui n’a de gentil que son nom — pour retrouver l’assassin de son client décédé, Davies doit combattre des terroristes internationaux tout en poursuivant des agents secrets qui en savent beaucoup trop… Une seule certitude : si Davies ne sauve pas la capitale de l’Europe de la menace terroriste, personne ne pourra le faire !
    Au cours de cette aventure, nous faisons la connaissance de personnages pas très nets issus de la CIA, du Hamas et/ou du Mossad, le tout agrémenté d’une dose d’amour, d’humour noir, et d’une intrigue non conventionnelle.
    Davies est parmi nous. Prenez garde en traversant !

    Fabrice Gardin associe dans son travail quotidien au Théâtre des Galeries la communication à sa passion du théâtre et de l’écriture. Il est l’auteur de Les Inconsolables (lecture-spectacle en mai 2004 au Théâtre du Parc), Destin (Théâtre du Méridien, octobre 2005, éditions Le Cri), Anna, Une rencontre comme une autre (La Samaritaine, avril 2007, éditions Le Cri), L’Hôtel idéal, Compartiment non-fumeurs et Une vie d’infortune (L’Arrière-Scène, octobre 2008). Il a adapté Candide de Voltaire (Compagnie des Galeries, été 2002) et L’assassin habite au 21 de S. -A. Steeman (Théâtre des Galeries, octobre/novembre 2008).

    Christian Lutz est né à Léopoldville en 1954. Après un passage par les multiples réseaux du livre — de la librairie à la distribution en passant par l’imprimerie —, il fonde les éditions Le Cri en 1981. Il a été administrateur de la Foire internationale du Livre de Bruxelles de 1984 à 1992. Outre un roman écrit avec Fabrice Gardin, il est aussi l’auteur d’un roman historique, Marie ou la Renaissance (avec Arnaud de la Croix, Legrain, Bruxelles — rééd. Le Cri, Bruxelles, 2002) et d’une adaptation de Dracula de Bram Stoker (avec Denis Leddet).

    Ensemble, ils ont publié Peut-être rencontrerons-nous des pintades en route (roman, Le Cri, 2006).

    Davies, la mort qui tue, un livre de Fabrice Gardin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    17.00 
  • Juste avant…

    Nelly Schmitz, sur le point de recevoir son diplôme d’ingénieur commercial Solvay, se voit offrir en 1959 par les “transporteurs congolais”, à savoir la Sabena, la CMB et les Chemins de fer des Grands Lacs, un voyage d’études au Congo belge et au Ruanda-Urundi.

    Juste avant…, un livre de Nelly Schmitz édité aux Éditions Mols

    17.00 
  • Le Credo est-il encore crédible ?

    ,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;,#65532;Que ressent le chrétien, désireux de vivre sa foi comme une méditation d’amour envers Dieu, lorsqu’il se voit tenu de la proclamer par le Credo tel qu’il est rédigé encore aujourd’hui ?

    L’auteur se propose ici de s’attacher à la démarche de celui qui est invité à le réciter et qui se voit confronté à la difficulté de conjuguer sa foi profonde, le contexte socioculturel et scientifique dans lequel il la vit et la manière dont l’Église lui demande de l’exprimer.

    Le Credo est-il encore crédible ?, un livre de Vincent Hanssens édité aux Éditions Mols

    17.00 
  • Le Rôle divin de l’eau

    Cette année encore Julien avait pris la route du sud pour rejoindre son oncle Maurice, maire de Sursenet, petit village perdu dans le Haut Vaucluse.
    Le maire l’attendait de pied ferme, bien décidé cette fois à dévoiler à son neveu le mystère qui entourait la source qui sourdait dans la propriété familiale et abreuvait largement tout le village.
    Un début d’été prometteur si ce n’était l’intérêt pressant d’une multinationale des eaux aux ambitions douteuses.
    L’enjeu était de taille car ce que la source avait révélé au maire dépassait l’entendement.
    David contre Goliath !
    Mais quel secret cachait donc Maurice ? Quel rôle jouait Emeline, l’amie d’enfance de Julien ? Quel pouvoir méconnu détenait l’eau ; l’eau la survie de l’humanité ?

    Alain TYTGAT est né en 1949 au Congo. Juriste de formation, il a fait carrière dans la publicité. Passionné d’histoire, de littérature et de musique, il partage aujourd’hui son temps entre l’écriture et les voyages. Il a publié deux romans aux éditions Le Cri : Le Prof d’histoire (2005) et Les Liaisons infinies (2008).

    Le Rôle divin de l’eau, un livre de Alain Tytgat édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    17.00 
  • Les vraies raisons pour lesquelles les églises se vident

    Beaucoup d’hommes d’Église les cherchent, ces vraies raisons, mais ils s’obstinent à les chercher là où elles ne sont pas.
    L’Église ne maîtriserait pas assez les moyens de communication modernes, elle devrait davantage soigner son image, les messes ne sont pas encore assez conviviales, les prêtres pas encore assez familiers, l’Église pas encore assez à la page…
    Ils font fausse route.

    Les vraies raisons pour lesquelles les églises se vident, un livre de Christophe Buffin de Chosal édité aux Éditions Mols

    17.00 
  • Nietzsche-à-Nice

    Une fiction poétique légère et grave à la fois, mettant en présence le philosophe de l’Eternel retour, le plus “européen” des hivernants niçois du XIXème, et les protagonistes de la laborieuse négociation du traité de Nice en décembre 2000, préparant la “grande Europe” du XXIème siècle.

    Nietzsche-à-Nice, un livre de Renaud Denuit édité aux Éditions Mols

    17.00 
  • Opération Dragon Rouge

    Le Congo dans la guerre froide (1964).
    Après la sécession katangaise et avant le coup d’État de Mobutu, les soldats de l’ONU quittent le Congo, aiguisant l’appétit des prédateurs. Plus de la moitié du territoire passe aux mains de rebelles, appuyés discrètement par la Chine communiste. Dans Stanleyville (Kisangani), la capitale révolutionnaire, les civils belges et américains sont pris en otage. Comment les libérer_ ? _s’inquiète Paul-Henri Spaak. La voie diplomatique semble bouchée… Dans le secret, Américains et Belges préparent une opération aéroportée_ : Dragon Rouge. Le président Jonhson donnera-t-il son feu vert_ ?
    Un récit haletant, où événements et acteurs de l’histoire s’enchevêtrent à un rythme effréné.

    Vincent Delannoy est né à Kinshasa. Après Le livre noir des Belges zaïrianisés, il nous plonge, avec Opération Dragon Rouge, dans une année charnière et mouvementée du Congo indépendant. Licencié en histoire (Katholieke Universiteit Leuven) et fils de parachutiste (envoyé à la base de Kamina avec le 1er détachement para-commando), il retrace ici, avec vigueur et précision, certains épisodes inédits de l’histoire du Congo.

    Opération Dragon Rouge, un livre de Vincent Delannoy édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    17.00 
  • Rocking-Chair

    Dans les salons de cénacles parisiens dont elle faisait tout de même partie, il arrivait à cette romancière de déclarer que Marcel Proust était, à ses yeux, un humoriste et qu’elle riait souvent aux larmes en le relisant. Autour d’elle, alors, un silence prudent s’installait, car il s’il est aisé et nécessaire de donner la réplique à des auteurs « arrivés », ce n’est pas à une dame, certes publiée mais peu connue en librairie, de porter des jugements… Autre maladresse, cette romancière s’embourbait davantage quand elle demandait à la cantonade des nouvelles de la petite phrase musicale de Vinteuil si chère à Charles Swann, ou bien quand elle rappelait avec enthousiasme les parlotes de la tante Léontine et de la géniale Françoise dans la fameuse chambre et le passage où Legrandin affirme au père de Marcel que Balbec est un désert, alors que madame de Cambremer – sa sœur – y vit fastueusement. Sans oublier le clan Verdurin et les salonards…

    Marie NICOLAÏ, romancière, adaptatrice, essayiste, a mené une activité soutenue auprès des Femmes Chefs d’Entreprises. Elle est, notamment, vice-présidente de l’Association des écrivains belges de langue française, membre administrateur de la Société royale protectrice de l’enfance, membre du comité de l’International P. E. N. , sociétaire de la Société des gens de lettres (Bruxelles, Paris). Deux de ses romans, Une Dévotion (1999) et Les Feuilles bleues (2005), ont été publiés aux éditions Le Cri.

    Rocking-Chair, un livre de Marie Nicolaï édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    17.00 
  • Tant que je vis, j’espère !

    Les auteurs :
    José Davin
    Michel Salamolard

    En une vingtaine de chapitres, sur des enjeux essentiels, les auteurs ont souhaité rejoindre la vie concrète de chacun et chacune, tout en apportant des raisons d’espérer pour continuer la route plus sereinement, parfois… malgré tout !

    Tant que je vis, j’espère !, un livre de José Davin édité aux Éditions Mols

    17.00 
  • Casa nostra

    Toute une vie à attendre cet instant-là, à le rêver, à le construire la nuit côte à côte. Toutes ces années à travailler, à vieillir, à compter, et puis se retrouver là, enfin, dans ce train vers l’Italie. Tornare a casa. Rentrer chez soi…

    Casa nostra, un livre de Sarah Berti édité aux Éditions Mols

    17.50 
  • La raison et le coeur

    Paul-Henry Gendebien annonce depuis longtemps la montée en puissance du séparatisme flamand. Il avait prévu les dysfonctionnements et le chaos dans lequel s’abîme la Belgique. Aujourd’hui, la crise politique permanente lui donne raison. Puisque la Flandre n’aime plus la Belgique, il propose aux Wallons et aux Bruxellois de se construire un nouvel avenir durable.

    La raison et le coeur, un livre de Paul-Henry Gendebien édité aux Éditions Mols

    17.50 
  • Le choix de la Wallonie

    Jules Gheude suit depuis plus de trente ans l’évolution du problème communautaire belge. On lui doit plusieurs essais et articles de presse.
    Dans son dernier ouvrage L’incurable mal belge, sous le scalpel de François Perin, paru juste avant les élections législatives du 10 juin 2007, il explique que l’Etat belge, miné par le nationalisme flamand, ne peut plus être sauvé.
    Il importe donc, pour lui, de préparer les esprits wallons à l’inéluctable.

    Le choix de la Wallonie, un livre de Jules Gheude édité aux Éditions Mols

    17.50 
  • Une maison bruxelloise

    Dans la veine de ses deux romans précédents – description de situations cocasses, inattendues et dramatiques à la fois –, dans un style incisif, précis et original, l’auteur se complaît cette fois à se mettre dans la peau d’une mère de famille séparée de celle-ci et dont le sort dépend d’elle.

    Une maison bruxelloise est le troisième roman de Valentine de le Court, après Explosion de particules et Vacances obligatoires en famille.

    Une maison bruxelloise, un livre de Valentine de le Court édité aux Éditions Mols

    17.50 
  • Une nouvelle Belgique est-elle possible ?

    Au travers de toutes ses réformes institutionnelles, l’État belge a chaque fois raté l’occasion de faire les choses convenablement. Partis du mythe de deux peuples enfermés – contre leur gré ? à leur insu ? – dans des frontières communes, les politiciens – car, bien entendu, la population n’a jamais été consultée – ont inventé un faux fédéralisme à deux, qui est la voie la plus sûre vers l’éclatement du pays.

    Une nouvelle Belgique est-elle possible ?, un livre de Christophe Buffin de Chosal édité aux Éditions Mols

    17.50 
  • La rencontre de monsieur Swahan

    Je suis Judith : une femme active, en recherche d’équilibre, qui a construit sa vie pas à pas. Mon existence me satisfait pleinement car elle évolue dans une certaine structure logique qui m’apaise, m’équilibre entre famille, travail et amis. J’en suis fière.
    Puis vient ce voyage qui ébranle des certitudes, quelques-unes de mes croyances et m’ouvre à d’autres réalités.
    Qui suis-je face à l’inconnu ?
    Est-ce que ma vie peut être menée avec plus d’insouciance ?
    Comment lâcher prise ?
    Y a-t-il un sens à parcourir notre chemin ici-bas ?

    La rencontre de monsieur Swahan, un livre de Géraldine de Radiguès édité aux Éditions Mols

    17.90 
  • Cuisiner. Un Art de Vivre

    Ce livre a sauvé mes enfants de la malnutrition ! (Une cliente au Salon du livre)

    Enfin rééditée, cette somme du bon sens culinaire, avec une abondante iconographie et trois dessin originaux de Thierry Bosquet, ravira les amateurs de beaux livres et de fourneaux.
    Des annexes et index pratiques permettent une lecture interactive efficace et complète, afin d’optimiser tout projet culinaire.

    Sous une forme efficace, avec une iconographie fournie, ce livre constitue une source d’inspiration inépuisable pour ceux qui aiment et/ou doivent cuisiner.

    Marie Delcourt fut avant tout une Helléniste de première force, traductrice et biographe des grands classiques, éminent professeur à l’Université de Liège, elle était une chercheuse de haut niveau hantée par le souci de communiquer son savoir.
    C’est ainsi qu’excellente cuisinière, elle tint à rédiger ce manuel culinaire à l’usage de ceux qui exerçaient une profession absorbante.
    Ce contexte fera de son projet un livre exceptionnel.

    Cuisiner. Un Art de Vivre, un livre de Marie Delcourt édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • De Blanche-Neige à Harry Potter, des histoires pour rebondir

    Ce livre, pour comprendre la résilience, emboîtant le pas à Blanche-neige, Harry Potter et d’autres, sera utile aux adolescents, à qui il est dédié par sa forme, comme aux parents et aux professionnels de l’éducation éducative et sociale, à qui il s’adresse par le fond. Cet ouvrage constitue en effet à la fois une mine de thèmes de réflexion à propos de l’éducation et un réservoir de concepts, de problématiques, d’analyses, d’expériences de terrain et de techniques d’action rencontrant toutes un même idéal : celui de la tolérance et de la solidarité…

    De Blanche-Neige à Harry Potter, des histoires pour rebondir, un livre de Bruno Humbeeck édité aux Éditions Mols

    18.00 
  • De la scène à la lucarne (conversations avec Henri Billen)

    À travers l’évocation de la longue carrière d’Henri Billen (1918), homme de théâtre – sur les planches, dans les jeux radiophoniques et à la tête du service des Dramatiques à l’INR (et puis à la RTB), un pan entier du monde artistique belge francophone du XXe siècle ressurgit. Il a d’abord fréquenté et puis dirigé le Jeune Théâtre de son Alma Mater, l’Université Libre de Bruxelles. Dans ce milieu, il a côtoyé un groupe de « créateurs libres » qui, comme lui, sont passés – d’allers en retours – de la scène à la lucarne. Ce sont les Wangermée, Van Hout, Delville, Lanc, Danblon, Anrieu, Roland, Ravar, Becker, Brédael, Thierry… Sans oublier Louis-Philippe Kammans, le fondateur de la compagnie avant d’être le premier « patron » d’Henri Billen aux débuts de la télévision. Sur les balbutiements de l’INR, Henri Billen porte un regard tendre et sans nostalgie. Il raconte, avec humour, une période d’expériences audacieuses et artisanales où les pionniers programmaient des fictions pour le petit écran avec à l’esprit une définition exigeante des missions du service public. Celles-ci bénéficièrent de la complicité de nombreux comédiens belges dont un certain nombre d’AJT (d’Anciens du Jeune Théâtre). Cette série d’entretiens avec Henri Billen s’appuie sur la bibliographie spécialisée, des fonds d’archives la plupart originaux et de nombreuses interviews, souvent réalisées en sa compagnie.

    Docteur en Histoire (ULB), Pierre Van den Dungen est chercheur (ULB) et professeur à La Cambre-ENSAV (Bruxelles). Spécialiste en histoire de la presse et des médias (Milieux de presse et journalistes en Belgique (1828-1914), Bruxelles, Académie royale de Belgique, 2005, La Civilisation du journal, Histoire culturelle et littéraire de la presse française au XIXe siècle (1800-1914), Dominique Kalifa et alios (dir), Paris, Nouveau Monde, à paraître en 2009…).

    De la scène à la lucarne (conversations avec Henri Billen), un livre de Pierre Van Den Dungen édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • De Rome à Marcinelle !

    La catastrophe de Marcinelle du 8 août 1956 a provoqué un deuil national sans équivalent dans l’histoire de la Belgique et suscité un mouvement de solidarité dans l’Europe entière.
    Cinquante ans après, le souvenir demeure vivace pour celles et ceux qui ont vécu l’événement. Un double message s’impose à nous pour les nouvelles générations, il s’agit avant tout de comprendre pour mieux construire le présent et le futur.
    Pour le monde du travail, la solidarité reste le moyen par excellence d’agir, de modifier les législations et de faire honneur à tous les militants du monde qui luttent pour de meilleures conditions de travail. La commémoration de Marcinelle n’est qu’un début, le combat continue !
    Ce livre (coédité avec la CSC-Énergie-Chimie) reprend les communications d’un colloque scientifique qui s’est tenu à Charleroi en juin 2006. Il a réuni des scientifiques belges et italiens, ainsi que des acteurs syndicaux, patronaux, et des responsables de la Commission européenne, qui ont abordé la catastrophe dans sa dimension historique, posé le diagnostic aujourd’hui, réflechi aux défis futurs de la sécurité et de la santé au travail en vue d’agir pour plus de sécurité sur le lieu de travail.
    Que révèle la bataille du souvenir entreprise après Marcinelle sur la société belge face à son passé ? Quels sont les principaux enseignements que peut véhiculer la mémoire d’une catastrophe d’une telle ampleur ? Comment tirer profit des leçons du passé pour renforcer la prévention des risques sur le lieu de travail aujourd’hui et demain ? Comment répondre aux défis que posent l’élargissement de l’Europe et la globalisation en matière de sécurité et de santé au travail ?
    Autant de questions auquel ce livre tente d’apporter des réponses.

    De Rome à Marcinelle !, un livre de Italo Rodomonti édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • Des Brainois prennent la plume

    Des habitants de Braine se révèlent écrivains à propos de leur commune qu’ils affectionnent :
    Jean Bosse, Emile Boucher, Richard Boulengier, Simone Lejeune, Jacques Mercier, Bernard Snoy, Jo Van Gucht et bien d’autres.

    Des Brainois prennent la plume, un livre de Collectif édité aux Éditions Mols

    18.00 
  • Et si j’ouvrais la porte de mon sixième sens ?

    Et si c’était vrai, si nous avions bien un sixième sens ?
    Question éternelle.
    Ce livre est une invitation à vous poser dans une bulle hors de toutes croyances, préjugés ou opinions. Un peu comme si vous faisiez l’exercice d’effacer tout ce que l’on vous avait appris et que vous aviez l’audace de dépasser vos frontières.

    Et si j’ouvrais la porte de mon sixième sens ?, un livre de Marie-Pascale Coenraets édité aux Éditions Mols

    18.00 
  • Fin de vie

    Cet ouvrage se veut une contribution au débat sur la législation italienne relative à la fin de vie, compte tenu de la demande de légiférer qui a été faite à deux reprises par la Cour constitutionnelle italienne. Cette question concerne évidemment la médecine, la souffrance et la spiritualité des malades et de leurs familles, mais aussi l’ensemble de la société civile, en Italie et à l’étranger.

    Cette réflexion est particulièrement urgente en Italie, pays aujourd’hui de plus en plus laïque et multiculturel, mais elle est également nécessaire en France, où la légalisation de l’euthanasie fait l’objet d’un débat animé et où la question fait partie des enjeux de la campagne présidentielle de 2022. Et au Portugal également, où le président de la République a suspendu la promulgation du décret règlementant les circonstances et les conditions dans lesquelles la mort médicalement assistée n’est pas punissable.

    Fin de vie, un livre de Attilio Stajano édité aux Éditions Mols

    18.00 
  • IN’HUI 62 – L’Insurrection angélique

    La lecture du présent choix permettra, je l’espère, de mieux cerner la richesse et la complexité de cette œuvre ; les images foudroyantes font place à des silences neigeux, la phrase roule parfois sur elle comme une vague, s’enroule comme liane sous des trombes d’eau ; nous traversons l’enfer, nous respirons l’odeur de la rose de sang dans ce monde, les alliances de mots jaillissent comme des sources, des saules, la parole devient supplication, prière, ou pierre sèche, silex rude des visages, l’homme récite l’argile qui le forma et que la barbarie brisa… Lorsque tomba le poète, le ghetto avait déjà été rasé depuis le 19 avril 1943, trois cent quatre-vingt mille Juifs furent déportés, les cinquante mille exterminés peu après. L’insurrection du peuple élu humilié, déshumanisé, n’eut guère plus de succès que l’Insurrection du peuple de Varsovie. Tout fut dynamité et, sur le champ fumant des ruines, le corps de Baczynski rejoignit celui de milliers d’autres mais, sous l’amas de cadavres montait, à son insu, la lumière de ceux qui s’opposent, la grandeur de ceux qui savent dire non. Et dans ce refus-là, brillait — à peine perceptible — la splendeur de l’éclat dont le poète fut le chantre et la psalmiste. (Claude-Henry du Bord – extrait)

    Poèmes choisis et traduits du polonais par Claude-Henry du Bord et Christophe Jezewski avec la collaboration de François-Xavier Jaujard et Dominique Sila Khan.

    IN’HUI 62 – L’Insurrection angélique, un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • IN’HUI 63 – Luis Antonio de Villena. Splendeurs de lèvres lointaines

    Luis Antonio de Villena est né en 1951 à Madrid. ses œuvres poétiques et ses essais le situent parmi les voix les plus prisées de la lyrique espagnole contemporaine.
    C’est en portraitiste de la littérature espagnole, mais aussi en fin connaisseur des grands classiques de la littérature européenne, orientale, helléniste et latine, qu’il porte son regard sur l’activité artistique et l’artiste lui-même.
    À maintes reprises, il loue l’époque symboliste françaises, recueille dans la lecture de Fin de Siècle, le foisonnement littéraire et pictural que connaissaient les capitales de Paris et de Londres. Le symbolisme, remis au goût du jour, tente d’initier le lecteur à un bouleversement des sens, frayant la route de la connaissance et de la quête identitaire de Soi-même. Le poète explore le lointain. Écoute la promesse du lieu de l’étrangeté. Le voilà, transporté dans le tourbillon de l’indétermination qui anime l’existence humaine. Rencontre de Psyché et Eros. La poésie de Villena franchit les limites d’une raison raisonnante ou conformiste. Les marges sont les rives de sa vie lyrique, là où les déséquilibres, les hérésies privées s’illuminent à fleur de peau, dans la mélancolie d’une solitude convoitée et redoutée. Ici, la rose n’est rien qu’un mot, un souffle, un parfum-opium baudelairien nous enseignant comment Plonger au fond du gouffre, Enfer ou Ciel, qu’importe ? / Au fond de l’Inconnu, pour trouver du nouveau/.

    Traduit de l’espagnol sous la direction de Françoise Morcillo avec Philippe Reynès et Pierre Thiollière.

    IN’HUI 63 – Luis Antonio de Villena. Splendeurs de lèvres lointaines, un livre de Luis Antonio de Villena édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • IN’HUI 64 – L’Esprit du théâtre d’Aristote à Shakespeare

    Les poètes ont-ils droit de cité ? À cela notre précédent ouvrage, De Platon à Shakespeare, répondait par nuances de oui et non. Ont-ils droit de scène ? Oui, si l’on en juge par les affiches récentes où les comédiens illustres mettent leur renom au service de poètes méconnus comme La Fontaine ou Rimbaud, tandis que les scènes nationales multiplient les petits théâtres voués à la poésie, et que chaque printemps, à la Mutualité, poètes et acteurs unissent leurs efforts pour transmettre le feu sacré aux enfants des écoles. La question de la médiation poétique, de son rôle effectif ou non, central ou ornemental, au théâtre, a donc été posée aux « acteurs de la cité », comédiens, critiques dramatiques et spécialistes de la scène, comme aux « poètes de la cité », qu’ils aient ou non choisi le théâtre comme véhicule.

    Dominique Goy-Blanquet – Dominique Buisset – Pascale Hummel – Delphine Neimon – Catherine Lisak – Brian Gibbons – Jacques Darras – Gil Delannoi – Richard Marienstras – Frédéric Picco – Michael Coveney – Jacques Bonnaffé.

    IN’HUI 64 – L’Esprit du théâtre d’Aristote à Shakespeare, un livre de Collectif édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • L’Entrée dans le XXe siècle (1905-1918)

    NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE IV
    1905-1918

    Du 75e anniversaire de son indépendance en 1905 à novembre 1918, la Belgique a vécu une période d’une rare intensité en termes de bouleversements qui l’affectèrent profondément.
    Alors que l’Europe s’attend, au moment de l’invasion allemande de 1914, à une résistance de principe, la surprise est au rendez-vous : la Belgique résiste.
    Dans la foulée, la guerre sert en quelque sorte de révélateur et d’accélérateur aux incubations de la Belle Époque dans les domaines où règnent traditionnellement les tensions : socio-économique, idéologique et communautaire, sans oublier les relations entre l’exécutif et le législatif…

    Michel Dumoulin est professeur ordinaire à l’UCL et membre de l’Académie royale de Belgique. Il est l’auteur de nombreuses publications portant sur l’histoire de la construction européenne, celle des entreprises et celle des relations de la Belgique avec les mondes contemporains.

    L’Entrée dans le XXe siècle (1905-1918), un livre de Michel Dumoulin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • L’innocence en Italie

    La rencontre est le fil rouge de ces nouvelles. Spontanéité et surprise, souvenirs et émotions se partagent pour faire de ce moment de lecture un moment de bonheur et de sérénité.
    Le tout dans une langue raffinée et de qualité…

    Avec L’innocence en Italie, Nicole Verschoore nous offre probablement ce qu’elle a écrit de plus beau.

    L’innocence en Italie, un livre de Nicole Verschoore édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • L’Union fait-elle toujours la force ? (1950-1970)

    NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE VII
    1950 – 1970

    Voici un livre essentiel pour comprendre non seulement la situation dans laquelle se trouve la Belgique aujourd’hui, mais aussi le rôle que cette dernière a joué au niveau de la construction européenne et au niveau international.
    Au niveau national, dès les années 1950, le mouvement flamand, qui était pour une bonne part décapité au lendemain de la guerre des suites de la répression de la collaboration, reprend vigueur, notamment au moment de l’Expo ’58, puis à la faveur des marches sur Bruxelles, dans la foulée de la question linguistique. Dans le même temps, la flamandisation des élites politiques connaît un sérieux coup d’accélérateur. « L’affaire de Louvain » de 1968 conduit à la plus longue crise gouvernementale connue par le pays jusque-là, crée un traumatisme du côté francophone et engendre un bouleversement de l’échiquier politique, avec entre autres conséquences la disparition progressive des partis nationaux. De plus, dès 1960, le déséquilibre économique s’accentue à l’intérieur du pays suite à la fermeture des charbonnages et à la crise structurelle qui s’en suit en Wallonie, alors que la Flandre connaît une plus grande croissance économique. La conjonction des deux fédéralismes, flamand et wallon, va faire sauter le caractère unitaire du pays, dès la première réforme de l’État de 1970, mais qui ne permettra de freiner la construction d’un nationalisme flamand, certes sous-produit du nationalisme belge, mais qui appelle une demande toujours plus pressante d’autonomie, désormais d’ordre à la fois culturel et économique…

    Vincent Dujardin est chercheur qualifié du FNRS et professeur à l’Université catholique de Louvain (UCL). Il a notamment publié une biographie de Pierre Harmel (Le Cri, 2004), qui fut un véritable best-seller.

    Michel Dumoulin est professeur ordinaire à l’UCL et membre de l’Académie royale de Belgique. Éminent historien, il est l’auteur de nombreuses publications.

    L’Union fait-elle toujours la force ? (1950-1970), un livre de Vincent Dujardin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • Indisponible

    L’Expo 58, un tournant dans l’histoire de Bruxelles

    Le cinquantenaire de l’Expo 58 a été célébré avec faste. Expositions, dossiers spéciaux dans la presse, émissions télévisées permettant à un public varié d’exposer ses souvenirs… tout a été mis en œuvre pour rappeler l’importance et le succès de l’événement. A contre-courant de ces commémorations convenues, l’objectif de cet ouvrage est d’examiner l’impact de l’Exposition sur la ville qui l’accueillit : Bruxelles.
    Profitant du recul qui permet au chercheur de jeter un regard rétrospectif dépassant le simple témoignage, l’émotion ou le ressenti personnel,
    il propose un décryptage de l’événement d’un point de vue bruxellois. Il montre que l’Expo célébrée en 1958 par de nombreux habitants de la capitale, eut en définitive un impact bien plus considérable sur leur vie quotidienne qu’ils avaient pu l’imaginer à l’époque.
    Ce livre a donc pour ambition non seulement de recontextualiser l’évènement mais aussi de s’interroger sur le chemin parcouru depuis lors en matière de politiques urbaines, qu’il s’agisse d’urbanisme, de mobilité, de logement, d’internationalisation ou de marketing. Derrière l’analyse de l’impact de l’Exposition sur la ville, il pose la question du lien entre développement urbain et évènements internationaux. Nourri par des études approfondies et des mises en perspective sur la longue durée de sociologues, politologues, architectes, géographes et historiens, il ouvre les portes d’une réflexion globale tant sur le passé que sur le devenir de la Région bruxelloise, dans une période où, plus que jamais, elle est l’enjeu de désirs contradictoires.

    Chloé Deligne est historienne, chercheuse qualifiée FNRS à l’Université Libre de Bruxelles et codirectrice du CIRHIBRU.
    Serge Jaumain est professeur d’Histoire à l’Université Libre de Bruxelles et codirecteur du CIRHIBRU.

    L’Expo 58, un tournant dans l’histoire de Bruxelles, un livre de Chloé Deligne édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • La Belgique dans tous ses états

    La Belgique nous interpelle. Pour certains, ses chances de survie sont limitées. Il n’y a plus aucune affinité entre le Nord et le Sud du pays. Dès lors, pour permettre à chacun de s’épanouir, la séparation s’impose. Pour d’autres, au contraire, il faut rester attaché à la Belgique telle qu’elle a été voulue par les Constituants en 1830, sans exclure cependant certaines adaptations, notamment la nécessité d’une plus grande décentralisation.
    Ces conceptions diamétralement opposées ne sont généralement que l’expression de visions irrationnelles ou la traduction de réflexes purement émotifs, que leurs auteurs s’efforcent de justifier en se référant à des données qu’ils qualifient d’objectives, mais qui sont souvent erronées ou tronquées. (…)
    L’ouvrage de Sylvain Plasschaert vient donc à son heure. Il constituera une précieuse contribution pour tous ceux qui réfléchissent à l’évolution de la Belgique et qui, dans les prochains mois, se pencheront sur son avenir.
    D’abord, parce que l’ouvrage précise, voire rectifie, un certain nombre de données sur lesquelles se fondent les détracteurs de l’État belge. (…)
    L’ouvrage du professeur Plasschaert apparaît comme une somme au sens étymologique du terme, c’est-à-dire « une œuvre qui résume toutes les connaissances relatives à un sujet ». Effectivement, sur le passé, le présent et l’avenir de la Belgique, on y trouve des réponses aux questions que l’on peut se poser…
    (Extrait de la préface d’Étienne Cerexhe)

    Sylvain Plasschaert est professeur émérite de l’ Université d’Anvers et de la KULeuven. Son enseignement et ses publications ont été consacrés principalement à des problèmes économiques internationaux, et notamment au développement économique de la Chine. Il s’est également intéressé à l’évolution économique et institutionnelle de la Belgique, qu’il a pu observer, en sa qualité de membre, durant de longues périodes, du Conseil supérieur des finances, du Conseil central de l’économie, et du Conseil économique flamand.

    La Belgique dans tous ses états, un livre de Sylvain Plasschaert édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • La Belgique libérale et bourgeoise (1846-1878)

    NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE II
    1846-1878

    La période 1846-1878 constitue un moment clé de la Belgique fraîchement indépendante…
    Terre d’industrie, héritage de la période française et hollandaise, le pays s’est structuré en s’appuyant sur la classe montante – la bourgeoisie – et sur l’essor industriel de la Wallonie. La noblesse belge témoigne d’une belle capacité d’adaptation qui se traduit par ses alliances matrimoniales avec la bourgeoisie industrielle et ses participations financières dans les sociétés par actions. Elle confirme aussi sa vitalité politique par son emprise sur le Sénat et, en partie, sur la Chambre des représentants.
    Quinze ans après la proclamation de son indépendance, le courant libéral se constitue en une organisation politique disposant d’un programme d’action précis. Cette fondation d’un parti moderne rompt avec un système politique – l’unionisme – qui a permis à la Belgique de se doter d’institutions politiques et judiciaires stables, d’assurer une paix intérieure et d’écarter les menaces extérieures. Un nouveau paradigme vient dicter sa loi : celui d’une politique de partis, d’affrontements d’idées et d’actions…
    Les années 1850 inaugurent une ère de prospérité, mais aussi d’ouverture des frontières, des marchés qui entraîne, par le jeu de la concurrence, l’approfondissement des inégalités sociales. La Belgique se transforme peu à peu de pays agricole en pays industriel, mais l’évolution ne touche que quelques régions – le sillon industriel wallon, Gand et Anvers. L’urbanisation progresse et Bruxelles, Anvers, Gand, Liège participent de cette croissance urbaine, mais entre le Nord et le Sud du pays, les différences se creusent…
    Ces années sont des années capitales. La lumière crue du conflit politique entre catholiques et libéraux, qui paraît majeur, cache d’autres réalités qu’il convient de faire surgir car elles annoncent les grands problèmes de l’avant-guerre : les questions électorale, féminine, flamande et sociale…

    Éliane Gubin est professeure à l’Université libre de Bruxelles où elle enseigne l’histoire de la Belgique contemporaine et l’histoire des femmes ; elle est spécialisée en histoire sociale et en histoire politique du xixe siècle et de la première moitié du xxe siècle.
    Jean-Pierre Nandrin est professeur aux Facultés universitaires Saint-Louis. Il y enseigne l’histoire contemporaine, en particulier l’histoire du droit et des institutions, la théorie de l’histoire et l’histoire des droits de l’homme. Ses recherches portent sur l’histoire politique de la Belgique contemporaine, l’histoire du droit social, l’histoire de la justice et l’histoire des femmes.

    La Belgique libérale et bourgeoise (1846-1878), un livre de Éliane Gubin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00 
  • La Belgique sans roi (1940-1950)

    NOUVELLE HISTOIRE DE BELGIQUE VI
    1940-1950

    De 1940 à 1950, la Belgique est un pays sans roi régnant. À la fin de mai 1940, Léopold III choisit le statut de prisonnier de guerre. Il n’exerce plus les compétences qui incombent au chef de l’État.
    Le pays est dirigé pendant quatre ans par des militaires allemands et cogéré par les secrétaires généraux, restés en poste sur les ordres du gouvernement Pierlot.
    En 1944, le roi est déporté en Allemagne. Comme il se trouve dans l’impossibilité de régner lors de la libération du territoire, les Chambres réunies confèrent au prince Charles, son frère, le titre de régent. Aussitôt après la libération de Léopold III, en mai 1945, un conflit éclate entre celui-ci et la délégation gouvernementale, conflit qui aboutit à la question royale.
    Dans l’intervalle, après quatre ans d’inégalités et de privation de liberté, la Belgique vit un réveil démocratique dont l’apogée consiste à accorder le droit de vote aux femmes. Sur le plan socioéconomique, la libération du territoire inaugure pour la Belgique une ère de prospérité. Portée par la paix sociale et un assainissement monétaire efficace, l’industrie fait des miracles.
    Au-delà, avant même le début de la guerre froide, la Belgique rompt avec sa politique de neutralité et entre dans l’ère des Alliances. Certains hommes politiques belges, accomplissent aussi un travail de pionnier dans le processus d’intégration européenne qui s’amorce et constituera dans la seconde moitié du XXe siècle l’un des grands axes de la politique étrangère de leur pays.

    Vincent Dujardin est chercheur qualifié du FNRS et professeur d’histoire à l’Université catholique de Louvain. Il est aussi professeur invité à l’Université Jagelone de Cracovie et aux FUCAM. Ses recherches portent sur l’histoire de la Belgique, sur celle de la construction européenne, du Congo et des relations internationales.
    Mark Van den Wijngaert, professeur émérite d’histoire contemporaine à la KUBrussel, est l’auteur d’ouvrages portant sur l’occupation allemande, l’histoire politique de la Belgique, la monarchie belge, la Guerre froide et les relations internationales depuis 1950.

    La Belgique sans roi (1940-1950), un livre de Vincent Dujardin édité aux Éditions Mols (Fonds Le Cri)

    18.00